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Étiquette : arts

LE JARDIN D’EDEN DE RIO AU RITZ CARLETON DE MONTRÉAL

« Plus qu’une simple collection artistique, mon Jardin d’Éden est un rappel que, immuablement, tout finit par se rééquilibrer. Bienvenue dans mon royaume, » raconte RIO au talent et au style époustouflants. Le monde merveilleux de l’artiste peintre s’installe au Ritz Carlton de Montréal. C’est sur la rue Sherbrooke qu’il va exposer sa plus récente série d’œuvres remarquables lors d’un vernissage exclusif le 6 septembre.

« La salle de bal plongée de lumière est le lieu idéal pour mettre en valeur les détails sculpturaux de cristaux tchèques et de dorures de mes œuvres. Le défi sera de créer un grand jardin intérieur où les toiles encerclent le jardin d’intérieur. La salle sera plongée ainsi dans un univers unique et imaginé à la touche RIO, » affirme le créateur natif de Lanaudière. Cet événement privé et sur invitation seulement au Ritz Carlton confirme son spectaculaire parcours des derniers mois. En janvier, il a offert une exposition hors norme via une galerie d’art mobile sur un camion, à Miami déambulant dans le Design District, en collaboration avec la Black Tower Gallery. En mai, il a présenté son premier vernissage à Cologne, en Allemagne. L’événement fut un véritable succès avec la vente de ses pièces les plus imposantes et le début fructifiant d’une aventure avec la galerie Lanford. Puis virent deux mois cloîtré dans sa somptueuse demeure-atelier afin de compléter la collection Jardin d’Éden ; une série d’œuvres qui sera scindée entre un vernissage à New York et ici. À Manhattan, le 19 août dernier, il a reçu un accueil des plus chaleureux sur la plus haute terrasse annexée au Somewhere Nowhere.

Dans les prochains mois, RIO sera tout aussi occupé à développer son art. En novembre, il y aura la mise aux enchères d’une œuvre à Vancouver, lors de la soirée caritative Vision Gala au profit des hôpitaux Royal Jubilee et Victoria General. Pour clôturer l’année en beauté, les collections 2022 seront exposées au Trade Fare de Miami en partenariat avec la galerie allemande Lanford. En 2023, il y aura un nouveau vernissage en Allemagne, cette fois-ci au Cologne Oppenheim Palais. Présentement en rénovation globale, la réouverture de cet espace sera soulignée par un vernissage Rio plus grand que nature avec une thématique créée à cet effet.

http://www.rioartiste.com 

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Instagram: rio artiste

JOURNAL déclaration de l’artiste

Écrire dans son journal est l’un des actes les plus intimes qui soient. Toute ma vie, je me suis tourné vers l’écriture comme moyen de rassembler mes pensées et d’explorer mes émotions.

“Cher journal “

Ces deux petits mots démarrent une conversation, un récit ou un échange honnête avec soi-même et qui n’est destinéàêtreluparpersonned’autre. C’estunespaceoùiln’yaaucunepossibilitédemodifieroudesupprimer quoi que ce soit.

En septembre 2021, j’étais en quête d’authenticité. J’avais soif de vérité. Je ne voulais pas que tout soit trop organisé ni trop calculé. C’est là, au travers de mon écriture, que mes autoportraits ont pris naissance.

J’avais besoin de me redécouvrir.

Quelles sont mes plus belles qualités et quels sont mes pires défauts ? Quelles sont mes bons et mes mauvais côtés ? Étais-je prêt à les accepter, à les assumer et à les partager ? Je savais qu’en explorant ces questions, en étant honnête et parfois brutal avec moi-même, j’allais explorer de nouveaux horizons.

Un autoportrait n’est-il pas une perturbation de la perception de soi?

J’ai toujours peint ma vérité avec mes sentiments les plus profonds, mais souvent par le biais de portraits des autres. Parfois même au travers de sujets très délicats.
Je pouvais ainsi me cacher derrière mon œuvre.

Avec cette série, il n’y a pas de masque. Il n’y a pas de voile. Il n’y a que moi.

Ces tableaux sont authentiques et sont une grande partie de qui je suis. C’est pourquoi chaque tableau est simplement intitulé « Journal Entry ». Je veux que le spectateur ait sa propre interprétation de l’œuvre sans l’influence d’un titre que j’aurais choisi.

Dans ces nouvelles œuvres, j’en ai profité pour explorer différents styles techniques. Chaque œuvre est réalisée de manière unique conformément à la technique de la spatule ou du pinceau fin, que ce soit dans le figuratif ou dans l’abstrait.

Chaque portrait est une représentation visuelle d’un extrait de mon journal. Derrière chaque toile se cache le texte qui a inspiré sa création. Je crois que les meilleures œuvres d’art sont un reflet de notre vulnérabilité. Tout comme la musique et la danse, les œuvres qui résonnent réellement sont celles qui proviennent d’un lieu authentique.

Je veux que les gens s’infiltrent dans ma vie de cette façon: on ne tourne pas autour du pot.

Je souhaite que le spectateur s’identifie aux œuvres et se pose des questions. Mais en plus, je veux que les œuvres soient simplement une représentation de ma vie telle qu’elle est. Parfois, ce n’est pas la vie en rose. Les expériences sont souvent incroyables et, comme la vie, l’amour est compliqué…Mais je finis toujours par sourire…

-YUNUS CHKIRATE, AOÛT, 2022

LA PLATEFORME ARTS.FILM S’ASSOCIE À LA FONDATION PHI ET PRÉSENTE UN DOCUMENTAIRE SUR YAYOI KUSAMA EN VISIONNEMENT GRATUIT

 ARTS.FILM, la plateforme du film sur l’art créée par le Festival International du Film sur l’Art, est heureuse de s’associer à la Fondation PHI pour présenter Kusama : Infinity de Heather Lenz, documentaire sur la vie et le travail de l’artiste Yayoi Kusama.En marge de l’exposition de Yayoi Kusama, DANCING LIGHTS THAT FLEW UP TO THE UNIVERSE présentée à la Fondation PHI, le film Kusama : Infinity sera disponible gratuitement sur ARTS.FILM du 1er au 30 septembre prochain.
Kusama : Infinity 
de Heather Lenz
Kusama est née dans une famille conservatrice de la campagne japonaise et a gagné l’Amérique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Là-bas, sans relations et ne parlant qu’un anglais approximatif, elle s’est consacrée à son seul véritable amour, la création artistique. Lors de son premier jour à New York, Kusama a déclaré qu’elle était montée au sommet de l’Empire State Building, qu’elle avait regardé la ville et qu’elle avait pris la décision de se démarquer de tous ceux qu’elle voyait en contrebas et de devenir une star. Aujourd’hui âgée de 80 ans, Kusama a passé les 30 dernières années dans un établissement psychiatrique au Japon. Kusama : Infinity explore le parcours de l’artiste Yayoi Kusama, depuis son éducation conservatrice au Japon jusqu’à ses débuts dans la célébrité aux États-Unis dans les années 1960 (où elle rivalisait avec Andy Warhol pour attirer l’attention de la presse), pour aboutir à la renommée internationale qu’elle a finalement acquise dans le monde de l’art.

En mai, ça part en lion au Site historique Marguerite-Bourgeoys !

  • Une nouvelle exposition qui conjugue la science au féminin !
  • Une seconde participation au Festival d’histoire de Montréal, du 13 au 15 mai
  • Des célébrations et des animations dans le cadre du 250e anniversaire de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours et de l’Année internationale du verre
  • Un premier concours de photographie pour mettre en valeur notre beau voisin
  • Un vitrail coup de cœur célébré à l’occasion du Mois des musées de Montréal
  • Un été pour découvrir un bijou de site archéologique !

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C’est parti pour l’exposition temporaire Religieuses, enseignantes et… scientifiques ! qui fait la preuve que les sciences n’étaient pas un domaine réservé uniquement aux hommes avant le 20e siècle. Les visiteurs vont se rendre compte que les communautés religieuses féminines ont joué un rôle important dans la diffusion des connaissances scientifiques chez les filles dès le début du 19e siècle. En partenariat avec le Musée des Ursulines de Trois-Rivières et proposé en itinérance, le projet bénéficie d’une aide financière du gouvernement du Canada.Le plein d’activités pour célébrer notre présence dans la grande histoire de Montréal
Pour la 2e édition du Festival d’histoire de Montréal, qui se déroulera du 13 au 15 mai, l’équipe du Site historique Marguerite-Bourgeoys met la lumière sur le 250e anniversaire de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, et plus spécialement l’histoire de ses verrières et de ses magnifiques vitraux, riches de patrimoines culturel et artistique. Une belle façon d’inclure les trésors patrimoniaux de Montréal dans les célébrations de l’Année internationale du verre 2022. Ces activités bénéficient de l’aide financière de la SDC Vieux-Montréal…

Des photos pour mettre en valeur la beauté du quartier Bonsecours

“Pour lancer les célébrations du 250e anniversaire de la première chapelle de pierre de Montréal, nous avons eu envie d’inclure le voisinage dans les célébrations”, commente Jean-François Royal, directeur général.

Ainsi, le hall du Marché Bonsecours accueillera des photographies historiques illustrant deux beaux voisins qui ont tant à raconter. Présentée en collaboration avec la SDC Vieux-Montréal et libre d’accès, cette installation est présentée du 11 mai au 21 juin 2022.

Les amateurs de photographies pourront aussi participer à la première édition du concours de photographie de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours et s’adonner, le 14 mai à 15 h, à une balade-photo en compagnie d’Élodie Lepage, photographe professionnelle, pour des conseils sur les meilleurs points de vue.

250 ans et… belle au-dedans comme au-dehors

Pour le directeur général du Site et son équipe, “il était fort naturel de saisir l’occasion, dans le cadre des célébrations du 250e anniversaire de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, de développer un nouveau programme d’animation autour des verrières et des vitraux, des éléments caractéristiques liés à aux valeurs historique, ethnologique, architecturale et artistique de l’ensemble du Site.”

En ligne dès le 13 mai, un entretien filmé entre deux historiens et des capsules historiques raconteront l’histoire des verrières et les secrets entourant la fabrication des vitraux colorés par Delphis-Adolphe Beaulieu (1849-1928). Radieusement mis en valeur dans le Plan lumière du Vieux-Montréal, sans parler des innombrables photographies partagées par les passants et les visiteurs sur le Web, les vitraux épatent des centaines de milliers de visiteurs chaque année.

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La petite histoire de l’un des plus anciens vitraux de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours

Fragment de vitrail avec deux anges, 1855
Musée Marguerite-Bourgeoys, don des Prêtres de Saint-Sulpice de Montréal

Ce vitrail est un véritable trésor patrimonial et mérite amplement le titre d’objet coup de cœur! Il est fragmentaire, car il faisait partie d’une verrière qui a été installée dans le chœur de la chapelle Notre-Dame-de- Bon-Secours, le samedi 7 juillet 1855. Leur achat est l’aboutissement d’une vaste campagne de décoration de la chapelle, qui s’était amorcée en 1848, afin d’embellir ce sanctuaire de plus en plus fréquenté par les pèlerins.

À l’origine, la verrière entière représentait la Vierge Marie, la mère de Jésus, posant ses pieds sur des nuages, entourée d’un chœur d’anges. L’œuvre illustrait probablement une Immaculée Conception, un dogme fort important au sein de l’Église catholique à cette époque.

Retiré du sanctuaire vers 1885, ses restes ont été découverts en 1996 dans le site archéologique du Site historique Marguerite-Bourgeoys. Aujourd’hui, il fait probablement partie des plus anciens vitraux connus de Montréal.

Par Stéphan Martel, directeur adjoint et responsable de la recherche du Site historique Marguerite-Bourgeoys

Horaires et gratuités en mai

Jusqu’au 14 mai
Ouvert du mardi au vendredi, de 11 h à 16 h
À compter du 15 mai
Ouvert tous les jours, de 10 h à 18 h
En tout temps, l’accès au site et gratuit pour les enfants de 12 ans et moins.

La visite de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours est gratuite pour tous.
Le dimanche 1er mai, l’accès au Site est gratuit pour tous les résident.es du Québec (MCCQ)

Encan bénéfice de l’Écomusée du fier monde : mission accomplie pour la 21e édition !

Du 27 avril au 8 mai dernier s’est déroulé le 21e encan d’œuvres d’art de l’Écomusée du fier monde. Cet événement bénéfice annuel s’est tenu virtuellement via une plateforme web sécurisée. Représentatives de la création contemporaine d’ici, les 66 œuvres mises en vente réunissaient des artistes de la relève et d’autres de niveaux national et international. La somme amassée contribuera à soutenir la mission citoyenne et culturelle de l’Écomusée du fier monde.
Une édition virtuelle réussie.

Au fil des ans, l’encan est devenu un rendez-vous culturel annuel pour plusieurs, que ce soit les amis du musée, les amateurs d’art ou les collectionneurs. Ceux-ci sont rejoints chaque année par de nouveaux philanthropes. Cette année encore, l’Écomusée a pu compter sur l’appui de Christiane Bergevin comme ambassadrice de l’événement. Le public a pu découvrir les œuvres gratuitement dans le cadre de l’exposition Variations sur l’art d’ici, présentée à l’Écomusée du 27 avril au 8 mai dernier. La mise aux enchères virtuelle, de son côté, a permis de vendre 63 des 66 œuvres présentées, pour un total de 61 850 $. Les profits amassés contribuent à pérenniser la mission et les actions de l’Écomusée.  

L’équipe de l’Écomusée se remet dès maintenant au travail pour préparer la 22e édition qui se déroulera en salle, à moins d’un imprévu. 

Un événement de collaboration et de partage

Les fruits de cet encan sont versés à l’Écomusée et aux artistes participants. Depuis sa fondation, l’Écomusée développe des projets en étroite collaboration avec les organismes du Centre-Sud. Ainsi, les profits de la vente de trois œuvres sont partagés avec des organismes du quartier : l’œuvre de Jean-Guy Mongeau avec Mères avec pouvoir, celle de Carol Bernier avec l’Auberge du cœur Le Tournant et celle de Betty Goodwin avec les Archives gaies du Québec. Mères avec pouvoir contribue à favoriser l’autonomie et l’intégration sociale et professionnelle de femmes cheffes de familles monoparentales à faible ou modeste revenu, l’Auberge du cœur Le Tournant vise à améliorer les conditions de vie immédiates des jeunes sans abri et à prévenir une aggravation de leur situation, et les Archives gaies du Québec ont pour mission d’acquérir, de conserver et de diffuser tout document qui témoigne de l’histoire des associations et des individus LGBTQ+.

Un musée qui se démarque

Musée d’histoire et musée citoyen, l’Écomusée du fier monde se démarque dans le paysage montréalais. Il permet d’explorer des volets méconnus de la culture de la métropole. Découvrez la vie quotidienne en milieu ouvrier et suivez le parcours inspirant de groupes citoyens. Visitez les expositions de l’Écomusée et l’ancien bain public Généreux, un magnifique exemple de l’architecture des années 1920. Outil citoyen, l’Écomusée favorise le dialogue et participe à l’amélioration de sa communauté.

GEAK s’offre un festival pour souffler ces 3 bougies

Dans le cadre des 3 ans de l’entreprise de gestion d’événement multidisciplinaire innovatrice GEAK(Gestion Événements Alexandre Kénol) innove avec le lancement du tout premier Feaster Festival pour introduire le lancement officiel de la plateforme FEASTER. Ce festival émane d’une mission que s’est donné le fondateur, Alexandre Kénol: rappeler au public québécois à quel point le talent local et émergeant est magnifique. Ayant œuvré avec des artistes toute sa vie, Alex Kénol s’est mis lui-même dans les souliers d’un artiste de par son rôle de manager et répond aujourd’hui à un besoin criant dans la scène artistique : augmenter la visibilité et faire découvrir de nouveaux artistes. De cette mission a découlé la plateforme FEASTER, un site web qui vise à répertorier les artisans émergents ou établis afin de permettre au grand public de les solliciter pour des prestations.  

Feaster Festival est d’un côté le lancement officiel de la plateforme et de l’autre, un événement où les performances et les moments mémorables seront au rendez-vous. Le 28 mai prochain à compter de 15h, ce sont plus de 20 artistes émergents qui performeront en plein air au plaisir des spectateurs au Centre du Sablon à Laval. De ce nombre, on peut noter la chanteuse et ex participante d’Occupation Double Kay Cassendo, les rappeurs Jeekay et 4say, l’humoriste Réginald St-Éloi et la jeune sensation en musique afro-caribéenne, Kayos. Le festival sera animé par le créateur de contenu et sensation Tik Tok, Cashboy Reg. Le Feaster Festival offre une programmation où tous y trouveront leur compte, familles et enfants mais surtout les enthousiastes de musique et d’arts visuels. De l’animation, des kiosques d’artisans, un service de bar et un stand de nourriture urbaine seront sur place pour offrir une expérience festive aux spectateurs présents.

Voici les informations sur l’événement :

Date : 28 mai 2022 

Endroit : Centre du Sablon Laval, 755 Chem. du Sablon, Laval, QC H7W 4H5

Heure : 15h00 à 22h00

Prix : entre 40$ et 100$ par personne 

Que faut-il savoir sur FEASTER?

Par le biais d’un site web facile d’utilisation et l’emphase sur l’accessibilité aux artistes de tous niveaux, cette plateforme sera un catalyseur d’opportunités en matière d’événements publics et privés. Nous permettons à tous de découvrir les talents locaux, connaître les détails pertinents à leur pratique, les disponibilités d’artisans et même réserver leur service pour tout type d’événement. Nous voulons être le pont entre le public et leur futur artiste préféré.

Les possibilités sont illimitées. Nous donnons aux centres communautaires et culturels, aux institutions publiques et parapubliques, aux entreprises collectives et privées et même aux organismes philanthropiques la chance d’accéder à une panoplie de services. Vous pourrez désormais préparer votre prochaine campagne de financement, vos prochains spectacles annuels, vos fêtes d’employés ou toutes cérémonies familiales. Une solution numérique qui répond au besoin de tous, c’est ce que FEASTER propose!

L’artiste Aro vous présente IntrospectionUne nouvelle collection qui nous invite à sortir des sentiers battus ​

Avoir la capacité de rêver et de croire que tout est possible, voilà le moteur puissant qui fait avancer Aro à vitesse grand V. L’artiste, qui s’est bâtie au fil des années une feuille de route éblouissante, s’apprête à nous dévoiler ses nouvelles œuvres lors de l’exposition Introspection qui sera présentée du 5 au 8 mai prochain à la Galerie Aro de Stoneham. Le vernissage de cette sixième exposition solo en carrière se tiendra au même endroit le jeudi 5 mai de 17 h 30 à 21 h. Voilà une belle occasion de rencontrer l’artiste afin d’en savoir plus sur son impressionnant parcours.
Aro a de quoi impressionner. D’abord, lorsqu’on la rencontre, son authenticité attachante nous désarme et nous donne le goût de la connaître davantage. Elle s’est illustrée sur les cinq continents depuis 2017, voyant ses œuvres être présentées ici au pays, mais également au Carrousel du Louvre à Paris, à la Saphira & Ventura Gallery de New York, à Miami, en Égypte et à Dubaï, en plus d’avoir eu l’insigne honneur d’offrir l’une de ses créations à Michelle Obama.

Fière du chemin parcouru, Aro est heureuse de présenter en mai ce qui a nourri sa création depuis la dernière année. « L’art définit notre personnalité et j’aime laisser l’inspiration m’envahir en me connectant avec mon cœur face à la beauté. Ce lien avec la peinture me permet de ressentir l’amour, la joie et l’immensité du monde. J’aime créer des œuvres pour me rappeler l’importance de s’arrêter et de s’émerveiller », explique Caroline Bergeron, alias Aro.
Aro fait son entrée dans la famille des artistes digitaux

Avec Introspection,  Aro renoue avec l’utilisation du cercle, symbole qui représente l’infini, le mouvement et les possibilités. Les œuvres de cette nouvelle collection amènent les amateurs d’art abstrait et contemporain à se poser et prendre conscience de l’importance de s’accepter tel que l’on est avec nos parts d’ombre et de lumière.
 
En plus de découvrir ces pièces uniques sur toile, Aro a été sélectionnée par l’équipe de galeristes new-yorkais pour faire passer certaines œuvres du physique au virtuel avec trois NFT actuellement présentés dans la grosse pomme.


« Je suis choyée de faire mon entrée sur ce marché spécialisé avec une équipe qui croit en moi comme artiste peintre. C’est dynamisant de constater que le regard des amateurs d’art digital pourra s’arrêter sur un Aro et découvrir une nouvelle source d’inspiration. Avec mes œuvres, je veux qu’on prenne conscience que le bonheur est simple et vient de nous ». Pour Aro, cette manière de voir la vie se prête autant à la création de NFT qu’à l’art physique.
« L’art vit lorsqu’il est vu. L’œuvre interpelle nos émotions les plus profondes, tel un voyage au cœur de l’âme. L’art abstrait est en fait une découverte de soi, une démarche d’introspection ».
-Aro

Le 30ième anniversaire des Impatients  au 1700 La Poste \ Dès le 6 mai prochain

Dans une démarche de solidarité, de mise en valeur et de soutien à la mission des Impatients, madame Isabelle de Mévius et son équipe du 1700 La Poste sont heureux d’annoncer l’accueil d’une exposition célébrant le 30ième anniversaire de l’organisme au printemps 2022.
Le commissariat de l’exposition est assuré par l’équipe du 1700 La Poste en collaboration avec Les Impatients, puisant dans la Collection Les Impatients qui rassemble les œuvres de plus de 150 participants et participantes, réalisées au fil des trente dernières années.
Désirant mettre en lumière l’extraordinaire travail accompli par Les Impatients depuis leur fondation, le 1700 La Poste présente, dans l’exposition Enchanté·e !, les œuvres de plusieurs créateurs et créatrices ayant assisté aux différents ateliers de création entre 1992 et 2020, dont Philippe Lemaire, Marie-Reine Bourgeois, Louise Charrette, Minimousse, Romain Peuvion, Antonio Mazza, Jean Boutin et plusieurs autres.
Le 1700 La Poste
Le 1700 La Poste est un centre d’exposition d’art contemporain qui a pour mission de soutenir et de diffuser le travail d’artistes en arts visuels par la création d’expositions, de publications, de documentaires et de conférences. Construit en 1913, le bâtiment patrimonial du 1700 rue Notre-Dame Ouest accueille d’abord le Bureau de Poste Station F. Cent ans plus tard, il est entièrement transformé et restauré selon la vision singulière et audacieuse de sa propriétaire, Isabelle de Mévius, et de Luc Laporte, l’un des plus importants architectes montréalais. Depuis bientôt dix ans, Madame de Mévius contribue au rayonnement d’artistes d’ici et d’ailleurs grâce à son mécénat et à sa passion pour les arts.
Les Impatients 
Fondés en 1992, Les Impatients ont pour mission de venir en aide aux personnes ayant des problèmes de santé mentale par le biais de l’expression artistique. Ils offrent des ateliers de création et favorisent les échanges avec la communauté par la diffusion des réalisations produites dans leurs ateliers. L’organisation célèbre en 2022  ses 30 années d’existence. 
 Enchanté·e !Regard sur trente ans de création et d’espoir
Du 6 mai au 19 juin 2022Entrée libreDu mercredi au dimanche, de 11 h à 18 h 1700 La Poste1700, rue Notre-Dame OuestMontréal (Québec)  H3J 1M3

1700laposte.com

Le Festival Afro Urbain présente sa 4e édition sous le thème des Mémoires Vivantes

Le Festival Afro Urbain de la Maison d’Haïti est fier de présenter sa 4e édition en présentiel le 25-26-27 mars 2022 au Centre des Arts de la Maison d’Haïti (CAMH) situé dans le Quartier Saint-Michel. Le tout sera également diffusé en ligne en direct sur la plateforme du Festival Afro Urbain.

Cette année, le thème des Mémoires vivantes viendra souligner durant ces trois journées de festivités les 50 ans d’existence de la Maison d’Haïti. Cette reconnaissance est une célébration de la créativité et de la résistance des communautés noires, elle témoigne de la lutte contre le racisme, pour le respect des droits et libertés des personnes afro-descendantes au Québec. Faire connaître le patrimoine culturel et artistique et reconnaître les apports actuels des artistes afro-descendant.es, telle est la signification du thème Mémoires vivantes.

Le Festival Afro Urbain est au carrefour des rencontres entre les artistes Afro Urbain et les Montréalais, Montréalaises de toutes origines. Par sa mission et ses objectifs, il joue un rôle de véritable levier social et culturel.

Ouvert à tous et toutes, sans distinction, le festival souhaite encore rejoindre un très large public montréalais et lui proposer une programmation riche, authentique, accessible et ouverte. Plus de 50 artistes et personnalités se sont joints au festival, dont 3 artistes faisant partie du tout premier programme de résidence et de la programmation artistique avec au menu des concerts, des hommages, des tables rondes et rencontres, des grandes entrevues, des projections de films, un vernissage.

VENDREDI – 25 MARS 2022

Venez célébrer avec nous le lancement du Festival Afro Urbain au Centre des arts de la Maison d’Haïti et savourez l’ambiance sur place des prestations de nos artistes tels que Meryem Saci, Dj Raid M, Rebecca Jean & Oliver Mitchell. En fin de soirée, nous vous présenterons les deux premiers épisodes de la série Eritaj qui rend hommage à 5 personnalités qui se sont investies dans leur communauté.

SAMEDI – 26 MARS 2022

Dès la matinée, rejoignez Key Thellot, la conteuse qui vous emmènera dans son univers avec ses mots. Par la suite, vous pourrez visionner plusieurs panels de discussion avec des invités notamment celui de Neil Armand sur l’Évolution socioéconomique des communautés afro-descendantes, La culture afro-descendante dans les grands médias : évolution et perspectives avec Anne-Lovely Étienne à l’animation et Les réseaux sociaux : vers une prise en charge de notre représentation avec Lau to the Rey. En fin d’après-midi, trois projections cinématographiques vous seront présentées au Centre des arts de la Maison d’Haïti. La soirée débutera avec des performances de Dice B, Trinisha Browne, Magdala, Denzel qui fera son lancement d’album sur place. Afin de terminer la journée sur une bonne note, laissez-vous emporter par les rythmes de la révélation de l’année du Gala DynastieDj Gayance en vous dégourdissant les jambes et en vous déhanchant avec Rich’Art Djamboola La’Puissance et sa troupe de danse. 

DIMANCHE – 27 MARS 2022

Pour cette dernière journée des festivités, FAU4 vous offre de la diversité en débutant avec le panel de Danse haïtienne, mémoires vivantes avec Sendy-Loo Emmanuel à l’animation suivie du Spécial littéraire présenté par Diverses SyllabesSandra Gee sur le panel de l’engagement communautaire et implication sociale : regards croisés et nous terminerons les panels avec Gabriella Kinté sur l’apport des arts et la culture afro-québécoise. La série Eritajse poursuivra pour laisser place par la suite au Cabaret noir mettant en vedette Willy B-Rose à l’animation, Dj Magbetta, Mister Drê-D et la charmante Senayaqui viendront clôturer le festival en chansons.

Rendez-vous au 36ᵉ Grand Prixdu Conseil des arts de Montréal

Nous l’attendions avec impatience et il est maintenant bien réel : le Grand Prix du Conseil des arts de Montréal revient en force, 100 % en personne, pour une 36ᵉ édition au Palais des congrès le 14 avril 2022 à midi.

Depuis 1985, cet événement signature du Conseil récompense des organismes qui ont contribué de façon exceptionnelle à la vitalité artistique de Montréal.  Après une pause avec l’édition spéciale de Nos indispensables, le Grand Prix retourne à son essence pour souligner les contributions artistiques ayant marqué l’année 2021 à Montréal.

Aux commandes :  l’inégalable animateur, humoriste et comédien Marc Labrèche qui apportera certainement un souffle teinté d’humour et une énergie contagieuse à cette grande célébration.

À l’heure de la relance de Montréal, joignez-vous à la communauté artistique et ses allié-e-s du milieu des affaires et du monde municipal pour rendre hommage, en toute solidarité, à l’ensemble de la communauté artistique qui enrichit et distingue la vie à Montréal.

Une des reconnaissances les plus prestigieuses de la force créatrice d’ici

Le Grand Prix comporte une bourse de 30 000 $ ainsi qu’une œuvre originale, spécialement créée à l’intention de l’organisme lauréat. Depuis 2018, un Prix du jury, assorti d’une bourse de 10 000 $, est aussi offert par la Caisse Desjardins de la Culture. Le Prix du public, d’une valeur de 10 000 $, est également remis par Télé-Québec. Chaque finaliste du Grand Prix reçoit une bourse de 5 000 $ grâce à la générosité de mécènes.

Félicitations aux 10 finalistes: Centre d’art daphne, Danse-Cité, Festival Accès Asie, La poésie partout, Le Monastère, Les Forges de Montréal, Productions Nuits d’Afrique, Réalisatrices Équitables, Sisyphe (Lemieux Pilon 4D Art) et Violette (Joe Jack et John).

Le Prix du public : la parole est à vous! 

Votez pour votre initiative coup de cœur parmi les finalistes du 36ᵉ Grand Prix.

En participant, vous courez la chance de gagner une enveloppe de 500 $ à échanger parmi l’offre culturelle de près de 700 organismes artistiques montréalais soutenus par le Conseil.

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Les 10 finalistes du 36ᵉ Grand Prix

Centre d’art daphne

Centre d’art Daphne marque l’histoire des arts visuels en 2021 avec l’ouverture du premier centre d’artistes autochtone autogéré au Québec. De l’art ancestral aux installations immersives, ce nouvel espace met de l’avant des pratiques résolument actuelles et ouvre l’horizon des possibles aux artistes autochtones.

Danse-Cité 

Modèle de proactivité solidaire, Danse-Cité fait la part belle à la recherche et au foisonnement de la création contemporaine. En 2021, elle développe l’expertise de l’audiodescription d’œuvres chorégraphiques et invite les personnes ayant une limitation visuelle à vivre le ravissement de la danse.

Festival Accès Asie 

Pluridisciplinaire et rassembleur, le Festival Accès Asie répond à la stigmatisation vécue par la communauté asiatique par les arts et le dialogue. Du développement d’une plateforme nationale au soutien d’artistes vivant avec un handicap, le festival vivifie l’échange culturel à Montréal.

La poésie partout 

Incarnant les valeurs d’ouverture, de diversité et d’audace, La poésie partout démocratise la parole poétique là où on s’y attend le moins. En 2021, elle a fait irruption dans le quotidien des gens pour laisser résonner les voix des poètes en plusieurs langues dans différents quartiers de Montréal.

Le Monastère 

Le Monastère célèbre les artistes de cirque contemporain dans un sanctuaire inhabituel : une église!  Au grand air durant l’été 2021, il diversifie l’offre culturelle locale et participe à la revitalisation du centre-ville en offrant plus de 200 performances éblouissant près de 20 000 personnes.

Les Forges de Montréal 

Gardiennes du patrimoine bâti et immatériel depuis plus de vingt ans, Les Forges de Montréal poursuivent leur mission tout en œuvrant à la réalisation de leur projet muséal. Elles façonnent ainsi un brillant avenir à la valorisation des métiers d’arts et à la transmission d’un savoir-faire ancestral.

Productions Nuits d’Afrique

Incubateur et tremplin pour les artistes de la diversité, Productions Nuits d’Afrique bouillonnent d’activités qui en font un acteur incontournable de la scène montréalaise depuis plus de 35 ans. En 2021, leur festival d’envergure s’est transformé à l’heure du virage numérique et a propulsé les artistes locaux à l’avant-scène.

Réalisatrices Équitables

Déterminées, les Réalisatrices Équitables luttent pour une meilleure parité au cinéma tout en plaidant pour partager la narration avec les réalisatrices autochtones et de la diversité. Vigilantes, elles lancent un site statistique qui permet de visualiser l’évolution des gains.

Sisyphe (Lemieux Pilon 4D Art)

Armé de sa pelle, le créateur multidisciplinaire Victor Pilon offre une performance-marathon de 30 jours, 7 heures par jour. Déplaçant inlassablement 50 tonnes de sable, il ne s’arrête que pour entrer en contact avec le public. Une rencontre puissante et silencieuse d’une profondeur qui subjugue.

Violette (Joe Jack et John)

Dix-huit ans de création, d’avant-garde et d’inclusion. Joe Jack et John est devenue une actrice majeure du théâtre montréalais. Par son œuvre Violette, elle aborde la notion de consentement sexuel chez les personnes en situation de handicap intellectuel, une prise de parole qui résonne et remue.