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La plus grande école d’art indépendante et bilingue au Canada sort de ses murs pour la première fois en près de 80 ans d’existence avec PAUSE D’ART!

Le Centre des arts visuels (CAV) de Montréal, la plus grande école d’art indépendante et bilingue au Canada, a le plaisir d’annoncer la sortie de Pause d’Art de la galerie McClure – une série de six courts métrages qui allient connaissance de l’art et apprentissage créatif actif, mettant en scène un groupe d’artistes triés sur le volet et issus de l’illustre histoire du CAV.

À travers un groupe diversifié d’artistes, la série offre un aperçu attrayant du fonctionnement interne et des processus complexes de certains créateurs parmi les plus talentueux du monde de l’art. Démystifiant la pratique en studio grâce à des techniques et des approches amusantes et accessibles, les vidéos mettent l’accent sur des techniques uniques de photographie, de poterie, de peinture, de dessin et d’art textile entre autres.

Présentés par six artistes installé·e·s au Canada, issu·e·s respectivement du Québec, du Nunavik, du Liban, de la Colombie et de la Corée du Sud, ces courts métrages (tous sous-titrés en français et en anglais) mettent en évidence les programmes de formation du CAV à travers des vidéos pour la toute première fois en 77 ans d’histoire. Ce nouvel espace en ligne universellement accessible suscite l’inspiration, la créativité et la curiosité en invitant la participation et en offrant un aperçu d’une œuvre d’art se déroulant en temps réel.

Anahita Norouzi : gagnante du Prix en art actuel du MNBAQ 2023

Alors que l’exposition collective, mettant en lumière le travail des cinq lauréates du Prix en art actuel du MNBAQ 2023 – Maria Ezcurra, Anahita Norouzi, Celia Perrin Sidarous, Eve Tagny et Sara A.Tremblay – bat son plein jusqu’au 7 janvier 2024, grâce à RBC Banque Royale, leur précieux partenaire, le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) et sa Fondation sont fiers d’annoncer la gagnante de l’édition 2023 de ce prix unique au Canada : Anahita Norouzi.

En plus de la bourse de 10 000 $ ainsi qu’une participation à l’exposition en cours, le travail de l’artiste fera l’objet d’une publication monographique, à paraître en 2024, ainsi qu’une acquisition d’œuvres pour les collections du Musée.

Anahita Norouzi en vidéo :
https://youtu.be/SArFtwm8Kq8

Le premier EP “Wonder Jazz” de Manon David Club est disponible!

Manon David Club s’introduit au travers d’un premier EP Wonder Jazz. Délicieusement nostalgique et groovy, la live session “Ricky Lee” reprend les codes télévisuels des années 70-80 avec humour.  

On serait tenté de dire que Manon David a construit son club de trois sur les cendres du Groupe Obscur, car s’il y a bien un élément qu’a laissé derrière elle la formation rennaise ce sont les cendres de bougies. Bougies par centaines, encerclant incantations et sortilèges, éteintes après huit ans au service d’une pop tout droit sortie d’un rêve. Elle était la basse et la voix spectrale, tirait les ficelles d’idées scéniques et de costumes teintés de magie noire. Dans le Groupe Obscur, où cinq férus de Cocteau Twins, Dead Can Dance et autres Heavenly Voices avançaient masqués dans la pénombre, elle chantait des histoires étranges dans une langue inventée pour l’occasion – l’Obscurien. Elle n’y était pas tout à fait Manon, pas non-plus une créature déifiée, juste une veine farouche pour que vienne s’y déverser une musique en lévitation. Le Groupe Obscur c’était la possibilité d’un monde annexe au notre, d’une narration enrichie à chaque nouvel album d’autant de personnages et de poésie que permette l’imagination. Une aventure sonore et visuelle qui a marqué la pop hexagonale d’un sceau noir corbeau. 

Sortie du tourbillon, au cœur du confinement, elle se remet à arpenter le manche de sa basse. Elle se passionne pour le jazz rock (Marcus Miller notamment), se repasse des vieux disques de Prefab Sprout, de Peter Gabriel, et des live de Prince And The Revolution après des années à baigner dans les vapeurs de la cold wave. Les premiers morceaux apparaissent sans idée précise d’un possible atterrissage, guidés simplement par son envie de jouer et d’exprimer une créativité sans fard. Les textes sont plus personnels, à la lisière du trip métaphorique et de la plongée frontale dans la lecture de sentiments enfouis. Une écriture subtile, intemporelle, aux images poétiques abreuvée des histoires de Lavilliers, Sheller ou Bashung. Rapidement, elle s’entoure, imagine un trio pour que les nouveaux morceaux prennent vie sur scène. Un batteur (Charly Saulay) et un claviériste (Vincent Audusseau) avec lesquels elle compose, étoffe certains arrangements, glane de nouvelles idées. Le projet se détache du précédent, dans ses thématiques et son esthétique. Même si Manon conçoit encore des costumes de scène pour tout le monde, une obsession qui ne l’a pas quittée – elle laisse de côté les guirlandes lumineuses à piles et les symboles cosmiques pour se parer de couleurs vives et de motifs se répétant à l’infini, dans lesquels elle se confond, et qui l’accompagnent scrupuleusement dans ses métamorphoses. 

Wonder Jazz, premier EP de Manon David Club propose une variation de bulles régressives, d’accélérations, de réminiscences de jeux vidéo rétro, le tout baigné d’une orchestration léchée. “Extra Time”, balade d’ouverture, pourrait accompagner les crédits d’une sitcom des ‘80s tant elle semble avoir toujours existé, classique instantané qu’on se plaît à écouter en boucle en laissant défiler les images qu’elle convoque. “Rockwood”, son riff de synthé épique et sa ligne de basse, flirte avec la City Pop japonaise, tandis que “Tornado Shelter” pousse le fun encore un peu plus loin de sa batterie syncopée. Moment de douceur où le texte et la voix de Manon David reprennent le premier rôle, “Manteau de Nuit” égrène les morceaux d’une confession en demi-teinte. Après “Rickie Lee” et sa funk délicieuse aux envolées solo inattendues, “Maudeville” nous emporte carrément outre-Atlantique dans une Amérique romancée où les clubs de jazz clignoteraient 24h/24, immuables au temps qui passe. “Chanson de la fin” clôt l’album d’une dernière balade, délicate, scintillante, comme un écho lointain aux Heavenly Voices qui lui avaient précédé.

Joy Ride Latine annonce l’album LEYENDAS, le plus important album de musique latine de l’histoire de Montréal

Alors que Montréal est devenue une véritable métropole multiculturelle et cosmopolite au fil des années, il aurait été impensable qu’une initiative comme celle de Joy Ride Records ne se concrétise pas éventuellement. La musique urbaine de Montréal est plus que jamais vivante et pourtant les médias généralistes continuent à faire abstraction de l’immense importance du multiculturalisme dans le monde de l’art.

Carlos «Los» Munoz, le patron du label Joy Ride Records, enfant de parents chiliens et réfugiés politiques, a décidé de s’attaquer au problème de front depuis quelques années. Non seulement Joy Ride Records est l’une des maisons de disques le plus multiculturelles du Québec, mais l’étiquette a de plus décidé de créer une division latino-américaine.

“La musique latine domine le monde, mais on fait la sourde oreille sur la musique latine de Montréal. Il est temps que le Québec comprenne que la communauté latine fait partie intégrante de notre société et que notre musique locale peut facilement rivaliser avec les artistes internationaux. C’est ça Leyendas, un incroyable rassemblement de talent, un amalgame de jeunes artistes latino-américains de Montréal”

YNG LGNDZ: plus qu’un collectif, un mouvement

YNG LGNDZ (prononcé Young Legends) est un collectif artistique originaire de Montréal composé de cinq Latinos-québécois qui oeuvrent au sein de la scène musicale depuis de nombreuses années. Il se compose du chanteur et auteur-compositeur-interprète hondurien Cruzito, du compositeur-réalisateur guatémaltèque Myztiko, du duo de compositeurs-réalisateurs dominicains Los Audio Kimikos ainsi que de l’ingénieur du son et compositeur-réalisateur-multi-instrumentiste salvadorien Josue Bonilla.

Le collectif voit officiellement le jour en 2021, alors qu’il lance YNG LGNDZ: SEASON 1. Le collectif nous parvient maintenant avec une deuxième galette intitulée LEYENDAS. Sur ce nouvel album, une vingtaine d’artistes mêlent pop, hip-hop, reggaeton, dembow, cumbia, perreo et même mariachi. Cruzito et ses compères ont coordonné le projet du début à la fin, de la sélection des artistes, à la composition musicale, en passant par la direction musicale et artistique.

Plus qu’un collectif de cinq membres, YNG LGNDZ est un incubateur de talents dont l’objectif est d’épauler les artistes hispanophones de Montréal. Le collectif leur offre l’opportunité de participer à des projets et des évènements musicaux. « Personne ne promeut les artistes de la communauté latine de Montréal », croit le leader du collectif, Cruzito. Pour y remédier, les membres de YNG LGNDZ sont présents durant toutes les étapes de la création de leurs albums – qu’ils considèrent comme de véritables œuvrages collectifs.

Whine Up: un premier single pour entamer les célébrations

Le collectif a donc planché sur une deuxième mouture 100% latino-montréalaise et a donné vie à un incroyable album de 13 titres qui met en valeur des artistes de plus de 10 pays d’Amérique Latine. L’idée étant de promouvoir le talent latino-américain, tout a été pensé et produit avec cette mission en tête. De la musique, aux paroles, à la réalisation, aux images, aux portraits peints à la main de la pochette de l’album, tout est signé par un artiste latino-américain. Même les relations de presse ont été confiées à un professionnel d’origine chilienne. 

Joy Ride Latino et YNG LGNDZ sont donc heureux d’annoncer l’album LEYENDAS qui sera disponible le 19 avril 2024. En attendant, chaque titre de l’album sera présenté d’ici là, accompagné d’un vidéoclip et de multiples surprises. Aujourd’hui, le collectif présente le premier extrait, la chanson Whine Up avec l’étoile montante d’origine cubaine Cahnei (artiste également signée chez Joy Ride Latino).

Le titre Whine Up et son vidéoclip – tourné en Amérique du Sud et produite par une équipe du Chili – sont disponibles partout dès aujourd’hui via Joy Ride Latino / Joy Ride Records.

LEYENDAS au Club Soda le 15 décembre 2023

Pour donner un avant-goût de ce que l’album réserve au public, le collectif a décidé de présenter une version live de l’album lors d’un listening party au Club Soda le 15 décembre 2023 dès 20h00. Au menu, des performances d’une dizaine d’artistes avec musiciens. Les billets sont en vente dès maintenant.

Milk & Bone lance la trame sonore du jeu Atom Eve (série Invincible)

Après avoir mis sa créativité au service du cinéma, du cirque et de la télévision, le duo Milk & Bone effectue maintenant sa première incursion dans l’univers du jeu vidéo. 

Camille Poliquin et Laurence Lafond-Beaulne embrassent de nouveau leur rôle de créatrices de musique à l’image en signant entièrement la trame sonore du tout nouveau jeu Atom Eve mettant en vedette la superhéroïne de la série Invincible, diffusée sur Amazon Prime Video

Le public a initialement découvert les deux premiers extraits Don’t Have a Fear, chanson-thème du jeu, et Dare to Dream, qui enveloppe le générique. Aujourd’hui la trame dans son intégralité est rendue disponible, les indéfectibles complices présentent pas moins de 17 chansons aux ambiances aériennes électro-pop portant indubitablement leur griffe.

Créer l’univers musical d’un jeu vidéo (d’une telle envergure, de surcroît) constituait pour les créatrices des albums Chrysalism (2022), Deception Bay (2018) et Little Mourning (2015) rien de moins qu’un rêve. 

« Nous avons mis un X sur notre bucket list. Nous avions envie depuis longtemps de créer de la musique pour un jeu vidéo, racontent Camille et Laurence. Créer pour un jeu, un médium différent de ce qu’on fait pour Milk & Bone, nous permet de travailler autrement. On a l’impression de jouer. »  

« On est venu nous chercher pour notre univers sonore, notre identité artistique ; non pas pour copier ce qui se fait déjà, mais pour qu’on use de nos sensibilités respectives pour donner vie au monde d’Atom Eve », soulignent les compositrices chevronnées, qui planchent à l’heure actuelle sur la trame sonore d’un autre jeu vidéo, qui verra le jour en 2025.

« Avoir la chance d’aider cet univers à prendre vie est une expérience assez incroyable ! Pour deux musiciennes ayant étudié la musique, cette collaboration marque une nouvelle ère de notre carrière. C’est une nouvelle corde à notre arc », ajoutent Camille et Laurence, qui se sont rencontrées au cégep en musique jazz, où elles ont appris la composition et l’arrangement.

Arc fort bien garni, doit-on le rappeler, Milk & Bone n’en étant guère à sa première expérience en musique à l’image. 

Par le passé, le duo, représenté à la boîte d’édition Third Side Publishing, a signé la trame sonore des longs métrages Mafia Inc. et King Dave de PODZ. La chanson-thème du second, Natalie, est aujourd’hui la pièce la plus écoutée du répertoire de Milk & Bone sur les plateformes de diffusion en continu, ayant accumulé près de 11 millions d’écoutes sur Spotify seulement. En lice au Canadian Screen Award en 2017, la chanson joue également dans une scène importante du jeu vidéo Life Is Strange.  

Camille et Laurence ont de surcroît conçu la musique d’un spectacle pour Les 7 doigts ainsi que celle de la télésérie Après, réalisée par Louis Choquette et diffusée sur ICI Télé de Radio-Canada.  

Aux yeux de Milk and Bone, ces multiples formes d’art — aussi différentes soient-elles — forment un tout. Bien que le duo jouisse d’une belle renommée, ayant transporté sa pop électro partout au Canada, aux États-Unis et en Europe, il souligne que la musique à l’image constitue une avenue artistique fort attrayante en faisant rayonner l’art et des chansons par-delà les frontières, tout en constituant une source de revenus pour les artistes. Dans un milieu encore largement dominé par les hommes, Camille et Laurence se positionnent fièrement et voient le fruit de leur labeur reconnu.

« Quel honneur d’avoir reçu la confiance de l’équipe de Skybound Entertainment pour ce projet ! se réjouissent Camille et Laurence. C’est avec fierté que nous le partageons avec vous. »

Pelch lance son nouvel EP : That’s How The Story Goes

PELCH dévoile son nouvel EP intitulé «That’s How The Story Goes». Évoluant constamment, Pelch a composé et enregistré les morceaux de l’EP entre Montréal et Los Angeles. Il s’agit d’une exploration des divers aspects de la vie tels que l’amour, la tromperie et le chagrin, et de la façon dont chacun de nous ressent ces éléments de manière unique. Le ‘EP explore la relation entre nos capacités et les défis auxquels nous sommes confrontés, renouant avec l’existentialisme. Les choix que nous faisons dépendent parfois des émotions qui résident en nous.

En perpétuel mouvement et de manière indépendante et organique, depuis la sortie de son premier EP, il a accumulé plus de 10 millions d’écoutes sur les plateformes et scellé un partenariat avec une maison de disques américaine pour les prochaines sorties. On reconnaît déjà en lui la stature d’une figure internationale et avec plus de 70 concerts en moins de 2 ans, dont certains à guichet fermé, Pelch continue de parcourir la belle province ainsi que le monde, captivant tous ceux qui croisent son chemin.

Soulful et profond, il émane de lui une authenticité et un courage rares. Inspiré par des artistes tels que Lewis Capaldi, Dermot Kennedy et Morgan Wallen, Pelchaborde le métier d’auteur-compositeur avec une maturité peu commune : « Je veux toucher le plus de gens possible », déclare-t-il, mêlant ambition et humilité. Sa voix, un instrument intime, instaure une confiance immédiate chez l’auditeur, un ton unique soutenu par une puissance qui invite chacun à partager cet espace innocent et vulnérable où nous prenons des risques pour l’amour, atteignons des sommets et parfois, subissons des pertes.

SEINE CANADA : FESTIVAL CULTUREL CANADIEN DES JEUX OLYMPIQUES & PARALYMPIQUES DE PARIS 2024

En marge des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Seine Canada s’apprête à créer un Festival dans un lieu d’exception, véritable vitrine de la culture émergente canadienne, célébrant le street art, la gastronomie, la musique et la mode du pays, tout en célébrant l’amitié

franco-canadienne. Au sein du Festival, Seine Canada accordera également une importance particulière aux événements corporatifs sur son site privilégié et offrira une visibilité exceptionnelle aux partenaires associés. Au cœur de Paris, Fluctuart, Centre d’Art Urbain niché dans le 7ème arrondissement deviendra le fief de ce projet ambitieux qui illuminera la ville pendant plus de 40 jours.

UNE CÉLÉBRATION INÉDITE DE LA CULTURE ÉMERGENTE CANADIENNE À PARIS

Seine Canada est une initiative audacieuse indépendante qui prend d’assaut les rives de la Seine, s’immergeant dans l’effervescence des Jeux de Paris. Portant une vision claire, le Festival Seine Canada souhaite célébrer la culture actuelle canadienne, mettant en lumière ses artistes, ses créateurs et ses talents avant gardistes. Seine Canada fusionnera harmonieusement avec l’art et la culture de la France pour créer un projet unique de rassemblement, un symbole de fraternité et de paix.

Le Festival Seine Canada se présente comme un évènement incontournable, non seulement pour célébrer la culture, l’art, et les valeurs canadiennes d’inclusion, de diversité et de respect des minorités, mais aussi pour renforcer les liens solides entre nos deux nations. Seine Canada contribuera à diffuser la culture contemporaine canadienne sur la scène internationale, à promouvoir les Jeux de Paris au Canada tout en mettant en lumière leur héritage francophone.

La programmation artistique occupe une place centrale au sein du Festival Seine Canada, avec pour mission de créer un impact durable. L’objectif premier est de susciter une véritable mobilisation au sein de la société, tout en apportant un solide soutien aux créateurs émergents, designers, artistes de street art, musiciens et chefs. Seine Canada aspire à provoquer un changement authentique, à le cultiver, et à établir une base de diffusion solide pour favoriser le développement de ces domaines artistiques qui incarnent les valeurs fondamentales du projet : innovation, authenticité, transparence, rayonnement, respect, bienveillance, humanité, philanthropie et empathie.

Bien plus qu’un simple Festival culturel, Seine Canada sera une célébration vibrante des valeurs et de l’excellence canadienne dans le cadre d’un des plus grands évènements mondiaux : les Jeux Olympiques et Paralympiques.

Pour l’occasion, Fluctuart, le Centre d’Art Urbain flottant parisien de renom, se transformera en vitrine du projet Seine Canada. Situé à proximité du Pont Alexandre III, des Invalides, du Grand Palais, de la Place de la Concorde et du Champ de Mars, il sera le point de convergence des cultures canadiennes et françaises. Durant toute la durée des Jeux, du 27 juillet au 8 septembre 2024, il accueillera une multitude d’activations artistiques et culturelles quotidiennes, incluant musique, art urbain, mode, gastronomie, et bien plus encore, avec des collaborations exclusives entre artistes canadiens et français.

Outre son rôle culturel, le Festival Seine Canada sera également un lieu de rencontres majeur et offrira une plateforme unique pour mettre en avant le savoir faire entrepreneurial canadien tout en offrant une visibilité aux partenaires institutionnels et privés.

Seine Canada aspire également, en partenariat avec des acteurs clés, à offrir une vaste gamme de services. Cela inclut, entre autres, des programmes de mentorat, des systèmes d’incubation, des opportunités accrues sur le plan professionnel, l’accèsaumarchéinternational,uneassistancedanslarecherche de financement, ainsi qu’un encadrement destiné aux futures générations d’artistes.

FRANCOPHONIE : PARIS – MONTRÉAL – QUÉBEC : UNE AMITIÉ FORTE

Seine Canada sera également le Site Miroir du Parc Olympique de Montréal, où seront diffuses les évènements culturels autour des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Paris est la première ville francophone à accueillir les Jeux Olympiques d’esté depuis Montréal en 1976, l’héritage des Jeux sur le territoire canadien étant toujours palpable.

Plus de 260 000 visiteurs sont attendus au Parc Olympique de Montréal, devenu un espace urbain, culturel et communautaire prisé de la métropole, avec un écran géant diffusant les épreuves des Jeux en direct pour le public outre-Atlantique, ainsi que les évènements culturels qui auront lieu sur le site de Seine Canada à Paris.

Smile! CHAPLIN – PREMIÈRE MONDIALE AU GRAND THÉÂTRE DE QUÉBEC

Un spectacle grand public inspiré de l’œuvre du créateur de génie qu’était Charlie Chaplin, mariant les univers de la musique, le multimédia, l’innovation technologique, les arts du cirque, la danse et la cinématographie du célèbre cinéaste. Le Grand Théâtre de Québec accueillera la compagnie dès le 12 juin 2024 pour cinq représentations sur la scène emblématique de la salle Louis-Fréchette. Une œuvre, une alliance, un spectacle Smile! est un spectacle pour tous les âges, accessible et coloré dont l’histoire nous fera voyager, à l’image de Charlot, constamment entre le rire et les larmes. Smile! prend son assise sur un concept qui repose entièrement sur les valeurs véhiculées par le célèbre vagabond. Ce concept a rapidement obtenu l’approbation des ayants droit que sont les huit enfants de Chaplin, rencontrés en Suisse par les concepteurs. Caroline Perron et Richard Aubé sont les premiers Québécois à détenir officiellement une licence leur permettant d’utiliser l’œuvre cinématographique et musicale complète de Charlie Chaplin. Après avoir plongé dans la cinématographie du réalisateur et présenté leur concept à Vevey en Suisse, Richard Aubé et Caroline Perron, deux concepteurs de la ville de Québec, reviennent dans leur ville natale et fondent MRUA International, une nouvelle compagnie qui se donne comme objectif de placer le mouvement au cœur de leurs créations. Smile! est ainsi la première création de cette nouvelle entité. Composé d’une équipe entièrement québécoise, le spectacle Smile! sera complètement produit par des équipes de Québec. En présentant sa première médiatique au Grand Théâtre de Québec pour ensuite partir en tournée internationale, les concepteurs du spectacle, Caroline Perron et Richard Aubé s’appuient sur le succès de plusieurs compagnies d’ici qui font rayonner les arts vivants du Québec à la grandeur de la planète grâce au savoir-faire de nos artistes.

Smile ! en bref

• Un spectacle de 82 minutes

• 22 minutes d’extraits des grands films de Chaplin

• 60 minutes de musique originale

• 14 artistes sur scène

• 42 costumes

• 120 artisans des arts de la scène à la production du spectacle

• Une production et une tournée carboneutres

À partir du 12 juin 2024, le Grand Théâtre de Québec accueillera cinq représentations de

Smile ! Chaplin. Le spectacle prendra ensuite la route pour une tournée internationale.

Mise en vente des billets : 1er décembre 2023

billetterie@grandtheatre.qc.ca

418 643-8131

Pour plus d’informations, visitez

le site Internet : smile-chaplin.com

Georgette reçoit le Prix du CALQ – Artiste de l’année

Le Conseil des arts et des lettres du Québec, en collaboration avec Culture Centre-du-Québec, est heureux de décerner le Prix du CALQ – Artiste de l’année au Centre-du-Québec à l’auteure-compositrice-interprète Emily Skahan, alias Georgette. Ce prix, assorti d’un montant de 10 000 $, lui a été remis par Véronique Fontaine, directrice de la planification et des programmes au Conseil, à l’occasion de la 19e édition du GalArt, organisé par Culture Centre-du-Québec, au Théâtre Belcourt de Baie-du-Febvre.

« Emily Skahan se démarque dans le milieu musical québécois avec son projet Georgette, pour lequel elle adopte une position résolument féministe et crée des œuvres de grande qualité. Dès son arrivée au Centre-du-Québec en 2020, elle s’est rapidement enracinée et en contribuant à la vitalité du milieu, notamment avec la mise sur pied du camp Potera, résidence d’écriture en musique ouvert aux femmes et aux personnes non-binaires », ont mentionné les membres du jury réunis par le Conseil. 

À propos de Georgette 
Georgette est le projet solo de l’auteure-compositrice-interprète Emily Skahan, qu’elle a révélé au public en 2019 avec une première chanson intitulée SUGAR SUGAR, suivie d’un premier EP intitulé Funny Girl. Plus récemment, elle a écrit et interprété la chanson I’m the Worst aux côtés de Pierre-Philippe Côté pour la trame sonore de Not Okay (Searchlight / Hulu), le deuxième long métrage de Quinn Shephard. 

Originaire de Montréal, Emily Skahan habite maintenant dans le Centre-du-Québec, où elle écrit et crée de manière constante pour son projet. Dans les moments de calme, elle agit à titre d’auteure-compositrice en résidence pour le Studio Le Nid, fondé par Pierre-Philippe Côté (alias Pilou). Avant qu’elle ne commence son projet solo, elle a été membre fondatrice du groupe indie-pop-rock Motel Raphaël et a prêté sa voix à deux albums du groupe folk The Fall Line. Avec Motel Raphaël, elle a pris part à deux tournées canadiennes et une tournée américaine. Elle a joué sur les scènes de plusieurs festivals internationaux de renom tels que Osheaga, Le Festival de Jazz de Montréal et SXSW.

Pour découvrir le travail d’Emily Skahan, une capsule vidéo est disponible sur La Fabrique culturelle, la plateforme culturelle numérique de Télé-Québec.
 

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La première québécoise de ᑕᐅᑐᒃᑕᕗᒃ Tautuktavuk (Sous nos yeux) un film primé de Lucy Tulugarjuk et Carol Kunnuk – le lundi 11 décembre 2023 à 19h

Isuma ProductionsIsuma Distribution International et Kingulliit Productions,en collaboration avec Cinema Politica, ont le plaisir d’annoncer que le long métrage dramatique primé TAUTUKTAVUK (SOUS NOS YEUX), coréalisé par Lucy Tulugarjuk (Tia and PiujuqOne Day in the Life of Noah PiugattukAtanarjuat : The Fast Runner) et Carol Kunnuk (Welcome to my QammaqBeing PreparedAttagatuluk), sera présenté en première québécoise comme film de clôture de la saison d’automne de Cinema Politica Concordia le lundi 11 décembre 2023 à 19h à l’Université Concordia (salle H-110).

La première québécoise sera suivie d’une séance de questions et réponses et d’une conversation avec Lucy Tulugarjuk et la documentariste Alanis Obomsawin (Incident at Restigouche, Kanehsatake : 270 Years of ResistanceOur People Will Be Healed). La table ronde sera animée par l’artiste multidisciplinaire, cinéaste et conservateur d’art Asinnajaq (UpinnaqusittikThree Thousand). Tous les détails sont disponibles ici.

TAUTUKTAVUK (SOUS NOS YEUX) a été présenté en première mondiale au Festival international du film de Toronto (TIFF) en septembre 2023, où il a remporté le prix Amplify Voices BIPOC & Canadian First Feature Award, ainsi que le Sun Jury Award au 2023 ImagineNATIVE Film Festival.

Après sa première québécoise au Cinema Politica, TAUTUKTAVUK (SOUS NOS YEUX) sortira en salle à Montréal le 12 janvier 2024, avec des projections du film sous-titré en français et en anglais au Cinéma Moderne.Ce film inuit contemplatif, à la fois provocateur et subtilement intersectionnel, explore les points de convergence entre les mesures pandémiques, la violence domestique, la famille et les traumatismes intergénérationnels. Brouillant la frontière entre fiction et non-fiction, après un événement traumatisant, Uyarak et sa sœur aînée Saqpinak entreprennent un difficile voyage de guérison qui leur rappelle l’importance de la communauté, de la culture et de la famille. TAUTUKTAVUK (SOUS NOS YEUX) explore les questions de violence domestique et de toxicomanie du point de vue de deux femmes inuites.
« C’était l’occasion pour nous de créer quelque chose qui montrait la vie des femmes inuites comme on ne l’avait jamais fait auparavant. Nos mères n’avaient pas la possibilité de s’exprimer comme nous l’avons aujourd’hui. Nous prenons toutes deux très au sérieux le fait que nous sommes des messagères de nos familles et de nos communautés, que c’est nous qui avons les outils pour réaliser des films de femmes parlant de leurs expériences – des outils pour faire évoluer certaines des terribles injustices dont nous sommes victimes. » — Lucy Tulugarjuk
« Je vois ce film comme un événement qui se déroule au présent, dans la vie des Inuits de deux communautés – moi à Igloolik et Lucy à Montréal. La Covid-19 a été très dure et a eu un impact sur beaucoup d’Inuits. Je suis très enthousiaste à propos de ce nouveau film et de l’opportunité de raconter une histoire sur notre réalité contemporaine avec des personnages féminins forts dans le rôle principal. C’est ce qui m’inspire, de mettre en avant le point de vue des femmes, y compris la violence de genre et les femmes indigènes disparues et assassinées. » — Carol Kunnuk