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SAVIEZ-VOUS QUE VOUS POUVEZ RECYCLER VOS MASQUES?ET EN PLUS POUR UNE BONNE CAUSE?

Des milliards de masques sont fabriqués chaque année. Savoir en disposer de façon responsable est une priorité pour l’environnement. En participant à notre programme de recyclage de masques, vous aiderez à redonner à notre planète et en plus, vous répondrez à un besoin exprimé par vos clients et employés.

On estime que 63 000 tonnes d’Équipement de Protection Individuelle (EPI) jetables ont été importées au Canada durant la pandémie. Selon l’Organisation des Nations Unies, «on pourrait s’attendre à ce qu’environ 75 % des masques utilisés, ainsi que d’autres déchets liés à la pandémie se retrouvent dans des décharges ou flottent dans les mers».

Mais heureusement, donner une deuxième vie à vos masques usés est possible!

Nous vous présentons un programme de recyclage de masques. Nous vous offrons un programme CLÉS EN MAIN.  Vos masques usés seront transformés en pastilles de plastique recyclées qui seront ensuite utilisées pour créer du textile non tissé pour les masques. Ces articles peuvent être recyclés à la fin de leur vie, formant ainsi un cycle de vie circulaire. Une façon accessible de contribuer au respect de la planète ainsi qu’à son développement durable.

Comment ça fonctionne?

Vous n’avez qu’à commander votre boîte de recyclage, puis nous vous offrons un service complet, allant de la livraison de la boîte, à la récupération et au recyclage des masques. Vous aurez également  une certification de récupération ainsi qu’un bilan annuel des résultats obtenus.

Une solution simple pour disposer de vos masques de façon responsable.

Combattre les infections intestinales contribue à prévenir la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse

Une équipe de recherche de l’Institut de Cardiologie de Montréal (ICM) a démontré que des gènes présents dans certaines cellules intestinales protègent contre le développement des maladies inflammatoires de l’intestin (MII). Publiés aujourd’hui dans le journal scientifique Genome Medicine, les résultats de l’étude démontrent que plus d’une douzaine de ces gènes, qui contribuent au développement de la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, aident à lutter contre les infections virales et bactériennes.

Connues sous le nom de maladies inflammatoires de l’intestin, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse se caractérisent par une inflammation du tube digestif. En effectuant un criblage de 145 gènes associés au risque de MII dans des cellules humaines du système digestif, appelées cellules épithéliales intestinales, l’équipe de recherche a révélé que bon nombre de ces gènes sont importants pour aider les cellules épithéliales à détecter les bactéries ou les virus et à mettre en place la réponse défensive appropriée pour contrôler de telles infections. Ainsi, les chercheurs ont identifié des gènes qui, lorsque perturbés par des variantes génétiques, rendent les individus plus susceptibles de développer l’inflammation chronique de l’intestin, caractéristique des MII.

« La plupart des thérapies médicales actuelles utilisées pour traiter la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse ciblent les fonctions des cellules du système immunitaire. », souligne Dr John D. Rioux, chercheur à l’ICM, professeur titulaire de médecine à l’Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en génétique et médecine génomique de l’inflammation. « Cette étude démontre l’importance de développer des approches thérapeutiques visant à renforcer les fonctions protectrices du système digestif pour le plus grand avantage des patients atteints de maladies inflammatoires intestinales. »

Les maladies inflammatoires de l’intestin

Au Canada, plus de 270 000 personnes souffrent d’une MII et l’on dénombre près de 10 000 nouveaux cas par année, entrainant des coûts économiques annuels de 2,6 milliards de dollars. Les MII sont caractérisées par le fait que leur propre système immunitaire du corps attaque des parties du tube digestif. Les causes exactes de ces maladies restent encore inconnues et il n’existe actuellement aucun traitement pour les vaincre. 

Des études génétiques antérieures avaient déjà identifié certaines différences dans le code génétique humain associées au développement des MII, mais aucun gène responsable n’avait été trouvé. « Le défi était de savoir comment utiliser ces informations génétiques pour mieux comprendre les voies biologiques qui mènent aux MII. », a déclaré Jessy Carol Ntunzwenimana, doctorant du laboratoire Rioux et co-auteur principal de l’étude. L’équipe de recherche a donc développé une nouvelle approche afin de déchiffrer quels gènes sont susceptibles d’être impliqués dans les MII et de révéler leurs fonctions biologiques.

« Les résultats de cette étude fournissent une pièce importante du casse-tête pour comprendre comment les interactions du corps avec la flore intestinale peuvent prédisposer une personne à développer une MII. », a déclaré Kate Lee, vice-présidente, recherche et programme patients de Crohn et Colite Canada. « C’est un excellent exemple de la façon dont la recherche génomique peut faire progresser notre compréhension de la santé et de la maladie, avec un impact potentiel sur les patients qui seront traités à l’avenir. », a déclaré Stéphanie Lord-Fontaine, vice-présidente, Affaires scientifiques de Génome Québec. 

Les données complètes de l’étude peuvent être consultées au : https://doi.org/10.1186/s13073-021-00996-7

L’étude a été rendue possible grâce au soutien financier de Génome Québec, de Génome Canada, du gouvernement du Canada, du ministère de l’Enseignement supérieur, des Instituts de recherche en santé du Canada (avec des contributions de l’Institut des maladies infectieuses et immunitaires, de l’Institut de génétique et de l’Institut de la nutrition, du métabolisme et du diabète), de Genome BC et de Crohn et Colite Canada. Ce travail a également été soutenu par une subvention des National Institutes of Diabetes, Digestive and Kidney Diseases, Calcul Québec, Calcul Canada et la Fondation canadienne pour l’innovation.

À propos de l’Institut de Cardiologie de Montréal (ICM)

Fondé en 1954, l’Institut de Cardiologie de Montréal vise constamment les plus hauts standards d’excellence dans le domaine cardiovasculaire par son leadership en recherche clinique et fondamentale, en soins ultraspécialisés, en formation des professionnels et en prévention. Il abrite le plus grand centre de recherche en cardiologie, le plus grand centre de prévention cardiovasculaire ainsi que le plus grand centre de génétique cardiovasculaire au Canada. L’ICM est affilié à l’Université de Montréal et compte plus de 2 000 employés, dont 245 médecins et plus de 85 chercheurs. www.icm-mhi.org

À propos de Crohn et Colite Canada

Crohn et Colite Canada s’efforce sans relâche de trouver des remèdes à la maladie de Crohn et à la colite ulcéreuse, et d’améliorer la vie tant des enfants que des adultes touchés par ces maladies chroniques. Nous sommes le plus important organisme composé de bénévoles du pays à nous acquitter de cette mission et nous sommes l’un des deux principaux donateurs caritatifs au monde dans le domaine de la santé à financer la recherche sur la maladie de Crohn et la colite. Nous avons investi plus de 135 millions de dollars dans la recherche à ce jour. Nous repoussons les limites pour les personnes touchées par la maladie de Crohn et la colite grâce à la recherche, à des programmes à l’intention des patients, à la défense des droits des patients et à la sensibilisation aux MII. Pour obtenir plus de détails, consultez crohnetcolite.ca et suivez-nous @ayezducran sur TwitterFacebook et Instagram.

Donnez bonheur et chaleur

Depuis 3 ans, Chlorophylle récolte des manteaux de seconde main dans le cadre de son événement Don de manteau. En 2020, ce sont près de 350 manteaux qui ont été remis à des organismes communautaires locaux et cette année, si la tendance se maintient, nous dépasserons le cap des 1000 manteaux remis à des personnes dans le besoin.

À travers la province, ce sont douze organismes communautaires qui se recevront les manteaux pour les remettre à leur communauté. Vous trouverez la liste de ces derniers à la fin du communiqué.

Une collecte au cœur de l’automne
Ainsi, du 5 novembre au 19 décembre 2021, nous invitons les consommateurs à prendre part à l’événement en apportant dans une boutique Chlorophylle leur ancien manteau, peu importe la marque, en échange d’un rabais de 75 $ sur un nouveau. En plus du don de vêtements, nous inviterons également cette fois la clientèle à offrir un don en argent à la caisse ou en ligne. Un chèque sera remis aux organismes participants en plus des manteaux. 

Une initiative qui inspire
Grâce à cet événement, notre compagnie souligne l’importance d’aider les gens dans le besoin tout en encourageant la réutilisation de vêtements usés. « Les intervenants des différents organismes sont toujours enthousiastes de voir que l’événement revient d’une année à l’autre et c’est un plaisir partagé par toute notre équipe », explique l’instigatrice de l’événement et directrice du marketing Claudie Laroche. 

De vibrants témoignages 
Au cours des prochaines semaines, vous verrez circuler deux montages vidéo dont le tournage a été réalisé à la Maison d’accueil pour sans-abri de Chicoutimi. Michel St-Gelais, directeur de l’établissement nous explique l’importance de ces dons sur sa communauté tandis que Maxime Bouchard, qui a trouvé du soutien auprès des intervenants de l’organisme nous partage sa touchante histoire.
 
Pour les visionner, c’est par ici… 
Michel St-Gelais: 
https://youtu.be/N_SoII4gl4Q (V.F.)
https://www.youtube.com/watch?v=ZLhxVQtYDs0 (V.A.)

Maxime Bouchard:
https://youtu.be/1Vi9CAdtK-0 (V.F.)
https://youtu.be/3BFC8yqNX6M (V.A.)

Une belle collaboration
Qui plus est, l’artiste Sara Dufoura également tenu à faire sa part, elle qui a rapporté le manteau de sa mère décédée il y a quelques mois à la boutique de Chicoutimi.

Vous la verrez en action dans cette vidéo pour laquelle elle n’a reçu aucun cachet : https://youtu.be/sNcDYPlXGrk .
Pour plus de détails concernant l’événement, n’hésitez pas à visiter notre page : www.chlorophylle.com/dondemanteau
Réduire l’impact environnemental
Depuis 40 ans, Chlorophylle se positionne comme l’allié des québécois pour leurs activités de plein air et de nature. Dans ce contexte pandémique, bien bouger, pour la santé physique et mentale, se trouve au cœur de nos motivations. Qui plus est, cet événement s’inscrit dans notre mouvement de réduction de l’impact environnemental. Chaque vêtement réutilisé réduit la consommation de textile et l’utilisation d’eau potable (utilisée dans la coloration du tissu), mais qui plus est permet ainsi d’aider une personne dans le besoin.

La Fondation de la Fédération des médecins spécialistes du Québec dévoile des mesures pour soutenir davantage les proches aidants

Dans le cadre de la Semaine nationale des personnes proches aidantes qui se tiendra du 7 au 13 novembre, la Fondation de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FFMSQ) réitère son engagement à améliorer de manière concrète la vie des proches aidants. Elle annonce que le soutien financier aux organismes leur venant en aide a été doublé en 2021 pour faire face à la pandémie alors qu’en 2022 des outils facilitant la collaboration des proches aidants, des médecins spécialistes et des patients seront créés.

« Les médecins spécialistes du Québec souhaitent s’engager davantage socialement et contribuer au bon fonctionnement du réseau. Nous souhaitons non seulement offrir plus de répit aux proches aidants, mais également collaborer et partager nos expertises respectives », a souligné le docteur Vincent Oliva, président du conseil d’administration de la Fondation de la FMSQ.

La Fondation de la FMSQ œuvre depuis le début de l’année à la mise en place de trois mesures importantes pour mieux soutenir les proches aidants. Ces mesures s’inscrivent dans la lignée du Plan d’action gouvernemental en proche aidance, dévoilé la semaine dernière. 

Renforcer le trio patient, aidant, médecin

La FMSQ offrira à ses membres une formation développée en partenariat avec les organismes l’Appui pour les proches aidantsProche aidance Québec et le Centre d’excellence sur le partenariat avec les patients et le public afin d’outiller les médecins spécialistes à mieux interagir avec ces alliés importants du système de santé. 

« La FMSQ souhaite renforcer la collaboration avec les proches aidants et l’expertise des organismes les représentant, ainsi que les patients afin de permettre aux médecins spécialistes d’identifier les enjeux vécus par les proches aidants pour ensuite mieux y répondre et ainsi maximiser les relations du trio patient, aidant, médecin », a renforcé le Dr Oliva.

Démystifier le réseau et la médecine pour les proches aidants 

Les médecins spécialistes développeront des capsules d’information destinées aux proches aidants pour démystifier certaines conditions médicales et le réseau de la santé et ainsi faciliter les communications avec les médecins et les professionnels de la santé. 

« Les proches aidants jouent un rôle fondamental dans la réussite d’un traitement médical et le bien-être d’un patient. Pour faciliter leur apprentissage, les médecins spécialistes souhaitent offrir des outils leur permettant de mieux comprendre les maladies de leur proche, la médecine spécialisée et le fonctionnement du réseau de la santé », a mentionné le Dr Oliva. 

Bonifier le soutien financier en pandémie

Ces initiatives sont complémentaires aux activités de financement de projets de répit que mène la Fondation depuis près de 10 ans. La pandémie a affecté les organismes bénéficiaires et par conséquent les proches aidants. Pour remédier à cette situation, la Fondation de la FMSQ a octroyé une somme record de 2 millions $ à 41 organismes pour la réalisation de 45 projets de répit dans 12 régions en 2021.

« Les médecins reconnaissent que la pandémie a pu engendrer une demande de support accrue aux proches aidants, alors que plusieurs services dans le réseau ont été au ralenti. Nous avons doublé le financement annuel octroyé aux organismes leur venant en aide pour 2021 afin de permettre à ces alliés du réseau de recharger leurs énergies en ces temps difficiles », a ajouté le Dr Oliva. 

Faits saillants

  • Au Québec, environ une personne de 15 ans et plus sur cinq (21,1 %) est un proche aidant
  • 30,6% des proches aidants sont âgés de 45 à 64 ans
  • Près la moitié des proches aidants consacre une à trois heures par semaine au soutien de la personne aidée (45 %), tandis qu’environ 17 % y allouaient 20 heures ou plus
  • 57,5% des proches aidants sont des femmes

À propos de la Fondation de la Fédération des médecins spécialistes du Québec 

La Fondation de la Fédération des médecins spécialistes du Québec a été créée en 2012. En soutenant financièrement divers projets de répit, elle améliore de façon très concrète la vie des personnes proches aidantes au Québec. Ces gens s’investissent entièrement pour soutenir un proche souffrant d’une incapacité liée à une maladie permanente ou dégénérative, ou à un handicap

Campagne de financement annuelle des Ateliers Speech

C’est aujourd’hui qu’est lancée la campagne de financement annuelle des Ateliers Speech, 30 jours pour 30 jeunes, qui se tiendra jusqu’au 30 novembre sur les réseaux sociaux. Speech soutient les jeunes avec un parcours scolaire particulier à travers la création musicale, en misant sur leur potentiel artistique et créatif. Depuis ses débuts en 2015, Speech a aidé plus de 200 jeunes, tant dans leur cheminement scolaire que musical, et parmi lesquels on retrouve plusieurs artistes émergents du Québec.« Marianne venait me retirer quelques heures pour composer de la musique j’avais de la difficulté à me concentrer à l’école. Si ce n’était pas d’elle, je n’aurais jamais su comment écrire de la musique et encore moins être intéressé à en faire. », mentionne l’artiste Skiifall, figure montante sur la scène hip-hop internationale, qui a bénéficié du soutien des Ateliers Speech lorsqu’il fréquentait l’école secondaire Saint-Luc à Montréal.

Pour la troisième année consécutive, le mois de novembre se veut un mois de partage, de rayonnement et de financement pour assurer la pérennité des activités de Speech et ainsi permettre aux jeunes de bénéficier des ateliers de création musicale mis en place par l’organisme. Cette année, l’objectif de la campagne est d’amasser 25 000 $ en 30 jours afin de soutenir 30 jeunes dans leur programme de réussite éducative.

#30jourspour30jeunes

Boire le Québec. Rose Simard propose 60 cocktails inédits pour vous faire découvrir les spiritueux d’ici!

KO Éditions est fière d’annoncer la parution de Boire le Québec, le deuxième livre de la fondatrice de 1 ou 2 cocktails, Rose Simard.

Reconnaissante du succès qu’a connu son premier livre L’Apéro au Québec – vendu à plus de 11 000 exemplaires – Rose poursuit, dans ce nouvel ouvrage, sa mission de promouvoir les spiritueux d’ici.

Les alcools locaux font de plus en plus partie de nos apéros et de nos célébrations. Plus que jamais, on a le goût de découvrir ce qui se distille et se produit chez nous, sans compter qu’il existe désormais une option locale pour presque tous les alcools connus dans le monde, et on choisit souvent la bouteille québécoise, sans même y réfléchir.

Dans Boire le Québec, l’autrice fait le pont entre les distilleries et les consommateurs et présente 60 cocktails inédits pour tirer le meilleur des spiritueux d’ici : de la vodka au whisky, en passant par le gin, les liqueurs et les alcools de pomme et de raisin. Au fil des pages, elle répond à toutes nos questions quant à leur élaboration et à la façon de les consommer. Parce que plus on en sait sur ce que l’on verse dans nos verres, et plus on est fier de boire le Québec. Elle nous offre également plusieurs trucs et astuces pour réussir ses cocktails à la maison comme un pro.

Concours 100 ans de recherche : 2 chercheurs reçoivent 500 000$ et s’attaquent au cancer du sein métastatique 

La Société de recherche sur le cancer (la Société) et la Fondation cancer du sein du Québec (la Fondation) ont lancé conjointement le concours « 100 ans de recherche » à l’automne 2020 et annoncent aujourd’hui les deux (2) chercheurs qui recevront 500 000$ chacun pour leurs projets de recherche sur le cancer du sein métastatique. 

Le cancer métastatique est considéré comme incurable et la majorité des personnes vivant avec ce diagnostic sont sous traitement continu pour limiter la progression de la maladie et atténuer les effets secondaires. D’où l’importance de maximiser les efforts en recherche et en soutien pour développer les traitements les plus novateurs qui soient. 

Dr Mark Basik compte examiner les cellules qui entourent la tumeur lorsqu’elle se propage à l’extérieur du sein (vers le foie, les poumons, la peau ou le cerveau) puisque dans ces cas, les cellules forment un environnement autour de la tumeur qui la protège contre les traitements et les rend inefficaces. 

C’est grâce à une nouvelle technologie que le Dr Basik examinera séparément les cellules entourant et soutenant la tumeur ainsi que les cellules de la tumeur afin de mieux comprendre leur fonctionnement. 

« Sans des subventions comme celle-ci, nous ne serions pas en mesure de poursuivre et de mener des recherches de pointe susceptibles d’améliorer la survie de ces femmes. Avec votre aide, nous espérons pouvoir diminuer l’impact du cancer du sein sur leur vie et celle de leur famille. » – Dr Mark Basik, récipiendaire 

Dr Morag Park, appuyée par Anne-Marie Fortier, Geneviève Deblois et Francis Rodier, se concentre pour sa part sur les cellules du cancer du sein triple négatif (CSTN), le type le plus agressif, plus précisément sur les tumeurs résiduelles qui développent une résistance à la chimiothérapie néo adjuvante (CNA) et augmentent les risques de métastases. 

Concrètement, cette équipe de chercheurs cherche à mieux comprendre la transition qu’effectuent les cellules qui les rendent résistantes aux traitements afin de mieux prévenir et contrer cette résistance. Cette proposition de type « double-coup » permettra aux chercheurs d’utiliser des médicaments approuvés et émergents, appelés thérapies anti-sénescence et épigénétiques, pour cibler les vulnérabilités créées par les traitements existants de CNA dans les cellules tumorales résiduelles du cancer du sein triple négatif.

« Notre équipe est constituée de chercheurs ayant des expertises complémentaires afin de relever ce défi de taille. Sans cette subvention, nous n’aurions pas pu réunir cette équipe, il s’agit d’une opportunité unique! Merci à tous les donateurs de croire au pouvoir de la recherche sur le cancer » – Dr Park

Les projets de recherches choisis ont fait l’objet d’un processus d’évaluation et de sélection rigoureux ; nous comptons sur l’évaluation par les pairs, une méthode reconnue et éprouvée pour assurer la qualité et l’excellence en recherche scientifique. Ainsi, un comité constitué de 10 chercheurs et de cliniciens ont généreusement donné de leur temps afin d’attribuer les subventions aux projets les plus prometteurs.

« La Société de recherche sur le cancer est très fière de joindre ses efforts avec la Fondation cancer du sein du Québec afin de financer ces deux projets qui auront des retombées positives pour les patientes et les patients atteints du cancer du sein, mais également au niveau de l’avancement de la recherche. » 
– Dajan
O’Donnell, directeur, affaires et partenariats scientifiques à la Société de recherche sur le cancer
« Les personnes vivant avec un cancer du sein métastatique font face à des défis incroyables en raison du caractère incurable de leur maladie, mais la Fondation cancer du sein du Québec est fière de collaborer avec la Société de recherche sur le cancer pour développer des traitements ciblés et novateurs et ainsi améliorer le pronostic de cette communauté » 
– Fanny Guimont-Desrochers, directrice des investissements et de la promotion de la santé à la Fondation cancer du sein du Québec

Il est possible de lire le profil complet des chercheurs sélectionnés en ligne sur le site de la Société; recherchecancer.ca

Campagne de parrainage de Perspectives Jeunesse : 2e édition

Perspectives Jeunesse lance aujourd’hui la 2e édition de sa campagne de parrainage afin d’offrir un accompagnement individuel et personnalisé à plus de 400 jeunes durant l’année scolaire 2021-2022. La mission de Perspectives Jeunesse est de soutenir les jeunes vivant des difficultés tant personnelles, familiales, scolaires que sociales afin de favoriser la prévention du décrochage scolaire et social, la réinsertion scolaire et l’insertion socioprofessionnelle. Perspectives Jeunesse, c’est aussi un organisme qui soutient, écoute et informe les parents en tant qu’acteurs essentiels dans la lutte au décrochage scolaire.

Une augmentation significative des besoins

« L’organisme a connu une très forte croissance au cours de la dernière année. En effet, notre programme Option en prévention du décrochage scolaire a été implanté dans cinq nouvelles écoles secondaires pour un total de 11 écoles partenaires, nous avons créé un poste d’intervention dédié à la prévention de l’anxiété et nous avons entamé le déploiement d’un second point de services de notre programme Plan C en soutien au retour à l’école à Rivière-des-Prairies. Nous étions 10 employé.e.s en septembre 2020 et nous sommes actuellement 21. Notre capacité d’accompagnement personnalisé de l’année scolaire 2021-2022 est de plus de 400 jeunes comparativement à 245 en septembre 2020.

Nous sommes fiers d’avoir pu répondre aux besoins du milieu et nous savons que de nombreux jeunes ont également besoin d’un accompagnement individuel pour persévérer et atteindre leurs objectifs scolaires et personnels. Nous sommes pleinement conscients que les besoins de soutien en persévérance sociale et scolaire vont augmenter au cours des prochaines années et nous sommes convaincus que l’augmentation de nos capacités d’intervention dans l’Est de l’Île de Montréal constitue une solution durable pour répondre aux besoins des jeunes en difficulté. C’est pourquoi nous sommes des plus motivés à poursuivre le développement de Perspectives Jeunesse. Encore cette année, nous faisons appel à la société civile pour qu’elle nous aide à accompagner les jeunes dans leur démarche de persévérance scolaire », affirme Louis-Philippe Sarrazin, directeur général de Perspectives Jeunesse.

Parrainez un jeune !

Dès aujourd’hui, parrainez un.e jeune à risque de décrochage avec une contribution de 100 $. Permettez-lui de recevoir un accompagnement individuel personnalisé avec l’un.e de nos intervenant.es.

Parrainer un.e jeune, c’est soutenir Perspectives Jeunesse dans la poursuite de ses activités de prévention du décrochage scolaire et en soutien au retour à l’école, mais c’est surtout démontrer aux jeunes en difficulté que VOUS croyez en eux!

À propos de Perspectives Jeunesse

Perspectives Jeunesse c’est 15 ans d’expertise en persévérance sociale et scolaire, 2 programmes structurant qui favorisent le pouvoir d’agir et l’utilisation des ressources du milieu, plus de 2 150 jeunes accompagnés individuellement.

Pour plus informations, visitez le site https://perspectivesjeunesse.org

Lien vers notre campagne de parrainage : https://perspectivesjeunesse.org/je-parraine-un-jeune/

L’ORCHESTRE DE L’AGORA DÉBUTE UN PARTENARIAT AVEC LA PRISON DE BORDEAUX

L’Orchestre de l’Agora (OA) débute un partenariat avec le centre de détention de Montréal (prison de Bordeaux) et y présentera 11 concerts-ateliers lors de la saison 2021-2022. La prison de Bordeaux est la plus importante prison provinciale du Québec (capacité maximale de 1 357 prévenus/détenus) et accueille des prisonniers masculins condamnés à des peines de moins de deux ans d’emprisonnement et des prévenus en attente de procès. L’objectif des concerts-ateliers de l’OA (un par mois jusqu’en juillet 2022) est d’utiliser la musique comme outil de réhabilitation sociale – un concept en symbiose avec la mission de l’Orchestre de l’Agora, qui consiste à réinventer le rôle des musiciens classiques dans la communauté en misant sur leur talent et leur engagement.

Des ensembles formés de deux à quatre musiciens de l’OA ont élaboré avec le chef et directeur artistique Nicolas Ellis des programmes d’une soixantaine de minutes qu’ils présenteront et expliqueront aux détenus. Ces concerts-ateliers, qui auront lieu à la chapelle de la prison, favoriseront la réflexion, les discussions et les échanges. Jusqu’ici, l’Orchestre a présenté deux concerts-ateliers à Bordeaux en juin et septembre 2021 : le résultat a été concluant et touchant. Il est reconnu que la musique classique a des bienfaits sur la santé mentale et favorise la paix sociale, d’où l’intérêt de mettre ces bienfaits à profit en milieu carcéral.

L’origine du projet

Une rencontre entre Nicolas Ellis et Stéphane Roy (aumônier à l’établissement de détention de Montréal) a d’abord mené l’équipe de l’Orchestre à visiter la prison de Bordeaux. De la cellule d’un détenu à la chapelle en passant par le gymnase, où l’équipe a notamment pu discuter avec les détenus, cette première visite à la prison a confirmé la pertinence de mettre sur pied un projet de concerts-ateliers à Bordeaux. L’Orchestre a alors présenté un premier concert-atelier le 16 juin dernier. Cette présentation a eu lieu devant une quinzaine de détenus, qui ont fait preuve d’une écoute attentive et d’une ouverture à cette forme d’art, qui était nouvelle pour nombre d’entre eux. Suite à cette expérience qui s’est caractérisée par des échanges francs et simples, tous les musiciens de l’Orchestre de l’Agora ont souhaité participer au projet.

Un moment d’échanges

La régularité des concerts-ateliers permettra d’avoir un impact plus grand auprès des détenus, mais aussi d’en faire profiter le plus grand nombre. La musique classique apaise les tensions en réduisant le stress et favorise le calme et l’introspection; les concerts-ateliers auront entre autres une influence positive sur l’atmosphère au sein de la prison. La musique sera utilisée comme un outil de réhabilitation sociale permettant le développement de l’ouverture aux autres, de l’écoute, puis du partage du ressenti et des émotions. La musique est l’un des meilleurs outils pour créer des ponts, une forme de langage universel qui transcende les barrières sociales. Comme le disait Hans Christian Andersen, « où les mots manquent, la musique parle ». Ultimement, l’objectif des concerts-ateliers est de contribuer à diminuer le taux de récidive pour ceux qui sortiront par la suite des murs de Bordeaux.

Une pause dans le quotidien

Dans la dernière année, tous ont pu avoir un aperçu de l’impact d’un état de confinement sur le plan aussi bien physique que mental. Les répercussions de la pandémie dans les prisons ont été d’autant plus fortes que les visites ont souvent été très limitées. L’introduction des concerts-ateliers permet aux détenus de vivre et de partager avec leurs proches, lors des visites, une expérience qui sort du quotidien de la prison et qui se rapproche de ce que peut vivre la population en liberté. Ces heures consacrées à la musique sauront inspirer les détenus à vouloir faire mieux pour la suite de leur parcours; il s’agit là d’un fort vecteur de réhabilitation. L’Orchestre de l’Agora et le directeur artistique Nicolas Ellis sont très enthousiastes à l’idée de développer ce projet social qui a beaucoup de potentiel, en collaboration avec l’établissement de détention de Montréal et M. Stéphane Roy, aumônier.

TABLE RONDE SUR LES PENSIONNATS AUTOCHTONES : POUR ENTENDRE, CONTINUER D’APPRENDRE ET NE JAMAIS OUBLIER

En juillet dernier, le Musée de la civilisation exprimait toute sa solidarité envers les communautés autochtones dans la foulée des graves découvertes entourant les pensionnats autochtones. Profondément touché, le Musée a posé des gestes symboliques visant à démontrer l’importance de dénoncer ces injustices et de continuer à nous éduquer en tant que société sur la réalité et l’histoire de ces communautés, dans un esprit de réparation.

Depuis ce temps, le personnel d’accueil du Musée porte un ruban orange en signe de solidarité. Des informations sur la symbolique de cette couleur et de ces gestes sont diffusées sur les écrans dans le Hall du Musée afin que tous les visiteurs y soient sensibilisés. Également, un éclairage orangé a été appliqué aux éléments de l’exposition C’est notre histoire liés aux pensionnats, dont le caractère obscur et litigieux était par ailleurs déjà évoqué. En continuité de ceci, une adaptation de la visite guidée a été effectuée. Enfin, le campanile du Musée a été illuminé de la couleur orange et le sera jusqu’au 30 septembre, Journée du Chandail orange.

Pour marquer cette importante journée et poursuivre dans sa volonté de fournir un espace d’échanges, d’éducation et de mémoire, le Musée de la civilisation organisera donc, le 30 septembre prochain, une table ronde sur les pensionnats autochtones et la réconciliation. Cette table ronde, animée par Bernard Hervieux (journaliste et producteur innu, maison de production Tshinanu inc.) et présentée en direct sur le web, réunira des personnes issues des communautés des Premières Nations et du milieu universitaire pour discuter de la réalité coloniale canadienne et québécoise. Survivants des pensionnats et enfants d’anciens pensionnaires pourront raconter leur histoire et exprimer leurs points de vue sur les enjeux passés et actuels du colonialisme et de la réconciliation.

Diffusion le 30 septembre 2021 à 19h : https://webdiffusion.mcq.org/episode/table-ronde-pensionnats-autochtones

Invités :

Jimmy Papatie, directeur des ressources naturelles, communauté anicinabe de Kitcisakik, survivant du pensionnat;

Thérèse Niquay, directrice des services et projets communautaires, communauté atikamekw de Manawan, survivante du pensionnat;

Maïtée Labrecque-Saganash, militante et chroniqueuse de la communauté de Waswanipi en Eeyou Istchee;

Marie-Pierre Bousquet, professeure en anthropologie et directrice du programme en études autochtones à l’Université de Montréal.

Citations :

« Les jours passent, mais ils n’effacent pas l’horreur ni la douleur, associés à ces terribles faits. Pour le Musée de la civilisation, maison du monde et gardien de la mémoire collective, il est plus qu’important de maintenir un espace d’échanges où nous pouvons continuer d’apprendre, continuer de nous éduquer, mais surtout, nous rappeler des événements qui ont marqué, et marquent encore, la vie des peuples autochtones. C’est un devoir de mémoire, c’est une main tendue et c’est une invitation à continuer d’apprendre et reconnaître toute l’importance que ces communautés représentent dans notre histoire, passée et contemporaine. »

Stéphan La Roche, président-directeur général, Musée de la civilisation

Information additionnelle au sujet de l’exposition C’est notre histoire

Lors de la création de l’exposition C’est notre histoire, le Musée de la civilisation et La Boîte Rouge vif, organisme dédié à la mise en valeur des cultures autochtones, sont allés à la rencontre des Premières Nations et des Inuit. Dix-huit communautés, souvent distantes de centaines de kilomètres, ont participé et quelque 800 personnes se sont exprimées. L’objectif était bien sûr de donner la parole aux Autochtones à travers cette exposition. Son contenu est régulièrement mis à jour afin de représenter leurs réalités de la façon la plus juste possible.