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Les résultats de l’étude COLCORONA publiés dans The Lancet Respiratory Medicine

La colchicine pourrait être envisagée comme traitement chez les patients non-hospitalisés avec un diagnostic confirmé de COVID-19 par test PCR et à risque de complications

L’Institut de Cardiologie de Montréal (ICM) annonce que les résultats de l’étude COLCORONA sont publiés aujourd’hui dans The Lancet Respiratory Medicine. L’article intitulé Colchicine pour les patients non-hospitalisés avec la COVID-19 (COLCORONA): un essai multicentrique de phase 3, randomisé, en double aveugle, adaptatif et contrôlé par placebo, conclut que, compte tenu de l’absence de thérapies administrées par voie orale pour prévenir les complications de la COVID-19 chez les patients non-hospitalisés et du bénéfice de la colchicine observé chez les patients avec un diagnostic confirmé de COVID-19 par test PCR, cet anti-inflammatoire pourrait être envisagé comme traitement chez les personnes à risque de complications.

« Dans le contexte actuel de la pandémie, en attendant l’immunité collective par la vaccination à l’échelle mondiale, il persiste un besoin de traitements pour prévenir les complications de la COVID-19 chez les patients qui contractent la maladie », a déclaré le Dr Jean-Claude Tardif, directeur du Centre de recherche de l’ICM, professeur à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et chercheur principal de COLCORONA. « Notre étude a démontré que la colchicine pourrait s’ajouter à l’arsenal des thérapies disponibles pour réduire le risque de complications chez certains patients atteints de la COVID-19. »

La colchicine est un médicament anti-inflammatoire peu dispendieux et déjà accessible. Administrée oralement, elle est présentement indiquée pour le traitement de la goutte, la fièvre méditerranéenne familiale et la péricardite. L’étude COLCORONA a évalué le potentiel de la colchicine pour réduire le risque de complications liées à la COVID-19 chez les patients non-hospitalisés de plus de 40 ans présentant au moins un facteur de risque d’aggravation de la maladie.

Le critère principal d’efficacité de l’étude était la combinaison de décès ou d’hospitalisation chez les patients atteints de la COVID-19. Sur un total de 4 488 patients recrutés, y compris ceux sans diagnostic confirmé par test PCR, le critère d’évaluation principal est survenu chez 4,7 % des patients dans le groupe colchicine et chez 5,8 % de ceux dans le groupe placébo, un résultat non statistiquement significatif. Pour les 4 159 patients avec un diagnostic confirmé de COVID-19 par test PCR, le critère d’évaluation principal est survenu chez 4,6 % des patients dans le groupe colchicine et chez 6,0 % de ceux dans le groupe placébo, un résultat statistiquement significatif. Des évènements indésirables graves ont été rapportés chez 4,9 % des patients dans le groupe colchicine et chez 6,3 % de ceux dans le groupe placebo. Nonobstant ces résultats, la réplication d’études comme celle-ci sur des patients non-hospitalisés avec un diagnostic de COVID-19 confirmé par test PCR est recommandée. L’ensemble des résultats de l’étude sont disponibles ici : https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(21)00222-8/fulltext. 

«L’étude COLCORONA élargit nos connaissances sur le rôle que peut avoir le repositionnement de médicaments oraux, abordables et largement disponibles, tels que la colchicine, pour traiter les personnes précocement afin de prévenir les complications graves liées à la COVID-19 et peut aider les praticiens et leurs patients à prendre des décisions de traitement éclairées», a déclaré le Dr Yves Rosenberg, chef de la direction du département d’athérothrombose et de maladie coronarienne au National Heart, Lung, and Blood Institute, qui fait partie des National Institutes of Health des États-Unis.

COLCORONA (NCT04322682) est une étude clinique « sans contact » qui se déroulait à la maison, randomisée, à double insu et contrôlée par placébo. Elle a été déployée au Canada, aux États-Unis, en Europe, en Amérique du Sud ainsi qu’en Afrique du Sud. L’étude a été menée auprès de 4 488 patients de plus de 40 ans atteints de la COVID-19 n’étant pas hospitalisés au moment de l’inclusion, avec au moins un facteur de risque de complications de la COVID-19 (p. ex. diabète, hypertension, maladie respiratoire connue, surpoids, etc.). Les patients ont été randomisés pour recevoir de la colchicine (0,5 mg deux fois par jour pendant 3 jours et une fois par jour par la suite) ou un placébo pendant 30 jours.

COLCORONA a été coordonnée par le Centre de Coordination des Essais Cliniques de Montréal (MHICC) de l’ICM, financée par le gouvernement du Québec, le National Heart, Lung, and Blood Institute des National Institutes of Health (NIH) américains, la philanthrope montréalaise Sophie Desmarais ainsi que le COVID-19 Therapeutics Accelerator, une initiative lancée par la Bill & Melinda Gates FoundationWellcome et Mastercard. Les sociétés CGI, Dacima et Pharmascience de Montréal étaient également collaboratrices de l’étude.

Laughing Seabird nouvel album

Laughing Seabird sort le 28 mai 2021 son deuxième album intitulé The Transformation Place. On savoure sur le disque douze titres arrangés par Emmanuel Heyner entre folk et pop, avec de fortes réminiscences des années 70. Laughing Seabird s’inspire de groupes comme The Beatles, Led Zeppelin, Pink Floyd, Fleetwood Mac, Crosby Stills Nash and Young, Peter Gabriel, Joni Mitchell et Sting. Les origines bretonnes de la chanteuse Céline rajoutent une autre couche d’influences pour une musique complexe à découvrir au plus vite, entre poésie et fantaisie, portée par une voix fascinante et gracieuse.Les mélodies restent imprimées dans l’esprit avec des paroles françaises et anglaises qui envoutent. Après I Feel Fat, Vivre (No Way Back), on découvre le clip de The Transformation Place. Pour ce 3ème volet de la trilogie, le titre éponyme de l’album nous emmène faire un petit tour dans les seventies et offre une bonne dose de psychédélisme pour  nous aider à ouvrir les portes de nos perceptions.Pour regarder et diffuser le clip de The Transformation Place :
https://youtu.be/btKKAA4EZbE

1 er EP solo pour Félix Hemmen (membre des BB Brunes)

On ne l’attendait pas, Félix Hemmen. On ne l’attendait pas là, en tout cas. Avec un premier EP de chansons entièrement composées et interprétées par lui-même. Depuis plus de quinze ans, au sein de BB Brunes, il est le guitariste qui assure les contre-chants ou les harmonies, rarement l’écriture, et les choses roulent très bien ainsi. Cinq albums, des centaines de concerts, pas l’ombre d’une frustration ni la moindre amertume ne sont venues assombrir la bonne nature de ce garçon chaleureux, ni les amitiés durables du plus précoce des groupes de rock français des années 2000. Aux heures creuses, entre deux disques et tournées, Félix compose pourtant, comme on aménage une chambre à soi à l’écart de la maison commune, et voir si l’envie ou l’occasion viendront un jour d’en entrouvrir la porte. Adrien Gallo l’a devancé dans l’exercice solitaire, et les multiplications n’ont jamais fait des divisions. En septembre 2019 sort Visage, le cinquième BB Brunes, mais le groupe se retrouve vite sur pause, nullement arrêté mais contraint par les circonstances sanitaires à devoir écourter sa tournée. Le moment est cruel, mais il est propice à faire de l’adversité une aubaine, et Félix publie pendant le premier confinement trois morceaux, essentiellement en anglais, présentés sous le nom générique Hemmen.

On y découvre déjà sa belle voix claire et un sens de la mélodie nacrée qui s’accorde à merveille aux arrangements électro-pop où pointent les influences qui sont les siennes depuis toujours, celles des Anglais Depeche Mode et New Order ou des iconoclastes pionniers américains de Devo. Le producteur et réalisateur Jean-Charles Bastion, compositeur de musiques de films (Paris est à nous) et son alter-ego sur ce projet, l’encourage pourtant à poursuivre en français, après une timide tentative sur le titre « Wooden Chair ». Au cours de l’été, quand les fenêtres d’un monde endormi s’ouvrent enfin, Félix en profite pour filer en studio avec Jean-Charles, et entouré de quelques musiciens il enregistre les quatre titres de ce premier véritable EP. L’écriture en français tant redoutée a finalement coulé de source pour ce fan de science-fiction qui vénère 2001, L’Odyssée de l’espace et dévore Isaac Asimov ou Frank Herbert quand il ne s’abandonne par à la poésie humaniste du réalisateur japonais Hayao Miyazaki. L’atmosphère surnaturelle de « Mirage », une histoire de fantôme onirique portée par une grâce aérienne, traduit cette attirance pour les infra-univers propices à l’évasion. Félix Hemmen a passé le cap de la trentaine, il n’en a pas perdu pour autant cette délicatesse juvénile, et à l’image du canadien Andy Shauf ou de l’australien Kevin Parker (Tame Impala), dont il clame l’inspiration, il appartient à cette internationale rêveuse et sensible, capable d’encapsuler le temps d’une chanson autant de fragilité que de force et de dessiner les nouvelles frontières de la pop moderne.

Sur l’essentiellement acoustique « Demi-lune », dans une nuée de vibraphone, de violon et de percussions autour de sa guitare aux légères inflexions brésiliennes, il sait avec tact aborder le thème rebattu de la rupture amoureuse en y associant des sensations, des couleurs et des lieux d’échappatoire avec l’indolence de ceux qui refusent l’apitoiement. Sur « Vraiment vraiment », il a retrouvé sa superbe amoureuse, et avec ce titre résolument up-tempo, le plus électrique du lot, on ne peut s’empêcher de penser à Etienne Daho, modèle ultime de ceux qui ont cherché à harmoniser le français et l’écriture pop anglo-saxonne. Les synthés et les beats électroniques eighties de « Insomnie », par contraste mais sans s’éloigner musicalement de Daho, tracent encore une autre voie dans cette cartographie de l’imaginaire et du sensoriel, avec un vocoder qui vient troubler le chant et la suave quiétude noctambule qui le portait jusque-là. Ces quatre jolis coups qui sont plus que des essais, mais témoignent déjà d’une grande personnalité enfin mise à jour, ne devraient pas rester longtemps sans suite. Un deuxième EP, composé cette fois dans l’isolement total d’une maison à l’écart du monde, viendra bientôt éclairer d’autres facettes de cette histoire déjà éblouissante.

UNE PREMIÈRE DANSE POUR MOKA!

C’est aujourd’hui que le dynamique duo pop MoKa fait son entrée officielle sur la scène musicale en nous présentant son tout premier EP, Première danse, qui est aussi le premier projet des Disques la Shoebox. Les deux musiciennes montréalaises nous plongent dans un univers multicolore aux saveurs estivales et tropicales, à la croisée des chemins entre musique pop, reggae, funk, électro et latine. C’est par l’entremise de ces cinq pièces accrocheuses, joyeuses et funky que le duo propose des textes lucides et critiques vis-à-vis de la société qui les entoure.

“…On est vraiment dans cette fraîcheur, cette pop très dansante…c’est léger, c’est pétillant en bouche, un peu sucré mais parfois un peu plus sérieux quand même…
– Katerine Verebely, ICI PREMIÈRE – LE 15-18

…Un premier EP pour ce duo dont vous allez entendre parler assurément longtemps, elles ont des petites sonorités estivales légères, ça fait vraiment du bien à écouter...”
– Sabrina Cournoyer, TVA – SALUT BONJOUR

“...MoKa explore des grooves chaleureux faits de chansons bien ficelées…ce sont les arrangements pop dansants et l’amer, ce sont les paroles qui racontent la vie lucide sans oublier les harmonies chocolatées qui viennent nous marteler par la synergie du duo…Moka offre un EP fait d’électro pop habile et éclatante qui fera résonner l’été aussi longtemps que possible.” 
– Jocelyn Legault, ARP.MÉDIA

MoKa, c’est la rencontre de deux humaines colorées et éclatées, Marie-Anne Tessier et Jeanne Gagnée. Elles se sont connues lors de leurs études en musique au cégep Marie-Victorin et ont évolué dans le milieu musical avant de fonder MoKa en 2018. Inspirées par l’électro tropical européen et le pop québécois, les deux Montréalaises explorent et mélangent différents styles pour créer une musique francophone groovy bien à elles. En apparence sucrées et légères, leurs chansons portent une réflexion amère, un peu comme un café moka… moitié café, moitié chocolat.

À écouter sans modération tout l’été!

TOMMY LUNAIRE

Tommy Lunaire présente son premier EP «Until I Melt» sous la bannière du nouveau label montréalais Supersavant. La sortie est accompagnée d’un superbe clip en motion design signé Louis Robert « Hailstorm» est savamment mis en image par le talentueux réalisateur à la réputation internationale. «Until I Melt» est une bande sonore idéale pour accompagner les douces premieres nuits d’été. Le jeune producteur de musique électronique nous offre un mini-album empli de finesse, d’élégance et d’éléments cinématographiques qui mérite un temps de pause.

A travers ces cinq titres, Tommy Lunaire livre un amalgame de textures riches. Misant sur des synthétiseurs et des symphonies rythmiques méditatives «Until I Melt» suscite de somptueux vertiges. Le producteur présente toutes les facettes de sa musique ; de l’introspective et racée «Until I Melt» en ouverture, jusqu’à la plus festive « Topaz » pour se rendre à la complexe et expérimentale « Quazar » qui vient clore cette marche distinguée avec son électro à saveur hiphop lofi. Impressionnant de bout en bout et d’une désarmante agilité, ce premier essaie charmera à coup sûr. 

On dira d’emblée de Tommy Lunaire qu’il est doué. Très doué. Discret aussi. Habitué des studios de production montréalais et compositeur de l’ombre depuis quelques années déjà, il est passé maître dans l’art d’intérioriser l’électronique pour le rendre poignant. Le nom demeure à ce jour relativement inconnu, mais la signature musicale l’est, quant à elle, confortablement moins.

KANDLE PRÉSENTE SON NOUVEL ALBUM : SET THE FIRE

L’autrice-compositrice-interprète en nomination aux prix JUNO, Kandle Osborne lance aujourd’hui son nouvel album Set The FireAvec une âme digne d’un âge d’or artistique l’ayant précédée, l’artiste originaire de la Colombie-Britannique prend les rênes de sa carrière tandis que ses ambitieuses visions créatrices se matérialisent, sans compromis. S’étant amorcée l’an dernier lors la sortie du EP Stick Around and Find Out, une transition se concrétise en effet avec Set The Fire, son quatrième album studio et son premier à titre d’artiste indépendante 

Le nouvel album présente un esthétique mi-cabaret, mi-rock’n’roll caractérisant le son que s’est forgé l’artiste. Avec une voix brute et profonde, que l’on a souvent comparée à celles de Shirley Bassey et de Nancy Sinatra, Kandle semble porter en elle la sagesse, mais aussi la tristesse, de plusieurs générations de femmes ayant vécu avant elle. Profondément touchée par l’héritage des poètes et des géants contemporains tels que Nick Cave et Leonard Cohen, elle s’intéresse aux disques qui ont marqué l’histoire du rock et de la pop.

Il aura fallu trois semaines pour compléter la production de Set The Fire et Kandle avoue avoir énormément apprécié le sprint. Aux commandes avec le réalisateur Michael Rendall, qu’elle surnomme son âme soeur musicale, Kandle s’est lancée de manière intensive dans l’expérience. Pendant trois semaines, il n’y avait que la musique, et rien d’autre. Soutenue par Rendall qui a pris ses idées et ses instincts au sérieux, l’encourageant à faire confiance à ses connaissances musicales avérées, Kandle en est venue à donner vie à l’une de ses chansons les plus vulnérables à ce jour. Sous la forme d’une ballade au piano, «Misty Morning» relate le moment où Kandle a connu l’amour pour la première fois. Ayant d’abord voulu se cacher derrière des arrangements costauds pour la livrer, elle y est toutefois allée d’une version dépouillée de tout artifice, laissant toute la place à l’intimité et à ces histoires que l’on ne raconte qu’à soi-même. «I felt like just a body since the age of 17», chante-elle, désarmante. La chanson dépeint ce qu’est l’apprentissage de l’amour, celui d’aimer et d’être aimée en retour, malgré les travers et les échecs. «Comme artiste, les hommes ont cette idée de moi… Ils croient que je suis cette rockeuse puissante et sexy. Souvent, quand je dévoile ma vulnérabilité et mes failles, quand je deviens une «vraie» personne, les problèmes surviennent. «Misty Morning» parle de quelqu’un qui est resté à mes côtés malgré les temps durs, et de mon étonnement devant le fait qu’un autre humain puisse m’aimer en dépit de tout». 

Ailleurs sur l’album, on retrouve la pièce «Honey Trap» — où l’on peut entendre les choeurs de Louise BurnsDebra-Jean Creelman (Mother Mother) et Kendel Carson (Alan Doyle) —, qui traite d’une relation toxique, de sa reconnaissance jusqu’au moment où l’on reprend enfin le contrôle. Sur un fond de guitares sulvotées et saturées, la voix de Kandle se fait défiante et livre habilement son message. Vient finalement la sombre «Vampire», qui clôture l’album avec un clin d’oeil au swing des années 60. « I may be deadly but I won’t let you down». 

Set The Fire se veut la trace du voyage menant Kandle à la rencontre d’elle-même, à travers la redécouverte de ses forces innées et de ses capacités. C’est aussi le portrait d’une personne, à découvert, qui apprend à se faire confiance. Et entendre le tout fait résolument du bien à l’âme. 

JONATHAN ROY PRÉSENTE “MY LULLABY”

Jonathan Roy présente aujourd’hui son nouveau EP intitulé My Lullaby. L’auteur-compositeur-interprète s’autoproduit pour la première fois et confirme sa nouvelle identité musicale. Enregistré à Los Angeles, Vancouver et Montréal, ce mini-album traite de sujets sérieux sur une musique qui prend ses racines dans la voie personnelle et intègre que Jonathan a choisi de suivre. Parmi les sept chansons, on compte notamment les succès Keeping me alive, Lost et Lights of Los Angeles


UN RETOUR À LA SOURCE

My Lullaby est nédurant une période de remise en question et marque un nouveau chapitre dans la vie de Jonathan Roy. Il avoue que cet épisode lui a servi de tremplin pour retrouver la sérénité et revenir à la source. L’artiste fait ainsi son introspection, et affiche son honnêteté et une vulnérabilité désarmante dans le choix de ses textes. Un bon exemple : Keeping Me Alive, premier titre qu’il a écrit avec ses nouveaux collaborateurs, Brian Howes (Hedley, Mother Mother, Boys Like Girls) et Jay Van Poederooyen (Faber Drive, Airbourne), et qui a été un véritable succès. Le vidéoclip poursuit d’ailleurs son ascension et vient de dépasser les 56 millions de visionnements sur YouTube! Cette chanson résume parfaitement son expérience, qu’il qualifie de salvatrice. Mentionnons aussi la collaboration de Marc Béland, avec qui l’artiste a co-écrit quatre chansons de l’album.

« J’ai écrit cet EP dans une période assez difficile de ma vie, et ça m’a allumé; j’ai réalisé à quel point la musique me rend heureux. Je me suis demandé si je devais continuer ou arrêter. Il m’a fallu quitter ma zone de confort, acheter une camionnette (et vivre dedans) pour me retrouver. Mes chansons reflètent cela – et aussi ce besoin que j’avais de me réénergiser. » – Jonathan Roy


UNE NOUVELLE APPROCHE MUSICALE

S’inspirant de son entourage, de son parcours et de ses voyages, il nous présente un album « un peu sombre, mais rempli d’espoir ». Des paroles résilientes et motivantes : c’est ce qu’il avait envie d’offrir au public. En prenant également un virage plus alternatif que la pop qu’on lui connaît, l’artiste qualifie son nouveau projet de « berceuse réconfortante ». C’est le symbole du cheminement qu’il a fait dans sa vie artistique, mais aussi dans sa vie personnelle. Que ce soit avec des thèmes comme la détresse psychologique (Lost, Lights of Los Angeles), les remises en question (Keeping me Alive, Walk out on me) ou les hauts et les bas des relations (I hate that I love you, Leaving with your heart), le fil conducteur de ce nouvel opus reste sa détermination à surmonter désormais les obstacles quoiqu’il arrive. 

Entouré de musiciens talentueux et de collaborateurs talentueux à l’écriture et à la réalisation, Jonathan Roy livre une véritable ode à la rédemption avec My Lullaby. L’album est disponible sur les plateformes numériques dès aujourd’hui jonathanroyofficial.com/mylullaby

La plus grande agence montréalaise de danseurs professionnels est lancée aujourd’hui!

Malgré une année remplie d’incertitudes et un arrêt presque complet du milieu de la danse, les danseurs québécois sont encore bien présents et, surtout, prêts à retourner sur les planches! L’agence artistique montréalaise Buron Gérance d’artistes, qui représente déjà plus d’une centaine de comédiens, chanteurs, musiciens, animateurs, mannequins et créateurs de contenu, a profité de cette pause forcée pour développer son nouveau créneau : la danse!

Je suis très fière de travailler avec cette belle équipe et de voir se développer cette nouvelle division, étant moi-même danseuse depuis mon tout jeune âge. Nous représentons désormais les meilleurs danseurs professionnels nationaux et internationaux pour faire de vos événements, lancements de programmation, publicités, spectacles et autres, des moments uniques, magiques et inoubliables. 

La Division professionnelle rassemble des danseurs versatiles qu’on a notamment pu voir aux côtés de Céline Dion, Lady Gaga, Beyoncé, Mariah Carey, Nicki Minaj, Britney Spears, Bruno Mars, Ricky Martin, Ariana Grande, Véronic Dicaire, Marie-Mai et qui ont, entre autres, performé pour le Cirque du Soleil, Juste pour rire, de nombreuses émissions de télévision et films. La Division Relève rassemble, quant à elle, des danseurs remplis de talent qui gagnent à être connus.

Pour en savoir plus: https://bloguelesnackbar.com/la-plus-grande-agence-montrealaise-de-danseurs-professionnels-est-lancee-aujourdhui/?fbclid=IwAR0a62D03YIJpav-nR

« RÉFLEXIONS » À LA GALERIE 203

Cette fois, elle est devant les projecteurs. Pendant le confinement, Corinne Asseraf, propriétaire de la Galerie 203, a opté pour foncer, aller de l’avant et c’est dans la création qu’elle a trouvé un nouveau souffle : la force de présenter ses propres œuvres. L’exposition « Réflexions » est le fruit d’une collaboration avec l’artiste Sylvia Cohen. Ensemble, elles proposent une série de toiles époustouflantes, toutes peintes à la main, mettant en vedette 35 icônes de la culture pop. 

Des hommes et des femmes, plus grands que nature par l’entremise desquels, le duo Asseraf-Cohen nous balance un humour effronté, voire revendicateur, et un regard féminin lucide sur ces dernières décennies qui résonnent jusqu’à cette année frappée par la pandémie. « Après avoir organisé et accueilli des milliers d’artistes au cours des 12 dernières années, j’ai finalement pu prendre du temps pour moi cette année et réfléchir à ce que je suis et à ce que je veux encore faire, et c’est à nouveau de créer de l’art, » déclare Corinne Asseraf née à Casablanca, au Maroc, en 1964. L’année suivante, avec sa famille, elle s’installe à Montréal. À l’adolescence, Asseraf s’inspire d’artistes aux personnalités fortes tels Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat et Keith Haring. Ces figures emblématiques incarnent un style et une vision qui lui collent à la peau et qui se marient parfaitement avec son amour pour l’art abstrait.

En 2011, sa passion pour rassembler les gens, son amour pour l’art et son expérience en affaires l’ont amené à ouvrir la Galerie 203, tout près de la Basilique Notre-Dame au cœur du Vieux-Montréal. Après avoir développé cet espace créatif et dynamique, voué à l’art contemporain, et la carrière de nombreux d’artistes qu’elle représente, Corinne Asseraf présente enfin sa propre exposition en collaboration avec une amie de longue date et une peintre de talent, Sylvia Cohen, qui a déjà présenté ses propres expositions à la Galerie 203. « Mon objectif est de créer des peintures qui sont frappantes et intrigantes. Quand je commence à travailler, je ne me soucie plus de la beauté de l’image mais plutôt de la façon dont elle me parle. » déclare Cohen dont ses œuvres sont saluées et vendues à l’international. « Je considère mes créations comme des études de personnages plutôt que comme des portraits. » 

Avec « Réflexions », ces deux femmes font parler les portraits de célébrités comme Édith Piaf, Basquiat, David Bowie, Chanel, Sol, Charlebois, Twiggy, Jack Nicholson, Madonna et plusieurs autres. Ces peintures, des techniques mixtes sur toiles, ont toutes des messages qui se lisent haut et fort en ces temps incertains avec des citations de ces stars qui ont marqué leurs époques sous forme de collages. 

Les 14, 15 et 16 juin auront lieu des vernissages événements tapis rouge afin de souligner le lancement de « Réflexions. » Ces grandes soirées, sur invitation seulement, seront l’occasion de célébrer de nouveau et de se retrouver après ces mois difficiles frappés par la COVID-19. La Galerie 203 se vêtira de ses plus beaux atouts et accueillera des bolides Ferrari; un clin d’œil au week-end du Grand-Prix de Formule 1 qui avait l’habitude faire la fête dans le Vieux-Montréal.

« Réflexions »

Corinne Asseraf et Sylvia Cohen

Vernissages sur invitation – avec règles sanitaires : 14 et 15 juin
Levée de fonds pour  www.lovemarnie.org : 16 juin

Dès le 18 juin ouvert au public

Galerie 203

227 Notre-Dame Ouest

Montréal, Québec H2Y 1T4

www.galerie203.com

http://www.sylviacohen.com

C2 Montréal annonce son retour cet automne, en ligne et en personne

Après plus d’un an de pandémie mondiale, ce printemps est plus que jamais empreint d’optimisme et du sentiment qu’il est temps de revivre, de reconnecter et de se réengager. C’est donc avec un immense plaisir que C2 annonce le retour de son événement créatif d’affaires, en ligne et en personne, du 19 au 21 et du 26 au 28 octobre. Pendant six jours, C2 Montréal offrira une combinaison dynamique d’expériences physiques et numériques inspirantes pour les entreprises et les personnes qui souhaitent optimiser leurs stratégies d’affaires. Les détails de l’événement en personne seront dévoilés lorsque les mesures de santé publique pour l’automne seront annoncées.

« L’an dernier, malgré la pandémie, C2 a créé un événement numérique majeur qui lui a permis de rester connecté avec sa communauté. Même si 2021 demeure une année de transition où l’on se libère peu à peu du confinement, nous avons décidé de ramener notre événement numérique à succès, mais en y ajoutant une composante en personne. Nous pourrons ainsi rassembler de nouveau notre audience mondiale et la connecter avec nos participants et partenaires locaux qui ont crucialement soutenu C2 l’an dernier. Nous leur en sommes d’ailleurs extrêmement reconnaissants », explique Jacques-André Dupont, président et chef de la direction de C2.

Dévoilement du thème de C2 Montréal 2021
Chaque année, nous choisissons un thème permettant d’orienter les conversations, d’aiguiller nos actions et bien sûr, de vous inspirer. Dans cet esprit, le thème de C2 Montréal 2021 est (Re), un thème qui illustre parfaitement le moment historique que nous vivons actuellement.

Il est temps de (Re)connecter(Ré)unir(Re)penser(Ré)imaginer et (Re)nouveler.

Célébrer une nouvelle génération de leaders
Cette année, C2 franchit une étape importante: son 10e anniversaire en tant qu’événement d’affaires et de créativité phare de Montréal.

Pour souligner l’occasion, nous lançons une nouvelle initiative à long terme conçue pour célébrer, élever et faire croître une communauté influente de jeunes gens d’affaires créatifs. C’est pourquoi en 2021 (et pour les années à venir) nous comptons accueillir un plus grand nombre de femmes, d’étudiants et de membres des communautés PANDC (personnes autochtones, noires et de couleur) et LGBTQ2S+.

Avec l’objectif d’accueillir des milliers de nouvelles voix à C2 Montréal, nous mettrons en place un écosystème d’affaires plus inclusif que jamais où des personnes issues de différentes communautés pourront croître et prospérer. Plus de détails sur cette excitante initiative seront communiqués ultérieurement.

Une programmation réimaginée
Les habitués le savent, C2 aime le changement. Nous cherchons toujours à évoluer, à innover et à nous améliorer, et cela n’a jamais été aussi vrai que cette année.

En 2021, nous promettons une programmation réimaginée qui permettra aux participants de profiter d’un réseautage de haut niveau, de possibilités uniques de collaboration et d’apprentissage, d’expériences exclusives et du contenu créatif inspirant ayant fait notre renommée.

Les participants peuvent obtenir plus de détails ainsi que leur laissez-passer en ligne sur c2montreal.com/fr/inscription/

En raison des restrictions actuelles dues à la COVID-19 et des recommandations de santé publique en constante évolution, l’accès en personne à l’événement est actuellement limité aux détenteurs de laissez-passer 2020 et à leurs partenaires. Toutefois, les personnes intéressées peuvent s’inscrire sur une liste d’attente pour une place en personne en cliquant ici.