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MONK-E en performance artistique en direct de l’exposition DIVINA DALÍ.

Dans la continuité des Happenings Divina Dalí lancés mercredi dernier avec Kid Koala, Félix Bélanger, le fondateur de La Girafe en feu, a voulu cette fois faire un coup de chapeau à David Yergeau mieux connu sous le pseudonyme MONK-E. 

Bien connu dans les arts (visuels et lyriques) qu’il dit être l’épicentre de son identité depuis son tout jeune âge, cet artiste prolifique de Drummondville s’est fait connaître d’abord comme rappeur et ensuite comme graffeur. Professionnel et actif internationalement depuis ses 19 ans, MONK-E cumule les projets avec des collaborateurs de haut niveau comme le Cirque du Soleil, Kendrik Lamar et le ministère de la culture du Gabon. Avec un peu plus de 1 000 fresques à travers le monde et 14 projets musicaux, son identité artistique est facilement reconnaissable. 

MONK-E, ce triple champion national de rap improvisé, artiste du body painting et du muralisme d’envergure, joint maintenant son immense talent au grand Dalí pour venir charmer son public le vendredi 22 octobre de 18h30 à 21h30, en direct de l’exposition Dali. Les visiteurs seront conviés à participer à l’avant-première de son exposition intitulée Le temps qui coule (inspirée des montres daliniennes) en poursuivant la soirée à la Galerie l’Original, au 163 rue St Paul, dès 22h00.

L’exposition sera l’unique occasion de mettre la main sur 3 œuvres de Dalí ainsi que sur l’une des œuvres de MONK-E réalisées tout au long de sa carrière. L’orginial.org est une galerie d’art à but non lucratif qui fait la promotion de l’art engagé depuis 2018.

Les visiteurs peuvent acheter leur billet en ligne à Divina Dali.

Love à donner. Le premier album du duo Kingdom Street  enfin disponible! 

Point culminant de son ascension, le groupe Kingdom Street présente aujourd’hui son tout premier album Love à donner. À l’aube de l’automne, le duo formé par Patrick Donovan et Paméla Lajoie propose douze chansons originales qu’ils signent, réalisent et interprètent avec une synergie manifeste. Douze pièces qui balancent habilement entre le français et l’anglais, dont les thèmes bien ancrés dans leur époque sont portés par une pop électro irrésistible, radieuse et festive !

« Avec ce premier album, nous souhaitions poser un regard sur la vie, les valeurs et les enjeux des jeunes adultes d’aujourd’hui, aussi sur leurs relations à cette ère des réseaux sociaux. En évitant, bien sûr, de tomber dans un aspect moralisateur ! On voulait plutôt être positif dans l’affirmation de soi, lancer le message de ne pas se laisser abattre par nos différences, mais plutôt de les embrasser », expriment en chœur Patrick Donovan et Paméla Lajoie, qui forment également un couple dans la vie.

L’album Love à donner est disponible dès maintenant sur toutes les plateformes numériques et en magasin! https://ste-4.lnk.to/KingdomStreet_LAD

Au sommet des palmarès!

Durant la dernière année, Kingdom Street a su se tailler une place de choix sur les ondes radiophoniques ! Leur plus récent extrait,Don’t Let Me Go, a figuré dans le top 15 du palmarès BDS des chansons les plus diffusées par les radios au Québec pendant plus de 36 semaines. Si l’on ajoute la diffusion de leurs premiers succès (Love à donner et Walked away), les trois extraits cumulent près d’un million d’écoutes sur les plateformes de diffusion en continu. Rappelons que le duo a aussi coécrit le succès Figé dans le temps de Ludovick Bourgeois. Cette pièce, qui compte parmi les dix chansons les plus entendues en 2020, était récemment récompensée du prix Chanson populaire francophone de la SOCAN, en plus d’être en lice pour la chanson de l’année au prochain gala de l’ADISQ. Kingdom Street a également créé le buzz à la suite de sa collaboration avec la sensation web Denyzee pour la chanson Diva, qui a atteint près de cinq millions de vues sur YouTube en six semaines !

Feu de paille : nouvel extrait lancé aujourd’hui 

Pour souligner la sortie de leur premier album, Kingdom Street lance aujourd’hui un nouvel extrait radio : la chanson Feu de paille. Il y a fort à parier que cette pièce à la pop électronique dansante et très tendance saura décrocher elle aussi une place enviable au sommet des palmarès !

Une surprise aux candidats de L’île de l’amour 

On a déjà pu entendre Kingdom Street sur les ondes de TVA, lors de l’émission L’île de l’amour, avec ses reprises colorées de It’s Ok(Tom Rosenthal), The Day We Fell In Love (Nick Kingsley & James Grinder), Walk Through The Fire (Zayde Wolf feat. Ruelle) Let Me Love You (Arc North feat. Jacob Frohde) ainsi qu’avec ses propres chansons Love à donner et Je t’emmène avec moi, deux titres quel’on retrouve sur l’album Love à donner. Le duo s’envolera d’ailleurs cette semaine pour le Mexique afin d’aller surprendre les candidats avec une prestation inattendue ! Restez à l’affût! 

MOCY DÉBARQUE AVEC SON NOUVEL ALBUM  
« SOUFFRIR EN SILENCE » 

Après avoir pris une pause des spotlights de la scène rap pendant quelques années, Mocy est de retour derrière le micro plus solide que jamais avec son nouvel album Souffrir en silence. Ce que l’artiste livre aujourd’hui, c’est le résultat d’un travail de longue haleine; une œuvre aboutie des plus personnelles où il se dévoile sous un nouveau jour.

Si près d’une décennie sépare cette nouvelle œuvre de la précédente (Part de l’ombre en 2012 et Overtime en 2008), c’est sans contredit un artiste plus accompli et en pleine possession de ses moyens qui se présente devant nous aujourd’hui.

« Cet album représente mon premier “vrai album”. J’ai pris mon temps pour le perfectionner sur tous les aspects, et je crois que, maintenant, en ayant atteint une certaine maturité avec l’expérience que j’ai acquise, je peux vraiment présenter le meilleur de moi. » – Olivier Robitaille alias Mocy

Mocy débarque ainsi avec un style bien à lui, un savoureux mélange de Pop et de Rap alors qu’il se permet plus que jamais de chanter, tout en conservant de solides beats de rap. Avec l’aide de Clément Langlois-Légaré et de Soké à la composition et aux arrangements, l’artiste présente aujourd’hui 9 chansons distinctes aux mélodies à la fois percutantes et touchantes, dans l’espoir avoué de toucher le cœur du public de différentes façons.

Plutôt que de faire preuve d’une quelconque vantardise comme le veut la tradition, le rappeur fait le pari d’envoyer, avec chaque chanson de Souffrir en silence, un message d’espoir sur des sujets encore tabous à ce jour, comme le simple fait d’exprimer publiquement vivre une période difficile dans sa vie et dans sa tête.

« Après avoir traversé quelques années difficiles, Souffrir en silence est le résultat d’expériences personnelles, et d’une évolution de moi-même. Sur ce projet, j’ai essayé de mettre de l’avant les choses difficiles que les gens ont moins tendance à vouloir exprimer. J’espère ainsi apporter un peu de réconfort à ceux qui en ont besoin. »

Et c’est d’ailleurs exactement ce qu’il tente de faire avec le vidéoclip de la pièce Barbelés qu’il dévoile par la même occasion aujourd’hui. Réalisé par Félix Simard-Tanguay sous la supervision de la Maison Baldman, le clip raconte l’histoire d’un gars qui réalise peu à peu ses échecs et qui se met en action pour changer. Un texte qui lui tient à cœur, si bien que Mocy a décidé de tourner aux côtés de sa propre fille, donnant lieu à de touchantes images évocatrices.

Écoutez le nouvel album de Mocy dans son entièreté dès maintenant et visionnez par la même occasion le vidéoclip de Barbelés.

Salah Khaïli

Nouvel album Rock Da HouseSortie le 15/10 chez Salah Khaïli Music
Le batteur Salah Khaïli est de retour avec l’album Rock Da House, un disque de rock sans concession, qui devrait réveiller les amateurs de décibels. Son jeu de batterie puissant et explosif, toujours aussi personnel, sidère tout au long des dix titres de l’album.Après avoir multiplié les sessions aux côtés d’artistes comme Etienne Daho, Tchéky Karyo, Lucky Peterson, Elli Medeiros et bien d’autres, Salah Khaïly lance son album sous son nom, enregistré avec la complicité du producteur Fred Lafage.
Après Trees In My Head et son clip bourré d’adrénaline qui a rencontré un fort succès sur le web (plus de 150 000 vues à ce jour), Salah Khaïli dévoile le clip de Rock That Shit, un titre punk rock radical qui évoque la rage nihiliste d’un homme désabusé. Amateurs de Led Zeppelin ou des Arctic Monkeys vous devriez être séduits par la flamme mélodique de cet album sur lequel, aux côtés de Salah Khaïli alternent neuf chanteurs anglo-saxons tous sidérants de charisme. A écouter avec le volume à fond. 

Pour regarder et diffuser le clip de Rock That Shit :
https://youtu.be/hMiI1r7FTkU

ROY DAVIS: UN PREMIER ALBUM ET UN VIDÉOCLIP

Quelques semaines après la sortie de « J’ai pas peur du noir », un extrait radio rempli de promesses, Roy Davis lance son tout premier album en carrière : Les ombres. Les douze titres de cet opus réalisé par Joël Côté-Bergevin (Pete Fortier) sont étonnamment matures et aboutis pour une première incursion dans l’industrie, nous laissant deviner un artiste en plein essor. Roy Davis a le don pour des mélodies pop accessibles et raffinées, et son univers a tout ce qu’il faut pour charmer de nombreux mélomanes. 
 
Un premier album profond et unique
Après une ouverture orageuse, l’album s’élance avec « Le corps qui parle », dont les arrangements élaborés autour d’une guitare acoustique maîtrisée permettent d’installer une ambiance à la fois fantomatique et ample. D’abord nostalgique et introspectif, Roy Davis explore ensuite l’espoir d’un monde meilleur avec « Je compte les feuilles », où on reconnaît les influences de Daniel Bélanger dans l’approche de l’instrumentation, entièrement assurée par Roy Davis et Joël Côté-Bergevin. La majorité des chansons sont déployées autour de mélodies originales, en particulier l’entraînante « Repartir comme avant », qui vient juste avant la toute douce « Partir en mer », dans laquelle on découvre tout le registre et la sensibilité de l’auteur-compositeur. Vient ensuite « J’ai pas peur du noir », premier extrait de l’album dont la rythmique des mots est tout simplement addictive, puis « Je suis la montagne », une pièce plus complexe, exactement à l’image du sentiment qu’elle décrit : l’acceptation de la mort qui approche. En plein cœur de l’album, Roy Davis nous présente « Sabrina », une pièce instrumentale en hommage à sa grande sœur, décédée à onze jours seulement. Elle aurait eu 29 ans le 7 octobre dernier. Après cet interlude très personnel, l’auteur-compositeur nous ramène à la chanson avec « J’ai perdu au jeu », où la guitare mène encore le bal de belle façon sur une mélodie ficelée autour de ces moments difficiles qu’on voudrait voir passer plus vite. Roy nous donne l’occasion de nous évader avec les pièces « Jusqu’à l’oubli » et « Nos corps divers », où guitares et cordes s’échangent le projecteur. Vient ensuite « Tit-gars », entraînante et découpée, qui nous démontre encore une fois tout le talent de mélodiste du jeune artiste. L’album se termine sur la magnifique guitare d’« Une histoire de fantôme », écho direct à la première pièce. D’une chanson à l’autre, cet album manifestement automnal nous dévoile en douceur un artiste prometteur et franchement accompli.
 
Lancement et vidéoclip
L’album Les ombres sera disponible sur toutes les plateformes numériques le 29 octobre prochain. On peut découvrir dès maintenant l’extrait « J’ai pas peur du noir » dans un vidéoclip réalisé par Dylan Deblois tout comme « Partir en mer », monté avec les images magnifiques de Voilier les Copains, un couple de Québécois qui parcourt les mers.
 
Qui est Roy Davis ?
Natif de Lévis, Roy Davis grandit dans une famille remplie de musique et tombe rapidement sous le charme de la guitare. À 17 ans, il délaisse ses études pour s’investir entièrement dans une carrière de guitariste dans le groupe métal Waking from Oblivion, avec qui il fait une centaine de spectacles au Québec. Son deuxième groupe, A Hundred Ghosts, pourtant très prometteur, se sépare malheureusement et le jeune artiste choisit plutôt de se réorienter en cinéma. En 2020, la pandémie éclate et Roy Davis se retrouve à la maison devant des études qui l’ennuient. C’est alors qu’il renoue avec la guitare et compose spontanément les chansons de son tout premier album, Les ombres, qui sera lancé le  29 octobre 2021 sous l’étiquette des Disques Passeport.

Le Festival International du Film sur l’Art présente le documentaire Botticelli Inferno de Ralph Loop à l’occasion de la XIXème semaine de la langue italienne dans le monde. 

À l’occasion de la XIXème Semaine de la Langue Italiennedans le Monde, du 18 au 24 octobre 2021, le Festival International du Film sur l’Art (Le FIFA) et l’Istituto Italiano di Cultura di Montreal sont heureux de co-présenter le documentaire Botticelli Inferno réalisé par le cinéaste allemand Ralph Loop. Ce long-métrage sera accessible gratuitement – et sur inscription – grâce à la plateforme de webdiffusion ARTS.FILM du FIFA, du mercredi 20 au vendredi 22 octobre prochains.Pour le bonheur des amoureux·euses des arts et de la culture italienne, le documentaire propose de revisiter le parcours exceptionnel du maître de la Renaissance Sandro Botticelli (1445–1510) qui a consacré plus d’une décennie à peindre et à dessiner l’enfer tel que le poète Dante (1265–1321) l’a décrit. Sept cents ans après la mort de ce dernier, le film a le mérite de transporter les cinéphiles à travers les neuf niveaux de l’enfer avec des aperçus fascinants et passionnants sur l’art de Botticelli et son histoire cachée, tel que décrit par le poète italien.« Le FIFA se félicite de s’associer à l’Istituto Italiano di Cultura di Montreal pour célébrer la langue, la culture et le riche héritage artistique italiens. Cette démarche est naturelle pour le Festival qui, depuis sa fondation, a eu l’honneur de présenter d’innombrables oeuvres de talentueux·ses réalisateurs·ices originaires de l’Italie et de s’associer à de grandes institutions et événements nationaux à l’instar du Festival Asolo en 2019 et du Palazzo Grassi ce mois-ci. L’Italie est véritablement ancrée dans l’historique et le cœur du FIFA! », a indiqué Philippe U. del Drago, directeur général et artistique du Festival International du Film sur l’Art.Citant “Fatti non foste a viver come bruti” de l’Inferno XXVI, du célèbre Canto d’Ulysse, Sandro Cappelli, directeur de l’Istituto Italiano di Cultura, se plaît à rappeler que « Vous n’avez pas été faits pour vivre comme des brutes, mais pour poursuivre la vertu et le savoir. »
AUTRES INFORMATIONS SUR LE FILM 
Botticelli Inferno de Ralph Loop
Italie / Allemagne | 2016 | 1 h 36 m | V.O. allemand / anglais / italien | Sous-titre : anglais
Visionnement gratuit offert du mercredi 20 octobre 2021 à 00h00 au vendredi 22 octobre 2021, 23h59 (heure de l’Est). En savoir plus : https://lefifa.com/catalogue/botticelli-inferno

Extrait de la critique de Philippe-Jean Catinchi parue dans Le Monde, le 16 septembre 2021:
Une entrée inattendue dans l’œuvre de Dante, dans les pas de son compatriote Sandro Botticelli, un siècle et demi après la mort de son auteur. Cet autre divin Florentin s’y attela plus d’une décennie – peut-être jusqu’à sa mort. Et laissa l’œuvre inachevée. Sa Carte de l’Enfer en est une synthèse fascinante qui n’en finit plus de livrer indices et secrets.

MUNDIAL MONTRÉAL : LA ONZIÈME ÉDITION EST LANCÉE!

Mundial Montréal, le rendez-vous nord-américain des musiques du monde, est de retour en 2021 pour une 11e édition en formule hybride. L’événement se déroulera du 16 au 19 novembre en présentiel, réunissant des délégués et des artistes de plus de sept pays, et sera accessible via la plateforme numérique PairConnex dès le 8 novembre, et ce jusqu’au 26 novembre.

SOIRÉE D’OUVERTURE
En collaboration avec KAMS – Korea Arts Management Service / PAMS – Performing Arts Market Seoul

La première soirée de Mundial sera présentée en collaboration avec KAMS au Gesù et mettra en vedette des artistes de tous horizons. Le groupe coréen Sinnoi ouvrira le bal, suivi de l’artiste suédoise Sara Ajnnak et des montréalais Kora Flamenca. Pour clôturer le spectacle, Nohe & Sus Santos (États-Unis) présentera sa cumbia excentrique.

SÉRIE ACCENTS AUTOCHTONES
Dans l’esprit de stimuler d’importantes conversations et de sensibiliser les délégués aux développements et aux défis auxquels est confrontée la communauté musicale autochtone, tout en favorisant de nouvelles opportunités de développement professionnel : la série Accents Autochtones est de retour pour une dixième année. À l’agenda : vitrines d’artistes, conférence et activités de réseautage.

Parmi les artistes en vitrine à Mundial Montréal, cinq groupes font partie de la série Accents Autochtones : Sara Ajnnak, originaire de Sápmi en Suède, Beatrice Deer, originaire de Quaqtaq, au Nunavik et Laura Niquay,d’origine Attikamek et récemment nommée sur la liste du Prix Polaris. Ainsi que les artistes Aysanabee et Kanen, présentés en collaboration avec Indigenous Music Alliance.

Une première à Mundial Montréal! Indigenous Music Alliance co-présentera la conférence : Partage d’histoires et souveraineté autochtone à l’Espace Orange de l’Agora de la Danse (Édifice Wilder), avec l’autrice-compositrice-interprète et co-fondatrice de Ishkode Records, Amanda Rheaume, et les artistes-conférenciers Aysanabee et Kanen.

LES ARTISTES LOCAUX À L’HONNEUR
La diversité canadienne est représentée cette année par dix-sept artistes, dont notamment Joyce N’Sana, nommée Révélation Radio-Canada 21-22 et Kora Flamenca, récipiendaire du Félix meilleur album musique du monde à l’ADISQ 2020. À découvrir également : les Montréalais MateoNoé LiraMarthe HalvorsenBantü SalsaWinston Band et Kizaba, ainsi que les Torontois Polky et Balaklava Blues.

SOIRÉE DE CLÔTURE
C’est dans un esprit festif que se terminera l’édition 2021 de Mundial Montréal avec une soirée  co-présentée par Pasa Musik qui célèbre ses 10 ans et Mélisande [électrotrad], qui lancera son nouvel album Flash de mémoire, le 4e opus du duo. Parmi les artistes en vitrine de la soirée de clôture, nous pourrons y découvrir le brésilien établi à Montréal, Diogo Ramos. Le prix Étoile Stingray sera également remis à l’un des artistes de la programmation. 

MUNDIAL MONTRÉAL : UN INCONTOURNABLE POUR LES PROFESSIONNELS
Depuis plus de 10 ans, les sons et les talents du monde entier s’invitent à Montréal ! Avec une sélection d’artistes représentant environ 40 cultures et communautés, Mundial Montréal est le principal événement de ce genre en Amérique du Nord. Rendez-vous incontournable pour la découverte de la musique du monde et les opportunités professionnelles, Mundial Montréal agis comme un tremplin pour certains des meilleurs talents nationaux et internationaux de la musique du monde. Son succès se fonde notamment sur un format finement bien pensé, un réseau de diffuseurs largement développé et une attention particulière apportée aux participants et aux retombées.  

La programmation professionnelle en personne, qui se tiendra du 16 au 19 novembre :

– Conférences : Tactiques 101 pour survivre à l’écosystème de l’industrie musicaleÉcoresponsabilité et tournée: Comment les faire co-existerConversation avec Ashley Tucker : Initiative pour la liberté artistique et Partage d’histoires et souveraineté autochtone (en collaboration avec Indigenous Music Alliance),
– Rencontres d’affinités : Entre agents, subventionneurs, gérants (en collaboration avec Music Manager Forum) et artistes (en collaboration avec le Centre des musiciens du monde),
– Rencontres Réseau Route du Monde, regroupant les diffuseurs à travers le Canada,
– Trois soupers de réseautage afin de permettre aux délégués de discuter avec des professionnels de partout, autour d’un bon repas.

La programmation professionnelle virtuelle, qui se tiendra du 8 au 26 novembre :

– Le célèbreSpeed Schmooze : En virtuel cette année ! L’occasion pour les représentants de présenter leurs artistes (en moins de 5 minutes) à plus d’une vingtaine de délégués,
– La plateforme PairConnex facilitant le réseautage libre pour des échanges entres délégués nationaux et internationaux – à l’aide de l’outil de jumelage d’affaires PairConnex,
– Activités professionnelles : Kiosques virtuels, rencontres de délégations et conférences.

LAND OF TALK ANNONCE LA SORTIE DU EP CALMING NIGHT PARTNER

Land of Talk revient avec un nouvel EP, Calming Night Partner, prévu pour le 12 novembre 2021 via Dine Alone Records (CA) et Saddle Creek (partout ailleurs). Le groupe profite de l’occasion pour partager le premier single, “Moment Feed“, une pièce alternative et atmosphérique de laquelle émane un sentiment de douce urgence. Le titre s’accompagne d’un vidéoclip réalisée par AITSO. « Pendant l’enregistrement de cette chanson, je n’ai cessé d’imaginer le moment où nous pourrions ENFIN jouer des concerts : Une salle pleine de corps qui se balancent, de têtes qui bougent, des yeux qui sourient. Tous ensemble. Ensemble à nouveau. », explique Lizzie Powell qui est à la tête de la formation. « Je crois que cette chanson a été faite pour réchauffer la foule et les salles ». 

Calming Night Partner

Land of Talk a enregistré Calming Night Partner pendant la pandémie et dans la foulée de l’acclaméIndistinct Conversations de 2020, qui a vu Powell embrasser un nouveau sens de soi en tant que femme non-binaire, et trouver sa voix en affrontant à la fois un passé douloureux et des structures oppressives. 

Le nouvel EP se situe dans un espace thérapeutique similaire, tout en développant davantage le son luxuriant et aventureux de Land of Talk. Ses chansons juxtaposent des réalités parfois sombres et difficiles à des mélodies légères et en cascade.

La pièce titre du EP, “Calming Night Partner“, est une chanson tendre et pleine de violence. La guitare brumeuse d’Elizabeth Powell, influencée par le son des années 90, se pose avec délicatesse sur une couverture étoilée de bruits lointains tandis que les paroles déferlent des questions angoissantes: “Was it a knife fight? / Was it a lifetime? / Did she wear you down, wear you in, sacrificial? / Did she tear you right down the middle?

Ce mariage étrange et dissociatif du son et des mots résume l’alchimie de Calming Night Partner : la musique crée un havre de paix où les expériences douloureuses et traumatisantes peuvent être explorées en toute sécurité. C’est un état d’esprit familier dans l’ère post-COVID ; Powell utilise l’isolement et l’intimité pour construire un sentiment de soi puissant alors que le monde extérieur semble tout faire pour vouloir l’anéantir.

« Nous avons enregistré en plein milieu de la pandémie“, dit Powell. “Nous étions tous empreints d’une certaine détresse, et tout ce que nous voulions faire quand nous étions en studio, c’était d’être là l’un pour l’autre et se soutenir mutuellement à travers notre amitié. Le studio est devenu notre refuge ».

On retrouve une équipe familière sur ce mini-album enregistré sur une courte période de 10 jours: Mark “Bucky” Wheaton à la batterie ; Chris McCarron, Pietro Amato et Erik Hove aux cuivres, Amato étant également aux claviers. Au départ, Powell n’était même pas sûr que ce EP sortirait : « Je pensais que ce serait une sortie secrète que le groupe ne partagerait jamais ! Je ne sais pas à quoi je pensais ». La “réunion de famille” qui en a résulté a permis de transformer les émotions difficiles en une chaleur palpable sur Calming Night Partner.

L’obscurité de Calming Night Partner n’est jamais unilatérale. L’idée suicidaire qui flotte dans le premier morceau, “Leave Life Alone“, est aussi une ode au laisser-aller : « J’ai réalisé que cela pouvait aussi être “Je vais laisser la vie tranquille et la laisser faire ce qu’elle veut », dit Powell. « Laisser la vie tranquille et faire confiance ». Le morceau phare “Moment Feed“, porté par la résonance et l’urgence de l’orgue Farfisa de Powell, s’attaque à la positivité toxique (et cite “Walking on Sunshine” de Katrina & the Waves) avec un rock bourdonnant et frénétique qui rappelle “National Anthem” de Radiohead, pour ensuite s’ouvrir sur un refrain revêtant une paix angélique.

Travailler avec des collaborateurs de confiance a permis à Powell de propulser le son de Land of Talkdans de nouvelles directions, tandis que le calendrier d’enregistrement serré du EP  les a contraints à lâcher prise : « J’essayais de ne pas être aussi perfectionniste, de faire de mon mieux et de ne pas me faire violence avec les façons dont j’ai tendance à me torturer en studio ». De plus en plus, ils délaissent la guitare pour les claviers – “la lueur ! Les harmoniques !” – ce qui recouvre les chansons d’une ambiance lumineuse. L’utilisation des cuivres sur Calming Night Partner est subtile et inattendue : Powell se souvient d’avoir donné à ses musiciens des instructions du genre « jouez comme si vous tombiez dans les escaliers ». 

Powell, qui s’est attaquée aux relations toxiques et à la culture de la violence de genre dans son dernier album, a entamé une thérapie pour un syndrome de stress post-traumatique complexe. Un processus qui l’a amené à se confronter à son histoire personnelle d’agression sexuelle et à une enfance au cours de laquelle iel a été “préparé à être un.e artiste qui plaît aux gens“. Iel a également navigué dans le monde en tant que personne non-binaire, un processus qui l’a rendu très attentive à la façon dont les intéractions sociales quotidiennes peuvent rabaisser les gens : « Il m’est arrivé d’insister et de dire “pour votre information, je suis non-binaire”, et l’autre personne ne faisait que confirmer son ignorance », raconte Powell. « J’ai dû m’entraîner à parler pour moi-même, à bien des égards. »

Cependant, au lieu de se détourner du monde ou de tomber dans le nombrilisme, Powell constate que son attention se porte de plus en plus sur la communauté et sur la façon dont la guérison lui donne la résilience dont iel a besoin pour relever les autres, qu’il s’agisse des membres de son groupe ou des gens qui se retrouvent mis en marge par le partriarcat hétéronormatif capitaliste et le suprématisme blanc.

« Je sais qu’il y a tellement d’autres choses qui se passent, dit Powell. Je ne veux pas créer de pornographie traumatique. J’essaie simplement de me guérir. Tout le monde essaie de guérir en ce moment, donc c’est le thème : “Ok, nous avons tous un boulet que l’on traîne avec nous, et nous essayons tous d’en guérir. Alors, faisons-le” ».La musique est un moyen pour Powell d’aborder les expériences douloureuses depuis une position de force et véhicule des choses qu’il est impossible d’exprimer avec des mots seuls. Comme à la fin de “Something Will Be Said“, le dernier morceau de Calming Night Partner, où le simple mantra “seeing what I was not” se transforme en une longue et magnifique pièce instrumentale. La guitare de Powell se fond dans le paysage sonore créé par les autres membres du groupe et la voix de Powell quitte le morceau pour laisser entendre toute la force de la communauté qu’iels ont créé.« Je porte tellement d’espoir en moi et tout cet espoir se retrouve dans ma musique », dit Powell. En 2021, alors que l’espoir et la communauté sont plus essentiels que jamais, Calming Night Partner est un baume et une preuve de la résilience qui surgit au détour des périodes sombres.

Calming Night Partner est désormais disponible en précommande

Première officielle du spectacle Tupituqaq 15 octobre 2021

L’organisme Tupiq A.C.T. (Arctic Circus Troupe) convie le public à la première représentation officielle du spectacle Tupituqaq, qui sera présenté le 15 octobre à 15h et 20h à la salle de spectacle Le Monastère (Centre St Jax, 149, Rue Sainte-Catherine Ouest, Montréal).

Synopsis du spectacle :
Maina, une jeune Inuk, part dans la toundra à la recherche de sa grand-mère égarée. Ce périple pour retrouver Ananatsiaq la mène à rencontrer plusieurs créatures mythologiques, entre autres Mahaha, le monstre chatouilleur. Grâce à ses talents multiples et à la sagesse ancestrale transmise de génération en génération, elle traverse la toundra dans une atmosphère qui balance entre le rêve et le cauchemar. Tupituqaq, ce spectacle de cirque contemporain, est un lien entre la tradition et les enjeux actuels de la communauté Inuit du Nunavik.

La jeune troupe de cirque professionnelle Inuit originaire du Nunavik a pour mission de présenter un visage lumineux et actuel de la culture Inuit du Nunavik en utilisant les arts du cirque contemporains et les arts traditionnels Inuit tels que les chants de gorge, les jeux dénés et la danse au tambour.

Ce spectacle a été créé grâce au soutien du Conseil des arts et des lettres du Québec et produit avec l’aide du Conseil des arts du Canada. Nous tenons à remercier nos partenaires principaux, la Société Makivik, la Fondation One Drop, RBC, Air Inuit, l’Institut Avataq ainsi que le projet Pirursiivik.

Les billets de spectacle sont en vente au coût de 28,00$ en cliquant le lien suivant :https://www.weezevent.com/tupituqaq-show

Octantrion

Nouvel album IISortie le 22.10.2021 chez Quart de Lune/UVM Distribution/IDOL
Octantrion est de retour avec son second album II. Toujours aussi inclassifiables, Éléonore Billy et Gaëdic Chambrier, qui mènent l’ensemble Octantrion, nous proposent un voyage musical dans les pays du nord de l’Europe, entre fjords colorés et grands espaces où la nature est reine.Né d’une envie commune de jouer des musiques vivantes, énergiques et sensibles, le duo Octantrion combine des influences traditionnelles et plus modernes dans un répertoire mêlant compositions et adaptations originales d‘airs nordiques, avec un instrumentarium hors du commun : cistre basse nordique, mandoloncelle, guitare-harpe, nyckelharpa suédois, hardingfele norvégien.Entre jazz, nea-folk et musique traditionnelle, Octantrion affirme sa forte personnalité sonore et sa densité artistique avec ce second abum encore plus dense que le premier, grâce à l’ajout de voix et l’appoint de musiciens traditionnels. L’album contient cinq reprises de morceaux traditionels suédois et islandais. La thématique du corbeau, comme symbole des cultures païennes nordiques/vikings, a été choisie et sert de fil rouge à ce disque. Le premier extrait s’appelle Chaman, et sa mélodie hypnotique est jouée au mandocello.

Pour regarder et diffuser le clip de Chaman :https://youtu.be/b2BT2kHk_FA