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Étiquette : Musique

THe LYONZ lance un double extrait « Now We Dance » &  « Margo Crows » & annonce un premier album le 1 octobre

Le duo montréalais présente mini EP de deux titres; « Now We Dance  »  / « Margo Crows ». Ce double extrait est le dernier de la série qui mènera le groupe à la sortie de Change In Colour, leur nouvel album, le 1 octobre prochain. Anthony Salvo et Terrell McLeod Richardson additionne les allers-retour entre Montréal et Paris où se trouve leur compagnie de disque. Ayant récemment participé à la 55e édition du prestigieux le Festival de Jazz de Montreux, le duo cumule les honneurs et reconnaissances de l’autre côté de l’océan. Hors-norme et faisant fi des conventions, le groupe propose un mélange de Jazz, de Trip-Hop, Hip-Hop sur une trame Électro. Il faut imaginer une dynamique atmosphérique, des rythmes changeants et des jeux de programmations.  

 « Now We Dance »  est la simple et honnête constatation que tout ce qu’il reste à faire face à l’état du monde actuel est de danser afin de préserver notre équilibre mental. Le titre au rythme rapide et au vocal tranchant devient un véritable ver d’oreille à la venue d’un refrain répétitif et puissant. Encore une fois, sur ce morceau, le duo nous propose un amalgame d’instrument et de sonorité pour le plus grand plaisir de notre matière grise. 

« Margo Crows » est un chant de liberté inspiré par les corbeaux du port de Margaree en Nouvelle-Écosse. Les voix aériennes couchées sur un doux fond sonore évoquent le bonheur au bord de l’océan. Le sentiment d’ouverture et d’improvisation de ce morceau est rafraîchissant, apaisant  et vient en quelque sorte élargir l’esprit et la conscience.  

THe LYONZ lancera le 1er octobre prochain leur très attendu album Change In Colour. Cet album rassemble le meilleur de la musique de THe LYONZ à ce jour et mets de l’avant sans cachette l’authenticité et la sensibilité du groupe. Leur lot de spontanéité juxtaposé avec leur rigueur et intelligence musicale permets de refléter tous les aspects de la grande complexité humaine. Laissant l’auditeur puiser dans leur monde, parfois directement, parfois par le biais de métaphores. Sans aucun doute, la sortie de Change In Colour placera définitivement THe LYONZ à surveiller au cours des prochains mois.

Odreii présente son nouveau single: ADIOS BYE BYE

L’artiste montante R&B/Soul Odreii, basée à Montréal, sort son nouveau single “Adios Bye Bye”, une chanson excentrique remplie de bonnes ondes qui parle de valoriser le temps des gens. Le morceau, produit par Pako, mélange des rythmes tango et des sonorités caribéennes créant un mix de genres reggaeton absolument contagieux. L’écriture d’Odreii est parfaite encore une fois, et nous arrive avec un titre énergique pour l’été avec des phrases espagnoles entraînantes qui fera assurément danser et chanter les foules.  


“J’ai écrit cette chanson quand j’ai enfin décidé de parler de la valeur de mon temps. Je n’aime pas attendre sans savoir si la personne se présentera ou non. Au lieu d’attendre, je pourrais être en train de me reposer, de me ressourcer, me faire de l’argent, être avec ma famille, nettoyer ma maison, travailler pour construire ma carrière, mais à la place j’ai décidé de prendre du temps pour en passer avec toi. Ne sois pas surpris si je coupe les ponts si tu arrives très en retard et me sort une excuse bidon ou pire, si tu agis comme si ce n’était pas grave, ou encore pire si tu ne viens PAS et que tu m’ignores totalement pour le restant de la semaine pour te faire oublier, hahahaha non mais ça va pas? ” – Odreii 


ADIOS BYE BYE est disponible sur toutes les plateformes. N’oubliez pas de suivre Odreii afin de ne pas rater les prochaines sorties de son futur album! 


À PROPOS D’ODREIINée et élevée à Montréal, l’auteur-compositeur-interprète RnB Soul Odreii a grandi dans un environnement très musical. Après avoir étudié la musique à Londres et remporté plusieurs concours d’écriture de chanson, Odreii est revenue et a fait la tournée avec Naadei à travers le Canada. Elles ont entre-autre perfiormé à SXSW, Osheaga Presents, MURAL Festival et au Festival des Montgolfières, où elles ont toutes les deux ouvert pour Wyclef Jean. Odreii a ensuite travaillé sur son premier projet, et a sorti un EP accompagné d’un single du même nom: ‘’Runs In Mi Blood”, sorti en mai 2019. Le single a atteint la 3è place du PalmarèsADISQ des radios anglophones. Puis Odreii a sorti un single avec DJ Kleancut, Go Solo, qui leur a valu le titre d’artistes du mois iHeartRadio en juin 2020. Odreii a ensuite travaillé sur son premier album ‘’Sweatin’ Gold’’, qui sortira à l’automne 2021.www.odreii.com


À PROPOS DE MBMC MUSICMore Brains More Culture. Chez MBMC, tout est une question de collectif et d’ajout de différentes têtes dans le mix. Nous faisons de la musique qui lie ensemble plusieurs cultures et différentes perspectives. Notre vision est de rassembler des esprits créatifs issus de divers milieux musicaux et culturels dans le but de renforcer et de développer une culture positive axée sur l’autonomisation et sur un message porteur de sens, soutenu par une vision artistique claire. Avec l’aide de nos partenaires de distribution The Orchard / Sony Music Canada, notre mission est de promouvoir et de faire rayonner nos artistes à l’international.www.mbmc.ca

L’ALBUM  THIS TIME I SEE IT VERRA LE JOUR LE 24 SEPTEMBRE

The Franklin Electric présente aujourd’hui «Ten Steps Back» sous la bannière Nettwerk Music (Xavier Rudd, Father John Misty, SYML).  Plus tôt cet année, le groupe a rendu disponible la réconfortante « After All », la touchante «Always Alone» ainsi que la l’atmosphérique  « Greatest Love Of All»  et la profonde  « Why You Gotta Be» ces extraits viennent mettre la table à un album qui verra le jour le 24 septembre prochain. D’ici là, le groupe continue de scilloner les routes du Québec et se joindra à son collègue de Label, SYML pour une tournée canadienne à l’automne. 

« Ten Steps Back» a été enregistré et réalisé par John Raham  (Frazey Ford, Dan Mangan) & Jon Matte au Afterlife Studiosà Vancouver. Le titre met de l’avant le sentiment de devoir recommencer à zéro après s’être perdu dans ses pensés, ses projets, ses envies et ses inspirations.  « Tout change, tout évolue. Même nos plus grandes croyances, celles qui font office de fondations, en un claquement de doigt peuvent changer mystérieusement» affirme Jon Matte

« Never Look Back »,EP lancé à l’automne dernier a été fortement remarqué et apprécié des médias comme du public. Jon Matte et sa bande, ne laisseront pas dans l’attente et assure d’ores et déjà une année bien remplie en musique. Surtout, dès que possible, ils se promettent bien de revenir à la rencontre de leur public aux quatre coins du Québec. À propos de The Franklin Electric 

Fondé et dirigé par Jon Matte, le collectif montréalais se démarque en transformant les expériences en hymnes. The Franklin Electric compte plus de 450 spectacles dans une douzaine de pays, partageant la scène avec une multitude d’artistes (Half Moon Run, Mumford & Sons, Ben Howard, Edward Sharpe, City And Color) et assurant leur concert tête d’affiche à guichet fermé (MTELUS complet-2020) . Toute cette route les mène à une nomination au Gala des Prix Juno(2018) à Vancouver dans la catégorie «Breakthrough Group of the Year». 

The Franklin Electric en tournée

15 octobre 
Théâtre Lionel-Groulx, Sainte-Thérèse, QC, Canada

4 novembre *
Hollywood Theatre, Vancouver, BC, Canada

5 novembre *
Alix Goolden Performance Hall, Victoria, BC, Canada

11 novembre *
The Park Theatre, Winnipeg, MB, Canada

12 novembre *
Bella Concert Hall, Calgary, AB, Canada

13 novembre *
McDougall United Church, Edmonton, AB, Canada

27 novembre 
First Baptist Church, Ottawa, ON, Canada

30 novembre 
Bridgeworks, Hamilton, ON, Canada

1 décembre 
Warehouse Concert Hall, Saint Catharines, ON, Canada

2 décembre 
Rum Runners, London, ON, Canada

4 décembre 
Lee’s Palace, Toronto, ON, Canada

  * avec SYML

ALIAS S’AMÈNE AVEC UN SON PSY-ROCK ET PRÉSENTE UN PREMIER UN EP SUR L’ÉTIQUETTE SIMONE RECORDS.

Ne laissant rien au hasard, c’est un vendredi 13 que ALIAS lance son premier EP It’s Not Funny So Stop Smilin’. Le multi-instrumentiste offre un mini-album de six titres dont il signe textes, musiques, arrangements et réalisation. Compositeur, dilettante, polymathe, Emmanuel Alias est passé par plus de quatre chemins avant d’en arriver à son projet psych rock éponyme. Au cours des derniers mois, ALIAS a d’abord mis la table avec « The Wolf Man » où il s’intéresse de front à l’effroyable malédiction du loup garou. Fut ensuite lancé le deuxième extrait « I Wont Go To Heaven, And That’s Alright » remettant au goût du jour les références musicales des années 70 avec l’esprit décomplexé du rock garage, une pincée de pop et une bonne dose de mélancolie psyché bien pesante. Le mois passé, ALIAS a surpris avec la presque ballade « Kyra Collins » où la justesse vocale de Beyries épouse merveilleusement l’émotion brute d’ALIAS.


Ce sont réellement le charisme et le souci des nuances dont fait preuve ALIAS qui confirment le grand attrait. Le diable est dans les détails. À travers un brouillard multicouche composé de fuzz, d’oscillations déchaînées et de dissonances bien grasses, le chemin vers le psychédélique est tracé et on s’y avance; on a toujours aimé les ombres, de toute façon. Ne laissant rien pour compte, cinéphile et amoureux du mélange des genres, ALIAS propose des clips léchés aux courts récits dramatiques. La trame narrative est en accord avec la trame sonore; un crescendo épique. 


QUI EST ALIAS ?
Ayant d’abord et entre autres participé à la composition de musiques à l’image pour les séries Big Little Lies, Sharp Objects et Mon fils ainsi que pour le long-métrage Jouliks de Mariloup Wolfe, il se met par la suite à bosser pour Musique Nomade, réalisant notamment l’album DREAMWEAVER d’Anachnid (nommé à l’ADISQ et sur la longue liste du Polaris). Il a aussi réalisé la pièce Out Of Touch tirée de l’album Encounter de Beyries. En 2019, il dévoile ALIAS, un projet psych rock smooth et planant, élastique et lénifiant, marqué de revers et bardé de récits fantastiques et hallucinés, empruntant au canon pour le traverser d’ambivalences, de dissonances, de fuzz et de changements de rythmes. Son premier effort solo voit le jour le 13 août 2021 sur l’étiquette Simone Records. 

Tournée dans une maison ancestrale de 1882, le vidéoclip de Kyra Collins est une mise en scène signée par ALIAS lui-même. La vidéo le présente aux côtés de sa chère amie Beyries. 
EN CONCERT 
12.08 : L’entrepôt 77 (Montéal, QC) – Billets  
03.09 : FME (Rouyn-Noranda) – Billets
29.09 : Le Minotaure (Gatineau, Qc) – Billets
30.09 : La Petite Boîte Noire (Sherbrooke, Qc) – Billets
01.10 : Le Zaricot (Ste Hyacinthe, Qc) – Billets
04.11 : Côté Cour (Jonquière, Qc) – Billets 
05.11 : L’Anti (Québec, Qc)- Billets
02.12 : Temps Machine (Tours, France)- Billets
04.12 : Fuzz’Yon (La Roche sur Yon, France) Billets 
08.12 : La Cave aux Poètes (Roubaix, France) 
09.12 : Le Joker’s Pub (Angers, France) 
11.12 : Le Supersonic (Paris, France) 

Omer Klein: Nouvel album «Personal Belongings»

Omer Klein, Piano – Haggai Cohen Milo, Basse – Amir Bresler, Batterie

Dans son dernier album, le plus personnel à ce jour, Omer Klein – “membre du cercle fermé des maîtres du piano“ d’après le Süddeutsche Zeitung – nous offre un regard avisé sur le monde contemporain. Nés en 2020 pendant la pandémie, ces dix morceaux reflètent son point de vue en tant qu’être humain, pianiste, compositeur, leader de formation, père de famille et artiste multi-culturel.

Pour Klein, à l’instar du reste de la planète, la première vague du Covid a été, comme pour nombre de ses confrères ,  particulièrement éprouvante. Né en Israël et résidant aujourd’hui à Francfort, sa vie de musicien itinérant a été brusquement stoppée du jour au lendemain lors du printemps 2020. N’étant pas du genre à broyer du noir, il a profité de ce temps libre pour composer. Une large partie du monde était à l’arrêt, la maladie frappait un grand nombre de personnes et l’époque était marquée par de sombres images – Les idées et les expériences de Klein devaient être recueillies et exprimées.   

En observant le monde extérieur et ses propres sentiments, Klein a peu à peu imaginé un arc narratif extraordinairement profond et vibrant, telle la version miniature d’un tableau. Les directions instrumentales des dix titres de Personal Belongings sont particulièrement révélatrices en décrivant des aller-retours permanents entre la solitude et le besoin de se retrouver.

En plus des six pièces pour piano solo où son attachement à l’instrument est plus fort que jamais, les quatre autres titres de l’album sont interprétés avec ses partenaires de longue date Haggai Cohen-Milo à la basse et Amir Bresler à la batterie. La tension qui en résulte crée des contrastes palpitants entre les instants contemplatifs et l’énergie du trio. Cette vibration unique apparaît dès le début de l’album dans les deux titres enchaînés “Kavana” et “Baghdad Blues”, qui mêlent le romantisme du moyen orient à l’improvisation jazz.

“The Magnets”, qui réunit le Brésil et Brahms, est une chanson d’amour fiévreuse au surprenant final pastoral, et un des titres les plus intimistes du répertoire de Klein. Ce morceau et le lyrique “Sun Girl” s’inspirent de la relation qu’entretient Klein avec sa compagne. Gracieux et plein d’insouciance, “The Flower and the Seed”, est dédié à ses enfants. 

Il va sans dire que la liberté, les liens entre les peuples, les pays, les coutumes et les langues jouent un rôle important dans cet ensemble. Omer Klein et ses partenaires sont des experts du jazz qui essaient sans cesse de se surpasser. Mais la musique de Klein reste divertissante, au sens le plus noble du terme. Le shuffle funky de “Shake It” est complexe, mais ses mélodies pétillantes le rendent immédiatement accessible, y compris pour les non-initiés au jazz. Klein n’a pas l’intention d’impressionner l’auditeur, mais simplement d’élaborer une musique aussi riche que possible.

Il s’inspire parfois de sources littéraires, comme par exemple dans le mystérieux morceau en solo “Najara”, du nom d’un poète liturgique juif dont les vers ont inspiré une de ses mélodies les plus habitées. Klein a délibérément placé à la fin de Personal Belongings une reprise intimiste du classique “What a Wonderful World”. Une déclaration forte, car en étudiant ses paroles, le musicien a réalisé que le charme apparent de cette chanson dissimulait une douleur intense. Après tout, 2020 n’a pas été que l’année du Covid : elle était aussi celle du mouvement #BlackLivesMatter. “The colors of the rainbow, so pretty in the sky”. La beauté des couleurs de peau et des cultures illuminent le dernier titre de Personal Belongings, ainsi que la phrase suivante, si poignante à l’époque du Covid : “I see friends shaking hands, saying how do you do, they’re really saying I love you”.

1. Kavana (Omer Klein)

2. Baghdad Blues (Omer Klein Trio)

3. The Magnets (Omer Klein)

4. The Flower and the Seed (Omer Klein Trio)

5. Good Hands (Omer Klein)

6. Sun Girl (Omer Klein Trio)

7. Najara (Omer Klein)

8. Shake it (Omer Klein Trio)

9. Quarantined with you (Omer Klein)

10. What a Wonderful World (Omer Klein)

La musique du pianiste et compositeur Omer Klein est “sans frontières” (The New York Times) grâce à son assimilation organique de sources d’inspiration très diverses, alors qu’il ne cesse de “propulser les concepts du jazz classique vers l’avenir” (Time Out New York). Interprète et compositeur prolifique, Klein a sorti 8 albums en tant que soliste et publié plus de 100 compositions originales. 

Artiste exclusif de Warner Music, Klein a réalisé deux enregistrements pour le label à ce jour. Sleepwalkers (2017) est une exploration en trio de thèmes liés à la société à l’ère de l’information, pour laquelle le Omer Klein Trio a remporté le prix ECHO 2018. Il a été suivi par Radio Mediteran (2019), en ajoutant des synthétiseurs analogiques et des percussions au format classique du trio, créant ainsi “un album très contemporain, tourné vers l’avenir, plein de grooves subtils et de mélodies fortes” (Hamburger Abendblatt). “Personal Belongings”, le troisième album de Klein pour Warner Music et le neuvième de sa discographie,  sortira en septembre 2021.

Les concerts de Klein ont été largement salués. Il s’est produit en tant que soliste et chef d’orchestre au North Sea Jazz Festival, Nice Jazz Festival, Jazz at Lincoln Center, Queen Elizabeth Hall à Londres, Swing Hall Tokyo, Elbphilharmonie, Alte Oper Frankfurt, Bremen Musikfest, Dresdner Musikfestspiele, Schleswig-Holstein Musik Festival et bien d’autres encore. 

Les points forts à venir en 2021-2022 incluent les débuts de Klein à la Berliner Philharmonie et au Wiener Konzerthaus, ainsi que la première d’une nouvelle composition pour le théâtre et la danse au Schauspiel Frankfurt.

Avec le bassiste Haggai Cohen Milo et le batteur Amir Bresler, Klein a formé le Omer Klein Trio en 2013. Le trio interprète les compositions de Klein et effectue de nombreuses tournées. Leur premier enregistrement, Fearless Friday (2015), est considéré comme “l’une des nouveautés les plus gratifiantes de ces dernières années” (All About Jazz). 

La collaboration de Klein avec le virtuose de la mandoline Avi Avital a été célébrée comme la rencontre créative de deux esprits. Klein a notamment improvisé de nouveaux mouvements pour des pièces de J.S.Bach interprétées par Avital. D’autres collaborations incluent le projet de Klein avec le NDR Big Band en 2019, et un projet de duo à venir avec le percussionniste classique Alexej Gerassimez, suite à leur résidence au Festspiele Mecklenburg-Vorpommern en 2017. 

“L’un des artistes les plus fascinants ayant émergé de ce pays au cours de la dernière décennie », peut-on lire dans le City Mouse Tel Aviv. Les racines de la musique israélienne se font entendre haut et fort dans les créations d’Omer Klein. Il a composé des chansons et s’est produit avec des chanteurs emblématiques comme Arik Einstein, Gidi Gov, Yehudit Ravitz et Rona Kenan. Il est régulièrement présent au Red Sea Jazz Festival et au Tel Aviv Jazz Festival en “élargissant les horizons musicaux du pays”. (Haaretz).

Omer Klein est né en Israël en 1982 et a grandi à Netanya. Il est le fils de parents nés en Israël et le petit-fils d’immigrants venant de Tunisie, de Libye et de Hongrie. Il a commencé à jouer du clavier à l’âge de 5 ans, puis s’est tourné vers le piano à 13 ans, tout en composant et en improvisant dès son plus jeune âge. Il a étudié à la Thelma Yellin High School of the Arts à Givatayim, avant de s’installer aux États-Unis en tant que bénéficiaire d’une bourse du New England Conservatory à Boston, où il a étudié le piano jazz avec Danilo Perez et Ran Blake, et le piano classique avec Alexander Korsantia. En 2005, Klein s’est installé à New York, où il a poursuivi ses études en privé avec Fred Hersch. Depuis 2009, il est basé en Allemagne. Il vit actuellement à Francfort avec sa compagne, l’actrice Viola Pobitschka, et leurs trois enfants. 

Émilie Proulx dévoile les détails de son EP

La nuit, les échosPrévu pour le 27 août 2021
Après en avoir présenté la pièce-titre en avril dernier, l’autrice-compositrice-interprète révèle l’intégralité d’une nouvelle proposition, les mécanismes de la mémoire en trame de fond. 

«Slalom». «Polaroïds». «Deux accidents». «La nuit, les échos». «Toutes les réponses». Cinq chansons au spleen impressionniste comme autant d’occasions, belles et enveloppantes, de faire un saut dans la psyché d’Émilie Proulx, la chercheuse. De liens, de sons et de sens.

La charge émotionnelle entre la peau et la chemise, la multi-instrumentiste et réalisatrice montréalaise s’amène ici avec cohérence, naviguant agilement le long de cette ligne artistique, fluide et sensorielle, qui la caractérise. Et tandis que s’invitent au passage les influences vastes de Nirvana, The Shins, Alain Souchon, Beach House, The Cure, Bashung et Fleetwood Mac, au même titre que les résonances subtiles d’Annie Ernaux et de Proust, Émilie Proulx trace le contour délicat de l’état des choses, de nos contradictions, de notre capacité infinie pour le bonheur et la douleur. De la nécessité libératrice, parfois, de dire «au revoir» et «merci».

S’abandonnant à ce qui la dépasse et guidant doucement les chansons dans leurs sillons, vers les destinations qu’elles réclament d’elles-mêmes, la musicienne rend délibérément visite, sur La nuit, les échos à certains lieux communs de la culture musicale pour allumer le souvenir. «Pour susciter les images rémanentes d’un backwash de mémoire, à tous les temps superposés», précise-t-elle.

Portée par les vagues et la vérité, l’artiste articule sur ce nouveau EP un appel à tenir bon, à garder confiance en notre faculté à surmonter les écueils et à attraper les balles courbes. Avec la complicité des instrumentistes Agathe Dupéré (basse, synthétiseurs), Matthieu Beaumont (piano, synthétiseurs, voix) et Maxime Gosselin (batterie), et bordée par les chœurs de Lisa LeblancGeneviève ToupinCatherine LeducAnaïs Constantin et de son fils ThéodoreÉmilie Proulx garde le cap sur la lumière, et finit par la trouver. À travers sa voix-feutre et ses mots-lueurs, La nuit, les échos s’impose comme une traversée, ancrée dans le moment présent, et aux échos de toutes sortes.

>> NOUVEAU MAXI À PARAÎTRE LE 27 AOÛT 2021

>> RENTRÉE MONTRÉALAISE AU VERRE BOUTEILLE LE 19 SEPTEMBRE 2021

JE VEUX | Le nouveau vidéoclip des Académiciens

À quelques jours de la reprise des Auditions de Star Académie 2022, la mouture 2021 dévoile “Je veux”, une chanson popularisée par Zaz, interprétée ici par Shayan Heidari et dans lequel certains Académiciens sont venus jouer un rôle de caméo. Vous y verrez le grand gagnant William Cloutier ainsi que Lunou ZucchiniMeghan OakZara SargsyanMatt MolnGuillaume LafondJacob RobergeQueenie Clément et Dashny Jules.  La brillante réalisation des images revient à Sixteen Pads. Le tournage a eu lieu aux Studios MELS

Rappelons que William Cloutier et Lunou Zucchini iront à la rencontre de leur public dans le cadre d’une grande tournée qui les mènera aux 4 coins de la province à compter de l’hiver prochain ! 

Les billets pour les premières dates de la tournée sont en vente dès maintenant. Pour tous les détails et pour l’achat de billets, rendez-vous au billets-staracademie.ca.

Espace temps Joysad

Après avoir teasé son premier album avec les titres “Tous les coups sont permis (feat. Sofiane)” et “Tout quitter (feat. Tsew The Kid)” joysad annonce la sortie de son premier album “Espace temps” le 10 Septembre en compagnie de Heuss L’Enfoiré et de la jeune chanteuse Waybery.

Un album dans lequel le jeune artiste de Périgueux pousse l’écriture et des thèmes forts d’un jeune provincial: l’amour, la fête ainsi que tous les drames que la vie peut réserver.
Afin d’accompagner la précommande de son album joysad envoie également le clip du morceau “Air Force” un morceau de rap dans lequel joysad revient à la source tant dans sa manière de kicker l’instru que dans le visuel ou l’on retrouve joysad à Périgueux dans la ville ou il a grandit depuis toujours accompagné de ses amis d’enfance. 

CRÉATION DU PREMIER ENSEMBLE  CLASSIQUE CANADIEN  À L’IMAGE DE LA DIVERSITÉ 

Au temple de la diversité, la richesse de nouvelles propositions culturelles ne cesse de démontrer l’infinie des possibilités à mettre en valeur dans une perspective toute renouvellée d’un récit alternatif. C’est dans cette mouvance actuelle que s’offre aujourd’hui au monde de la musique classique l’idée même de ce concept avec la création à Montréal de l’Ensemble Obiora. Premier ensemble de musique classique canadien composé essentiellement de musiciens et musiciennes dits issu.es de la diversité. Une initiative née du désir  de promouvoir des musiciens de différents milieux culturels afin d’accroître leur représentation sur la scène de la musique classique, et de programmer des œuvres de compositeurs de couleur dont la musique est méconnue ou peu considérée.  

IDÉATEURS ET PRINCIPE 3D 

Cette idée novatrice elle est due à Brandyn Lewis, co-fondateur et directeur artistique et Allison Migeon, co-fondatrice et directrice générale, qui annonce aujourd’hui leur initiative. Fondé sur le principe des 3D, Diversité, Découverte et Diffusion, l’Ensemble Obiora s’efforce d’apporter un souffle nouveau et diversifié dans la musique classique au Canada, de créer un sentiment d’appartenance dans les communautés sous représentées et d’inspirer la prochaine génération de musiciens classiques. Que veux dire Obiora au juste ? C’est un nom masculin Igbo, qui vient du Nigeria. Il signifie “Le désir, le coeur du peuple”.  

LA MUSIQUE AVANT TOUT : PREMIER CONCERT LE 28 AOÛT

Bien que la notion de diversité soit suffisamment large pour inclure une gamme de marqueurs de l’identité bien au-delà des distinctions ethniques ou raciales (sexe, âge et ainsi de suite), elle suppose, comme le multiculturalisme, une mosaïque tout aussi fragmentée de groupes qui perdurent dans un coexistence mutuelle. Il va donc s’en dire que la musique est, d’abord et avant tout, le vecteur principal de communication de l’Ensemble Obiora. Pour se faire, les 26 musiciens et musciennes de l’Ensemble Obiora proposeront pour la première fois le 28 août prochain à la salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau, un premier concert. Au programme Jeff Scott, Joseph Boulogne et Samuel Coleridge-Taylor, tous les trois des compositeurs afro-descendants qui, à l’exception du premier qui est toujours vivant, font partie de ces compositeurs oubliés malgré leur contribution hors du commun. 

Afin de connaitre le programme, les musiciens, musiciennes ou pour d’acheter 

des billets, c’est ici !

MINI CONCERTS GRATUITS : Quand l’Art Prend l’Air

Il sera aussi possible d’entendre l’Ensemble Obiora prochainement dans le contexte gratuit et en extérieur du programme Quand l’Art Prend l’Air, une initiative du Conseil des Arts de Montréal.

– Samedi 11 septembre à 14h00, arrondissement Lasalle, Parc des Rapides

– Dimanche 12 septembre à 14h00, arrondissement Sud-Ouest, Parc des Jazzmen

Justin Nozuka

Nouvel EP now & then (Live EP)
Disponible en digital chez Blackbox
Justin Nozuka est de retour. Trois ans après la sortie de l’album Run to Waters, puis il y a quelques semaines du EP then, now & again, le chanteur et songwriter canadien dévoile maintenant now & then, un EP enregistré live au studio Revolution Recording.On y retrouve des titres issus du EP then, now & again comme summer night o8 et Miami. Toujours dans une veine mêlant pop et soul, l’artiste nous enchante une nouvelle fois par ses qualités d’écriture et son charisme flamboyant.Cet EP estival a été joué en concert virtuel le 22 juillet via l’application Justin Nozuka, téléchargeable depuis son site officiel, puis aujourd’hui disponible sur toutes les plateformes digitales.À 32 ans, Justin Nozuka, qui est né à New York, a grandi à Toronto et a voyagé dans le monde entier, est un pilier de la pop contemporaine, du folk et du R&B alternatif depuis qu’il a sorti son premier album Holly à l’âge de 17 ans. Marqué dans sa jeunesse par l’album de Lauryn Hill, The Miseducation of Lauryn Hill, sorti en 1998, Justin Nozuka a ensuite exploré la soul, et le folk, avec une forte accointance pour la musique des années 70.

Voici la vidéo de Miami (Live at Revolution Recording) :https://youtu.be/2qVrAj7AUnM

Justin Nozuka a commencé à écrire ses propres chansons à l’âge de 12 ans. Son premier album Holly est sorti en 2007 alors qu’il avait seulement 17 ans, et a été salué par la critique. Depuis ses débuts, Justin a reçu un NRJ Award pour le “Duo de l’année”, deux albums sacrés disques d’or (Holly et You I Wind Land Sea), et bénéficié de plus de 100 millions de streams mondiaux. Il a effectué de nombreuses tournées dans le monde entier. Les influences musicales de Justin sont la soul, le gospel, le folk et le blues. En jouant en première partie d’artistes de renommée mondiale tels que Stevie Wonder, Mary J. Blige, John Mayer et Jason Mraz, Justin Nozuka continue de démontrer sa capacité à émouvoir et surprendre son public dans tous les pays du monde.Cet été, Justin Nozuka nous revient avec un EP live intitulé now & then, enregistré au Revolution Studio.  Ce disque nous plonge dans les émotions et les expériences vécues par Justin Nozuka. Il y détaille la tristesse dévastatrice qui accompagne les ruptures, ainsi que l’optimisme qui accompagne le début d’une nouvelle relation. Sur le plan sonore, il apporte des tonalités nostalgiques avec du R&B langoureux et de la soul down-tempo, enveloppant sa voix de multiples textures acoustiques. “Summer Night O8”, que Justin Nozuka a écrit avec son ami et collaborateur Mitch Reed, avant d’inviter Alex Sowinski de BadBadNotGood aux percussions, évoque les aventures d’un été. “Miami” raconte l’histoire d’un amour non partagé : “Il y avait quelqu’un que j’avais prévu de voir à Miami“, explique Justin. “C’était censé être une petite escapade à deux. J’ai réservé mon vol quelques semaines à l’avance, et à l’approche de la date, cette personne m’a lâché.” A ces deux titres, s’ajoutent Save Him et After Tonight à découvrir sur toutes les plateformes digitales.Justin Nozuka a toujours su exposer sa propre vulnérabilité dans sa musique. Le maxi now & then, enregistré live au studio Revolution Recording poursuit dans cette voie et pousse l’aiguille plus loin que jamais. Facebook InstagramSite officiel