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Étiquette : Musique

Le premier EP “Wonder Jazz” de Manon David Club est disponible!

Manon David Club s’introduit au travers d’un premier EP Wonder Jazz. Délicieusement nostalgique et groovy, la live session “Ricky Lee” reprend les codes télévisuels des années 70-80 avec humour.  

On serait tenté de dire que Manon David a construit son club de trois sur les cendres du Groupe Obscur, car s’il y a bien un élément qu’a laissé derrière elle la formation rennaise ce sont les cendres de bougies. Bougies par centaines, encerclant incantations et sortilèges, éteintes après huit ans au service d’une pop tout droit sortie d’un rêve. Elle était la basse et la voix spectrale, tirait les ficelles d’idées scéniques et de costumes teintés de magie noire. Dans le Groupe Obscur, où cinq férus de Cocteau Twins, Dead Can Dance et autres Heavenly Voices avançaient masqués dans la pénombre, elle chantait des histoires étranges dans une langue inventée pour l’occasion – l’Obscurien. Elle n’y était pas tout à fait Manon, pas non-plus une créature déifiée, juste une veine farouche pour que vienne s’y déverser une musique en lévitation. Le Groupe Obscur c’était la possibilité d’un monde annexe au notre, d’une narration enrichie à chaque nouvel album d’autant de personnages et de poésie que permette l’imagination. Une aventure sonore et visuelle qui a marqué la pop hexagonale d’un sceau noir corbeau. 

Sortie du tourbillon, au cœur du confinement, elle se remet à arpenter le manche de sa basse. Elle se passionne pour le jazz rock (Marcus Miller notamment), se repasse des vieux disques de Prefab Sprout, de Peter Gabriel, et des live de Prince And The Revolution après des années à baigner dans les vapeurs de la cold wave. Les premiers morceaux apparaissent sans idée précise d’un possible atterrissage, guidés simplement par son envie de jouer et d’exprimer une créativité sans fard. Les textes sont plus personnels, à la lisière du trip métaphorique et de la plongée frontale dans la lecture de sentiments enfouis. Une écriture subtile, intemporelle, aux images poétiques abreuvée des histoires de Lavilliers, Sheller ou Bashung. Rapidement, elle s’entoure, imagine un trio pour que les nouveaux morceaux prennent vie sur scène. Un batteur (Charly Saulay) et un claviériste (Vincent Audusseau) avec lesquels elle compose, étoffe certains arrangements, glane de nouvelles idées. Le projet se détache du précédent, dans ses thématiques et son esthétique. Même si Manon conçoit encore des costumes de scène pour tout le monde, une obsession qui ne l’a pas quittée – elle laisse de côté les guirlandes lumineuses à piles et les symboles cosmiques pour se parer de couleurs vives et de motifs se répétant à l’infini, dans lesquels elle se confond, et qui l’accompagnent scrupuleusement dans ses métamorphoses. 

Wonder Jazz, premier EP de Manon David Club propose une variation de bulles régressives, d’accélérations, de réminiscences de jeux vidéo rétro, le tout baigné d’une orchestration léchée. “Extra Time”, balade d’ouverture, pourrait accompagner les crédits d’une sitcom des ‘80s tant elle semble avoir toujours existé, classique instantané qu’on se plaît à écouter en boucle en laissant défiler les images qu’elle convoque. “Rockwood”, son riff de synthé épique et sa ligne de basse, flirte avec la City Pop japonaise, tandis que “Tornado Shelter” pousse le fun encore un peu plus loin de sa batterie syncopée. Moment de douceur où le texte et la voix de Manon David reprennent le premier rôle, “Manteau de Nuit” égrène les morceaux d’une confession en demi-teinte. Après “Rickie Lee” et sa funk délicieuse aux envolées solo inattendues, “Maudeville” nous emporte carrément outre-Atlantique dans une Amérique romancée où les clubs de jazz clignoteraient 24h/24, immuables au temps qui passe. “Chanson de la fin” clôt l’album d’une dernière balade, délicate, scintillante, comme un écho lointain aux Heavenly Voices qui lui avaient précédé.

Joy Ride Latine annonce l’album LEYENDAS, le plus important album de musique latine de l’histoire de Montréal

Alors que Montréal est devenue une véritable métropole multiculturelle et cosmopolite au fil des années, il aurait été impensable qu’une initiative comme celle de Joy Ride Records ne se concrétise pas éventuellement. La musique urbaine de Montréal est plus que jamais vivante et pourtant les médias généralistes continuent à faire abstraction de l’immense importance du multiculturalisme dans le monde de l’art.

Carlos «Los» Munoz, le patron du label Joy Ride Records, enfant de parents chiliens et réfugiés politiques, a décidé de s’attaquer au problème de front depuis quelques années. Non seulement Joy Ride Records est l’une des maisons de disques le plus multiculturelles du Québec, mais l’étiquette a de plus décidé de créer une division latino-américaine.

“La musique latine domine le monde, mais on fait la sourde oreille sur la musique latine de Montréal. Il est temps que le Québec comprenne que la communauté latine fait partie intégrante de notre société et que notre musique locale peut facilement rivaliser avec les artistes internationaux. C’est ça Leyendas, un incroyable rassemblement de talent, un amalgame de jeunes artistes latino-américains de Montréal”

YNG LGNDZ: plus qu’un collectif, un mouvement

YNG LGNDZ (prononcé Young Legends) est un collectif artistique originaire de Montréal composé de cinq Latinos-québécois qui oeuvrent au sein de la scène musicale depuis de nombreuses années. Il se compose du chanteur et auteur-compositeur-interprète hondurien Cruzito, du compositeur-réalisateur guatémaltèque Myztiko, du duo de compositeurs-réalisateurs dominicains Los Audio Kimikos ainsi que de l’ingénieur du son et compositeur-réalisateur-multi-instrumentiste salvadorien Josue Bonilla.

Le collectif voit officiellement le jour en 2021, alors qu’il lance YNG LGNDZ: SEASON 1. Le collectif nous parvient maintenant avec une deuxième galette intitulée LEYENDAS. Sur ce nouvel album, une vingtaine d’artistes mêlent pop, hip-hop, reggaeton, dembow, cumbia, perreo et même mariachi. Cruzito et ses compères ont coordonné le projet du début à la fin, de la sélection des artistes, à la composition musicale, en passant par la direction musicale et artistique.

Plus qu’un collectif de cinq membres, YNG LGNDZ est un incubateur de talents dont l’objectif est d’épauler les artistes hispanophones de Montréal. Le collectif leur offre l’opportunité de participer à des projets et des évènements musicaux. « Personne ne promeut les artistes de la communauté latine de Montréal », croit le leader du collectif, Cruzito. Pour y remédier, les membres de YNG LGNDZ sont présents durant toutes les étapes de la création de leurs albums – qu’ils considèrent comme de véritables œuvrages collectifs.

Whine Up: un premier single pour entamer les célébrations

Le collectif a donc planché sur une deuxième mouture 100% latino-montréalaise et a donné vie à un incroyable album de 13 titres qui met en valeur des artistes de plus de 10 pays d’Amérique Latine. L’idée étant de promouvoir le talent latino-américain, tout a été pensé et produit avec cette mission en tête. De la musique, aux paroles, à la réalisation, aux images, aux portraits peints à la main de la pochette de l’album, tout est signé par un artiste latino-américain. Même les relations de presse ont été confiées à un professionnel d’origine chilienne. 

Joy Ride Latino et YNG LGNDZ sont donc heureux d’annoncer l’album LEYENDAS qui sera disponible le 19 avril 2024. En attendant, chaque titre de l’album sera présenté d’ici là, accompagné d’un vidéoclip et de multiples surprises. Aujourd’hui, le collectif présente le premier extrait, la chanson Whine Up avec l’étoile montante d’origine cubaine Cahnei (artiste également signée chez Joy Ride Latino).

Le titre Whine Up et son vidéoclip – tourné en Amérique du Sud et produite par une équipe du Chili – sont disponibles partout dès aujourd’hui via Joy Ride Latino / Joy Ride Records.

LEYENDAS au Club Soda le 15 décembre 2023

Pour donner un avant-goût de ce que l’album réserve au public, le collectif a décidé de présenter une version live de l’album lors d’un listening party au Club Soda le 15 décembre 2023 dès 20h00. Au menu, des performances d’une dizaine d’artistes avec musiciens. Les billets sont en vente dès maintenant.

Milk & Bone lance la trame sonore du jeu Atom Eve (série Invincible)

Après avoir mis sa créativité au service du cinéma, du cirque et de la télévision, le duo Milk & Bone effectue maintenant sa première incursion dans l’univers du jeu vidéo. 

Camille Poliquin et Laurence Lafond-Beaulne embrassent de nouveau leur rôle de créatrices de musique à l’image en signant entièrement la trame sonore du tout nouveau jeu Atom Eve mettant en vedette la superhéroïne de la série Invincible, diffusée sur Amazon Prime Video

Le public a initialement découvert les deux premiers extraits Don’t Have a Fear, chanson-thème du jeu, et Dare to Dream, qui enveloppe le générique. Aujourd’hui la trame dans son intégralité est rendue disponible, les indéfectibles complices présentent pas moins de 17 chansons aux ambiances aériennes électro-pop portant indubitablement leur griffe.

Créer l’univers musical d’un jeu vidéo (d’une telle envergure, de surcroît) constituait pour les créatrices des albums Chrysalism (2022), Deception Bay (2018) et Little Mourning (2015) rien de moins qu’un rêve. 

« Nous avons mis un X sur notre bucket list. Nous avions envie depuis longtemps de créer de la musique pour un jeu vidéo, racontent Camille et Laurence. Créer pour un jeu, un médium différent de ce qu’on fait pour Milk & Bone, nous permet de travailler autrement. On a l’impression de jouer. »  

« On est venu nous chercher pour notre univers sonore, notre identité artistique ; non pas pour copier ce qui se fait déjà, mais pour qu’on use de nos sensibilités respectives pour donner vie au monde d’Atom Eve », soulignent les compositrices chevronnées, qui planchent à l’heure actuelle sur la trame sonore d’un autre jeu vidéo, qui verra le jour en 2025.

« Avoir la chance d’aider cet univers à prendre vie est une expérience assez incroyable ! Pour deux musiciennes ayant étudié la musique, cette collaboration marque une nouvelle ère de notre carrière. C’est une nouvelle corde à notre arc », ajoutent Camille et Laurence, qui se sont rencontrées au cégep en musique jazz, où elles ont appris la composition et l’arrangement.

Arc fort bien garni, doit-on le rappeler, Milk & Bone n’en étant guère à sa première expérience en musique à l’image. 

Par le passé, le duo, représenté à la boîte d’édition Third Side Publishing, a signé la trame sonore des longs métrages Mafia Inc. et King Dave de PODZ. La chanson-thème du second, Natalie, est aujourd’hui la pièce la plus écoutée du répertoire de Milk & Bone sur les plateformes de diffusion en continu, ayant accumulé près de 11 millions d’écoutes sur Spotify seulement. En lice au Canadian Screen Award en 2017, la chanson joue également dans une scène importante du jeu vidéo Life Is Strange.  

Camille et Laurence ont de surcroît conçu la musique d’un spectacle pour Les 7 doigts ainsi que celle de la télésérie Après, réalisée par Louis Choquette et diffusée sur ICI Télé de Radio-Canada.  

Aux yeux de Milk and Bone, ces multiples formes d’art — aussi différentes soient-elles — forment un tout. Bien que le duo jouisse d’une belle renommée, ayant transporté sa pop électro partout au Canada, aux États-Unis et en Europe, il souligne que la musique à l’image constitue une avenue artistique fort attrayante en faisant rayonner l’art et des chansons par-delà les frontières, tout en constituant une source de revenus pour les artistes. Dans un milieu encore largement dominé par les hommes, Camille et Laurence se positionnent fièrement et voient le fruit de leur labeur reconnu.

« Quel honneur d’avoir reçu la confiance de l’équipe de Skybound Entertainment pour ce projet ! se réjouissent Camille et Laurence. C’est avec fierté que nous le partageons avec vous. »

Pelch lance son nouvel EP : That’s How The Story Goes

PELCH dévoile son nouvel EP intitulé «That’s How The Story Goes». Évoluant constamment, Pelch a composé et enregistré les morceaux de l’EP entre Montréal et Los Angeles. Il s’agit d’une exploration des divers aspects de la vie tels que l’amour, la tromperie et le chagrin, et de la façon dont chacun de nous ressent ces éléments de manière unique. Le ‘EP explore la relation entre nos capacités et les défis auxquels nous sommes confrontés, renouant avec l’existentialisme. Les choix que nous faisons dépendent parfois des émotions qui résident en nous.

En perpétuel mouvement et de manière indépendante et organique, depuis la sortie de son premier EP, il a accumulé plus de 10 millions d’écoutes sur les plateformes et scellé un partenariat avec une maison de disques américaine pour les prochaines sorties. On reconnaît déjà en lui la stature d’une figure internationale et avec plus de 70 concerts en moins de 2 ans, dont certains à guichet fermé, Pelch continue de parcourir la belle province ainsi que le monde, captivant tous ceux qui croisent son chemin.

Soulful et profond, il émane de lui une authenticité et un courage rares. Inspiré par des artistes tels que Lewis Capaldi, Dermot Kennedy et Morgan Wallen, Pelchaborde le métier d’auteur-compositeur avec une maturité peu commune : « Je veux toucher le plus de gens possible », déclare-t-il, mêlant ambition et humilité. Sa voix, un instrument intime, instaure une confiance immédiate chez l’auditeur, un ton unique soutenu par une puissance qui invite chacun à partager cet espace innocent et vulnérable où nous prenons des risques pour l’amour, atteignons des sommets et parfois, subissons des pertes.

NOËL GOSPEL » LES 9 ET 10 DÉCEMBRE À LA SALLE PIERRE-MERCURE

« Noël Gospel » est un spectacle mettant en vedette les réputés Jireh Gospel Choir et Montreal Gospel Choir menés par Carol Bernard. Lors des trois représentations, présentées à la Salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau les 9 et 10 décembre, c’est 100 interprètes qui seront sur scène!

« J’adore l’évolution de la musique gospel – des Negro Spirituals au hip-hop, et j’adore Noël! Nous travaillons fort pour présenter au public une vraie expérience gospel, remplie de joie : un cadeau pour tout le monde. Notre message de Noël est : paix, justice et amour pour tous,» déclare Carol Bernard.

C’est un rendez-vous en prélude au temps des fêtes hors de l’ordinaire que propose Carol Bernard, la directrice des célèbres Jireh Gospel Choir (composé de 15 membres de la communauté afro- montréalaise) et Montreal Gospel Choir (85 chanteurs montréalais d’origine africaine, asiatique, caraïbéenne, européenne et latino- américaine). Au menu de ce spectacle de 90 minutes des chansons de Authentic Gospel, du Black American Gospel, du Negro Spiritual, du hip hop, plusieurs classiques du Noël ainsi que des compositions originales en français et en anglais.

L’album « Get Up » du Jireh Gospel Choir a reçu le prix de l’Album gospel de l’année, décerné par Gospel Music Association Canada. En juillet 2022, les 15 chanteurs et 5 musiciens ont pour une 3e fois enflammé la scène extérieure du Festival international de jazz de Montréal devant de dizaines de milliers de personnes; en 2019, ils ont participé aux trois concerts de Noël de l’Orchestre Symphonique de Montréal diffusé par Ici Radio-Canada Télé.

Créé en 2011 et dirigé par Carol Bernard, le Montreal Gospel Choir met en vedette des hommes et des femmes d’origines culturelles différentes qui représentent le Montréal multiethnique actuel. Les mots famille, énergie contagieuse et chair de poule sont associés à cet ensemble dynamique de 80 voix.

YES le livre par Dominique Dupuis – Editions duLayeur 

Yes est un des groupes fondateurs du rock progressif et peut être celui qui a porté le genre au pinacle avec l’album Close To The Edge. De ce fait, il est un des groupes les plus célèbres des années soixante-dix remplissant les salles américaines comme européennes avec une constance sans pareille. Il est aussi le groupe qui a su se régénérer à l’heure ou s’avouer prog n’était pas bien vu et produire le tube ultime « Owner of a Lonely Heart ».Une musique complexe et spectaculaire faite d’harmonies vocales et de virtuosité musicale née de la rencontre d’un chanteur, Jon Anderson, à la voix haut perchée et aux aspirations spirituelles et d’un bassiste, Chris Squire, au sens mélodique certain.
Mais c’est en 1971 avec l’arrivée du guitariste Steve Howe et du claviériste flamboyant Rick Wakeman que Yes s’installe sur le devant de la scène. La formation culte est alors en place avec Bill Bruford puis Alan White à la batterie et un illustrateur de génie, Roger Dean, qui vaporter l’image du groupe tout au long de sa carrière. Une décennie où le groupe accumule les classiques avant de se dissoudre dans une vie faite de rupture et de retour où Yes se réinvente jusqu’à ce jour car le nom est toujours présent sur le devant de la scène avec une œuvre encore en construction et la parution d’un nouvel album en ce printemps 2023, fédérant des fans toujours autant fidèles et toujours plus nombreux.En présentant l’ensemble de l’œuvre de Yes, les albums studios, les live et les archives, ce livre est l’occasion de se plonger dans les débuts du rock progressif, représentatif des années soixante-dix. Il aborde aussi l’ensemble des aventures que les membres fondateurs ont vécu. On retrouve ainsi Jon Anderson avec Vangelis, Steve Howe avec Asia, Bill Bruford avec King Crimson et Rick Wakeman, et ses œuvres majuscules que sont The Six Wivesof Henri VIII et Journey To The Center Of The Earth.

LYNA MAHYEM sacrée Artiste musicale de l’année 2023 aux Tik Tok Awards & #1 de YouTube Shorts France

Après une Trend partie de Tik Tok grâce à l’influenceuse Hanae (@hanaeniceee) sur le titre « Demain » (qui cumule plus de 35M de streams), Lyna Mahyem a convertie l’essai sur YouTube en adoptant une stratégie multi-formats gagnante qui l’a amené également #1 sur YouTube Short France.  

Lyna Mahyem a été invitée lors de la Convention annuelle du Youtube Festival 2023 présidée par Justine Ryst (CEO YouTube France) pour présenter sa stratégie multi-formats devant plus de 300 Annonceurs et modéré par Marie Laure Bebey (Responsable Artistes YouTube France). Elle y a interprété son Nouveau titre « Plus Jamais » en exclusivité.

MUET, sortie de l’album // EPK à découvrir

MUET est le nouveau projet de Colin Vincent, l’ex-meneur du groupe Volin. Avec Maxime Rouayroux à la batterie, Colin Vincent invente et défriche une musique inventive entre chanson et électronica, empreinte d’une intense poésie. Le groupe puise son inspiration dans de nombreux styles musicaux et artistes tels Alain Bashung ou Bertrand Belin.

MUET explore tout au long de son album Le Pic de Tout un son riche et puissant avec ses synthétiseurs analogiques portés par une batterie parfois sauvage. La voix se fait tantôt douce tantôt déchainée quand elle se mélange aux échos complexes d’une station d’effets conçue sur mesure.

Le Pic de Tout, le premier album de MUET vient de sortir sur le label Upton Park. A cette occasion, le groupe nous offre un EPK qui nous permet de plonger dans les coulisses de la création et de l’enregistrement.

Une fois encore : L’album à succès Encore une fois de Patrick Bruel enrichi de superbes inédits!

Alors que le 10e opus de l’acteur et chanteur français Patrick Bruel s’est déjà écoulé à plus de 85 000 exemplaires outre-Atlantique, voici qu’il nous propose Une fois encore; une réédition enrichie de nouvelles chansons.
 
Auteur et compositeur de nombreux titres de cette dernière production, Patrick Bruel touche à des sujets brûlants de notre actualité. Empathique, l’album est une ode à la solidarité, l’entraide, la tolérance, la découverte et la compréhension de « l’autre ».
ORIGAMI, DUO AVEC YCARE, 1er EXTRAIT DE UNE FOIS ENCORE
Patrick Bruel reste à l’affût des nouveaux talents et mouvements musicaux. Et bien que fidèle à ses équipes de toujours, il n’hésite pas à s’entourer aussi d’artistes de la jeune génération pour traduire en musique au plus près ses émotions. Citons par exemple Ycare, artiste franco-libano-sénégalais, auteur et co-interprète avec Patrick Bruel de la chanson Origami, l’un des inédits de cette réédition.
 
Chanson envoutante à la mélodie accrocheuse et portée par deux voix singulières, Origami propose un texte profond et à double lecture. La chanson nous parle d’un dilemme intérieur entre la peur de perdre un amour unique quitte à se plier en mille origamis pour lui plaire, et la tentation de l’hédonisme en cherchant d’autres étoiles dans la nuit. La chanson est également appuyée par un vidéoclip (dont les animations sont signées par les équipes d’Orelsan) où Patrick et Ycare évoluent sur un échiquier dont les pièces ne sont autres que des origamis.

L’artiste Anna Valsk présente Panpan, un EP de piano solo

Anna Valsk dévoile aujourd’hui Panpan, un mini-album (EP) de piano solo qu’elle partage comme une confidence ou un doux remède.
Panpan est un album qu’Anna Valsk a créé comme un échappatoire au quotidien. Il a été composé à la maison alors qu’elle travaillait à la sortie de son premier album (Morphologies paru au printemps) et que l’ampleur de cet autre projet lui a fait ressentir un besoin d’équilibre. Comme elle le fait depuis l’enfance lorsqu’elle cherche un refuge, la multi-instrumentiste s’est alors installée au piano, son confident de toujours. Les musiques de Panpan émergent d’une relation devenue naturelle avec l’instrument, grâce à laquelle Anna parvient à s’exprimer simplement, même lorsque les mots lui manquent.
Panpan est un mini-album dépouillé qui réunit 5 courtes pièces et offre à l’auditeur une vingtaine de minutes de musique. Empreintes de beauté mélancolique, les mélodies rappellent des airs lointains, captivants et parfois même hypnotisants. Remplies d’une énergie mouvementée, les compositions sont animées d’un fort esprit romantique qui n’est pas étrangé à la formation de pianiste classique qu’Anna a reçu dans sa jeunesse. Bien que la musique de Panpan puise son origine d’une simplicité expressive avouée, le raffinement mélodique qu’on reconnaît à Anna Valsk demeure bien présent. L’immédiateté créative de la démarche musicale transparaît fortement sur cet album qui s’avère accessible et d’une belle profondeur à la fois. Si l’univers d’Anna Valsk a toujours oscillé entre musique et chanson, sur Panpan, c’est un peu comme si on avait accès à la voix dans la tête de la musicienne. Même quand il n’y a que le piano, la chanteuse est néanmoins là et on l’entend quelques fois répondre à sa musique dans une conversation sans parole, libérée et libératrice.
Panpan est une proposition musicale dont l’écoute permet une pause méditative et apaisante, un voyage au centre de soi qu’on voudra faire encore et encore.