
VALENCE LANCE SON PREMIER ALBUM
FORT D’AVOIR RÉCEMMENT DÉVOILÉ LES EXTRAITS «JAMAIS (J’AURAIS PENSÉ)», «LA VIE ATTEND PAS», «AMERICA» ET «ROSIER» , TOUS CHALEUREUSEMENT SALUÉS PAR LE PUBLIC ET LA CRITIQUE, L’AUTEUR-COMPOSITEUR-INTERPRÈTE DE QUÉBEC ET GRAND GAGNANT DE L’ÉDITION 2020 DES FRANCOUVERTES MET UN TERME À L’ATTENTE ET PRÉSENTE SON PREMIER ALBUM DANS SON ÉTINCELLANTE TOTALITÉ.
«PÊLE-MÊLE c’est pour moi une collection de chansons éclectiques et viscérales composées durant plusieurs phases mouvementées de mes dernières années.
J’ai emprunté le titre à la pièce du même nom après m’être entêté trop longtemps à trouver une direction définie pour mon premier long jeu. Ça a été libérateur de le nommer ainsi parce que le mot me donnait la permission d’aller un peu partout, où je le voulais, pour visiter différents souvenirs ou encore réaliser des fantasmes esthétiques hétérogènes», témoigne l’artiste.
Musicalement autonome sans pour autant faire cavalier seul, Valence (voix, guitares, claviers, synthéthiseurs, conception sonore, réalisation, arrangements, pré-mixage, édition, prise de son) s’est entouré de Steeven Chouinard (co-réalisation, prise de son), Alexis Taillon-Pellerin(basse, synthétiseurs, arrangements et composition supplémentaires), Aubert Gendron-Marsolais (batterie, percussions), Raphaël Laliberté-Desgagné (guitare, pedal steel, arrangements supplémentaires), Antoine Bourque (saxophone, flûte traversière, arrangements supplémentaires), Louis-Joseph Cliche (claviers, synthétiseurs), Lysandre Ménard (claviers, synthétiseurs), Olivier Bresse (synthétiseur), Alexandre Martel (Tambourine) et Ariane Roy (chœurs) pour donner vie à PÊLE-MÊLE.
«C’est aussi un album qui témoigne d’une perte de repères. Je pense que durant les dernières années, j’ai essayé inconsciemment de trouver un sens à ma pratique artistique et j’ai réalisé que ma parole était limitée à mon expérience subjective. Ça m’a déstabilisé, mais ça m’a ensuite décomplexé à m’exprimer de façon vulnérable, comme si les émotions étaient la seule matière à ma disposition.
La forme jaune sur la pochette est un symbole dont la signification varie de personne en personne. Pour moi, elle illustre deux choses et deux phases distinctes de la composition: un soleil pour la phase candide et un pissenlit pour la phase ardue. Le pissenlit, c’est une herbe que plusieurs tentent d’éradiquer de leurs terrains. On la rase, mais souvent elle repousse, comme la peur. Plus jeune, les terrains abondants de pissenlits signifiaient pour moi une forme de négligence, un désordre.
PÊLE-MÊLE m’a permis d’exposer de façon esthétique une panoplie de souvenirs, de sentiments et d’objets des plus repoussés aux plus admirés, du pissenlit au soleil, ne serait-ce que pour passer plus sincèrement à la suite». — Valence