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Chaussures Pop et Go Sport remettent 200 038 $ à Opération Enfant Solei

Les magasins Chaussures Pop et Go Sport avaient de quoi célébrer hier lors du Téléthon Opération Enfant Soleil alors qu’ils ont remis le plus important montant de leur histoire philanthropique! 

En effet, pendant les 7 semaines de campagne, les équipes dévouées et passionnées ont vendu des billets Maison Enfant Soleil signée Bonneville 2023 à 12 $ dont la totalité du montant était remise à Opération Enfant Soleil. Le résultat est impressionnant alors qu’il représente 89 % que notre première année de partenariat avec l’organisme. 

” Nous avons de quoi être fiers de remettre 200 038 $, qui est le résultat d’un grand travail d’équipe. Il faut savoir que la valeur la plus importante pour Chaussures Pop et Go Sport est la famille. Savoir que ces sous seront redistribués aux hôpitaux à travers le Québec, qui peuvent accueillir les enfants de nos clients, et permettront à des enfants malades de bénéficier de meilleurs soins, nous touche droit au cœur. “, confie André Côté directeur général des magasins Chaussures Pop et Go Sport. 

Des concours internes, des défis journaliers, hebdomadaires ou mensuels, des défis amicaux, des vêtements aux couleurs d’Opération Enfant Soleil, des amis ou de la famille invités en renfort, de la sollicitation de dons auprès d’entreprises locales : les marchands et leurs équipes ont déployé une foule d’astuces dans le but de rejoindre l’objectif initial de 125 000 $. 

Un objectif rapidement dépassé
Il n’aura fallu que deux semaines pour comprendre que l’objectif, quoiqu’audacieux, allait rapidement être dépassé. Le coup de pouce des magasins Go Sport, compagnie sœur de Chaussures Pop, aura bien sûr permis d’avoir un départ canon pour cette deuxième campagne philanthropique. Rapidement d’un côté comme de l’autre, les murs se sont remplis de petits bonhommes en carton, tandis que les clients qui achetaient des billets avait l’opportunité d’y inscrire leur nom et laisser ainsi une trace de leur générosité. Les enfants trouvaient cela très amusant et certains marchands allaient même jusqu’à laisser ceux-ci apposer leur bonhomme là où il le désirait à l’intérieur du magasin. Bref, il y a eu une véritable invasion de petits bonhommes qui accrochaient un sourire aux lèvres de quiconque arrivait dans le magasin. 

Le RSEQ présente son plan d’action enmatière d’équité, de diversité et d’inclusion

Après plusieurs mois de recherches, de discussions et d’évaluations de pistes de solutions, le RSEQ (Réseau du sport étudiant du Québec) présente aujourd’hui son plan d’action en matière d’équité, de diversité et d’inclusion. Annoncés en mars 2021, les travaux priorisent quatre enjeux importants : le racisme, la place des femmes dans le sport, la participation des personnes ayant une limitation fonctionnelle et l’inclusion des communautés LGBTQ+.

Déployée entre mai et novembre 2021, la phase de consultation a permis aux différents groupes cibles de s’exprimer sur chacun des chantiers. L’éducation, la formation, la sensibilisation et la prise d’actions ont été au cœur des discussions et ont été identifiées comme des éléments incontournables à la réussite des chantiers. Après plusieurs mois de travail, le RSEQ déploie son plan d’action afin de rendre la pratique de l’activité sportive plus inclusive et sécuritaire dans toutes les régions du Québec.

« Dans les communautés étudiantes comme dans la société, sur le terrain comme dans les gradins, la discrimination, l’exclusion et l’humiliation sont inacceptables », dit d’entrée de jeu David Heurtel, président du conseil d’administration du RSEQ. « L’éthique, la quête d’excellence et la responsabilisation font partie des valeurs du RSEQ. C’est donc avec une grande fierté et un sentiment de devoir accompli que nous lançons aujourd’hui notre plan d’action. Il s’agit d’une grande première dans l’histoire du sport étudiant au Québec », ajoute Gustave Roel, président-directeur général du RSEQ.

La mise en place du plan d’action s’échelonnera jusqu’au printemps 2024.

Le sport en milieu étudiant fait partie intégrante de l’ADN de la réussite éducative de 220 000 jeunes de la maternelle à l’université. Depuis des décennies, les actions concrètes pour promouvoir la santé, le développement de la personne, la pratique du sport et l’activité physique en milieu étudiant font la différence.

À propos du RSEQ

Le RSEQ (Réseau du sport étudiant du Québec) contribue à la persévérance et à la réussite éducative par la promotion de la santé, du développement de la personne par la pratique du sport et de l’activité physique en milieu étudiant.

Pour télécharger le plan d’action EDI du RSEQ – CLIQUEZ ICI

Avis de parution – Young People in Out-of-Home Care: Findings from the Ontario Looking After Children Project

La maltraitance est généralement considérée comme étant la forme d’adversité la plus grave à laquelle peuvent être confrontés les enfants et les adolescents. Les jeunes victimes de mauvais traitement qui présentent le niveau de risque le plus élevé sont susceptibles d’être prises en charge dans des structures extrafamiliales – familles d’accueil, soins intrafamiliaux, foyers de groupe ou vie autonome – pour leur propre protection. Young People in Out-of-Home Care est le compte rendu des travaux de recherche appliquée et d’évaluation effectués depuis plus de 20 ans dans le cadre du programme S’occuper des enfants en Ontario (SOCEN), qui a vu le jour en 2000.

Le programme SOCEN est fondé sur une nouvelle approche en matière d’aide sociale à l’enfance appelée « S’occuper des enfants » (Looking After Children) développée au Royaume-Uni à la fin des années 1980 et dans les années 1990. Cette approche visait à réformer et à améliorer les services offerts aux enfants et aux jeunes vulnérables qui étaient pris en charge dans des structures extrafamiliales. Lors de son démarrage en 2000, le programme SOCEN a « canadianisé » l’approche britannique et a établi des partenariats avec l’Association ontarienne des sociétés de l’aide à l’enfance et une vingtaine de sociétés d’aide à l’enfance de la province. Depuis 2007, le gouvernement de l’Ontario exige que les sociétés d’aide à l’enfance de la province utilisent la méthode SOCEN dans la planification de leurs services et le suivi des résultats.

Depuis 2000, le programme SOCEN a recueilli des données sur les résultats et le bien-être en interviewant plus de 35 000 jeunes pris en charge (dont des Autochtones, des Noirs et des francophones) ainsi que leurs soignantes et soignants et leurs intervenantes et intervenants en services d’aide sociale à l’enfance. Young People in Out-of-Home Care présente les principales conclusions et principaux enseignements du programme qui permettront d’améliorer l’éducation, le développement, la santé, les relations sociales et familiales de même que la santé mentale des enfants et des jeunes, ainsi que leur transition vers la vie communautaire.

Publié en anglais.

Cliquez ici pour en savoir davantage…

360 pages · 6 x 9 · Mai 2023

Disponible en plusieurs formats :

Relié · 73,95 $ CA
Broché · 41,95 $ CA
PDF accessible · 31,99 $ CA 

ePub accessible · 31,99 $ CA

C’est la Semaine québécoise intergénérationnelle, 21-27 mai 2023

C’est aujourd’hui que débute l’édition 2023 de la Semaine québécoise intergénérationnelle! Jusqu’au 27 mai, cette campagne nationale, coordonnée par Intergénérations Québec, soulignera et valorisera les échanges intergénérationnels à l’échelle du Québec. En mai 2022, l’Assemblée nationale du Québec a d’ailleurs officiellement reconnu la troisième semaine du mois de mai comme étant la Semaine québécoise intergénérationnelle ! Mme Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, a souligné devant l’Assemblée l’objectif de sensibilisation et de lutte contre l’âgisme et l’isolement de cette campagne. Plus de 50 animations qui rapprochent les générations seront organisées par des organismes, institutions et municipalités des quatre coins du Québec. Cette programmation est compilée sur le site Internet d’Intergénérations Québec. Tous les citoyens sont invités à profiter de cette semaine pour questionner leurs préjugés et créer ou renforcer une relation avec une personne plus jeune ou plus âgée!
De son côté, Intergénérations Québec proposera deux événements :- Le forum « Regards croisés entre générations et cultures » se déroulera à l’Hôtel de Ville de Longueuil le 24 mai. Il s’agit d’une journée de réflexion qui lie les approches intergénérationnelle et interculturelle afin de lutter contre les préjugés !
Cette journée sera aussi l’occasion de célébrer les liens intergénérationnels avec le dévoilement des lauréats du concours de la SQI, qui remporteront chacun une bourse de 1000 $ grâce à la générosité de notre partenaire, la Fondation Luc Maurice. – Un ciné-panel gratuit avec un espace réseautage sur l’intergénérationnel aura lieu le 25 mai en soirée à la Cinémathèque québécoise. Ce sera la première montréalaise de notre documentaire ‘Nos générations’ qui met en lumière des projets novateurs de rapprochement intergénérationnel. La projection sera suivie d’une discussion avec des chercheurs sur les bienfaits de telles initiatives! Retrouvez la #SQI2023 sur FacebookLinkedIn et Instagram.

Nouveau Monde Média lance le balado ELLESTRANSEX: le jour d’après

En cette journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, Nouveau Monde Média a le plaisir d’annoncer le lancement d’Ellestransex ; le jour d’après, un balado documentaire axé sur des témoignages de parcours de vie de personnes transsexuelles et réalisé dans une approche artistique, humaniste et éthique. 

L’œuvre vise à s’affranchir des stéréotypes et des préjugés envers cette communauté par le biais de témoignages inédits et recherchés sur le parcours, les défis rencontrés et les aspirations de cinq intervenant.es. De plus, le balado démystifie les terminologies «transsexuelle» et  «transgenre», souvent confondues au sein de la population. En amont, Ellestransex propose une expérience auditive immersive grâce aux compositions musicales uniques créées spécifiquement pour le projet et signées par Pilou (Pierre-Philippe Côté). 

Un balado qui vise à humaniser la transsexualité
Dans cette série de 6 épisodes de 35 minutes, Laurence McEvoy, animatrice et productrice du projet, va à la rencontre de membres de la communauté transsexuelle québécoise, dont l’idéatrice du projet Michelle L. Gerrior, d’ascendance autochtone au long parcours transidentitaire, Michèle Lalonde, mairesse de Sainte-Adèle, l’autrice et essayiste Maude Demers, connue sous le nom de Mousseline des mers, Caprice, l’une des premières femmes transexuelles du Québec et Raphaël Dondelinger, un homme trans.

Quand l’aide de l’État s’arrête, la Fondation des jeunes de la DPJ continue d’être là

La crise du logement, la hausse du coût du panier d’épicerie, l’inflation… le contexte dans lequel nous vivons actuellement frappe de plein fouet les jeunes qui prennent leur envol vers la vie adulte. Et ceux qui transportent déjà un lourd bagage sur leurs épaules peinent à y arriver. Quand l’aide de l’État s’arrête pour les jeunes de la DPJ, les besoins de la vie adulte, eux, s’accumulent. LaFondation des jeunes de la DPJ est là pour les soutenir afin qu’ils puissent s’épanouir et lance un appel à la générosité du public afin de pouvoir continuer de répondre à leurs besoins grandissants.

L’ampleur des besoins

Les données récentes concernant les jeunes de la DPJ en transition vers la vie autonome sont alarmantes : un tiers des jeunes qui quittent un placement vivront un épisode d’itinérance. Seulement 25 % des jeunes de la DPJ ont un diplôme d’études secondaires à 19 ansii. À elles seules, ces statistiques appellent à une prise de conscience et à une mobilisation collective.

Bien que des réformes soient actuellement en cours, les besoins des jeunes en transition – et la détresse qu’ils expriment – imposent une action immédiate. « Les demandes qui sont faites à la Fondation pour venir en aide aux jeunes de la DPJ sont très révélatrices du contexte difficile et de la détresse de ces jeunes », explique Fabienne Audette, directrice générale de la Fondation des jeunes de la DPJ. « Notre Fondation intervient dans tous les domaines de la vie de ces jeunes. Cela va de l’aide alimentaire d’urgence, jusqu’au paiement des frais de scolarité pour l’obtention d’un diplôme universitaire. Souvent, la Fondation est leur seul filet social », explique Mme Audette.

1 jeune sur 4 en transition aidé par la Fondation

Au Québec en 2022, 1 jeune de la DPJ sur 4 quittant le système à sa majorité a reçu l’aide de la Fondation. « Cette donnée est très encourageante », s’exclame Mme Audette. « Elle démontre le pouvoir que détient chaque personne pour tendre la main à des jeunes qui en ont réellement besoin. Mais nous devons en faire encore plus! »

Cristhin est une ex-jeune de la DPJ qui a vécu de la violence durant son enfance. Aujourd’hui, grâce à son courage, sa résilience et soutenue par la Fondation des jeunes de la DPJ, elle obtiendra dans quelques jours son diplôme en technologie de médecine nucléaire. Découvrez son histoire en cliquant sur la vidéo.

Aider… chaque mois!

Les besoins des 43 000 jeunes de la DPJ sont immenses. Par exemple, lorsqu’ils atteignent l’âge adulte, des frais importants reviennent chaque mois : payer le loyer, l’électricité, l’Internet, l’épicerie, le transport, etc. La Fondation a lancé son programme « Compte sur moi » qui propose d’adhérer au don mensuel. Une façon simple et rapide pour avoir un impact en continu dans la vie des jeunes de la DPJ.

Aucun jeune ne devrait avoir à abandonner ses projets d’avenir pour payer son loyer. Aucun jeune ne devrait se dire : « Je serais sûrement capable, mais je n’ai personne pour m’aider à réussir ». La Fondation est là pour répondre à leurs besoins et leur rappeler qu’ils ne sont pas seuls.

Pour faire un don pour les jeunes de la DPJ, visitez le FONDATIONJEUNESDPJ.CA

Des enfants atteints du cancer et leur famille passent un week-end inoubliable en nature grâce au Centre de villégiature Lac Fiddler et au Fonds Lena

Du 5 au 7 mai 2023, les propriétaires du Centre de villégiature Lac Fiddler ont généreusement offert leurs chalets en bois rond aux enfants atteints du cancer et à leur famille à l’occasion de la fin de semaine « Petits héros à Fiddler », et ce, tout à fait gratuitement. Cet événement a été rendu possible grâce à une belle collaboration avec le Fonds Lena, un fonds chapeauté par la Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants et créé par les proches de la petite Lena Andrianakos. Lena a reçu un diagnostic de leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) à cellules B à haut risque à l’âge de 21 mois en septembre 2019. 

« Ce sont 25 petits héros de l’Hôpital de Montréal pour enfants et leur famille qui ont pu profiter d’un séjour de rêve en pleine nature dans un magnifique chalet en bois rond. Plusieurs activités ont été organisées pour les divertir au cours de cette fin de semaine de repos bien méritée. Nous avons tout mis en œuvre pour permettre à nos invités d’oublier pour quelques jours leur quotidien, ce qui inclut les visites à l’hôpital, les traitements de chimiothérapie et les chirurgies. Nous remercions chaleureusement les propriétaires et les employés du Centre de villégiature Lac Fiddler sans qui ce week-end n’aurait pas été possible », mentionne Christina Kadas, maman de Lena et cofondatrice du Fonds Lena. 

Le Centre de villégiature Lac Fiddler est l’endroit parfait pour un séjour de détente et de plaisir en famille. Situé à seulement 45 minutes de Montréal, le site propose de nombreuses installations telles que deux piscines chauffées, une aire de jeux pour enfants et des sentiers de randonnée. Le Fonds Lena et les propriétaires du Centre de villégiature Lac Fiddler comptent bien collaborer à nouveau afin d’offrir une expérience mémorable aux enfants atteints du cancer et à leur famille. 

Pour en savoir plus sur le Centre de villégiature Lac Fiddler, vous pouvez consulter son site Web. N’hésitez pas à visiter également le site Web du Fonds Lena pour en apprendre davantage à son sujet. 

What I Wish I Had Told My Children : Nouveau livre signé Michel Bastarache, traduit du français par Julie da Silva

Dans cet ouvrage intimiste, Michel Bastarache se confie sur son enfance en Acadie et ses multiples incarnations professionnelles avant de devenir le premier juge acadien à siéger à la Cour suprême du Canada. 

Dans une lettre qu’il adresse à ses deux enfants, morts d’une maladie incurable, Me Bastarache raconte sa constante lutte pour l’égalité des communautés francophone et anglophone. Il revient sur son engagement au sein des groupes de défense des francophones hors Québec, puis sur sa carrière de professeur, de fonctionnaire, d’avocat et de juge. Il entraîne le lecteur dans les coulisses de ses plus importantes causes et révèle certains secrets du plus haut tribunal canadien. 

Me Bastarache réagit également à la polémique entourant la Commission d’enquête sur le processus de nomination des juges du Québec et sur son travail de médiateur dans le processus de réconciliation et de compensation pour les victimes alléguées d’agressions sexuelles par d’anciens prêtres au Nouveau-Brunswick.

La Semaine québécoise intergénérationnelle, 21-27 mai 2023

L’édition 2023 de la Semaine québécoise intergénérationnelle (SQI) se déroulera du 21 au 27 mai. Cette campagne nationale, coordonnée par Intergénérations Québec, a pour but de souligner et valoriser les échanges intergénérationnels, tout en inspirant l’émergence de diverses initiatives à l’échelle du Québec. En mai 2022, l’Assemblée nationale du Québec a d’ailleurs officiellement reconnu la troisième semaine du mois de mai comme étant la Semaine québécoise intergénérationnelle ! Mme Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, a souligné devant l’Assemblée l’objectif de sensibilisation et de lutte contre l’âgisme et l’isolement de cette campagne. Des organismes et institutions des quatre coins du Québec organiseront des animations qui rapprochent les générations. Cette programmation est compilée sur le site Internet d’Intergénérations Québec. Tous les citoyens sont invités à profiter de cette semaine pour questionner leurs préjugés et créer ou renforcer une relation avec une personne plus jeune ou plus âgée!
 De son côté, Intergénérations Québec proposera deux événements :
– Le forum « Regards croisés entre générations et cultures » se déroulera à l’Hôtel de Ville de Longueuil le 24 mai. Il s’agit d’une journée de réflexion qui lie les approches intergénérationnelle et interculturelle afin de lutter contre les préjugés ! Au programme : conférence, table ronde de projets et ateliers pratiques.

Cette journée sera aussi l’occasion de célébrer les liens intergénérationnels avec le dévoilement des lauréats du concours de la SQI, qui remporteront chacun une bourse de 1000 $ grâce à la générosité de notre partenaire, la Fondation Luc Maurice. 

– Un ciné-panel gratuit avec un espace réseautage sur l’intergénérationnel, le 25 mai en soirée à la Cinémathèque québécoise (Montréal). Ce sera la première montréalaise de notre documentaire ‘Nos générations’ qui met en lumière des projets novateurs de rapprochement intergénérationnel. La projection sera suivie d’une discussion avec des chercheurs sur les bienfaits de telles initiatives!

« Une histoire d’éviction brutale et dangereuse » – Gabriel Nadeau-Dubois

Suite à l’évacuation d’urgence de trois immeubles samedi dernier, le député de Gouin et porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, était aux côtés de la famille Benzai et de leur avocate dans le quartier Rosemont-La-Petite-Patrie, afin de dénoncer une situation d’éviction agressive et d’interpeller le gouvernement du Québec afin que cesse ce genre de tragédies

Rappel des faits

  • Résidents depuis 19 ans au 5769 de Lorimier, Rachid et Farida Benzaï sont venus d’Algérie pour fonder une famille et offrir une vie meilleure à leurs cinq enfants. Ils sont menacés d’éviction par leur propriétaire depuis le mois de mars 2022. 
  • Le 2 mars dernier en matinée, la famille découvre à son réveil qu’une dizaine d’ouvriers sont dans leur cour arrière. La clôture est démolie, la balançoire des enfants détruite et l’excavation de la cour ainsi que la démolition d’un mur sont entamées. La famille n’a jamais été avisée du début de ses travaux ayant lieu sous leurs pieds.
  • Le 29 avril dernier, la famille est évacuée d’urgence, de même que 30 à 40 personnes du voisinage pour risque d’effondrement de leurs immeubles. Les travaux ayant lieu sous l’appartement de la famille Benzaï ont manifestement provoqué cette évacuation.
  • Une audience au Tribunal administratif du logement (TAL) est prévue le jeudi 4 mai au sujet du premier avis d’éviction pour subdivision, procédé pourtant sous moratoire dans l’arrondissement, qu’a reçu la famille en mars 2022.

Le visage de la crise

« L’évacuation de samedi dernier, c’est le dernier épisode d’une tragédie épouvantable. Tout porte à croire que cette évacuation a été causée par les travaux du propriétaire, qui visent clairement à sortir la famille Benzai de leur appartement avant même que le Tribunal ait tranché. Je n’ai jamais vu une éviction aussi inhumaine et dangereuse. Personne ne devrait vivre un enfer comme ça au Québec. Ce qui arrive à Rachid, Farida et leurs quatre enfants, c’est un des exemples les plus tragiques, un des cas les plus bouleversants dont j’ai eu à m’occuper depuis que je suis député ici. C’est le visage de la crise qui sévit en ce moment à Montréal », s’est indigné Gabriel Nadeau-Dubois.

Une histoire inadmissible dans une société de droit comme le Québec

Québec solidaire presse une fois de plus la CAQ de prendre ses responsabilités face à la crise du logement et d’en faire plus pour protéger les droits des locataires, afin que les cas comme ceux de la famille Benzaï ne se reproduisent plus : 

  • Décréter un moratoire sur les rénovictions dans les secteurs frappés par la crise du logement
  • Instaurer un contrôle obligatoire des demandes d’éviction, pour que chaque projet soit évalué par le Tribunal administratif du logement.
  • Accélérer les délais pour les causes de harcèlement au Tribunal administratif du logement. 

« Aujourd’hui, c’est la famille Benzaï, mais demain ce seront d’autres si on ne fait rien. Quand des propriétaires se croient tout permis, on met en danger les gens et on brise des vies. Le Québec est une société de droit et en ce moment, on en fait pas assez pour protéger les droits des locataires. À l’approche du 1er juillet, j’espère que la CAQ prendra ses responsabilités et annoncera des mesures concrètes pour protéger le droit au logement des Québécois et Québécoises », a déclaré le porte-parole solidaire.

Le porte-parole solidaire et député de Gouin suit la situation de près, en collaboration avec l’avocate de la famille Benzaï, Me Kimmyanne Brown.