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La 20e Guignolée Dr Julien : 3 915 000 $ amassés pour les enfants en situation de vulnérabilité

La Fondation Dr Julien remercie chaleureusement tous ceux et celles qui ont participé au succès de la 20e Guignolée Dr Julien. Grâce à l’appui renouvelé de sa fidèle communauté, ce sont 3 915 000$ qui ont été amassés au profit de la pédiatrie sociale en communauté, un modèle de soins qui permet de soigner et d’accompagner les enfants en situation de vulnérabilité afin d’assurer leur mieux-être et le développement de leur plein potentiel, dans le respect de leurs droits fondamentaux. 

«La pédiatrie sociale en communauté est un vecteur de changement pour les 11000 enfants que nous accompagnons chaque année à travers le Québec. Nos donateurs en sont clairement conscients; comme en témoigne le résultat record obtenu lors de la 20e Guignolée, un exploit dans le contexte conjoncturel actuel. C’est un signal de soutien populaire fort que nous envoie toute la communauté et je remercie chacun et chacune d’entre vous du fond du cœur. Au Québec, les besoins des enfants issus des milieux vulnérables s’accentuent. Mais grâce à vous, notre rêve de bâtir un monde meilleur avec une société plus inclusive devient réel et possible.» — Dr Gilles Julien, pionnier de la pédiatrie sociale en communauté, fondateur et vice-président de la fondation qui porte son nom.

Plus en détail, la somme de 2127000 $ a été amassée au profit des trois centres affiliés à la Fondation Dr Julien : La Ruelle dHochelagaLe Garage àmusique et le CPSC d’Atlas; soit 167000 $ de plus par rapport à l’an dernier. Les 42 autres centres de pédiatrie sociale en communauté (CPSC) certifiés par la Fondation Dr Julien ont quant à eux recueilli 1787000 $ à travers le Québec.

«Le succès de cette 20e édition de la Guignolée Dr Julien témoigne de la grande force du mouvement de la pédiatrie sociale en communauté, ainsi que sa portée à travers les quatre coins du Québec. Grâce au soutien constant et renouvelé de tous ceux qui nous appuient, nous nous rapprochons de notre objectif d’offrir des soins et services directs à près de 16000enfants à travers un réseau de plus de 50 centres de pédiatrie sociale en communauté, d’ici 2028. » déclare Alexandre Lebel, directeur général de la Fondation Dr Julien.   

La pédiatrie sociale en communauté répond à un réel besoin 

Au Canada, près de 1,5 million d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté, soit un sur cinq. Au Québec, le taux de pauvreté infantile dépasse les 15 %[1]Les plus pauvres connaissent des problèmes de croissance et de développement, aussi bien physique que social, qui entretiennent la discrimination. Plus que jamais, les services prodigués par les CPSC de la Fondation Dr Julien sont indispensables.

Remerciements 

La 20e Guignolée Dr Julien doit son succès à une communauté de bénévoles, donateur·rice·s et partenaires engagés. L’équipe de la Fondation tient à remercier tout particulièrement ses employé·e·s mobilisé·e·s, ses 400 bénévoles qui ont prêté main-forte sur place, dans les centres ou à l’extérieur, aux 40 points de collecte dans la ville de Montréal, BPM Sports pour son radiothon de 5 h coanimé par Jean-Charles LajoieJoël Le Bigot, puis par Paul Houde ; Radio-Canada pour sa couverture spéciale dans Dessine-moi un matin avec Ève Christian, marraine de la Guignolée Dr Julien.

Plus de 800 personnes attendues pour le Sommet de la santé durable

Créer un événement rassembleur et inspirant pour la santé durable, voilà le défi qu’a choisi de relever l’Association pour la santé publique du Québec (ASPQ) avec le soutien de l’Association des spécialistes en médecine préventive (ASMPQ) et de multiples individus et organismes œuvrant à la promotion de la santé collective. Les 25, 26 et 27 janvier prochains, cet événement gratuit se déroulera au Musée de la civilisation de Québec et sera accessible en ligne. À ce jour, plus de 800 personnes dont de nombreuses personnalités publiques ont confirmé leur participation à ce premier Sommet de la santé durable.
Les défis de santé publique sont multiples et criants : les dommages de la pandémie, les changements de perception qui en découlent et la surcharge du système de soins ne sont que quelques exemples. L’objectif de ce Sommet de la santé durable est de réunir des voix de plusieurs milieux et disciplines afin de valoriser la prévention et la promotion de la santé, de réfléchir à leur place dans un véritable plan de santé durable pour le Québec et de bâtir des ponts pour qu’elles en ressortent plus fortes.
Une programmation attractive et des invités de marque
 
Ce premier événement entièrement consacré à la santé durable sera divisé en trois grandes thématiques, soit Ma santé, ta santé, notre santé, un segment sur Les grands défis de santé du 21e siècle et un forum d’échange appelé Bâtir la santé, un rôle pour chacun(e). Animé par Thomas Bastien, directeur général de l’ASPQ, et Hélène Laurendeau, nutritionniste bien connue des médias, ce Sommet se veut un début de discussion afin d’outiller les professionnels de la santé et le grand public de pistes pour agir collectivement aux meilleures solutions pour veiller à la promotion de la santé durable au Québec.
Parmi plus de 40 panélistes à ce Sommet, nous retrouvons:Dr Horacio Arruda, MD | Sous-ministre adjoint au ministère de la Santé et des Services sociaux, Mandats en prévention, promotion planification et protection en santé publique                        Dr Howard Njoo | Sous-administrateur en chef de la santé publique à l’Agence de la santé publique du CanadaVincent Dumez, M.Sc, C.Q. | Directeur Patient et co-directeur scientifique du Centre d’Excellence sur le Partenariat avec Patients et le PublicPierre Lavoie | Cofondateur du Grand défi Pierre Lavoie, conférencier et athlèteMartine Fortier | Responsable du Centre de promotion de la santé du CHU Sainte-JustineDre Julie St-Pierre, MD, PhD, FAHA, FRCPC | Pédiatre, lipidologue et Directrice de la Maison de Santé Prévention de MontréalDre Paule Lebel, MD | Médecin spécialiste en santé publique et médecine préventive; Médecin conseil, Équipe Personnes aînées, Équipe Participation citoyenne, Secteur Environnements urbains et santé des populations, Direction régionale de santé publique CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-MontréalDr Mélissa Généreux, MD | Médecin spécialiste en santé publique, médecin-conseil au CIUSSS de l’Estrie – CHUSDr Réjean Hébert, MD, MPhil | Professeur associé à l’École de santé publique de l’Université de Montréal, médecin-conseil, chercheurSarah Berkane | Directrice des programmes SMET, Groupe Entreprises en santé

Prévention alcool au volant: des statistiques intéressantes

Au cours des 2 derniers mois, Alco Prévention Canada, membre de l’organisme à but non lucratif du Regroupement de la conduite responsable du Canada ( RCRC),  était présent dans plus de 300 partys de bureau. Un peu plus de 30 000 tests ont été effectués lors  de ces événements.  À chaque occasion, un technicien était sur place et faisait passer aux volontaires un test d’alcoolémie. Plus de 35 % des tests ont révélé que les consommateurs étaient au dessus de la limite légale et fait étonnant, plus de la moitié ne s’en doutait pas. Sans la présence d’un détecteur d’alcool, ces mêmes consommateurs auraient pris la route. 10 % ont révélé un taux entre 50 et 79 mg/100 ml de sang et 55 % des tests étaient en dessous de 49 mg/ 100 ml de sang. Ce sont des chiffres comparables à 2019.

Les chiffres dévoilés par Alco Prévention Canada viennent  confirmer un fait indéniable : mieux vaut se tester avec un éthylotest fiable avant de prendre le volant. Comme un odomètre évalue la vitesse, un détecteur d’alcool devient un outil indispensable pour l’amélioration de la sécurité routière. L’État du Colorado aux États-Unis et le France prônent désormais l’utilisation des éthylotests.  Plusieurs campagnes ont lieu un peu partout dans le monde sous le thème KNOW BEFORE YOU GO.  En France les corps policiers distribuent même des éthylotests à usage unique lors des barrages afin de promouvoir la prévention. Consultez article ici

« Les consommateurs sont très surpris des résultats. La plupart du temps, les consommateurs dépassent la limite par moins de 30 mg/ 100 ml de sang mais les conséquences sont tout aussi néfastes. Il y a quelques années, les consommateurs dépassaient par beaucoup plus. Il reste évident que l’on ne peut pas se fier à son seul jugement. Les consommateurs doivent utiliser des outils comme des détecteurs d’alcool afin de prendre des décisions raisonnables » de mentionner Eric Ferron, directeur communication chez Alco Prévention Canada. Trop souvent on entend dire ” Je pense que je suis correct…”. A tort évidemment. 

Les éthylotests sont maintenant disponibles au Québec un peu partout. En plus de l’Alco-Tube Plus, un test d’alcoolémie à usage unique listé par la Food and Drug Administration( FDA) vendu dans les SAQ,   Alco Prévention Canada offre des solutions intéressantes et éthiques comme des locations de détecteur d’alcool pour des événements corporatifs et des appareils électroniques à usage personnel entre autres. Les détecteurs d’alcool numériques répondent aussi à un besoin précis. « Il n’y a plus aucune raison de prendre la route avec les facultés affaiblies avec toutes les mesures offerts aux consommateurs » a conclu M. Ferron. 

Pour information 1-888-863-8660  ou visitez le www.alcoprevention.com

1,35 M$ pour la santé et le bien-être des enfants en situation de grande vulnérabilité

La 20e Guignolée de la Fondation Dr Julien permet d’amasser plus de 1,35 M$ au profit de ses trois centres de pédiatrie sociale en communauté affiliés[1]. Ce premier décompte partiel ne comprend pas encore les résultats des activités de Guignolée des plus de 40 centres de pédiatrie sociale en communauté (CPSC) qui sont situés dans les communautés les plus vulnérables, aux quatre coins de la province. Rappelons que la collecte se poursuit jusqu’au 15 janvier 2023.

Cette 20e Guignolée a été incroyable ! La ferveur populaire était palpable et la journée a été un véritable succès. C’est avec le soutien et la mobilisation de toute la communauté que nous pourrons poursuivre notre mission de première ligne et aider de plus en plus d’enfants en situation de grande vulnérabilité. Alors que le contexte actuel n’est facile pour personne, la générosité des Québécois et Québécoises a de nouveau été au rendez-vous. C’est un signal fort que nous envoie la population et cela nous donne l’énergie nécessaire pour continuer à bâtir un monde meilleur pour nous enfants, dans le respect de leurs droits fondamentaux » — Dr Gilles Julien, pionnier de la pédiatrie sociale en communauté, fondateur et vice-président de la fondation qui porte son nom.

 
20 ans d’engagement et une croissance fulgurante

En 2002, la toute première Guignolée ressemblait à une petite fête de quartier, populaire et rassembleur. Les gens venaient passer un bon moment dans le petit local du Dr Gilles Julien au 1600 rue Aylwin, l’encourager dans son œuvre et lui témoigner leur reconnaissance. 

À peine 20 ans plus tard : 

  • Plus de 400 bénévoles se mobilisent à Montréal le jour de la Guignolée ; 
  • Il existe 44 centres de pédiatrie sociale en communauté affiliés à la Fondation Dr Julien ; la majorité organise également leur propre Guignolée ; 
  • Les fonds amassés sont passés d’environ 1000 $ à 1,35 M$, sans compter les montants récoltés par le reste du réseau des centres de pédiatrie sociale en communauté ; 
  • Au grand total, un réseau de 615 professionnels transforme les vies de plus de 10000 enfants chaque année, dans les communautés les plus vulnérables du Québec

 D’ici 2028, la Fondation Dr Julien prévoit d’offrir des soins et services directs à plus de 16 000 enfants à travers un réseau de 56 Centres de pédiatrie sociale en communauté.

La pédiatrie sociale en communauté répond à un réel besoin

Au Canada, près de 1,5 million d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté, soit un sur cinq. Au Québec, le taux de pauvreté infantile dépasse les 15 %[2]Les plus pauvres connaissent des problèmes de croissance et de développement, aussi bien physique que social, qui entretiennent la discrimination. Plus que jamais, les services prodigués par les CPSC de la Fondation Dr Julien sont indispensables.

Un don local pour une action locale

L’agent récolté par chacun des centres du Réseau permet de financer les soins prodigués dans sa propre communauté. Ces soins incluent des suivis médicaux, juridiques, psychosociaux, psychoéducatifs et éducatifs ; des thérapies innovantes (art-thérapie, ergothérapie et musicothérapie) ; et des services spécialisés (orthophonie, psychologie, pédopsychiatrie et neuropsychologie). À la suite d’un plan d’action établi en clinique, diverses activités sportives et culturelles (camps de vacances, cours de conduite, théâtre, spectacles, etc.) sont également offertes aux enfants dans un but thérapeutique et constructif.

Pour faire un don à la Fondation Dr Julien ou à un centre de pédiatrie sociale local[3] :

  • https://guignoleedrjulien.org
  • 1 855 DRJULIEN (1 855 375-8543)
  • Postez un chèque à Fondation Dr Julien (4765 Sainte-Catherine Est, Montréal, QC, H1V 1Z5) ou directement à l’un des centres de votre communauté.

Remerciements

La 20e Guignolée Dr Julien doit son succès à une communauté de bénévoles, commanditaires et partenaires engagés. L’équipe de la Fondation tient à remercier tout particulièrement ses employé(e)s mobilisés, ses 400 bénévoles qui ont prêté main-forte sur place, dans les centres ou à l’extérieur, aux 40 points de collecte dans la ville de Montréal, BPM Sports pour son radiothon de 5 h coanimé par Jean-Charles Lajoie, Joël Le Bigot, puis par Paul Houde ; Radio-Canada pour sa couverture spéciale dans Dessine-moi un matin avec Ève Christian, marraine de la Guignolée Dr Julien. 

À propos de la Fondation Dr Julien

Grâce à son modèle unique de pédiatrie sociale en communauté, la Fondation Dr Julien forme, accompagne et certifie un réseau de professionnel·le·s en pédiatrie sociale, pour qu’un maximum d’enfants vulnérables puisse grandir en santé, dans le respect de leurs droits fondamentaux.

Chaque année, la Fondation Dr Julien vient en aide à plus de 10000 enfants défavorisés à travers le Québec, grâce à plus de 40 centres de pédiatrie sociale en communauté.

Soutenir et promouvoir la cohabitation intergénérationnelle

Radio Canada[1] nous rapporte ce matin l’initiative au Québec de cinq projets de cohabitation entre des maisons des aînés et des garderies. En effet, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) louera un espace à des centres de la petite enfance (CPE) dans cinq nouvelles maisons des aînés. Intergénérations Québec se réjouit vivement de la mise en place de ces projets. Notre organisme défend depuis plusieurs années déjà la mise en place d’initiatives de cohabitation intergénérationnelle.  

En 2018, le Forum qui a eu lieu durant la Semaine québécoise intergénérationnelle (SQI) traitait déjà de cette thématique. Nous y avions abordé la cohabitation comme outil de décloisonnement des générations. Quatre expériences de cohabitation intergénérationnelle y ont été discutées dans un panel selon leurs caractéristiques et leurs défis. Nancy Gaudet, la présidente de Manoir Soleil (CHSLD privé) était ainsi présente.

Depuis plus de 25 ans, ce CHSLD accueille dans ses locaux la garderie familiale Aux P’tits Rayons. A l’occasion de la SQI en mai 2022, nous avions d’ailleurs diffusé le documentaire « Les vieux copains »[2]. Le réalisateur, Loïc Guyot, a filmé dans l’établissement la cohabitation entre enfants et personnes âgées. 

De plus, en mai 2020, nous avons rédigé une lettre ouverte avec plusieurs organismes ayant pour mission de jumeler des aînés seuls avec de jeunes adultes en recherche de logement. Publiée lors du premier confinement, cette lettre revenait sur le logement intergénérationnel comme alternative mutuellement bénéfique. En effet, cette pratique résout à la fois le problème du logement étudiant et celui de l’assistance aux personnes âgées. Par la proximité et le lien qu’il crée entre jeunes et aînés, le logement intergénérationnel contribue au dialogue entre les générations et à la lutte contre les préjugés et l’âgisme. 

Aujourd’hui, notre travail de sensibilisation continue. Nous élaborons d’ailleurs actuellement un livre présentant les bienfaits de la cohabitation intergénérationnelle. Ce livre recueillera le vécu de groupes et de personnes vivant la cohabitation intergénérationnelle au quotidien. Intergénérations Québec se réjouit donc que le MSSS développe ces initiatives. Nous espérons que cette annonce n’est que le début de la mise en place d’autres projets de la part des pouvoirs publics. La cohabitation intergénérationnelle est une solution efficace pour un Québec ouvert, inclusif et solidaire. Aidons-la ! 

[1] Article de Radio Canada : Québec veut faire cohabiter des maisons des aînés avec des garderies, publié le 12/12/2022 et écrit par Thomas Gerbet[2] Les vieux copains de Loïc Guyot (2019), 47 minutes
Pour visionner le documentaire : https://www.tv5unis.ca/videos/les-vieux-copains­

Lancement du concours de la Semaine québécoise intergénérationnelle 2023

Intergénérations Québec lance la nouvelle édition du concours de la Semaine québécoise intergénérationnelle, qui valorise et promeut les initiatives favorisant le rapprochement entre les générations à travers la province. Comme chaque année, les six projets lauréats seront récompensés par des bourses de 1000 $ offertes grâce à la générosité de la Fondation Luc Maurice.

Le concours est ouvert à tous les organismes et institutions à but non lucratif ou individus ayant mis en place un projet intergénérationnel entre avril 2022 et mars 2023. Il leur suffit de s’inscrire avant le dimanche 26 février 2023 en remplissant le formulaire d’inscription directement sur le site internet d’Intergénérations Québec.

‍Véritable tremplin pour les projets qui nouent des liens entre les générations, la Semaine québécoise intergénérationnelle a déjà permis à de multiples organismes de faire connaître leurs activités. Sa prochaine édition se tiendra du 21 au 27 mai 2023. Les lauréats du concours y seront dévoilés et récompensés.

En 2022, six initiatives de Montréal, des Laurentides, de Québec, de la Côte Nord et de Laval ont été récompensées. En 2023, pourquoi ne pas mettre en valeur votre projet et votre région?

Le Festival de la Poutine remet 25 276 $ aux organismes de la région

L’organisation du Festival de la Poutine remet un don totalisant 25 276 $ à différents organismes de la région de Drummondville, soit un montant record en 15 ans! Ce geste est rendu possible grâce à la générosité des festivaliers.ères et au grand cœur de ses bénévoles. 

Un festival impliqué dans sa communauté 

Depuis sa fondation, le Festival de la Poutine, en collaboration avec les bénévoles qui gèrent les différents bars du site, remet tous les pourboires amassés lors de l’événement à différents organismes de la région. En 15 ans, ce sont plus de 160 960 $ qui ont été remis. L’organisation tient à souligner le soutien inestimable des festivaliers.ères qui se sont manifesté.e.s en très grand nombre au fil des années, mais également l’apport des bénévoles qui ont toujours offert un service impeccable. Ce sont d’ailleurs les gens derrière le bar qui déterminent à qui sera remis la somme des pourboires, ce qui rend le geste encore plus significatif. Sur la liste des organismes qui ont pu profiter des donations on peut lire; Centraide Centre-du-Québecla Maison Marie-Rivierla Fondation Christian-Vachonl’École à l’Orée des Boisla Fondation Hériot/Ste-CroixRESED de l’UQTRle Club de hockey Cascades AAA et la Fondation René-Verrier.

« C’est important pour nous de pouvoir redonner à notre communauté. Il y a une grande histoire d’amour entre le Festival, les bénévoles et les festivaliers. À la fin de la journée, nous formons une seule et même grande gang qui souhaite une chose : avoir beaucoup de plaisir. Les retombées positives dans notre région augmentent notre sentiment de satisfaction à la fin de chaque édition », souligneSimon Proulx, directeur général.  

Un 15e anniversaire extraordinaire!

Près de 30 000 festivaliers ont célébré le 15e anniversaire du Festival de la Poutine de Drummondville au Centre Marcel-Dionne! Après une édition pandémique en 2021, le retour à la formule optimale cette année avec 2 scènes, 19 concerts, et 10 poutiniers a été couronné de succès! Record d’assistance un jeudi soir depuis la fondation du Festival, un vendredi à guichets fermés et un samedi près de la pleine capacité. Les préparatifs vont bon train pour l’édition 2023.

Des partenaires précieux 

Le Festival de la Poutine est heureux de souligner l’apport de SOPREMA, présentateur officiel de l’événement ainsi que Ville de DrummondvilleDesjardinsLoto-QuébecHydro-QuébecTourisme Québec et Patrimoine Canada. Mentionnons aussi l’appui de Canimex et de Québecor. Un grand merci également aux bénévoles qui contribuent au succès de cet événement depuis sa fondation. 

Braver les tempêtes: histoire d’un jeune de la DPJ très inspirant

À 12 ans, Jacques vit isolé. Ses parents ont de graves problèmes de consommation. Souvent, il reste seul à la maison durant des semaines et doit rationner sa nourriture. Jacques est une force de la nature. Il a une volonté à toute épreuve. Mais il arrive que même les géants se brisent. Voici la touchante histoire d’un jeune homme courageux, soutenu grâce aux donateurs de la Fondation des jeunes de la DPJ, qui a su faire preuve d’une extrême résilience à travers les tempêtes.

« À 12 ANS, J’AVAIS PEUR ET J’ÉTAIS AFFAMÉ »

Jacques est un enfant balloté d’un déménagement à l’autre, dans des appartements insalubres où l’alcool fait des ravages. Après le départ de sa mère, il habite chez son père, qui s’absente de la maison pour de longues périodes.

« Mon père me laissait seul pendant 2 ou 3 semaines. J’ai souvent perdu connaissance à l’école parce que je n’avais pas mangé. Parfois, tout ce que je consommais, c’était un jus d’orange le matin. À 12 ans, j’avais peur et j’étais affamé! »

L’ÉCOLE COMME UN PHARE

Jacques est pris en charge par la DPJ à 14 ans. Il est placé en foyer de groupe. C’est un choc terrible : il réalise que jusque-là, sa vie n’avait rien de « normal ». Il prend conscience de la solitude, la négligence et l’abandon. Bien que l’adaptation à la vie en groupe ne soit pas facile, il rencontre des intervenants qui prennent le temps de l’écouter et de répondre à toutes ses questions.

La seule constante dans la vie de Jacques, c’est l’école. Mais ses nombreuses absences mettent sa réussite en péril. Des cours d’été et de fin de semaine sont nécessaires pour rattraper le retard accumulé. En 3e secondaire, une enseignante détecte son potentiel et l’inscrit au programme international de son école. C’est un point tournant dans son histoire. Pour la première fois, il est entouré de jeunes qui lui ressemblent et qui partagent ses intérêts. Pour la première fois, Jacques se sent accepté et compris.

En terminant le cégep, il soumet sa candidature à l’université. Il reçoit la lettre tant attendue : il est bel et bien accepté en génie physique. Son rêve de devenir ingénieur pour contribuer à la lutte aux changements climatiques prend forme.

UNE CHUTE INATTENDUE

Étant habitué à vivre de catastrophe en catastrophe, Jacques est constamment en « mode survie ». C’est au moment où tout semble enfin se placer pour lui, qu’il s’effondre.

« Le stress des études, les charges financières et les souffrances que je n’avais pas réglées ont eu raison de ma santé mentale. J’ai annulé des cours et j’ai fini par quitter l’université. J’aurais préféré ne pas avoir à le faire, mais ce n’était pas possible de mener toutes les batailles de front. »

Il plonge dans une profonde dépression. Jacques doit alors faire un important travail pour comprendre et accepter ses blessures. Il suit une thérapie qui l’aide à surmonter ses traumatismes. Ne voulant pas perdre son objectif de vue, il s’inscrit au certificat en informatique. Moins exigeant que le BAC en génie, ce diplôme lui permet d’ajouter une corde à son arc, mais surtout de rester dans le rythme des études.

BIEN PLUS QU’UN SOUTIEN FINANCIER

Jacques a beau travailler à temps plein, le coût de la vie actuelle et les dettes d’études accumulées sont un fardeau supplémentaire. Heureusement, grâce au programme de persévérance scolaire de la Fondation des jeunes de la DPJ, il reçoit toute l’aide nécessaire pour lui permettre de se concentrer sur ses études.

Aujourd’hui, Jacques se porte mieux. Il n’a jamais abandonné son rêve, même dans les moments les plus sombres.

« Mon objectif est de réintégrer mes études en génie à l’automne prochain. Cette fois-ci, je suis beaucoup mieux outillé. Je ne serai plus seul. Je sais que la grande famille de la Fondation des jeunes de la DPJ est là pour m’aider. C’est plus qu’un soutien financier. C’est un soutien moral. Et ça, ça fait toute la différence! »

Une aide à Montréal et ailleurs au Québec

Pour soutenir les jeunes de la DPJ, rendez-vous au FONDATIONJEUNESDPJ.CA

Portons l’espoir pour les jeunes de la DPJ

Pandémie, inflation, crise du logement… ces enjeux nous ont collectivement marqués et ont frappé de plein fouet les plus vulnérables de notre société. En tête de cette triste liste se trouvent les jeunes de la DPJ. À l’approche des Fêtes, la Fondation des jeunes de la DPJ lance sa campagne de Noël pour rappeler qu’il est urgent de se mobiliser pour ces 40 000 jeunes qui ont besoin de soutien, dès maintenant et pour toute l’année.

À Noël, offrons-leur le plus beau cadeau : se réaliser

« Quand un jeune ne croit plus en ses capacités, il faut que nous portions l’espoir pour lui », rappelle Anaïs Favron, porte-parole de la Fondation. « Lorsqu’on a vécu la négligence, la violence et les abus, il faut beaucoup de courage pour croire en soi, en sa propre valeur. Notre devoir est d’agir pour ces jeunes! C’est ce que la Fondation propose : chasser ce sentiment d’impuissance qui nous habite devant la détresse des jeunes de la DPJ et se mettre en action pour eux! »

Actuellement, un jeune sur trois qui sort d’un placement avec la DPJ connaîtra au moins un épisode d’itinérance avant l’âge de 21 ans*. Comment trouver sa voie lorsqu’on porte en nous des souffrances immenses? Il faut que d’autres y croient

à notre place et nous soutiennent.

Les défis des derniers mois ont fait exploser le nombre de demandes d’aide adressées à la Fondation. La générosité et la mobilisation de la communauté sont nécessaires pour pouvoir y répondre.

« Aucun étudiant ne devrait avoir à choisir entre se bâtir un avenir ou abandonner l’école pour payer son loyer. Aucun jeune ne devrait se dire : J̏ e serais sûrement capable, mais je n’ai personne pour m’aider à réussir ̋. Les jeunes de la DPJ ont le droit, eux aussi, de rêver à un avenir où tout est possible. La Fondation est là pour répondre à leurs besoins et leur rappeler qu’ils ne sont pas seuls », explique Anaïs Favron.

Se relever les manches et en faire plus!

En 2022 au Québec, 1 jeune de la DPJ sur 4 quittant le système de protection de la jeunesse à sa majorité, a reçu l’aide de la Fondation. L’organisme a également distribué deux fois plus d’aide alimentaire aux jeunes de la DPJ et aux familles en difficulté.

« Les effets dévastateurs de la pandémie sur les jeunes, et en particulier sur leur santé mentale, nous oblige à nous relever les manches et à faire plus! », explique Fabienne Audette, directrice générale de la Fondation des jeunes de la DPJ. « Chaque jour des intervenants nous interpellent pour leur apporter un soutien supplémentaire afin de réduire leur stress, leur anxiété, leur offrir des thérapies adaptées, etc. Cette année seulement, la Fondation a dédié

36 % des fonds alloués à ses programmes pour favoriser la santé mentale des jeunes de la DPJ. Les besoins qui nous sont exprimés sont énormes et l’urgence d’y répondre est bien réelle! »

La Fondation Dr Julien lance un appel à la générosité
pour garantir aux enfants vulnérables un avenir en santé

La Fondation Dr Julien lance la 20e édition de la Guignolée Dr Julien au profit de la pédiatrie sociale en communauté, un modèle de médecine sociale qui permet aux enfants issus de milieux défavorisés de grandir en santé. L’appel aux dons débute dès aujourd’hui et se poursuit jusqu’au 15 janvier 2023.

« De plus en plus d’enfants sont confrontés à l’adversité dès leur plus jeune âge. Pauvreté, instabilité, insalubrité, toxicomanie font partie du quotidien de la majorité des enfants que nous soignons. Grandir dans ces conditions entraine des conséquences délétères sur leur santé mentale et cognitive, en plus de compromettre leur avenirAvec l’inflation, les inégalités sociales sont exacerbées et leurs besoins grandissants. Aidez-nous à leur donner les meilleurs soins pour construire des enfants en santé qui deviendront des adultes en pleine possession de leurs moyens. Donnez à la Guignolée Dr Julien», déclare le Dr Gilles Julien, pionnier de la pédiatrie sociale en communauté, fondateur et vice-président de la fondation qui porte son nom.

La pédiatrie sociale en communauté répond à un réel besoin 

Parmi les familles suivies en pédiatrie sociale : [1]

  • 58 % des familles comptent 2 parents sans emploi ;
  • 44 % des familles sont monoparentales ;
  • 59 % des familles comptent 2 enfants ou plus vivant à domicile ;
  • 67 % des enfants présentent 2 difficultés ou plus au moment de leur accueil dans les services, en plus des problèmes physiques.

« Dr Julien et toute son équipe ont changé ma vie, et celles de milliers de personnes à Hochelaga. À la maison, ce n’était pas toujours tout rose. Mes visites à La Ruelle[2] m’ont beaucoup aidée pour passer au travers. Petit à petit, mes différents problèmes de comportement se sont estompés. Aujourd’hui, je suis fière de tout le chemin que j’ai parcouru », témoigne Karoline, une jeune femme de 31 ans qui a reçu un suivi en pédiatrie sociale dès l’âge de 2 ans, et jusqu’à ses 18 ans.

Aujourd’hui, elle vit avec son fils, dans Hochelaga-Maisonneuve, le quartier où elle a grandi. Pour elle, Hochelaga n’est pas un quartier de « BS », comme on l’entend parfois. Au contraire, c’est un quartier riche et authentique ; avec son lot d’inégalités et d’adversité, certes, mais surtout avec beaucoup d’amour. Cette richesse, le quartier la doit en grande partie au Dr Gilles Julien et à la pédiatrie sociale en communauté, explique-t-elle.

 

Au total, plus de 40 centres participeront à la Guignolée 

La Fondation accompagne un réseau toujours croissant d’équipes et de centres de pédiatrie sociale en communauté (CPSC) qu’elle forme et certifie. À ce jour, ce sont 44 centres qui sont actifs au Québec et qui rejoignent ensemble annuellement plus de 10000 enfants aux prises avec des conditions de vie difficiles. La plupart de ces centres tiendront aussi leur propre guignolée le samedi 10 décembre 2022

Consultez la liste complète : https://guignoleedrjulien.org/  

D’ici 2028, la Fondation Dr Julien prévoit d’offrir des soins et services directs à plus de 16 000 enfants à travers un réseau de 56 Centres de pédiatrie sociale en communauté (CPSC). 

À ne pas manquer

Le samedi 10 décembre : la grande journée de collecte

Pour souligner les 20 ans de la Guignolée, la programmation du samedi  10 décembre s’annonce riche en activités, avec entre autres un radiothon de 5 heures, co-animé par JiC et Joël Le Bigot, puis par Paul Houde, en direct de BPM Sports ; une couverture spéciale sur les ondes d’ICI Première dans l’émission Dessine-moi un matin ; le traditionnel match de hockey-bottines au Garage à Musique ; de multiples points de collecte aux 4 coins de Montréal et des activités dans la plupart des centres du réseau au Québec.

La campagne de la 20e Guignolée Dr Julien : en ligne du 15 novembre 2022 au 15 janvier 2023

Pour faire un don à la Fondation Dr Julien ou à un centre de pédiatrie sociale local :

  • https://guignoleedrjulien.org
  • 1 855 DRJULIEN (1 855 375-8543)
  • Postez un chèque à Fondation Dr Julien (4765 Sainte-Catherine Est, Montréal, QC, H1V 1Z5) ou à l’un des centres de votre communauté.

À propos de la Fondation Dr Julien

Grâce à son modèle unique de pédiatrie sociale en communauté, la Fondation Dr Julien forme, accompagne et certifie un réseau de professionnel·le·s en pédiatrie sociale, pour qu’un maximum d’enfants vulnérables puisse grandir en santé, dans le respect de leurs droits fondamentaux.

Chaque année, la Fondation Dr Julien vient en aide à plus de 10000 enfants issus de milieux défavorisés grâce à plus de 40 centres de pédiatrie sociale en communauté.