LA CHANTEUSE QUÉBÉCOISE ALEXIANE SIGNE LA CHANSON OFFICIELLE DES NATIONS UNIES,BLUE HEARTS 

Dans le cadre de la campagne internationale contre la traite des êtres humains

« Je suis honorée de participer à la campagne Blue Heart des Nations Unies, une importante initiative de sensibilisation internationale à la lutte contre la traite des êtres humains. J’ai écrit la chanson Blue Hearts en pensant aux victimes des horreurs de la traite, le sort des sans-voix et en particulier des enfants de cette cause, » affirme la chanteuse native de Montmagny et résidente de Montréal, qui a présenté son premier album Into the Sun, une pop-alternative sans frontières coproduite avec Carla Bruni, l’automne dernier. Alexiane a récolté un titre platine en Russie avec le remix de A Million On My Soul, pièce-titre du film Valerian and the City of a Thousand Planets de Luc Besson, son grand succès planétaire totalisant plus de 60,000,000 de streaming toutes plateformes confondues.

Le 30 juillet est la Journée mondiale contre la traite des êtres humains. À cette occasion, Alexiane a été invitée par les Nations Unies à se rendre au Sénégal. Elle participera à la conférence et au lancement de la campagne Blue Heart. Cette prestigieuse collaboration marque une nouvelle étape dans la carrière internationale d’Alexiane qui ne cesse de connaître du succès autant en Europe qu’en Turquie, par exemple. Ses 5 millions d’écoutes sur Shazam la classe en 54ième position au monde. Peu d’artistes québécois ont connu un aussi grand succès international qu’elle au cours des dernières années, et son parcours tient du conte de fées. Son premier album est distribué par Universal Music et sa carrière est sous l’égide de la réputée maison de gérance #NP de Pascal Nègre, figure de proue de la scène musicale européenne.

Les Nations Unies ont déclaré « le Blue Heart comme étant le symbole international contre la traite des êtres humains, représentant la tristesse de ceux qui sont victimes de la traite tout en nous rappelant la froideur de ceux qui achètent et vendent d’autres êtres humains. La campagne permet aux gens de montrer leur solidarité envers les victimes de la traite des êtres humains. » « Étant en partie sénégalaise, j’ai senti qu’il était important d’incorporer le Wolof dans ma pièce car j’espère que ma chanson non seulement sensibilisera davantage à cette cause importante, mais motivera également les gens à se joindre à la campagne pour arrêter les horreurs de la traite et aider ceux qui sont touchés. Avec Blue Hearts, j’espère inspirer les autres à faire preuve de solidarité et à inciter au changement pour lutter contre ce problème, » déclare Alexiane.

Alexiane Silla a grandi au Sénégal et a vécu sa jeunesse entre Paris et Montréal, où elle a décroché un baccalauréat en économie à l’Université McGill. Par la suite, elle a étudié à UCLA, prestigieuse université de Los Angeles, dans le programme Music Business & Music production. Alexiane, auteure-compositeure-interprète et productrice, a fondé sa propre maison de disques, Gion Records, et s’implique dans toutes les sphères de la réalisation de ses chansons.

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L’Association québécoise des endeuillés du suicide dépose une demande à la Cour supérieure pour exercer une action collective

Une demande d’autorisation pour exercer une action collective à la Cour supérieure est déposée ce matin au greffe du palais de justice de Montréal par la firme Larochelle Avocats au nom de L’Association québécoise des endeuillés du suicide, Marcel Duchesne et Josée Bilodeau, demandeurs et personnes désignées.

Les demandeurs désirent intenter une action collective pour « tous les parents et héritiers des personnes qui se sont suicidées depuis le 1er janvier 2019 à titre d’ayants droit et à titre personnel ».

L’Association québécoise des endeuillés du suicide regroupe les personnes endeuillées du suicide de toutes les régions du Québec qui dénoncent la piètre qualité des services de santé et services sociaux qui sont prodigués aux personnes nécessitant de l’assistance pour trouble mental et idées suicidaires.

Quatre-vingt-dix (90) % des personnes qui décèdent du suicide souffrent d’un trouble mental. Au Québec, le suicide est devenu au cours des quatre dernières décennies un grave problème de santé publique et un important enjeu de société.

QS s’engage à rendre la pilule abortive accessible partout

Alors que la Cour Suprême des États-Unis a invalidé Roe c. Wade et renvoyé la société américaine 50 ans en arrière, Québec solidaire prend l’engagement de rendre la pilule abortive disponible à toutes les femmes partout au Québec dès son arrivée au pouvoir. 

“Pendant que les États-Unis reculent, le Québec doit avancer! Au Québec, on doit continuer d’avancer pour permettre aux femmes d’être en plein contrôle de leur vie, de décider si et quand elles veulent des enfants, mais également d’avoir le choix du moyen pour interrompre leur grossesse en fonction de leur situation et de leur besoin. C’est pourquoi nous nous engageons à rendre la pilule abortive accessible à toutes les personnes qui désirent utiliser cette option au Québec”, a affirmé Manon Massé, coporte-parole de Québec solidaire. 

Forcer le Collège des médecins à faciliter l’accès à la pilule abortive 

Pour demeurer un modèle en matière d’accès à l’avortement, le Québec doit agir. La pilule abortive a fait son entrée au Canada en 2017, mais seulement 7 % des avortements pratiqués au Québec se font par médicament, comparativement à jusqu’à 50% dans d’autres provinces canadiennes. Cela s’explique en partie par l’obstination du Collège des médecins du Québec (CMQ) à maintenir des barrières à l’avortement par médicaments.

“Le Québec est la seule province où les médecins doivent suivre une formation théorique et pratique en plus de procéder systématiquement à une échographie pour prescrire la pilule abortive. On ne passera pas par quatre chemins: avec sa position, le Collège limite l’accès à l’avortement en privant les femmes d’une option”, souligne la Dre Isabelle Leblanc, médecin de famille et candidate pour Québec solidaire dans Mont-Royal-Outremont, rappelant que le déploiement de la pilule abortive ne doit pas se faire au détriment des autres méthodes d’avortement.

Santé Canada avait imposé ces restrictions lors de l’introduction de la pilule abortive, mais les a levées depuis: il n’y a aujourd’hui aucune raison scientifique pour maintenir de telles restrictions au Québec. 

“Devant la montée du conservatisme, un gouvernement de Québec solidaire exigerait du Collège des médecins une révision de sa position afin de lever les barrières qui n’existent nulle part ailleurs. À Québec solidaire, nous ne nous contentons pas de protéger les droits fondamentaux des femmes, mais aussi de les faire avancer. Faciliter l’accès aux différentes modalités d’interruption de grossesse au Québec envoie un message fort en faveur du droit des femmes de choisir”, a conclu Mme Massé. 

Une saison estivale signée Mangeons local plus que jamais!

Cet été, les animateurs Marie-Eve JanvierVanessa Pilonet Rémi-Pierre Paquin, ainsi que la créatrice culinaire Lindsay Brun se joignent à l’Union des producteurs agricoles (UPA) pour inviter les Québécoises et les Québécois à une foule d’activités sur les fermes du Québec grâce à l’application Mangeons local!
Après plus de 33 000 téléchargements depuis son lancement, l’application poursuit sa lancée et devient cette année le guichet par excellence pour planifier ses sorties agroalimentaires à travers le Québec.Alors que les festivals et événements émergent d’une longue léthargie provoquée par la crise sanitaire, les fermes du Québec prennent part à cette nouvelle effervescence tant attendue en ouvrant leurs portes aux petits curieux et aux grands gourmands.
Les Portes ouvertes Mangeons local : une formule remaniée, tout l’été!

Après deux années de pause, la formule des portes ouvertes sur les fermes a été revisitée : elle prend maintenant racine sous l’égide du mouvement Mangeons local plus que jamais! Les Portes ouvertes Mangeons local se tiendront désormais de la fin juillet à la mi-septembre, sur une trentaine de fermes, et elles seront répertoriées dans un calendrier d’activités disponible dans l’application Mangeons local. Ainsi, les producteurs hôtes pourront faire visiter leurs fermes en tenant compte de la saisonnalité de leurs récoltes.Ayant découvert les attraits du tourisme interrégional et le plaisir d’acheter local pendant la pandémie, les Québécoises et Québécois en redemandent. Grâce à ce calendrier, ils pourront planifier leurs escapades estivales pour sillonner notre magnifique territoire à la recherche de ces rendez-vous inégalables avec des producteurs passionnés. Au programme : visites animées, dégustations, découverte des animaux, ateliers, autocueillette, etc.
« Les productrices et producteurs agricoles du Québec ont bénéficié d’une reconnaissance renouvelée ces dernières années. Les activités proposées aux Québécoises et Québécois par le biais de l’application et des Portes ouvertes Mangeons local, qui reviennent après deux ans d’absence, misent sur cet engouement exceptionnel pour l’achat local et les produits de chez nous. Une occasion idéale de poser un geste citoyen important et d’encourager celles et ceux qui nous nourrissent chaque jour! »Martin Caron, président général de l’Union des producteurs agricoles
Afin de gérer plus adéquatement l’affluence et pour pallier d’éventuels imprévus liés à la météo ou à l’évolution de la situation sanitaire, les Portes ouvertes Mangeons local nécessiteront une inscription préalable en ligne, bien que l’entrée demeure gratuite pour tous les participants. D’autres activités et événements à vocation agroalimentaire se grefferont au calendrier en collaboration avec de nombreux partenaires du secteur.
Kasscrout prend la route des vacances!
Manger local, ça s’apprend dès le plus jeune âge! Pour sensibiliser les enfants au chemin que parcourent les aliments, de la ferme à la table, l’UPA a développé en 2020 le jeu vidéo ludo-éducatif Kasscrout. L’an dernier, un kiosque d’animation dérivé de sa version en ligne a été proposé dans divers marchés publics et a charmé de multiples familles.
Cet été, les animations Kasscrout seront plus nombreuses pour agrémenter de couleurs éclatantes et de fous rires d’enfants les marchés, expositions agricoles, événements, festivals et camps de jour à travers la province. Ces animations seront elles aussi affichées au calendrier d’activités de l’application Mangeons local.
Faire ses emplettes au Québec… et faire le plein de découvertes!
Si l’ajout du calendrier offre de nouvelles fonctionnalités qui plairont aux excursionnistes, l’application Mangeons local continue d’être un outil de choix pour s’approvisionner au quotidien. Sa carte géolocalisée comprend maintenant plus de 1 500 points de vente : fermes, marchés publics, transformateurs et restaurants participant au programme Aliments du Québec au menu.
De plus, grâce à une nouvelle collaboration avec l’Association des microbrasseries du Québec, des microbrasseurs offrant une salle à manger ou un comptoir de dégustation ont été ajoutés à la carte cette année. Tous ceux qui possèdent une fiche dans l’application intègrent au minimum 50 % de grains québécois à leurs recettes.Finalement, des circuits thématiques élaborés avec les forces vives de chaque milieu sont suggérés aux usagers. Il est aussi possible de créer un itinéraire personnalisé en fonction de ses points de vente favoris. Pour celles et ceux qui préfèrent les escapades spontanées, l’application peut être paramétrée afin de recevoir ponctuellement des propositions de visites au fil de ses déplacements à travers le Québec.
Quatre ambassadeurs sur les fermes du Québec

À l’image de l’an dernier, quatre ambassadeurs effectueront des tournées dans diverses régions du Québec, avec les médias et les partenaires régionaux, pour aller à la rencontre des producteurs. Rémi-Pierre Paquin visitera le Bas-Saint-Laurent, Vanessa Pilon se rendra dans la Capitale-Nationale, Marie-Eve Janvier sillonnera la Montérégie et elle se joindra à la créatrice culinaire Lindsay Brun pour découvrir les attraits de Lanaudière.Si Marie-Eve est une complice de longue date de l’UPA, les trois autres ambassadeurs s’associent au mouvement dans le cadre d’une collaboration avec Télé-Québec, puisqu’ils seront à la barre de l’émission À boire et à manger, prévue sur nos écrans cet automne.Lindsay Brun ajoutera d’ailleurs son grain de sel au blogue Mangeons local en proposant, au cours de la saison, 14 recettes exclusives mettant en vedette des produits agricoles caractéristiques de chaque région.

Lancement de sa saison estivale signée Mangeons local!

Cet été, les animateurs Rémi-Pierre PaquinVanessa Pilon et Marie-Eve Janvier, ainsi que la créatrice culinaire Lindsay Brun se joignent à l’UPA pour inviter les Québécoises et les Québécois à une foule d’activités sur les fermes du Québec grâce à l’application Mangeons local plus que jamais!

L’application, qui a enregistré plus de 33 000 téléchargements depuis son lancement, poursuit sa lancée et deviendra cette année le guichet par excellence pour planifier ses sorties agroalimentaires à travers le Québec.

Les portes ouvertes Mangeons local :  une formule remaniée, tout l’été!

Après deux années de pause, la formule des portes ouvertes sur les fermes a été revisitée : elle prend maintenant racine sous l’égide du mouvement Mangeons local plus que jamais! Les Portes ouvertes Mangeons local se tiendront désormais de la fin juillet à la mi-septembre et elles seront répertoriées dans un calendrier d’activités disponible directement dans l’application du même nom. Ainsi, les producteurs hôtes pourront faire découvrir leurs récoltes en tenant compte de la saisonnalité des aliments. 

Ayant découvert les attraits du tourisme interrégional et le plaisir d’acheter local pendant la pandémie, les Québécoises et les Québécois en redemandent. Grâce à ce calendrier, ils pourront planifier leurs escapades estivales pour sillonner notre magnifique territoire à la recherche de ces rendez-vous exceptionnels avec des producteurs passionnés. Au programme : visites animées, dégustations, découverte des animaux, ateliers, autocueillette, etc.

La Fondation des jeunes de la DPJ dévoile les projets soutenus en régions. Un impact concret et direct.

La Fondation des jeunes de la DPJ est heureuse d’annoncer que, grâce à son nouveau fonds d’appui aux initiatives régionales, elle soutiendra cette année, 7 projets dans différentes régions du Québec. Grâce à une collaboration établie avec des organismes et fondations œuvrant à travers la province, la Fondation appuiera des projets venant en aide aux jeunes en transition vers la vie adulte.

Tendre la main pour aider plus : une collaboration au bénéfice des jeunes

En avril dernier, la Fondation a lancé un appel de propositions auprès d’organismes implantés dans les régions du Québec afin d’appuyer financièrement leurs initiatives et d’accroitre leur impact auprès des jeunes de la DPJ. « Cet appel a remporté un succès au-delà de nos attentes! », souligne Fabienne Audette, directrice générale de la Fondation. « Plus d’une vingtaine de projets ont été déposés. Ce succès démontre la pertinence de ce fonds mis en place par la Fondation pour appuyer les initiatives régionales. Cette réponse rappelle surtout que les besoins sont bien réels pour les jeunes de la DPJ et ce, peu importe où ils se trouvent au Québec. »

Des projets qui répondent aux recommandations de la Commission Laurent

Pour cette première enveloppe budgétaire, totalisant 200 000 $, le comité d’allocations composé d’experts des domaines des services sociaux, de la protection de la jeunesse et du développement social, a sélectionné des projets permettant de faciliter la transition vers la vie adulte.

La préparation à l’autonomie des jeunes de la DPJ a été identifiée comme un enjeu majeur dans le rapport de la Commission Laurent. Rappelons qu’à chaque année, environ 2000 jeunes de la DPJ atteignent leur majorité. Ainsi, les initiatives soutenues financièrement par la Fondation rejoignent les axes fondamentaux que sont la persévérance scolaire, le développement de l’autonomie en hébergement et la stabilité résidentielle, l’employabilité et l’acquisition de compétences ainsi que l’estime de soi et les saines habitudes de vie.

Voici la liste des projets sélectionnés :

  • –  Maison Stéphane Fallu – POSA/Source des Monts, Montérégie
  • –  Hébergement Le Belvédère – Vallée Jeunesse Outaouais
  • –  Habitations l’Envolée – Laval
  • –  L’essentiel vers ton indépendance – Carrefour jeunesse-emploi MRC Deux-Montagnes, Laurentides
  • –  Accompagnement des jeunes en situation d’itinérance – Maison Marie-Frédéric, Capitale-Nationale
  • –  Appartements Laboratoires – CIUSSS Mauricie–Centre-du-Québec
  • –  Soutien à la qualification des jeunes – Fondation Santé Gatineau et CISSS de l’Outaouais

Quand les donateurs veulent faire plus

Nancy Audet, marraine de la Fondation, applaudit cette mobilisation autour des jeunes de la DPJ. « Mon travail m’amène à sillonner les quatre coins du Québec. Partout, on m’interpelle en me demandant ce qu’on peut faire de plus pour ces jeunes qui portent de si grandes souffrances! Voilà un excellent exemple d’une initiative efficace, rapide et pertinente! L’argent des donateurs se rend directement là où les besoins sont criants et où leur générosité fera une grande différence! »

Une aide à Montréal et ailleurs au Québec

Depuis 1998, la Fondation soutient les jeunes de la DPJ en offrant une aide qui vient compléter celle de l’État et qui permet de répondre rapidement à des besoins précis et personnalisés. Dans un désir d’accroître l’impact de ses actions et pour répondre aux besoins criants toujours plus nombreux qui lui étaient exprimés, la Fondation a élargi sa mission à l’automne 2021 afin d’apporter une aide aux jeunes pris en charge par la DPJ, à travers le Québec. Ayant pour port d’attache Montréal, la Fondation continue d’appuyer les jeunes de la métropole, tout en renouvelant à chaque année un appui aux initiatives régionales.

Pour en savoir plus sur les projets soutenus par la Fondation grâce au nouveau fonds d’appui aux initiatives régionales ou pour faire un don, visitez le FONDATIONJEUNESDPJ.CA

Le premier marché certifié Marché de la terre au Québec

À Val-David

Une première au Québec ! 

L’organisme international Slow Food, connu pour sa défense de l’agriculture artisanale et la lutte pour le respect de l’environnement, vient d’accréditer l’OBNL Marchés d’ici  “Marché de la Terre ” au Québec.  Le réputé Marché d’été de Val-David, fondé il y a 22 ans par Diane Seguin, chroniqueuse gastronomique et auteur du livre La Cuisine comme je l’aime, un ouvrage primé par l’Université de Guelph , a choisi de mettre sur pied les Marchés d’ici par amour de la bonne chère… et de ceux qui produisent les meilleurs aliments chez nous, dans le respect de la terre. Madame Seguin gère avec la même exigence qu’à Val-David sept autres marchés dans différents coins du Québec.


Avec le label Marché de Terre, l’organisme Marchés d’ici rejoint le très sélect réseau des marchés publics les plus exigeants au monde pour la qualité, la traçabilité des produits locaux, et la recherche du juste prix de vente, à la fois pour le producteur et pour l’acheteur.


« Au sein de ces marchés [1], les producteurs et artisans de l’alimentaire vendent uniquement leurs propres produits,» indique la certification officielle de Slow Food, et ceux-ci doivent être bons, propres et offerts à juste prix. La certification Marché de la Terre ne s’applique qu’aux produits locaux, frais et saisonniers, issus d’un processus respectant l’environnement et les travailleurs. Les Marchés de la Terre sont des lieux qui permettent non seulement d’acheter des produits de qualité, mais également de construire et faire vivre une communauté. En tant qu’espaces d’échange et d’éducation, conclut Slow Food, l’organisme italien fondé par Carlo Petrini en 1986 par opposition au Fast Food, ils constituent un des éléments fondamentaux du mouvement global Slow Food. »

Pour la petite communauté de Val-David, connue pour être le berceau de bien des aventures culturelles et de plein air au Québec, la reconnaissance de son marché public comme un modèle international ajoute un fleuron gastronomique à sa belle histoire.

Un événement tout spécial soulignera l’entrée du marché d’été de Val-David dans le réseau Marché de Terre le samedi 11 juin 2022 à 11 heures, rue de l’Académie, sur le site même du marché. Vin, fromage et jolies photos sont au programme.

UNE INITIATIVE COLLECTIVE CONTRE LA CYBERINTIMIDATION CRÉÉE PAR ET POUR DES ENFANTS

Les enfants suivis au Centre de pédiatrie sociale en communauté (CPSC) d’Atlas souhaitent entreprendre une vaste campagne de sensibilisation afin de renforcer la sécurité des jeunes et protéger leurs droits face aux intimidateur·rice·s en ligne.

Depuis le début de la pandémie, le nombre de signalements de cyberintimidation a augmenté de 106 % au Canada. Parmi les cas signalés, 39 % impliquaient des enfants de 13 ans ou moins. 1

« Les enfants passent de plus en plus de temps sur leurs écrans pour combler le vide et socialiser, ce qui augmente les possibilités d’intimidation. Souvent laissés à eux-mêmes et sans surveillance, ils reçoivent des messages violents, notamment pendant des cours virtuels ou des jeux en ligne. Plusieurs se sentent pris au piège, sans recours » rapporte Mme Jacinthe Dion, avocate en droit de la santé, CPSC de Côte-des-Neiges.

À ce propos, les avocat·e·s, éducateur·rice·s et autres intervenant·e·s des centres de la Fondation Dr Julien ont échangé avec les enfants lors des ateliers de formation D-CODE. Suite à ces consultations, 100 % des enfants — âgés de 9 à 13 ans — ont avoué avoir déjà été victimes de cyberintimidation.

« Nos discussions leur ont permis de prendre conscience de leurs droits et de réfléchir à une stratégie pour protéger leur sécurité. Ils sont déterminés à faire bouger les choses », explique Mme Dion.

Des impacts significatifs sur la santé mentale

Les effets de la cyberintimidation ne peuvent pas être pris à la légère. Les adolescent·e·s qui ont été victimes de cyberintimidation sont 2 à 4 fois plus à risque d’avoir des idées suicidaires au cours de l’année suivante2.

« La cyberintimidation affecte gravement la santé mentale d’un enfant, en plus de compromettre son parcours scolaireDans nos centres de pédiatrie sociale en communauté, nous travaillons avec les différents milieux de l’enfant, comme son école et sa famille, pour rapidement détecter les signes d’intimidation ou de harcèlement. Pour mettre fin à ce phénomène, nous devons absolument adopter une démarche collective », déclare Dr Gilles Julien, pionnier de la pédiatrie sociale en communauté et fondateur de la Fondation Dr Julien.

« C’est notre devoir de donner l’information nécessaire pour qu’ils saisissent les conséquences du comportement intimidateur, et les effets négatifs qu’il peut provoquer », ajoute Vedrana Petrovic, directrice du Centre Atlas.

Une campagne de sensibilisation initiée par des jeunes, pour des jeunes

Les enfants ont conçu divers outils, tels que des affiches et des vidéos, afin de prévenir et contrer la cyberintimidation. Au cours des prochains mois, ils lanceront une campagne sur les réseaux sociaux avec des conseils pratiques et adaptés pour lutter contre ce type d’attaques.

« La cyberintimidation doit arrêter maintenant, car on ne se sent plus en sécurité sur internet. » témoigne Saran, un jeune du Comité des droits du CPSC Atlas.

Suivez la campagne de sensibilisation sur les réseaux sociaux d’Atlas : @atlascpsc #StopCyberintimidation

DROGUES DU VIOL: ENCORE DES INCIDENTS GRAVES. COMMENT SE PROTÉGER?

Aujourd’hui dans les médias, on fait référence à une chanteuse connue qui a été victime la semaine dernière d’un grave incident Lisez l’article ici.

Auparavant, il y a 1 mois, il y a eu une saisie de 5 000 000 $ de GHB à Longueuil. Bref, on parle d’une crise majeure qui cible prioritairement les femmes. La prévention est la seule arme concrète et utile pour prévenir ces crimes.Alco Prevention Canada a lancé récemment 2 outils innovateurs et fiables. Ces outils permettront d’éviter plusieurs incidents reliés à cette triste réalité à laquelle nous faisons face. Les drogues du viol constituent un fléau. Un homme ou une femme qui en est victime, en est une de trop. Le couvercle anti-drogue STOP Drogue FDG® est un outil préventif destiné à être utilisé particulièrement lors de soirées festives. Il empêche l’ajout de substances illicites dans un verre et empêche également de renverser la boisson qu’il contient, notamment lors de mouvements de foule. Le couvercle est adaptable à la très grande majorité de verres en plus d’être personnalisable avec votre logo et message. Ce couvercle anti-drogue autocollant est un produit breveté conforme aux normes agroalimentaires. Plus de 400 000 unités ont été distribuées en France dans la cadre d’une importante campagne de prévention.Le 2 ième outil est le DRINK DETECTIVE, un sous-verre qui permet de détecter le GHB et la kétamine en quelques secondes. 

Ce test de dépistage présenté sous la forme d’un sous-verre permet de vérifier si votre consommation contient une de ces drogues. L’ajout de ces drogues à votre consommation passe inaperçu puisqu’elles sont incolores, inodores et insipides. Il suffit de mettre une ou deux gouttes de votre consommation sur les zones de tests. Si la couleur bleu apparait, cela signifie un test positif à une ou à deux de ces drogues.     
« Ces deux outils sont des produits de prévention fort utiles. C’est une protection que tous devraient utiliser lors d’un évènement ou qu’on devrait avoir en sa possession losqu’on consomme de l’alcool » d’expliquer le directeur général d’Alco Prevention Canada, Stéphane Maurais. La ville de Paris et le gouvernement français sont des exemples à suivre puisque plus de 900 000 unités ont été distribuées déjà. Ultra facile à utiliserÀ usage unique, le couvercle anti-drogue STOP Drogue FDG® se présente sous la forme d’un autocollant 100 % recyclable et s’adapte à toutes les formes de verres, sauf de très rares exceptions. Léger et discret et pesant moins d’un gramme, il peut être glissé dans votre poche ou votre sac à main sans encombrement.

VIDEO DU COUVERCLE ANTI-DROGUE FDG® CLIQUEZ ICI

Les crimes liés aux drogues du viol

Les crimes liés aux drogues du viol constituent une préoccupation croissante partout où les gens consomment de l’alcool et visent tous les groupes d’âges, mais surtout les jeunes adultes. Plus de 70% des victimes sont des femmes de 18 à 35 ans. Une récente enquête a révélé qu’une femme sur quatre pense avoir déjà été victime d’un verre contaminé par une drogue au moins une fois dans sa vie. Tout le monde a déjà entendu parler d’un cas relié aux drogues du viol. Maintenant, grâce au couvercle STOP Drogue FDG® et le Drink Detective, vous aurez la certitude qu’aucune de ces drogues, soit le GHB ou la KÉTAMINE ne se retrouveront dans votre verre.Si vous êtes vigilant et avez ces petits outils à portée de la main chaque fois que vous buvez, vous allez envoyer un message clair aux criminels qu’ils pourraient se faire prendre. « Nous devons faire cesser ce fléau et aider à prévenir les crimes reliés aux drogues du viol » de mentionner Stéphane Maurais, directeur général d’Alco Prevention Canada. Ils se veulent des outils de prévention exceptionnels pour tous.

Lauréats du concours de la Semaine québécoise intergénérationnelle 2022

Intergénérations Québec a dévoilé les lauréat.e.s du concours de la Semaine québécoise intergénérationnelle. Les prix ont été décernés à six initiatives qui se sont démarquées au cours de la dernière année par leur originalité et leur impact dans la communauté. 

Véritable tremplin pour les projets qui créent des liens entre les générations, la Semaine québécoise intergénérationnelle a permis à de multiples organismes de faire connaître leurs activités. Cette année, chaque projet lauréat a reçu une bourse de 1000 $ grâce à la générosité de la Fondation Luc Maurice. Choisis parmi les 66 projets soumis au concours, ces lauréat.e.s ont été annoncé.e.s le 24 mai dernier, à Québec, à l’occasion du forum « Âgisme et isolement : Solutions intergénérationnelles », et seront présenté.e.s sur les réseaux sociaux d’Intergénérations Québec à partir du lundi 30 mai.
Lauriers
‍Catégorie « Activité artistique »GALERIE VIRTUELLE « LETTRES DE MENTORS » par la Rencontre Théâtre Ados (Laval) 

La Galerie virtuelle est une mise en scène artistique des relations épistolaires entre des adolescent.e.s en classes de francisation des écoles Saint-Maxime, Leblanc et Mont-de-La Salle et des professionnel.le.s issu.e.s de la diversité culturelle, dont Hamed Adam, Mehdi Bousaidan, Daniela Castro, Ruba Ghazal, Raed Hammoud, Nicolas Harguindey, Amir Khadir, Chi Long, Sid Rabahi, Pedro Ruiz, Adelle Tarzibachi et Kim Thúy.Créée par les jeunes, la Galerie virtuelle pose un regard culturel, artistique et personnel sur le processus d’appropriation de la langue française et de familiarisation à la société québécoise. L’artiste Cara Carmina signe la conception graphique et les illustrations de cette exposition à titre de mentore invitée.
 
Catégorie « Activité littéraire »SALUT, GADOU! par Hélène Matte, en partenariat avec La Bande Vidéo, le Comité populaire Saint-Jean-Baptiste et la Maison des jeunes de Saint-Jean-Baptiste (Capitale-Nationale) 

De juin à décembre 2021, des adolescent.e.s et des citoyen.ne.s ont participé à ce projet de médiation culturelle qui rend hommage à l’historique engagé du Faubourg Saint-Jean-Baptiste, à Québec. Inspirés par la lecture du roman « Salut, Gadou! » de Malcolm Reid, les jeunes ont été invité.e.s à s’approprier leur quartier en le visitant et en s’engageant dans une activité journalistique.Ils et elles sont allé.e.s à la rencontre de plusieurs ainés : l’auteur Malcolm Reid, pour discuter avec lui de ses inspirations et de la vie du quartier à l’époque, mais aussi Réjean Lemoine, historien de la Ville de Québec, et Rénald Gadoury, un architecte qui a contribué à la restauration sociale et architecturale du quartier dans les années 1970. Ces échanges ont mené à la création d’une minisérie de fiction. Plusieurs ainé.e.s du quartier ont participé au tournage. Une chanson a même été créée et interprétée par les jeunes pour la série. 

 Catégorie « Activité ludique et manuelle »AU FIL DE L’AUTRE par Mamie Lisette, en partenariat avec Les Petits Frères (Montréal) 

Mamie Lisette a saisi la période de ralentissement forcé et de remise en question due à la pandémie pour agir et faire émerger un projet réconfortant et engagé dans le temps. Un comité d’idéation intergénérationnel s’est constitué afin de concevoir un grand dessin à broder. Ce dessin incarnant des enjeux qui interpellent les participants a ensuite été imprimé sur un tissu, puis tendu sur un métier à broder géant pouvant accueillir une dizaine de personnes.Pendant cinq séances de broderie collective, des guides-brodeuses ont accompagné les participant.e.s et assuré une ambiance apaisante et propice aux connexions humaines. Enfin, les participant.e.s ont été invité.e.s à venir célébrer l’aboutissement de ces heures de travail à l’occasion de l’installation de la fresque dans la bibliothèque Mordecai-Richler.

 Catégorie « Activité communautaire »1 ADO – 1 AINÉ par la FADOQ – Région des Laurentides, en partenariat avec la Polyvalente des Monts (Laurentides) 

Vingt jumelages intergénérationnels ont été créés. Les participant.e.s étaient âgé.e.s de 65 ans et plus et de 12 à 15 ans. Chaque duo a échangé par téléphone ou par vidéo une à deux fois par semaine, pendant un à deux mois, dans le but de progresser vers un objectif ciblé à l’aide d’encouragements et de transferts de savoirs. Ainé.e et jeune pouvaient avoir un objectif similaire ou complètement différent, mais rejoignant des champs d’intérêts communs.À travers cette relation d’entraide et de confiance, les participant.e.s se sont motivé.e.s mutuellement à réaliser ce projet personnel. En somme, ce programme a permis d’améliorer leur qualité de vie en favorisant leur valorisation sociale, l’estime d’eux-mêmes, leur implication dans la communauté et leur engagement sur une tâche auprès d’une personne d’une autre génération. 

 Catégorie « Activité de transmission »TISSER ENSEMBLE LE TERRITOIRE par Glaise bleue, en partenariat avec l’Atelier des ainés de Tête-à-la-Baleine (Côte-Nord) 

Ce projet de médiation culturelle a été mis sur pied dans la petite communauté de Tête-à-la-Baleine. Il a débuté par la restauration collective d’un vieux métier à tisser, qui n’avait pas été entretenu depuis 60 ans. Ensuite, l’engin a été installé dans la bibliothèque de l’école du village, où plusieurs pièces textiles ont été créées grâce aux orientations de l’artiste Elyse De Lafontaine. Les participant.e.s de toutes générations ont pu tisser quelques pouces de fils avec les couleurs de leurs choix et en intégrant des objets et des textures qui illustraient leur lien avec le territoire. Enfin, l’œuvre collective a été exposée dans l’église du village, accompagnée de témoignages des participant.e.s, des cofondatrices de Glaise bleue et de l’artiste textile.En rassemblant la communauté autour d’une pratique artisanale bien connue dans la région, mais de moins en moins pratiquée au village, ce projet a stimulé la discussion, ravivé les souvenirs, valorisé les connaissances de plusieurs femmes âgées de la communauté et transmis le goût de l’artisanat aux plus jeunes.  

Coup de cœur de la SemaineMAMIE REMIX par Berceurs du Temps (Montréal) 

Mamie Remix invite des jeunes du secondaire à la rencontre d’ainé.e.s en résidence autour d’un projet artistique commun qui permet d’ouvrir le dialogue entre les générations autrement séparées par des références culturelles et des contextes très différents. Les ainé.e.s sont appelé.e.s à revisiter leurs coups de cœur musicaux pour les confier aux jeunes, qui doivent ensuite ancrer leur création dans des sonorités et des paroles d’un autre temps.Pour les ainé.e.s, cette plongée dans les souvenirs est un excellent prétexte pour reconnecter avec les membres de leurs familles respectives et tisser des liens avec d’autres résident.e.s. Pour les jeunes, la contrainte créative les rapproche de l’univers de leurs grands-parents et leur donne envie de s’y intéresser davantage. Les un.e.s et les autres sont appelés à rester en contact tout au long du processus, avec quelques rencontres de suivi, une invitation en studio d’enregistrement et une présentation des résultats dans les résidences.  

Intergénérations Québec est le réseau québécois de l’action de solidarité intergénérationnelle. Sa mission est de favoriser le rapprochement entre les générations pour le développement d’une société ouverte, inclusive et solidaire.

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