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La formation Oktopus lance Créature

La formation Oktopus présente son troisième album, Créature, quatre ans après l’acclamé Hapax, en nomination aux JUNO et aux Prix de musique folk canadienne. L’octuor montréalais poursuit sa route dans la direction qui a fait sa renommée : une musique klezmer dont la profondeur des racines n’a d’égale que l’audace des ramifications de ses branches. Une musique autant ancrée dans une tradition millénaire qu’imprégnée du Montréal cosmopolite dans lequel baignent les musiciens du groupe.

Dans Créature, les sonorités d’Europe de l’Est côtoient la musique classique, la chanson québécoise, le jazz et même la pop, à travers des compositions originales, des improvisations inspirées et des arrangements toujours aussi finement conçus par le directeur artistique Gabriel Paquin-Buki. La fête et la danse sont au rendez-vous, mais aussi l’introspection, l’exploration, l’espoir et la lumière.

Ce troisième album est une créature étonnante, multiple et attachante, façonnée par Matthieu Bourget (trombone basse), Noémie Caron-Marcotte (flûte), Madeleine Doyon (trombone), Guillaume Martineau (piano), Gabriel Paquin-Buki (clarinette), Maxime Philippe (batterie), Francis Pigeon (trompette) et Veronica Ungureanu (violon), huit artistes virtuoses à l’imagination fertile.

En plus du répertoire traditionnel, on y trouve notamment une relecture vibrante de la chanson Le grand cerf-volant de Gilles Vigneault – qui permet d’entendre la magnifique voix de Sonia Johnson – une version revampée de Misirlou – un traditionnel grec rebaptisé ici Poulpe Fiction, en référence au film qui l’a fait connaître au grand public –  et Jumpin’ Jumpin’, une étonnante reprise du groupe Destiny’s Child. www.oktopus.ca

YOLELE LA SORTIE DU TOUT PREMIER SINGLE SOLO

Les Productions Nuits d’Afrique annoncent la sortie de Yolele, le vendredi 21 mai. Le single, distribué à travers le Canada par Believe, le tout nouveau distributeur de l’étiquette Disques Nuits d’Afrique, sera disponible sur toutes les plateformes numériques le même jour.

Yolele – Premier single solo de Cheik Ibra Fam
 

Cheikh Ibra Fam ajoute désormais une nouvelle corde à son arc en sortant en son nom propre son tout premier single Yolele. Cette chanson aux couleurs afro-pop a été réalisée après près de 15 ans de carrière sous le nom Freestyle dans son pays natal et après son actuelle collaboration en tant que chanteur du groupe de renommée internationale Orchestra Baobab.

Un single afro-pop

Yolele, qui tient son nom d’un chant et d’une danse peul (dialecte de l’Afrique de l’Ouest) traditionnelle et populaire au Sénégal, raconte la vie quotidienne et appelle à l’introspection.

Des couplets puissants chantés en wolof s’intègrent à merveille dans des rythmes variés de guitare acoustique, percussions et cuivres qui rappellent les racines de cet artiste multidimensionnel.

Le refrain, quant à lui, est dansant et reste en tête. Il s’accompagne d’arrangements qui, associés à l’ensemble du morceau, révolutionnent le genre et modernisent véritablement la musique Afro.

Cette modernité dans la musique de Cheikh Ibra Fam est encore plus soutenue grâce à un clip haut en couleurs, tourné sur l’Île de Gorée au Sénégal, qui met en avant le goût prononcé de l’artiste pour la mode, la danse et la musique.

Autant d’images et de symboles entremêlés dans ce riche clip de Yolele dans lequel Cheikh Ibra Fam se met lui-même en scène, au coeur de ses instants de vie et d’histoire. 

Sortie de l’album Peace In Africa le 14 octobre 2021

L’album complet Peace In Africa, qui paraîtra également sous l’étiquette Disques Nuits d’Afrique, est en préparation et sortira le 14 octobre 2021. 

« Je ne suis pas celui que vous décrivez » De la DPJ aux bancs d’université

Le taux de diplomation des jeunes de la DPJ est alarmant. Seulement 25 % d’entre eux ont un diplôme d’études secondaires à 19 ans, comparativement à 77 % pour la moyenne québécoise*. La pandémie a complexifié davantage ce parcours déjà difficile. Pourtant, ces statistiques inquiétantes font souvent ombrage à de grands succès.

Voici l’histoire de Samuel Coulombe, placé dès la naissance, qui entame aujourd’hui des études à la maitrise. Un jeune qui veut prendre la parole pour rappeler qu’un enfant de la DPJ qui réussit, bien qu’on en parle rarement, c’est possible! Il souhaite aussi partager son succès avec tous les donateurs de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal qui ont cru en lui.

Gagner à la loterie des familles daccueil

Samuel a été pris en charge par la DPJ avant même sa naissance. « Ma mère consommait de la drogue. Elle ne pouvait s’occuper ni de moi, ni de mes deux frères, ni de ma sœur. »

À deux ans, Samuel rejoint toute la fratrie dans une même
famille d’accueil. Il y restera durant huit ans. « Ça a été une
belle période. Malheureusement, lorsque j’avais dix ans, mon
père d’accueil est décédé subitement et la famille est tombée en pièces. »

Les frères de Samuel sont envoyés en centre jeunesse, sa sœur dans une famille d’accueil et lui, dans une autre. « Du jour au lendemain, j’ai perdu tous mes repères. Mais ce qui m’a fait le plus de peine, c’est d’être séparé de mes frères et ma sœur! » Malgré le traumatisme de la séparation, Samuel a rapidement pris racine dans sa nouvelle famille d’accueil.

« Onze ans plus tard, je vis toujours avec eux. Je m’implique dans la famille et je les considère comme ma mère et mon père. C’est une chance d’avoir des gens à qui raconter sa journée. Ça prend de la stabilité pour s’épanouir! La vie ne m’a peut-être pas choyé à la naissance, mais je peux dire que j’ai gagné à la loterie des familles d’accueil! »

Luniversité comme un objectif de vie

Dès son entrée au secondaire, Samuel a un objectif très clair : aller à l’université. « J’ai suivi tous les cours enrichis en maths, sciences, anglais… Je ne savais pas encore dans quel domaine je me dirigerais, mais je savais une chose : j’allais réussir! »

Des mains tendues pour réussir, la Fondation comme une solution

« Mes 18 ans approchaient et je savais que les frais universitaires allaient devenir un vrai problème. Je travaillais une journée par semaine, mais ce n’était pas suffisant. C’est là que mon travailleur social à la DPJ a trouvé une solution : la Fondation du Centre jeunesse de Montréal. On a fait une demande de soutien pour mes études. Mes frais de scolarité, mes livres, mes effets scolaires, mon ordinateur ont été couverts par les bourses de la Fondation. Si j’avais dû travailler pour payer tout cela, je n’aurais pas pu mettre autant d’énergie dans mes études et le résultat n’aurait certainement pas été le même!

« Aujourd’hui, je me prépare à franchir une nouvelle étape : j’entre à la maitrise à l’Université Laval. C’est un grand saut qui me permettra de faire ce dont j’ai envie, travailler sur des projets d’exploitation naturelle en milieu éloigné. »

Moi aussi, je mérite quon raconte mon histoire!

« Avant de voler de mes propres ailes, j’ai envie de vous dire que des jeunes comme moi, il en existe plusieurs à la DPJ. Mais on n’entend jamais parler de nous dans les médias. Je suis née d’une mère toxicomane et je ne connais pas mon père biologique. Je possède le même point de départ que plusieurs jeunes dont on retrace souvent le parcours malheureux.

« C’est important pour moi de dire que les enfants de la DPJ ne finissent pas tous dans la rue. Cette image- là est trop véhiculée par les médias. Lorsque l’on est un enfant placé, tout ce que l’on entend, c’est que l’on n’ira pas loin dans la vie. Et à force de l’entendre, on y croit. Souvenez-vous de moi. Je suis né dans un contexte peu enviable et j’entreprends bientôt des études supérieures. Moi aussi, je mérite qu’on raconte mon histoire. »

Préparer une rentrée scolaire en sortie de crise

La crise actuelle frappe de plein fouet les jeunes et davantage ceux en situation de vulnérabilité. Les besoins engendrés par la pandémie sont plus urgents et plus intenses. La Fondation du Centre jeunesse de Montréal a augmenté de 98 % laide apportée, cette année, aux jeunes pour que leur contexte de vie soit favorable à leur réussite, notamment par la poursuite de leurs études. Des loyers, du matériel informatique, des frais de scolarité, du tutorat, des cartes alimentaires, etc. Les initiatives continuent d’être nombreuses pour transformer leurs parcours en réussite.

« Grâce à la générosité de notre communauté de donateurs, nous apportons un soutien d’urgence aux jeunes qui n’ont pas d’autres alternatives financières. Des jeunes adultes qui, sans l’aide de la Fondation, devraient sacrifier leurs études pour occuper un emploi les menant souvent dans une situation précaire », rapporte Fabienne Audette, directrice générale de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal.

« La prochaine rentrée scolaire est à nos portes et nous savons déjà que la demande sera aussi importante. La sortie de crise nécessite une mobilisation de toute la communauté. Et nous faisons appel à la générosité de tous ceux et celles qui le peuvent, pour appuyer ces jeunes de la DPJ et leur envoyer ce message essentiel : « Nous croyons en toi! Tu as le pouvoir de réussir! »

Pour soutenir les jeunes dans leur réussite scolaire, faites un don au : fondationcjm.ca

LE MUSÉE DE LA CIVILISATION CÉLÈBRE SA RÉOUVERTURE AVEC LES MAYAS !

 Le Musée de la civilisation célèbre sa réouverture de façon grandiose en offrant à ses visiteurs rien de moins qu’un voyage au pays des Mayas d’Amérique centrale. Commencée il y a 5 000 ans, l’histoire de cette civilisation dorée constitue l’un des héritages culturels les plus riches au monde. Au moment de son apogée, entre le 3e et le 8e siècles de notre ère, elle figurait parmi les plus avancées en Amérique surpassant même, par son raffinement, la culture européenne. Aujourd’hui, malgré les guerres, les famines et les changements climatiques, les Mayas sont toujours là! Ils sont plus de 6 millions à vivre au Guatemala, au Bélize et au Mexique, Ils parlent toujours leur langue et préservent leur culture millénaire. À voir absolument, jusqu’au 3 octobre prochain.

Conçue par MuseumsPartner (Autriche), en collaboration avec le ministère de la Culture et des Sports du Guatemala, l’exposition MAYA est présentée au Musée de la civilisation avec le soutien financier du gouvernement du Québec et de la Ville de Québec, dans le cadre de l’Entente de développement culturel, ainsi qu’avec la participation de Radio-Canada et du Fairmont Le Château Frontenac à titre d’hôtel officiel.

Provenant du Musée national d’archéologie et d’ethnologie du Guatemala et de la Fondation La Ruta Maya, près de 300 trésors témoins de la richesse de cette culture — statuettes, stèles de pierre, bijoux — sont mis en valeur à l’intérieur d’une scénographie vivante et colorée. Des stations interactives, des projections vidéo grand format et des ambiances sonores enveloppantes complètent l’expérience.

Un peuple en symbiose de corps…

Le parcours, décliné en 12 zones, révèle une civilisation en symbiose de corps et d’esprit avec son environnement tropical. Pendant des siècles, ils ont dominé le territoire parfois très hostile de la forêt tropicale et y ont développé des méthodes ingénieuses d’agriculture pour faire pousser maïs, courges et haricots. Dotés d’une organisation sociale avancée, les Mayas ont érigé des cités en pleine forêt, construit des temples impressionnants au sommet de hautes structures étagées. Entre ces citées était établi un gigantesque réseau commercial reliant les hautes terres du Guatemala à l’océan Pacifique, à la mer des Caraïbes et aux basses terres mayas. Le transport de marchandises, dont le précieux cacao, se faisait par canot mais surtout à dos d’homme puisqu’aucune bête de somme ne pouvait se déplacer dans la jungle. Chaque cité compte un roi considéré comme un demi-dieu puisqu’il assure la communication entre son peuple et le divin.

… et d’esprit avec son environnement

La forêt n’est pas que nourricière pour le corps; elle l’est aussi pour l’esprit. Les compagnons de l’âme des Mayas se présentent sous les traits d’un mammifère, d’un reptile, d’un insecte ou d’un être fantastique à plusieurs visages. Les Mayas vénéraient environ 8 000 dieux et déesses qui pouvaient changer de sexe et se multiplier. Dieux de la pluie, du commerce, de la guerre, de la fertilité, chacun possédait un caractère unique. Lors des rituels sacrés, les Mayas sacrifient des animaux ou même faisaient don de leur sang. Celui du roi était le plus précieux, on le réservait aux crises graves…

L’écriture et les mathématiques : des dons divins

Se croyant bénie de ses dieux, la civilisation maya se distinguait particulièrement pour ses profondes connaissances de l’écriture, des sciences et des mathématiques. Le roi se servait de l’écriture hiéroglyphe pour affirmer son autorité, communiquer d’importantes nouvelles et pour consigner les faits marquants de sa vie. Une vie mesurée à l’aide d’un calendrier de rites de 260 jours, d’un calendrier de 360 jours relié à l’année tropicale et d’un calendrier incluant tous les jours écoulés depuis la fondation du monde. Experts en mathématiques et en astronomie, les Mayas avaient un système de numérotation basé sur le nombre 20 incluant les chiffres de 0 à 19.

Quelques stèles ont été préservées et permettent de déchiffrer le langage complexe des Mayas, ce qui n’est pas le cas des codex en papier d’écorce. Seuls quatre ont été sauvés des flammes espagnoles au 16e siècle. Celui en salle est une reproduction d’un exemplaire conservé à Dresde, Allemagne.

Déclin et résilience

La fréquence des guerres entre royaumes finit par détruire une structure sociale et politique en place depuis des millénaires. Au tournant du 10e siècle, une nouvelle façon de partager les richesses entre les dirigeants et le peuple s’installe au profit d’une économie florissante. En 1517, les Espagnols découvrent un système infiniment plus dynamique que leur système féodal. La civilisation maya n’est jamais disparue. Les Mayas ont préservé leur culture malgré les aléas de la politique, de l’économie et du climat. Ils ont survécu à la conquête espagnole et aux épidémies, se sont battus contre les travaux forcés et la discrimination dont ils ont été victimes. Forts et résilients, ils ont beaucoup à nous apprendre.

VÉ DÉVOILE SA NOUVELLE COLLECTION DE BIJOUX, BOLD

 lance BOLD, sa nouvelle collection de bijoux raffinés entièrement conçus et fabriqués à la main à Montréal. Alliant les formes simples et élégantes, l’argent sterling, l’argent plaqué or 14k et les perles d’eau douce, les bijoux BOLD sont épurés et sophistiqués. Étant donné que nous sommes tous durement touchés par les restrictions de la pandémie,  veut égayer le quotidien des femmes en ressortant leur beauté et leur côté unique avec ses créations. Dès le 3 juin prochain, le public aura rendez-vous au veroniqueroy.com pour découvrir la nouvelle collection BOLD.

BOLD, des bijoux qui inspirent

Afin de rendre hommage aux femmes qui nous inspirent, la collection BOLD leur est entièrement dédiée. Tous les bijoux de la collection BOLD portent des noms de femmes inspirantes, des femmes de notre entourage, du Québec ou à l’étranger qui nous touchent. Parmi les femmes de notre entourage, il y a Julie, la grand-mère de la créatrice Vé qui a su garder son indépendance tout au long de sa vie. Ainsi le nom d’icônes féministes qui ont participées à la lutte et à la revendication des droits de la femme, dont Ruth Bader Ginsburg, Malala Yousafzai et Obiageli Ezekwesili.

La collection BOLD est inspirée des dix collections précédentes de la marque. Nous avons revisité nos plus grands classiques pour créer une collection qui célèbre tout ce que Vé a créé jusqu’ici et nous y avons intégré une nouveauté, les perles fireball. Ces perles tirent leur nom de leur queue de comète attachée à une perle ronde. C’est grâce à leur forme inégale qu’elles captent aussi bien la lumière. Les modèles Greta, Julie et Amanda intègrent cette perle à la forme unique.

Le public aura la chance de profiter de cette collection à un prix de lancement à partir du 3 juin 20h jusqu’au 9 juin. Tous les modèles BOLD seront à 15% de rabais sur les prix réguliers durant cette période. De plus, en s’inscrivant à l’infolettre, les clientes bénéficieront d’un code promotionnel qui ajoutera un 5% au rabais. Il sera seulement applicable durant les 24 premières heures de la prévente. À propos Créée en 2012 par Véronique Roy, designer et joaillière,  est une marque de bijoux minimalistes et contemporains, aux allures sophistiquées et uniques. Véronique cherche à trouver un équilibre entre les formes, les pierres et le métal dans ses créations, ce qui définit le style unique de Vé. Les bijoux Vé sont entièrement conçus et fabriqués à la main à Montréal.
 
La marque Vé a été créée en 2012 par Véronique Roy, passionnée de design et de bijoux. BOLD est la 11ecollection de la marque Vé.
Crédit photo: Carolanne Lamontagne www.carolannelamontagnephotographe.com

« VOGUE LA GALÈRE »

MISSRI est un personnage atypique. Auteur, compositeur, multi-instrumentiste, il est sans doute le seul musicien français à avoir joué des titres du célèbre Bill Monroe à l’Ohio Bluegrass Festival. Doté d’une grande sensibilité, il est resté dans l’ombre durant plusieurs décennies mais cela ne l’a jamais empêché de tourner et de régulièrement monter sur scène.  Il est vrai qu’il n’aime pas beaucoup parler de lui… il préfère jouer ! Depuis plus de 30 années, on le retrouve associé à de nombreux projets, souvent au banjo, régulièrement à la guitare. Puis nous l’avons entendu chanter…. 

Né à Alger, installé en France, il est complètement imprégné de musiques nord-américaines, de musiques traditionnelles mais également de rock psychédélique.  Du reste, après plusieurs groupes à géométrie variable, dont Jamasutra, il poursuit notamment sa collaboration avec le célèbre Barry «The Fish» Melton (une légende de Woodstock avec son groupe Country Joe and The Fish). 

VOGUE LA GALÈRE est le premier album de MISSRI en qualité d’Artiste Principal. Il a composé un répertoire original d’œuvres inédites. L’artiste est influencé par les musiques et sonorités nord-américaines. Il fait du Folk-Electrique, du Bluegrass proche du Rock, et surtout de Rock Psychédélique avec des paroles en français.Pour cet album, le line-up est incroyable ! Les musiciens ont joué avec Chuck Berry, Percy Sledge, Tony Allen, Ray Lema, Jeff Healey, Jim Murple Memorial, Barry «The Fish» Melton … Stéphane Missri est aux guitares, au banjo et au chant. Le canadien Marty Vickers est à la batterie. Les américains Paul Susen et Marten Ingle sont respectivement au fiddle et à la basse, les français Christian Poidevin et Jean-Marie Daviaud sont à l’harmonica et à la mandoline.

VOGUE LA GALÈRE est un album enjoué, spontané et vivifiant. L’artiste nous transporte avec légèreté et une certaine insouciance dans des contrées imaginaires, en forêt, au bord de mer, à la campagne et en pleine ville. Toutes ses chansons évoquent des situations qu’il a vécu mais il ne dévoile jamais tout à fait sa présence. Il parle d’amour. Il en parle quasiment partout. L’album regorge de balades un peu folk, teintées de bluegrass. Des mélodies simples se succèdent, avec une orchestration savamment dosée. Il a joué et/ou enregistré avec :  It’s a Beautiful Day, Country Road Bluegrass Band, Deadicace Grateful Dead, The Misfits, Country for Old man, Geraint Watkins, Paul Tiernan, Panama Red, Banana Lowell Levinger, Gabriela Arnon, Erik Krysty, Danny Vriet et Jay And The Cooks.

Les Impatients et la Fondation Groupe AGF présentent l’exposition Un peu de chez nous

Du 1er au 18 juin prochains, la galerie des Impatients accueillera l’exposition Un peu de chez nous, à laquelle les participant·e·s de tous les ateliers de création ont été invité·e·s à collaborer. C’est l’occasion parfaite de sortir de chez soi pour s’imprégner d’art singulier !

Un peu de chez nous regroupe près de 200 œuvres papier de format unique représentant un objet, une ambiance, un coin, issus du paysage domestique de chaque participant·e. Cet espace familier où l’on se sent tantôt à l’abri, tantôt à l’étroit, et qui est devenu pour plusieurs le décor principal des scènes de la vie quotidienne. Le projet, lancé et mené sous forme hybride en plein cœur de la pandémie, a permis aux Impatient·e·s de garder contact avec l’organisme, et avec la création, essentielle à leur mieux-être. Ce projet d’ateliers a été rendu possible grâce à la Fondation Groupe AGF.

Les participant·e·s aux ateliers de musique du centre-ville, dont les membres du Big Bang Band, participent également au projet, agrémentant l’expérience des visiteurs.

Il sera possible de visiter gratuitement l’exposition du lundi au vendredi, et le samedi 5 juin, entre 10h et 16h, en prenant rendez-vous en ligne. 

L’exposition se poursuivra tout l’été sous forme virtuelle à partir du 19 juin. Le public sera alors invité à se rendre sur la page web de l’événement.

Les détails suivront.

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Un peu de chez nous

À la galerie des Impatients, 100 rue Sherbrooke Est, 4e étage, Montréal

1er au 18 juin 2021

Heures d’ouverture :

Du lundi au vendredi de 10h à 16h.

Samedi 5 juin de 10h à 16h.

Entrée gratuite sur réservation.

Les visiteurs pourront accéder à l’exposition en réservant une plage horaire en ligne. Étant donné la situation actuelle, les places sont limitées.

Veuillez consulter le site impatients.ca pour connaître les détails de l’exposition.

LA ROUTE DES DISTILLERIES DU TERROIR

UN CIRCUIT LITTÉRAIRE DIVINEMENT SAVOUREUX 
DÈS LE 20 MAI ET JUSQU’À LA FIN DE L’ÉTÉ

Le Québec regorge de producteurs du terroir. Parmi eux, les artisans distilleurs se font de plus en plus remarquer avec leurs liqueurs et alcools distinctifs souvent fabriqués avec des ingrédients ou des procédés étonnants. Pour en découvrir quelques-uns, Métropolis bleu et sa porte-parole, la comédienne et auteure Louise Portal, nous invitent à la suivre de l’Estrie à la Côte-Nord en passant par Montréal, le Centre-du-Québec et le Saguenay. Dès le 20 mai, empruntez les Routes littéraires des alcools du terroir!

Dans chacune de ces régions, un auteur s’est inspiré d’une distillerie locale pour rédiger un texte inédit : 

  • Martine Dorval nous offre une fiction historique au goût d’eau d’érable autour de la Distillerie Shefford à Shefford;
  • Marie-Ève Bourassa nous plonge dans l’atmosphère hollywoodienne d’un lieu mythique de Montréal pour y siroter un cocktail à base de Prose Vodka rose préparé à Montréal;
  • Gérard Pourcel nous avoue ses altercations avec les objets y compris, malheureusement, son verre de Norkôtié de la Distillerie Vent du Nord à Baie-Comeau;
  • Mathieu Fortin nous invite à une dégustation musicale créée par la Distillerie du quai à Bécancour;
  • Et Louise Portal nous confie de doux souvenirs d’enfance sur le chemin de la Distillerie du fjord à St-David-de-Falardeau.

En plus des textes en version écrite, Louise Portal et le comédien Sylvain Massé en font une version audio en balado accessible sur le site de Metropolis bleu. Quelle merveilleuse façon de découvrir des artisans distilleurs régionaux et de préparer de délicieuses virées dans différents coins du Québec!

Deux concours organisés en collaboration avec Les Libraires.ca

À l’occasion de la mise en ligne de nos circuits littéraires Les routes littéraires des alcools du Terroir ainsi que Contrecoeur, dans mes yeux, dans mon cœur, deux concours seront organisés en collaboration avec leslibraires.ca, l’un sur Facebook et le second sur Instagram. Ces concours ont pour but de promouvoir nos balados, mais aussi les auteurs participants aux projets. De nombreuses cartes cadeau d’une valeur de 100 $ seront remises aux gagnants desdits concours, pour une valeur totale de près de 4 000 $. Restez à l’affût sur les réseaux sociaux afin d’en savoir plus!

Tout l’étévisiteurs et gens de la place auront aussi tout le loisir d’explorer d’autres circuits littéraires grâce à nos séries de balados.  

Des textes inédits d’auteurs sur divers coins de Montréal qui proposent un regard tantôt intimiste tantôt plus social mais toujours unique et pertinent. Montréal Shopping & Livres,  Montréal YiddishMontréal en todo sentido et Tensions + Intersections : circuit littéraire du Village gai offrent tous, chacun à leur façon, la découverte de diverses facettes de la métropole.

Enfin, à travers les textes inédits d’auteurs qui y sont nés ou ont choisi d’y habiter, Contrecoeur, dans mes yeux, dans mon cœur est une véritable invitation à la découverte d’une charmante petite ville riveraine qui attire l’attention depuis quelques années.

L’artiste Aro dévoile Le temps nous appartient, une nouvelle collection profondément humaine et lumineuse.

Le 19 mai 2021 de 8h00 à 19h00, sur rendez-vous, en présence de l’artiste. Toutes les mesures sanitaires sont en place pour assurer votre sécurité.

Vernissage Le 21 mai de 17h00 à 21h et les 22-23 mai 2021 de 9h00 à 17h00, en formule rendez-vous de 30 minutes. Une visite privée offerte par l’artiste. Surprise et cocktail offert. Toutes les mesures sanitaires sont en place pour assurer votre sécurité.

Où: À la Galerie Aro 2682, Boulevard Talbot, Stoneham (Québec) G3C 1J5

Une exposition qui aura nécessité 2 ans de travail pour l’artiste peintre Québécoise. Le Temps nous appartient, c’est une collection de plus de 40 nouvelles oeuvres abstraites contemporaines qui parlent d’espoir, de vitalité, de connexion et de possibilités. Aro y fait une référence à l’impact du temps dans notre vie et les prises de conscience qui ont jalonnées son parcours jusqu’à présent. Sommes-nous conscients que le temps nous soit prêté?

Inspirée par Jean-Paul Riopelle et Jackson Pollock, la démarche d’Aro est comme une danse où l’oeuvre l’habite, la possède et où elle se laisse porter dans un complet lâchez prise. Elle écoute ce qui doit être dit, ce qui doit être ressentie pour écrire l’histoire de l’oeuvre, laquelle est soigneusement inscrite à l’endos de chaque oeuvre, comme si ces mots nous étaient personnellement dédiés.

Chaque trait représente un moment de notre vie. Le cercle présent dans certaines oeuvres représente la continuité, l’immortalité et le mouvement continue. Dans d’autres, la ligne qui sépare le tableau est une coupure importante à un moment précis de notre vie. Un passage réfléchi qui nous élève à du meilleur.

L’artiste présentera aussi en grande première une oeuvre peinte sur un capot de Porsche!

Le Temps nous appartient est la façon pour Aro de crier haut et fort que nous n’avons qu’une vie pour se réaliser et que nous devons vivre intensément chaque jour comme si c’était le dernier.

« Je suis une personne ordinaire qui veut vivre une vie extraordinaire… et je n’ai pas de temps à perdre! » – Aro

LE MARCHÉ OKKO: DES PRIX IMBATTABLES

Dès aujourd’hui, la nouvelle boutique en ligne OKKO, est officiellement dévoilée. Une destination de choix pour dénicher des produits responsables à petits prix. Un rendez-vous pour trouver des marques locales et canadiennes spécialisées en beauté et soin, maison, bébé et enfant, zéro déchet, épicerie ainsi que des produits pour animaux. OKKO, une idée originale d’Audrey Marguerite et Christine Teixeira, souhaite offrir aux consommateurs un nouveau lieu pour mettre la main facilement sur ce qui se fait de meilleur au pays en produits véganes, bios, naturels, matières recyclées, équitables et ce, à des prix imbattables.

À tous les mois, OKKO redonne 1% de tous ses revenus à un organisme de son choix. Pour le premier mois de ses activités,  les cofondatrices ont choisi le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale. « Nous avons choisi cette organisation pour notre premier don mensuel parce qu’en tant qu’entreprise détenue entièrement par des femmes, OKKO trouvait important de se joindre aux efforts du gouvernement pour lutter contre la violence conjugale et aider à soutenir les maisons d’hébergement, qui doivent refuser des milliers de demandes d’hébergement, faute de places libres, » affirment Audrey Marguerite et Christine Teixeira. 

« Mieux consommer n’a jamais été aussi simple, » tel est le leitmotiv du marché OKKO. Le but premier de cette boutique en ligne originale est de présenter plus de 1000 produits responsables pour toute la famille. En devenant membre d’OKKO, vous profitez de rabais sur tous les items et faites des économies durant toute l’année. Pour les jeunes entrepreneurs Audrey Marguerite et Christine Teixeira, il était essentiel de présenter un outil différent qui allait permettre à tous de devenir un acteur de changement afin d’intégrer la consommation responsable au quotidien.

OKKO redonne les profits aux fournisseurs locaux et prend peu de commissions afin qu’ils puissent offrir les meilleurs prix aux consommateurs.

OKKO, bon pour l’humain, l’environnement et… à petits prix!

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