FUEGO FUEGO : 2e ÉDITION!

Maintenant! La mise en vente des billets et des passes VIP de Fuego Fuego, el festival de música latina le plus important au Canada, est en cours. Les 27 et 28 mai prochain, l’Esplanade du Parc Olympique sera une immense fiesta à ciel ouvert alors que Wisin Y Yandel, Feid, Becky G, El Alfa, Arcangel, Jhayco seront en vedette. Plus de 25 artistes venant de Puerto Rico, Colombia, República Dominicana, Panama, Venezuela, Mexico et de chez-nous feront danser les festivaliers lors de cet événement qui s’annonce magique produit par le Midway Group.

« Nous sommes fiers d’enfin présenter la programmation de la deuxième édition très attendue du Festival Fuego Fuego. Nous avons travaillé sans relâche pour vous proposer une sélection d’artistes de premier plan, et la réponse a été extrêmement positive, dépassant toutes nos attentes. Nous sommes heureux d’annoncer que cette édition sera étendue sur deux jours, offrant ainsi aux festivaliers une expérience musicale encore plus impressionnante. Nous avons hâte de célébrer l’arrivée de l’été avec vous. » affirme avec enthousiasme Olivier Primeau, producteur.

La première édition de Fuego Fuego a été un succès instantané avec près de 20 000 spectacteurs! Montréal a accueilli à bras ouverts ce nouveau festival. La communauté latino d’ici était des nôtres en grand nombre ainsi que des milliers de festivaliers du Québec, du Canada, des États-Unis et même du Mexique. Préparez-vous : le deuxième rendez-vous de Fuego Fuego sera encore plus caliente!

À propos du Midway Group

Le Midway Group est une organisation événementielle moderne qui a su se positionner en tant que leader de la création d’expériences musicales live exceptionnelles depuis 2015. Fort d’un portefeuille 

d’événements comprenant le Beachclub, le Festival Metro Metro, le Festival Fuego Fuego, le Festival Escapade et le Bass Ship, le groupe a su divertir plus de 200 000 participants chaque année en proposant une gamme diversifiée d’expériences immersives pour satisfaire les amateurs de musique de tous horizons.

http://festivalfuegofuego.com

PETiTOM s’envole en France pour devenir la tête d’affiche d’un projet d’envergure

Connu pour son style unique et sa créativité sans limites, l’auteur-compositeur-interprète PETiTOM part à la conquête de l’Europe en devenant l’une des têtes d’affiche de « Molière, l’Opéra Urbain » , la nouvelle comédie musicale de Dove Attia mis en scène par Ladislas Chollat, qui sera à l’affiche au Dôme de Paris – Palais des Sports en novembre 2023, il y incarnera Joseph Béjart et Charles Vallet dit « Lagrange » deux rôles écrits sur mesure par les créateurs du spectacle.

La Noce de bois dévoile sa programmation de jour! (MTL)

La page Wikipédia du mot « Noce » a parlé : après une édition ésotérique portée par la cire, cette année, on célèbre le bois! Bonjour les bûcheronnes, bye bye les sorciers, c’est ça qui est ça.

Sacrée festival de l’année au GAMIQ 2022 (on a oublié de s’inscrire à l’ADISQ l’an dernier, on le fait promis!), la Noce de bois dévoile aujourd’hui la première partie de sa programmation musicale.

BadbadnotgoodLes LouangesLisa LeblancAriane RoyThe Budos BandGab BouchardSay She SheChoses SauvagesP’tit Belliveau et beaaaaaaucoup plus traverseront vaillamment les dangereux sommets brumeux du Parc des Laurentides, pour faire vibrer le Royaume du Saguenay une fois de plus. Vive le bois!

On redonne le 1er juillet à la fête du Canada; le festival se ramène à sa fin de semaine habituelle, du 6 au 8 juillet 2023. La somptueuse Pulperie de Chicoutimi garde quant à elle son statut de château fort de la Noce, où sera présentée la programmation musicale dévoilée aujourd’hui.

Cette première vague sera suivie d’une annonce pour la programmation de nuit, diffusée partout dans la ville après les activités de jour à la Pulperie. Il va sans dire que la liste des afters sera encore une fois rehaussée pour cause de y’avait ben trop de monde motivé l’an dernier, soda.

Golden ticket!

Nouveauté cette année; les Noceurs et Noceuses avides de sensations fortes et pas trop regardant.es sur leur monnaie peuvent goûter au thrill sensationnel du golden ticket de la Noce! Ainsi, au moment de l’achat d’un passeport, il est possible, au coût démesurément petit de 3$, d’ajouter une chance de gagner un accès à vie à la Noce, pour toujours, jusqu’à la fin des temps, à la vie à la mort. La reine ou le roi du bal, ad vitam æternam, pour le prix d’une moitié de latté.

La Noce de bois; du 6 au 8 juillet 2023, à Saguenay.

Passeports disponibles dès maintenant au lanoce.net

L’EDCM accueille Lisa Davies à sa direction artistique et des études

L’École de danse contemporaine de Montréal (EDCM) annonce la nomination de Lisa Davies au poste de directrice artistique et des études de l’institution. Fondatrice et directrice de Danse à la Carte, qui permet de soutenir les communautés de la danse d’ici à travers la recherche, la création, le développement et le réseautage, et de TransFormation, son stage intensif en danse contemporaine, l’ancienne interprète des Grands Ballets canadiens de Montréal succèdera à Lucie Boissinot qui, après dix-huit années, quittera ses fonctions en juin 2023. L’établissement de formation avait annoncé son départ en avril 2022, tandis qu’un appel international de candidatures a été diffusé à l’automne dernier.

« Nous sommes ravis d’accueillir Lisa Davies comme Directrice artistique et des études à l’École de danse contemporaine de Montréal. Mme Davies hérite d’un programme de formation en danse contemporaine d’une très grande qualité. Avec sa nomination, l’école est assurée de maintenir son rôle de chef de file dans la formation d’interprète en danse contemporaine au Québec, au Canada et à l’international. » – Sophie Emond, présidente du conseil d’administration de l’EDCM

« La nomination de Lisa Davies constitue une étape importante pour l’EDCM. Lisa entre en poste avec une solide expérience dans le milieu de la danse autant du côté de l’interprète que de celui de formatrice. Je suis convaincu qu’elle poursuivra avec brio l’important et solide héritage de Lucie Boissinot, toujours en faveur de l’épanouissement et la réussite des étudiants. » – Yves Rocray, directeur général de l’EDCM

La danse kaléidoscopique de Tentacle Tribe

La compagnie montréalaise Tentacle Tribe estompe les frontières entre le réel et l’onirique dans la première de sa nouvelle œuvre Prism. Présenté du 21 au 25 mars au Studio-Théâtre de l’Édifice Wilder.

Emmanuelle Lê Phan et Elon Höglund, duo créatif canado-suédois électrifiant, créent un voyage kaléidoscopique à travers une scénographie qui approfondit leur réflexion sur la perception, l’illusion et l’invisible, en quête de ce qu’on ne peut vraiment saisir, qui se dérobe aux mots et au regard. 

Un quintette de danseurs, dont la gestuelle oscille entre styles de rue, arts martiaux et danse contemporaine, évolue entouré de miroirs mobiles. Leurs corps, décuplés de manière kaléidoscopique, s’unissent et s’entremêlent avec fluidité, en synergie avec la musique d’Elon Höglund. Prism nous ouvre à une myriade de possibilités, faussant les perspectives et déconstruisant le mouvement en d’infinies combinaisons d’images aux multiples couleurs.

Prism s’ajoute aux corpus grandissant d’œuvres dynamiques de groupe de Tentacle Tribe, toujours interprétées avec grande énergie et souplesse.

Nature immatérielle avec Molior

L’exposition de réalité virtuelle Nouveaux environnements: approcher l’intouchable fait sa première mondiale à la galerie Le Livart à Montréal, du 24 mars au 30 avril 2023. 

L’exposition, la première de Molior au Québec depuis 2016, regroupe six œuvres de réalité virtuelle, ainsi que des installations et œuvres sur écran, toutes par des artistes québécois indépendants. Sélectionnées par la commissaire montréalaise Nathalie Bachand, elles ont été retenues pour leur manière de questionner notre relation à la nature dans un contexte de changements climatiques et technologiques en forte accélération. 

Mon souhait est que cette exposition puisse contribuer à transformer notre façon de voir et d’interagir avec nos environnements naturels. Je pense que la réalité virtuelle a ce pouvoir de véhiculer du contenu qui s’adresse à notre perception de manière plus entière, plus totale” -Nathalie Bachand, commissaire

L’exposition explore notre monde à travers un passage vers le numérique où la nature devient malléable et immatérielle tout à la fois. Ainsi, elle évoque des univers distants et impalpables qui deviennent soudainement à portée de main ; des mondes où la destruction humaine n’a plus cours, et où, au contraire, le geste humain en devient plutôt un de construction et d’élaboration.

Un premier album pour Guillaume Laroche !

Guillaume Laroche a une passion incandescente de la langue française et c’est sans compromis qu’il la met en musique. Il lance aujourd’hui Et si le feu s’éteint… un tout premier album solo chargé de chansons pop aux textes habiles et peaufinés. Avec sa voix claire, c’est un véritable vent de fraîcheur que l’auteur-compositeur-interprète nous propose. Ses douze titres axés sur des mélodies accrocheuses sont à la fois entraînants et rassembleurs; de la musique pop comme on l’aime, tantôt folk, tantôt rock, mais toujours authentique et vibrante. L’album sera disponible sur toutes les plateformes numériques dès le 10 mars 2023.
 
Une pop lucide et enflammée !
Habitué des ateliers d’écriture autant comme formateur que comme participant, Guillaume Laroche a fait de la richesse de ses textes sa spécialité. Dès « Ruelle », la première pièce de l’album, on plonge dans une instrumentation ample où batterie, cuivres, guitares et basse bondissent sous le débit dynamique du chanteur et on comprend aussitôt le plaisir qu’il prend à jouer avec les mots. S’ensuit « Vélo volant », pièce un peu jazzée où on explore les secrets d’une nuit naissante dans les rues de Rouyn et dont le refrain de vocalises nous reste encore en tête alors que se déploie « Retenir l’été », attachante chanson folk au soleil éternel. On peut dire que Guillaume Laroche ne prend pas la musique pop à la légère : toutes ses chansons ont du cœur et semblent destinées à nous faire sourire ou chanter. C’est particulièrement le cas de la pièce « C’est pas facile », qui, malgré son histoire de rupture inévitable, nous donne envie de danser à tue-tête. Avec l’aide de Simon Walls à la réalisation (Laura Niquay, Le Winston Band), Guillaume Laroche a tissé des pièces à la fois uniques et cohérentes dans lesquelles le feu n’est jamais loin, puisqu’il s’agit de ne pas l’éteindre ! Ainsi on revient au folk avec « Ça fait longtemps », juste avant la douce et touchante « Depuis que j’suis né », un hommage à la maturité forcée d’un enfant malade, puis la déchirante « Dans les draps », où toute l’intensité du chanteur est mise à profit. Après ce passage plus introspectif, « Comme une menotte » nous ramène au groove d’un Wurlitzer et aux envolées vocales de Camille Cormier-Morasse et Jérémie Roy. Puis, « T’en vaux deux » prend la relève, nous séduit avec son optimisme et prépare le terrain pour « La vie est une chienne », pièce la plus « sombre » de l’album, mais irrésistible avec la trompette de Rémi Cormier qui dompte la tristesse ambiante de notre époque. Vient ensuite « Passée devant moi », un néo-country assumé avec grosse caisse persistante, banjo et dobro sous une histoire d’amour au large du quotidien. Et enfin, un vieux piano droit bien vivant, la batterie appuyée de Shawnee Jacques-Godard et une mélodie élaborée viennent clore l’album en nous racontant que le chemin à suivre n’est peut-être pas toujours aussi évident qu’on le voudrait. 
 
En guise de lancement, Guillaume Laroche présentera ses chansons sur scène à trois reprises : le 9 mars au Kool Club de Granby, le 10 mars au Moulin Marcoux de Pont-Rouge et le 11 mars à la salle Claude-Léveillée à Montréal. D’autres dates seront annoncées bientôt, notamment celles d’une tournée en Abitibi-Témiscamingue.

Buridane

Buridane est de retour le 12 mai 2023 avec son nouvel album et son concert de sortie au Café de la Danse à Paris.

Après Pas Fragile et Barje EnduranceBuridane revient avec un nouvel album réalisé par Féloche. Sorte de poupée russe avec un mort, ce disque est un dialogue avec un fantôme, un rêve d’émancipation, une mythologie à écrire. La musicienne a déjà dévoilé trois extraits du disque, que l’on peut retrouver sur Youtube avec des clips filmés en Super 8 : Total Fiasco, Ni Kalifa Ala Ma, et Game Over The Rainbow. On retrouve avec ces premiers singles des chansons intrépides à la plume incisive, à la tendre noirceur et à l’urgence éperdue, à la fois ombre et lumière, qui scientillent dans un crépitement de mandolines.

Nouvel extrait, voici Pluie Vaudou le tout nouveau titre très sensuel de Buridane : un tango déstructuré où l’envoûtement de l’absence résonne comme une suave litanie, un incendie impossible à éteindre. Le désir et sa douleur nous parviennent en FedEx, à défaut, en poste restante.

Pour regarder le clip de Pluie Vaudou :

ALBIN DE LA SIMONE | LES CENT PROCHAINES ANNÉES DISPONIBLE AUJOURD’HUI

Albin de la Simone propose Les cent prochaines années, son septième albumSix ans déjà après L’un de nous, à point nommé pour célébrer vingt années de chansons, il reprend le fil de ce qui peu à peu a façonné son style unique.

Cette fois, pourtant, le réalisateur qu’il est régulièrement pour les autres (MiossecPommeVanessa Paradis ou Pierre Lapointe) a choisi de ne plus l’être pour lui-même, en confiant les clés à un jeune disciple, Ambroise Willaume alias Sage.

En adoptant ce léger pas de recul vis-à-vis de ses chansons, le compositeur-chanteur dévoile pourtant son disque d’auteur le plus personnel, à commencer par cette pochette qui le montre, enfant, dans les bras de sa mère, dont le titre Petit petit moi décrit avec précision le contexte. « J’ai envie de toucher de la même manière que j’aime être touché. Comme il m’arrive d’être bouleversé par les chansons des autres, je ne dois plus me poser d’obstacle à l’idée d’émouvoir », confie celui qui creuse de disque en disque un sillon de plus en plus profond, sans toutefois perdre en chemin sa belle légèreté.

Si Les cent prochaines années, en ouverture, donne foi en l’espoir de beaux lendemains, l’album est la chronique équilibrée, voire équilibriste, de l’émerveillement et de la douleur, de la rupture et de la renaissance amoureuse (J’embrasse plus, Pars, Merveille), du souvenir et de l’avenir (« Quoi sera mieux, quoi sera pire, qui saura dire ? »), jusqu’à l’échappée onirique de À jamais, rêverie fantasque, limite fantastique, d’un type en panne qui s’ébroue les sens. 

Au contact de son nouveau complice pas si sage, Albin de la Simone a élargi ses focales, en témoignent certains morceaux qui figuraient en versions minimales (et instrumentales) sur son disque précédent Happy end, et qui ici ne retrouvent pas seulement la voix mais bien une autre vie. C’est le cas par exemple de Merveille, valse gymnopédique comme mise en couleur après une première esquisse. Albin de la Simone, qui dessine et peint, sait combien les teintes, ombrages et reliefs importent dans l’exposition d’une chanson autant que sur une toile. Ici il a convié un trio de musiciens additionnels qui font bouger les lignes et vibrer les perspectives : le québécois d’adoption Robbie Kuster, la virtuose harpiste Gustine et le souffleur Thibaud Vanhooland, cousin chanteur sous le nom de Voyou, qui fait rutiler ses cuivres comme à la parade. 

Les guitares et les basses de Sage, au contact des claviers d’Albin dans un esprit sensiblement plus pop qu’à l’accoutumée, donnent également à cet ensemble l’apparence d’une fresque élégante mais jamais figée, qui se déroule comme un décor en trompe-l’œil. 

Deux tableaux impressionnistes signés Degas (L’Absinthe) et Manet (La Prune), deux femmes aux regards perdus dans des cafés, ont d’ailleurs inspiré le texte de « Mireille 1972 », merveille de chanson délicate sur l’avortement qui foudroie le cœur et tétanise par sa justesse.

L’autre invitation de ce disque décidément grand ouvert est allée dans l’autre sens, à la demande d’Albin, pour un duo avec le Brésilien Rodrigo Amarante (Los Hermanos, Little Joy) qui termine ainsi le programme avec « Lui dire », ballet à deux voix pour une même femme. 

Noble et sentimental, discrètement voluptueux, d’une musicalité qui n’appartient qu’à Albin de la Simone, cet ouvrage est bien là pour accompagner longtemps et en beauté les jours qui passent. De toute évidence au cours des cent prochaines années. 

Et après, on voit. 

Laroie lance un ep : Tragedy

L’autrice-compositrice-interprète Laroie offre une série d’airs électros dansants sur son EP indépendant Tragedy disponible dès aujourd’hui sur toutes les plateformes de téléchargement et d’écoute en continu. Le lancement aura lieu le 23 mars, en formule 5 à 7, chez Zamalek (réservation médias ici).

Après la parution des extraits «Confusion», «Keep Hiding (Way Back)» et «Stuck Here», Laroie dévoile l’entièreté du EP Tragedy, six pièces qui s’enchaînent telle une invitation au mouvement. La chanson-titre du EP s’entend comme un appel. « Keep on loving me. Keep on keep on loving me. Keep on loving me », chante l’artiste alors qu’elle trace les contours d’un nouveau « soi », créé au fil des années. Cet EP image en effet avec brio les possibilités qui se dessinent après une reconstruction de soi-même : « Mes grandes ailes étaient recroquevillées et je me faisais plus petite pour assurer le confort des autres, explique Gab Godon, alias LaroieTragedy reflète de ce qui aurait pu être tragique si je n’avais pas fait face à mes peurs pour mieux me retrouver. » 

Le EP culmine avec  «Why Don’t Ya?» qui décrit le laisser-aller qui caractérise la nouvelle approche artistique et personnelle de Laroie : « Only light hearted sparks makes my charm. I’m whole if not I’m out. Give you a chance to come running back. Touch me, kiss me. I’m intrigued. » Dans un souffle émancipateur, la créatrice aborde en effet tous les questionnements qui l’ont accompagnée à la fin de sa vingtaine : « J’étais prise dans une boîte et je ne me sentais pas fidèle à moi-même par rapport à mes relations interpersonnelles, ma sexualité, mon queerness et mon rapport à la vie », dit-elle.

Le projet, minutieusement travaillé avec Gene Tellem, embrasse des sonorités électros, IDM, Drum&Bass, House, Soul et Trip Hop alors que les textes sont livrés avec l’audace des codes R&B, rappelant de grands succès du genre du début des années 2000. Les productions musicales ont également été construites en collaboration avec Gabriel Rei et Robert RobertTragedy a été mixé par Gabriel Bissonnette et le mastering est l’œuvre de Cristobal Urbina.


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