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Scène mobile, formations virtuelles et spectacles en ligne pour faire briller la jeunesse

Du 28 au 30 mai, le Rendez-vous panquébécois virtuel viendra clore une édition bien particulière de Secondaire en spectacle qui normalement s’articule autour de spectacles dans les écoles, puis de finales régionales où les lauréats gagnants représentent leur région lors du Rendez-vous panquébécois. Pandémie oblige, le plus gros événement culturel pour les jeunes du secondaire se déplace en ligne, permettant d’ouvrir gratuitement l’événement au public et permettre à toute la famille de se réunir et découvrir les talents d’ici.

Les festivités seront lancées par une cérémonie d’ouverture en ligne spécialement conçue pour rejoindre les élèves pendant l’heure du dîner le 28 mai de 11h30 à 13h00. Pierre-Yves Roy-Desmarais, porte-parole de l’événement, Sarahmée, Clay & Friends, Émile Proulx-Cloutier et plusieurs autres célébreront le talent et la résilience des jeunes. Suivra, les performances des lauréats des quatre coins du Québec diffusés en ligne le samedi 29 mai et dimanche 30 mai à 19h00. Des formations virtuelles offertes par certains artistes de la cérémonie d’ouverture, ainsi que la drag queen Rita Baga, l’humoriste Pascal Morrissette et plusieurs autres complèteront la programmation.

Pierre-Yves Roy-Desmarais est un ancien participant de Secondaire en spectacle et souligne l’impact de l’expérience de Secondaire en Spectacle. « Au secondaire, je me nourrissais de deux choses :  de pizza pochette et de scène. J’ai donc beaucoup de difficulté à m’imaginer ce dont ma vie aurait eu l’air si j’avais eu 16 ans en 2021 et que j’étais confiné chez moi, sans scène. C’est pourquoi j’applaudis tous ceux qui rendent Secondaire en spectacle possible. Toute mon admiration va aux enseignants et intervenants qui s’impliquent et aux parents qui motivent leurs ados à se lancer et à entretenir leurs passions. » 

UNE SCÈNE MOBILE EN TOURNÉE SUR LES ROUTES DU QUÉBEC

Afin de respecter les consignes sanitaires en vigueur, une scène mobile orchestrée par le Mixbus studio s’est arrêtée à Val-d’Or, Lebel-sur-Quévillon, Drummondville, Amqui, Carleton-sur-Mer, Lévis et Gatineau du 5 au 22 mai pour capter les numéros des finalistes des différentes régions qui ne pourront pas se déplacer au studio de Laval le week-end prochain. Les numéros seront diffusés lors du RVPQ, alors que les performances des jeunes des régions métropolitaines seront captées en direct d’un studio spécialement aménagé.

Pour les liens des événements et la programmation complète, rendez-vous sur le site de Secondaire en spectacle.

À PROPOS DE SECONDAIRE EN SPECTACLE

Depuis plus de 25 ans, Secondaire en spectacle « fait toute une scène » pour développer l’estime des jeunes, soutenir la motivation scolaire et faire rayonner la culture en français dans nos écoles. Présent aux quatre coins du Québec, il permet à des milliers de jeunes chaque année de se familiariser avec les arts de la scène que ce soit par des prestations, l’animation, la technique de scène, le journalisme et le volet Organisateurs qui offre un premier contact avec la gestion d’événements.

La réalisation du RVPQ est rendue possible grâce à Sports Laval, la ville de Laval, le Collège Letendre et le Lab Espace Créatif ainsi que les partenaires nationaux du programme, soit le gouvernement du Québec, Long & McQuade, la Fabrique culturelle, les Unités régionales de loisir et de sport du Québec, la Fédération des centres de services scolaires du Québec et la Fédération des établissements d’enseignement privés. Soulignons également la précieuse implication des intervenants socioculturels, enseignants, directions, coordonnateurs régionaux et bénévoles à la source de nouvelles amitiés et d’expériences marquantes depuis 1994.

LA NOCE ANNONCE SA PROGRAMMATION 2021 À LA PULPERIE DE CHICOUTIMI

Une fois de plus, des festivaliers de partout au Québec se retrouveront à Saguenay pour assister à la Noce, cet événement comme aucun autre, où les mariages à 10$ et autres extravagances se succèdent sur une programmation musicale éclatante. Pour cette quatrième édition, c’est le froment qui sera à l’honneur, après le cuir et le coton des années précédentes

Voici la programmation de la Noce de froment, présentée du 7 au 10 juillet à la Pulperie de Chicoutimi.

Le festival quitte son berceau du Vieux-Port de Chicoutimi pour s’installer cette année sur le site des ruines de la Pulperie, haut-lieu des mariages les plus glamours de l’histoire du Saguenay Lac-Saint-Jean, cette fois transformé en forteresse de musique et de fête. Trois plateaux doubles d’artistes se succéderont sur des scènes différentes, à chaque jour du jeudi au samedi. Pour respecter les consignes sanitaires et la distanciation sociale, il n’y aura pas de passeports disponibles et chaque concert aura une billetterie unique de 250 tickets.POUR VOUS PROCURER DES BILLETS, C’EST ICI!

Le confort des SIÈGES DUCHARME au spectacle de Céline Dion – L’entreprise du Québec obtient un contrat majeur à Las Vegas.

Nous sommes fiers d’annoncer que la direction du Resorts World Las Vegas a sélectionné notre entreprise Sièges Ducharmepour la conception et la fabrication des sièges de leur nouvelle salle de spectacle THE THEATRE qui ouvrira ses portes prochainement.

Céline Dion effectuera son retour sur scène, à Las Vegas, à ce théâtre de 5,000 sièges en novembre 2021.

Fondé en 1959, Sièges Ducharme a obtenu ce contrat dans le cadre d’un appel d’offres auquel ont participé des entreprises américaines de prestige.

Nous sommes d’autant plus heureux de l’obtention de ce mandat que toute la conception, la fabrication et les matériaux utilisés sont de chez nous.

Notre expertise et réputation ainsi que le rapport qualité-prix de notre produit ont joué un rôle de premier plan dans la sélection de Sièges Ducharme pour ce mandat.

De plus, ce contrat s’inscrit dans la vision de croissance soutenue du marché américain amorcée en 2016.

DES ASSISES, ICI ET AILLEURS

Ce nouvel engagement s’ajoute aux réalisations de prestige qui constituent notre portfolio.

Que ce soit du tout premier siège de théâtre que nous avons conçu et fabriqué en 1964, pour la Place des Arts de Montréal, des sièges du bloc ouest du Parlement du Canada ou des 5,500 sièges du célèbre Hard Rock Seminole Hotel de Floride nous sommes fiers du travail de qualité accompli, au fil des décennies, et de la reconnaissance de notre compétence par toute notre clientèle.

En conclusion, je souhaite souligner que nous travaillerons en étroite collaboration, dans ce projet, avec une autre entreprise du Québec Scéno Plus et son vice-président Benoît Panaccio, concepteur de la salle.

La rencontre entre des paroliers multigénérationnels et les mélodies de Julien Clerc

Julien Clerc revient au Québec avec son nouvel album Terrien et réunit autour de lui une solide équipe de paroliers multigénérationnels tels que Clara Luciani, Jeanne Cherhal, Didier Barbelivien, Bernard Lavilliers, Marc Lavoine, Carla Bruni mais aussi le rappeur Vincha. Il propose aujourd’hui une version inédite de son 26e album studio. Cette édition spéciale est enrichie de 6 maquettes des chansons de l’album en version piano-voix. L’artiste nous dévoile ainsi son processus créatif et de production. Un véritable cadeau pour les fans!

Un confinement créatif

Composé durant le premier confinement, Terrien propose douze chansons inédites. L’artiste aborde plusieurs sujets d’actualité et de société, sans abandonner pour autant les ballades sentimentales, comme cette étonnante collaboration avec Clara Luciani pour la chanson d’amour Mon refuge, le premier extrait de ce nouvel opus. Magnifiquement illustré dans son dernier vidéoclip, Julien Clerc nous invite dans l’univers de son voyage imaginaire. Le chanteur de 73 ans visite le monde sans quitter son chez-soi, grâce à une maison volante. Café en main, le musicien traverse des paysages somptueux, admire les cerisiers en fleurs, survole les sapins enneigés et caresse du bout des doigts les pyramides de Gizeh lors de cette évasion qui traduit si bien les paroles.

Découvrez le vidéoclip dès maintenant sur la chaîne YouTube officielle de l’artiste. https://www.youtube.com/results?search_query=mon+refuge+julien+clerc

MON REFUGE

(Clara Luciani / Julien Clerc)

« Une chanson qui parle d’évasion et de voyages; j’ai adoré le mot refuge et ça m’a inspiré. »

MADEMOISELLE

(Didier Barbelivien / Julien Clerc)

« C’est un sous-texte sur les enseignantes, qui nous ont appris l’histoire de notre pays, et sur les neiges éternelles et les grandes cités industrielles. »

LA ROSE ET LE BOURDON

(Vincha – Baptiste Hamon / Julien Clerc)

« Une chanson qui pose la question de savoir dans quel état nous laisserons la planète à nos enfants. »

COMMENT TU VAS?

(Marie Bastide / Julien Clerc)

« C’est un texte sur la dépression, ce qui touche énormément de monde. C’est un texte que je suis fier de chanter. »

CHAQUE

(Carla Bruni / Julien Clerc)

« Paroles de Carla Bruni. C’est véritablement l’une des trois chansons d’amour pure et dure de l’album. »

MA PETITE TERRE

(Marc Lavoine / Julien Clerc)

« Une chanson sur les Antilles, cela fait référence à mes racines. »

L’HOMME A NAGÉ

(Clara Luciani / Julien Clerc)

« Pour une fois, plutôt que de mettre un texte en musique, j’ai décidé de trouver un thème musical qui me servirait au refrain et après, j’ai inventé la mélodie. »

LA JEUNE FILLE EN FEU

(Jeanne Cherhal / Julien Clerc)

« Chanson qui traite d’un problème éternel, mais qui a des résonances très fortes en ce moment (…) Je remercie tous les jours Jeanne Cherhal de m’avoir offert ce texte. Elle m’a dit dans une jolie lettre qui accompagnait le texte qu’un homme qui chante Femmes je vous aime ne peut rester insensible à ce problème. »

TERRIEN

(Bruno Guglielmi / Julien Clerc)

« C’est la chanson qui donne son nom à l’album (…) Dans l’air du temps et des préoccupations des gens qui habitent cette planète aujourd’hui »

BREXIT

(Paul Ecole / Julien Clerc)

« Une réalisation assez rock britannique (…) Une histoire d’amour entre une Anglaise et un Français. »

L’AMOUR DES GENS

(Didier Barbelivien / Julien Clerc)

« Résume la pensée d’un artiste vis-à-vis de son public (…) Ce qu’on recherche tous, c’est l’amour. »

AUTOMNE

(Bernard Lavilliers / Julien Clerc)

« Un très beau texte d’ambiance, un peu cinématographique »

L’amour… depuis plus de 50 ans

Cet album rassembleur, Julien Clerc l’a composé seul, en confinement, mais ça ne l’a pas empêché d’y intégrer de belles chansons d’amour. Après plus de cinquante ans de carrière et plusieurs titres marquants laissés au répertoire de la chanson francophone, le chanteur est toujours aussi authentique, sensible et romantique, et il possède encore un sens redoutable de la mélodie.  

Avec ce nouvel album Terrien, l’artiste à la voix singulière marque son retour sur disque en attendant l’annonce d’une visite imminente dans la Belle province! Découvrez le nouvel album de Julien Clerc en formule bonifiée en magasin dès maintenant et sur les plateformes numériques via ce lien : https://Musicor.lnk.to/JulienClerc-Terrien

Le Festival International du Film sur l’Art nommé aux nouveaux Prix du Conseil des arts de Montréal dans la catégorie «Innovation» : une reconnaissance de son leadership dans le numérique

Fort de l’annonce officielle de ce jourle Festival International du Film sur l’Art (Le FIFA) se réjouit de figurer parmi les finalistes pour un des Prix du Conseil des arts de Montréal – désignés sous le nom Nos indispensables – dans la catégorie «Innovation». Cette nomination qui honore l’équipe du Festival, intervient dans le contexte de la crise de la pandémie de COVID-19 qui a bouleversé la scène culturelle depuis le printemps 2020, tant sur le plan humain, artistique, financier et logistique
 

LEADERSHIP À L’ÈRE DU NUMÉRIQUEÀ l’aube de son quarantième anniversaire, qui sera célébré en mars 2022, Le FIFA peut se targuer d’être une entreprise innovante et d’occuper une place de choix dans la diffusion et le rayonnement des œuvres cinématographiques à l’ère du numérique. Fort de deux éditions virtuelles consécutives, en mars 2020 et mars 2021, le Festival a su faire évoluer sa culture d’entreprise et a réinventé son modèle, en gardant pour mission première celle d’offrir une vitrine de choix pour la présentation d’oeuvres de nombreux réalisateur·rice·s et producteur·rice·s d’ici et issu·e·s de la scène internationale.
 
Le plus grand défi d’une programmation en ligne étant de trouver des façons innovantes d’établir une communication entre le public et les cinéastes, Le FIFA a repensé le mode de diffusion des films. Par exemple, le 29 mars dernier, afin de refléter la vitalité du film sur l’art et de prolonger la diffusion et le rayonnement des œuvres célébrées au FIFA, le Festival a lancé ARTS.FILM qui aspire à devenir une Grande Place de la webdiffusion artistique sous toutes ses formes, où des festivals partenaires et des institutions culturelles complices proposent des programmations éphémères et des sélections d’œuvres inédites, qui s’ajoutent à une programmation disponible toute l’année.
« Depuis plusieurs années, nous suivons de près les mutations technologiques qui influent sur le secteur de la diffusion cinématographique et artistique, remarquant des changements importants au niveau des comportements et des attentes des publics, mais aussi au niveau des créateur·trice·s. Il est certain que la pandémie est venue précipiter l’adhésion à plusieurs de ces technologies. Mais avant tout, nous avons toujours abordé les technologies sous l’angle des liens qu’elles permettent de créer, de redéfinir entre les œuvres, les artistes et le public. Plusieurs des technologies que nous développons seront encore présentes lors du retour en salle du Festival. Elles ne font qu’ouvrir des mondes de possibilités, nous incitant sans cesse à nous repositionner, à nous requestionner, à nous redéfinir. Cependant, elles demeurent des outils et notre rôle est de décider comment et dans quel but les utiliser. » souligne Philippe U. del Drago, directeur général et artistique du Festival International du Film sur l’Art.
De ce fait, la création de cette nouvelle plateforme de contenu culturel est une preuve d’une réinvention du Festival International du Film sur l’Art qui existe désormais bien au-delà de son édition annuelle et s’assure d’une visibilité enviable à l’échelle pancanadienne tout au long de l’année.

INNOVATION ET PANDÉMIE

L’incursion marquante du FIFA dans le domaine du numérique faisait partie d’un plan d’affaires amorcé il y a déjà quelques années. Elle a tout simplement été accélérée par le contexte de la pandémie de COVID-19. Rappelons qu’en mars 2020, Le FIFA a été le premier festival dans les Amériques, et le deuxième au monde, à migrer en ligne. Le 14 mars 2020, deux jours après le décret du premier ministre interdisant tout rassemblement public de plus de 250 personnes, l’équipe du FIFA, animée par sa cohésion, son expérience et expertise, est parvenue à tenir une édition en ligne, présentant plus de 180 films à travers le pays pour le bonheur des cinéphiles et amoureux·ses des arts.

La formation Oktopus lance Créature

La formation Oktopus présente son troisième album, Créature, quatre ans après l’acclamé Hapax, en nomination aux JUNO et aux Prix de musique folk canadienne. L’octuor montréalais poursuit sa route dans la direction qui a fait sa renommée : une musique klezmer dont la profondeur des racines n’a d’égale que l’audace des ramifications de ses branches. Une musique autant ancrée dans une tradition millénaire qu’imprégnée du Montréal cosmopolite dans lequel baignent les musiciens du groupe.

Dans Créature, les sonorités d’Europe de l’Est côtoient la musique classique, la chanson québécoise, le jazz et même la pop, à travers des compositions originales, des improvisations inspirées et des arrangements toujours aussi finement conçus par le directeur artistique Gabriel Paquin-Buki. La fête et la danse sont au rendez-vous, mais aussi l’introspection, l’exploration, l’espoir et la lumière.

Ce troisième album est une créature étonnante, multiple et attachante, façonnée par Matthieu Bourget (trombone basse), Noémie Caron-Marcotte (flûte), Madeleine Doyon (trombone), Guillaume Martineau (piano), Gabriel Paquin-Buki (clarinette), Maxime Philippe (batterie), Francis Pigeon (trompette) et Veronica Ungureanu (violon), huit artistes virtuoses à l’imagination fertile.

En plus du répertoire traditionnel, on y trouve notamment une relecture vibrante de la chanson Le grand cerf-volant de Gilles Vigneault – qui permet d’entendre la magnifique voix de Sonia Johnson – une version revampée de Misirlou – un traditionnel grec rebaptisé ici Poulpe Fiction, en référence au film qui l’a fait connaître au grand public –  et Jumpin’ Jumpin’, une étonnante reprise du groupe Destiny’s Child. www.oktopus.ca

YOLELE LA SORTIE DU TOUT PREMIER SINGLE SOLO

Les Productions Nuits d’Afrique annoncent la sortie de Yolele, le vendredi 21 mai. Le single, distribué à travers le Canada par Believe, le tout nouveau distributeur de l’étiquette Disques Nuits d’Afrique, sera disponible sur toutes les plateformes numériques le même jour.

Yolele – Premier single solo de Cheik Ibra Fam
 

Cheikh Ibra Fam ajoute désormais une nouvelle corde à son arc en sortant en son nom propre son tout premier single Yolele. Cette chanson aux couleurs afro-pop a été réalisée après près de 15 ans de carrière sous le nom Freestyle dans son pays natal et après son actuelle collaboration en tant que chanteur du groupe de renommée internationale Orchestra Baobab.

Un single afro-pop

Yolele, qui tient son nom d’un chant et d’une danse peul (dialecte de l’Afrique de l’Ouest) traditionnelle et populaire au Sénégal, raconte la vie quotidienne et appelle à l’introspection.

Des couplets puissants chantés en wolof s’intègrent à merveille dans des rythmes variés de guitare acoustique, percussions et cuivres qui rappellent les racines de cet artiste multidimensionnel.

Le refrain, quant à lui, est dansant et reste en tête. Il s’accompagne d’arrangements qui, associés à l’ensemble du morceau, révolutionnent le genre et modernisent véritablement la musique Afro.

Cette modernité dans la musique de Cheikh Ibra Fam est encore plus soutenue grâce à un clip haut en couleurs, tourné sur l’Île de Gorée au Sénégal, qui met en avant le goût prononcé de l’artiste pour la mode, la danse et la musique.

Autant d’images et de symboles entremêlés dans ce riche clip de Yolele dans lequel Cheikh Ibra Fam se met lui-même en scène, au coeur de ses instants de vie et d’histoire. 

Sortie de l’album Peace In Africa le 14 octobre 2021

L’album complet Peace In Africa, qui paraîtra également sous l’étiquette Disques Nuits d’Afrique, est en préparation et sortira le 14 octobre 2021. 

« Je ne suis pas celui que vous décrivez » De la DPJ aux bancs d’université

Le taux de diplomation des jeunes de la DPJ est alarmant. Seulement 25 % d’entre eux ont un diplôme d’études secondaires à 19 ans, comparativement à 77 % pour la moyenne québécoise*. La pandémie a complexifié davantage ce parcours déjà difficile. Pourtant, ces statistiques inquiétantes font souvent ombrage à de grands succès.

Voici l’histoire de Samuel Coulombe, placé dès la naissance, qui entame aujourd’hui des études à la maitrise. Un jeune qui veut prendre la parole pour rappeler qu’un enfant de la DPJ qui réussit, bien qu’on en parle rarement, c’est possible! Il souhaite aussi partager son succès avec tous les donateurs de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal qui ont cru en lui.

Gagner à la loterie des familles daccueil

Samuel a été pris en charge par la DPJ avant même sa naissance. « Ma mère consommait de la drogue. Elle ne pouvait s’occuper ni de moi, ni de mes deux frères, ni de ma sœur. »

À deux ans, Samuel rejoint toute la fratrie dans une même
famille d’accueil. Il y restera durant huit ans. « Ça a été une
belle période. Malheureusement, lorsque j’avais dix ans, mon
père d’accueil est décédé subitement et la famille est tombée en pièces. »

Les frères de Samuel sont envoyés en centre jeunesse, sa sœur dans une famille d’accueil et lui, dans une autre. « Du jour au lendemain, j’ai perdu tous mes repères. Mais ce qui m’a fait le plus de peine, c’est d’être séparé de mes frères et ma sœur! » Malgré le traumatisme de la séparation, Samuel a rapidement pris racine dans sa nouvelle famille d’accueil.

« Onze ans plus tard, je vis toujours avec eux. Je m’implique dans la famille et je les considère comme ma mère et mon père. C’est une chance d’avoir des gens à qui raconter sa journée. Ça prend de la stabilité pour s’épanouir! La vie ne m’a peut-être pas choyé à la naissance, mais je peux dire que j’ai gagné à la loterie des familles d’accueil! »

Luniversité comme un objectif de vie

Dès son entrée au secondaire, Samuel a un objectif très clair : aller à l’université. « J’ai suivi tous les cours enrichis en maths, sciences, anglais… Je ne savais pas encore dans quel domaine je me dirigerais, mais je savais une chose : j’allais réussir! »

Des mains tendues pour réussir, la Fondation comme une solution

« Mes 18 ans approchaient et je savais que les frais universitaires allaient devenir un vrai problème. Je travaillais une journée par semaine, mais ce n’était pas suffisant. C’est là que mon travailleur social à la DPJ a trouvé une solution : la Fondation du Centre jeunesse de Montréal. On a fait une demande de soutien pour mes études. Mes frais de scolarité, mes livres, mes effets scolaires, mon ordinateur ont été couverts par les bourses de la Fondation. Si j’avais dû travailler pour payer tout cela, je n’aurais pas pu mettre autant d’énergie dans mes études et le résultat n’aurait certainement pas été le même!

« Aujourd’hui, je me prépare à franchir une nouvelle étape : j’entre à la maitrise à l’Université Laval. C’est un grand saut qui me permettra de faire ce dont j’ai envie, travailler sur des projets d’exploitation naturelle en milieu éloigné. »

Moi aussi, je mérite quon raconte mon histoire!

« Avant de voler de mes propres ailes, j’ai envie de vous dire que des jeunes comme moi, il en existe plusieurs à la DPJ. Mais on n’entend jamais parler de nous dans les médias. Je suis née d’une mère toxicomane et je ne connais pas mon père biologique. Je possède le même point de départ que plusieurs jeunes dont on retrace souvent le parcours malheureux.

« C’est important pour moi de dire que les enfants de la DPJ ne finissent pas tous dans la rue. Cette image- là est trop véhiculée par les médias. Lorsque l’on est un enfant placé, tout ce que l’on entend, c’est que l’on n’ira pas loin dans la vie. Et à force de l’entendre, on y croit. Souvenez-vous de moi. Je suis né dans un contexte peu enviable et j’entreprends bientôt des études supérieures. Moi aussi, je mérite qu’on raconte mon histoire. »

Préparer une rentrée scolaire en sortie de crise

La crise actuelle frappe de plein fouet les jeunes et davantage ceux en situation de vulnérabilité. Les besoins engendrés par la pandémie sont plus urgents et plus intenses. La Fondation du Centre jeunesse de Montréal a augmenté de 98 % laide apportée, cette année, aux jeunes pour que leur contexte de vie soit favorable à leur réussite, notamment par la poursuite de leurs études. Des loyers, du matériel informatique, des frais de scolarité, du tutorat, des cartes alimentaires, etc. Les initiatives continuent d’être nombreuses pour transformer leurs parcours en réussite.

« Grâce à la générosité de notre communauté de donateurs, nous apportons un soutien d’urgence aux jeunes qui n’ont pas d’autres alternatives financières. Des jeunes adultes qui, sans l’aide de la Fondation, devraient sacrifier leurs études pour occuper un emploi les menant souvent dans une situation précaire », rapporte Fabienne Audette, directrice générale de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal.

« La prochaine rentrée scolaire est à nos portes et nous savons déjà que la demande sera aussi importante. La sortie de crise nécessite une mobilisation de toute la communauté. Et nous faisons appel à la générosité de tous ceux et celles qui le peuvent, pour appuyer ces jeunes de la DPJ et leur envoyer ce message essentiel : « Nous croyons en toi! Tu as le pouvoir de réussir! »

Pour soutenir les jeunes dans leur réussite scolaire, faites un don au : fondationcjm.ca

LE MUSÉE DE LA CIVILISATION CÉLÈBRE SA RÉOUVERTURE AVEC LES MAYAS !

 Le Musée de la civilisation célèbre sa réouverture de façon grandiose en offrant à ses visiteurs rien de moins qu’un voyage au pays des Mayas d’Amérique centrale. Commencée il y a 5 000 ans, l’histoire de cette civilisation dorée constitue l’un des héritages culturels les plus riches au monde. Au moment de son apogée, entre le 3e et le 8e siècles de notre ère, elle figurait parmi les plus avancées en Amérique surpassant même, par son raffinement, la culture européenne. Aujourd’hui, malgré les guerres, les famines et les changements climatiques, les Mayas sont toujours là! Ils sont plus de 6 millions à vivre au Guatemala, au Bélize et au Mexique, Ils parlent toujours leur langue et préservent leur culture millénaire. À voir absolument, jusqu’au 3 octobre prochain.

Conçue par MuseumsPartner (Autriche), en collaboration avec le ministère de la Culture et des Sports du Guatemala, l’exposition MAYA est présentée au Musée de la civilisation avec le soutien financier du gouvernement du Québec et de la Ville de Québec, dans le cadre de l’Entente de développement culturel, ainsi qu’avec la participation de Radio-Canada et du Fairmont Le Château Frontenac à titre d’hôtel officiel.

Provenant du Musée national d’archéologie et d’ethnologie du Guatemala et de la Fondation La Ruta Maya, près de 300 trésors témoins de la richesse de cette culture — statuettes, stèles de pierre, bijoux — sont mis en valeur à l’intérieur d’une scénographie vivante et colorée. Des stations interactives, des projections vidéo grand format et des ambiances sonores enveloppantes complètent l’expérience.

Un peuple en symbiose de corps…

Le parcours, décliné en 12 zones, révèle une civilisation en symbiose de corps et d’esprit avec son environnement tropical. Pendant des siècles, ils ont dominé le territoire parfois très hostile de la forêt tropicale et y ont développé des méthodes ingénieuses d’agriculture pour faire pousser maïs, courges et haricots. Dotés d’une organisation sociale avancée, les Mayas ont érigé des cités en pleine forêt, construit des temples impressionnants au sommet de hautes structures étagées. Entre ces citées était établi un gigantesque réseau commercial reliant les hautes terres du Guatemala à l’océan Pacifique, à la mer des Caraïbes et aux basses terres mayas. Le transport de marchandises, dont le précieux cacao, se faisait par canot mais surtout à dos d’homme puisqu’aucune bête de somme ne pouvait se déplacer dans la jungle. Chaque cité compte un roi considéré comme un demi-dieu puisqu’il assure la communication entre son peuple et le divin.

… et d’esprit avec son environnement

La forêt n’est pas que nourricière pour le corps; elle l’est aussi pour l’esprit. Les compagnons de l’âme des Mayas se présentent sous les traits d’un mammifère, d’un reptile, d’un insecte ou d’un être fantastique à plusieurs visages. Les Mayas vénéraient environ 8 000 dieux et déesses qui pouvaient changer de sexe et se multiplier. Dieux de la pluie, du commerce, de la guerre, de la fertilité, chacun possédait un caractère unique. Lors des rituels sacrés, les Mayas sacrifient des animaux ou même faisaient don de leur sang. Celui du roi était le plus précieux, on le réservait aux crises graves…

L’écriture et les mathématiques : des dons divins

Se croyant bénie de ses dieux, la civilisation maya se distinguait particulièrement pour ses profondes connaissances de l’écriture, des sciences et des mathématiques. Le roi se servait de l’écriture hiéroglyphe pour affirmer son autorité, communiquer d’importantes nouvelles et pour consigner les faits marquants de sa vie. Une vie mesurée à l’aide d’un calendrier de rites de 260 jours, d’un calendrier de 360 jours relié à l’année tropicale et d’un calendrier incluant tous les jours écoulés depuis la fondation du monde. Experts en mathématiques et en astronomie, les Mayas avaient un système de numérotation basé sur le nombre 20 incluant les chiffres de 0 à 19.

Quelques stèles ont été préservées et permettent de déchiffrer le langage complexe des Mayas, ce qui n’est pas le cas des codex en papier d’écorce. Seuls quatre ont été sauvés des flammes espagnoles au 16e siècle. Celui en salle est une reproduction d’un exemplaire conservé à Dresde, Allemagne.

Déclin et résilience

La fréquence des guerres entre royaumes finit par détruire une structure sociale et politique en place depuis des millénaires. Au tournant du 10e siècle, une nouvelle façon de partager les richesses entre les dirigeants et le peuple s’installe au profit d’une économie florissante. En 1517, les Espagnols découvrent un système infiniment plus dynamique que leur système féodal. La civilisation maya n’est jamais disparue. Les Mayas ont préservé leur culture malgré les aléas de la politique, de l’économie et du climat. Ils ont survécu à la conquête espagnole et aux épidémies, se sont battus contre les travaux forcés et la discrimination dont ils ont été victimes. Forts et résilients, ils ont beaucoup à nous apprendre.

VÉ DÉVOILE SA NOUVELLE COLLECTION DE BIJOUX, BOLD

 lance BOLD, sa nouvelle collection de bijoux raffinés entièrement conçus et fabriqués à la main à Montréal. Alliant les formes simples et élégantes, l’argent sterling, l’argent plaqué or 14k et les perles d’eau douce, les bijoux BOLD sont épurés et sophistiqués. Étant donné que nous sommes tous durement touchés par les restrictions de la pandémie,  veut égayer le quotidien des femmes en ressortant leur beauté et leur côté unique avec ses créations. Dès le 3 juin prochain, le public aura rendez-vous au veroniqueroy.com pour découvrir la nouvelle collection BOLD.

BOLD, des bijoux qui inspirent

Afin de rendre hommage aux femmes qui nous inspirent, la collection BOLD leur est entièrement dédiée. Tous les bijoux de la collection BOLD portent des noms de femmes inspirantes, des femmes de notre entourage, du Québec ou à l’étranger qui nous touchent. Parmi les femmes de notre entourage, il y a Julie, la grand-mère de la créatrice Vé qui a su garder son indépendance tout au long de sa vie. Ainsi le nom d’icônes féministes qui ont participées à la lutte et à la revendication des droits de la femme, dont Ruth Bader Ginsburg, Malala Yousafzai et Obiageli Ezekwesili.

La collection BOLD est inspirée des dix collections précédentes de la marque. Nous avons revisité nos plus grands classiques pour créer une collection qui célèbre tout ce que Vé a créé jusqu’ici et nous y avons intégré une nouveauté, les perles fireball. Ces perles tirent leur nom de leur queue de comète attachée à une perle ronde. C’est grâce à leur forme inégale qu’elles captent aussi bien la lumière. Les modèles Greta, Julie et Amanda intègrent cette perle à la forme unique.

Le public aura la chance de profiter de cette collection à un prix de lancement à partir du 3 juin 20h jusqu’au 9 juin. Tous les modèles BOLD seront à 15% de rabais sur les prix réguliers durant cette période. De plus, en s’inscrivant à l’infolettre, les clientes bénéficieront d’un code promotionnel qui ajoutera un 5% au rabais. Il sera seulement applicable durant les 24 premières heures de la prévente. À propos Créée en 2012 par Véronique Roy, designer et joaillière,  est une marque de bijoux minimalistes et contemporains, aux allures sophistiquées et uniques. Véronique cherche à trouver un équilibre entre les formes, les pierres et le métal dans ses créations, ce qui définit le style unique de Vé. Les bijoux Vé sont entièrement conçus et fabriqués à la main à Montréal.
 
La marque Vé a été créée en 2012 par Véronique Roy, passionnée de design et de bijoux. BOLD est la 11ecollection de la marque Vé.
Crédit photo: Carolanne Lamontagne www.carolannelamontagnephotographe.com