Dans le cadre de la programmation 2022 d’Espace pour la vie, le Planétarium Rio Tinto Alcan est heureux de vous présenter Ailleurs, une spectaculaire expérience théâtrale immersive basée sur des visualisations scientifiques et des données authentiques provenant de missions de la NASA, de l’Agence spatiale européenne (ESA) et de l’Agence japonaise d’exploration aérospatiale (JAXA), de télescopes, de simulations sur superordinateur et de recherches menées par des institutions du monde entier.
Plongez au cœur de mondes lointains, de missions spatiales révolutionnaires et de scènes immersives spectaculaires illustrant l’évolution de notre système solaire.Raconté par la comédienne québécoise Leila Donabelle Kaze, Ailleurs nous emmène dans un voyage exaltant qui révèle la nature étonnamment dynamique des mondes qui orbitent autour de notre Soleil et les conditions uniques qui rendent la vie sur notre planète possible.
Créé par une équipe primée de l’American Museum of Natural History de New York, composée de scientifiques, d’éducateurs et d’éducatrices, d’expert.e.s en visualisation scientifique, Ailleurs entraîne les spectateurs et spectatrices dans une aventure à travers le système solaire, depuis notre Lune et nos voisins planétaires Mars et Vénus jusqu’au-delà de la ceinture d’astéroïdes. Ils découvriront des mondes de glace et de gaz, comme Saturne et Jupiter, qui abritent des lunes et révèlent une météo active, des volcans en éruption et des océans enfouis.
Une ère d’exploration extraordinaire
Ailleurs célèbre les explorations menées par les plus proches substituts de l’homme : les explorateurs robotiques des 50 dernières années
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Les spectateurs et spectatrices atterriront sur les mondes voisins du nôtre, et vivront des événements réels reconstitués, tels que l’atterrissage sur la surface grise et cratérisée de la Lune, la découverte des lacs de méthane liquide de Titan, lune de Saturne, etc. Des visualisations basées sur 13 années de données provenant de la sonde Cassini de la Nasa montrent aux spectateurs et spectatrices les impressionnants anneaux tourbillonnants de Saturne comme jamais auparavant.
En outre, le public rencontrera l’une des nombreuses lunes de Jupiter, Io, qui est l’objet le plus actif sur le plan volcanique dans le système solaire ; Europe, une autre lune de Jupiter dont la croûte glacée contient plus d’eau liquide que tous les océans de la Terre ; La comète 67P, un objet gelé qui voyage entre le système solaire interne et externe et que la sonde Rosetta de l’ESA a poursuivi pendant 10 ans ; et le paysage sec et poussiéreux de Mars, basé sur des cartes globales à haute résolution de Mars Reconnaissance Orbiter de la NASA, Mars Global Surveyor et Mars Express de l’ESA.
Le jury du Festival international du film d’histoire de Montréal (FIFHM) a décerné hier, lors de sa soirée de clôture, trois prix et deux mentions spéciales à autant de films de sa sélection 2022. Co-présidé par Nicole Giguère, cinéaste, et Gilles Laporte, historien, et formé également des cinéastes Iolande Cadrin-Rossignol et Claudie Lévesque, le jury a en effet accordé le prix du meilleur long métrage au film Massoud, l’héritage, de Nicolas Jallot (France). Dans la catégorie moyen métrage, le prix du meilleur film a été décerné à La femme sans nom, l’histoire de Jeanne & Baudelaire, de Régine Abadi (France), ainsi qu’une mention spéciale à Le cul pointu, une histoire de shed, de James Gray et Marie-Christine Lavoie, (Canada). Enfin, du côté du court métrage, le film Un robot à soi, d’Anne Gabrielle Lebrun Harpin (Canada) a remporté le prix du meilleur film, alors que Nimeshkanaminan (Notre chemin), des sœurs Yasmine et Laura Fontaine (Canada) s’est mérité une mention spéciale du jury.
Meilleur long métrage : Massoud l’héritage
Ce film de Nicolas Jallot, qui raconte l’émergence du commandant Massoud et son influence sur la société afghane, a conquis les membres du jury par son récit, à la fois clair et palpitant, ainsi que par le montage époustouflant de cet authentique suspense mêlant guerres entre clans, manipulation médiatique, diplomatie et relations internationales. Ultimement, l’assassinat de Massoud, puis le terrifiant 11-septembre 2001 apparaissent presque inévitables tant l’intrigue est savamment nouée. Ce film raconte la vie du légendaire commandant Massoud, depuis sa jeunesse, sa lutte armée contre l’envahisseur soviétique, son échec politique, puis son combat contre les talibans et le terrorisme international, jusqu’à son assassinat par Al-Qaïda. Le jury a aussi noté la qualité exceptionnelle des témoins, la plupart au plus proche des événements qu’ils racontent, à la fois passionnés et méticuleux dans leur relation des faits.Le film permet enfin de saisir l’aura exceptionnelle d’un personnage devenu mythique, Ahmed Chah Massoud, chef de la nation Tadjik, et à travers lui le destin de l’Afghanistan tout entier, le cimetière des empires, où l’histoire semble s’obstiner à se jouer de nous depuis déjà des décennies.
C’est dès aujourd’hui, 18 mai, que le Festival international du film d’histoire de Montréal (FIFHM) lance sa 4e édition. Cette année, le festival innove en se déployant de trois manières différentes : une sélection en salle du 18 au 22 mai à la Cinémathèque québécoise; un programme de films en ligne accessibles grâce à un abonnement de $24.99 que l’on peut se procurer du 18 mai au 5 juin; enfin, deux oeuvres interactives accessibles gratuitement du 18 mai au 5 juin.
Un programme en salle excitant… Dès mercredi 18 mai et jusqu’au 22 mai, le FIFHM prend son envol à la Cinémathèque! Soyez là pour y voir L’affaire silicose de Bruno Carrière et La Cacophonie du Donbass d’Igor Minaev en films d’ouverture. Plusieurs films seront projetés en présence de leurs auteurs, notamment La ville d’un rêve de la réalisatrice Annabel Loyola, un regard personnel sur l’histoire de la fondation de Montréal, et Massoud, l’héritage de Nicolas Jallot, sur un personnage qui aurait pu changer l’histoire de l’Afghanistan. La clôture du festival rendra hommage à notre histoire maritime, avec Le Cul-Pointu, de James Gray et Marie-Christine Lavoie, et Le roi du Golfe, de Robert Tremblay.
Image tirée du film d’ouverture, La Cacophonie du Donbass d’Igor Minaev
Image tirée de L’affaire silicose du réalisateur Bruno Carrière
L’affiche officielle du film La Ville d’un Rêve
… avec un événement Éléphant : restauration du film 15 février 1839 de Pierre Falardeau Samedi le 21 mai à 20h15, voyez ou revoyez 15 février 1839, le film de Pierre Falardeau sur la pendaison de Patriotes, à travers le regard de l’un d’eux, Thomas Chevalier de Lorimier. La projection de la copie restaurée par le projet Éléphant aura lieu en présence de la famille du cinéaste. Gilles Laporte, historien spécialiste des Patriotes et membre du jury FIFHM 2022, sera présent pour répondre aux questions du public.
Image tirée du film 15 février 1839
Deux projets web interactifs à explorer gratuitement!
Entre cinéma documentaire, recherche académique et plateforme web, le FIFHM tient à souligner les efforts de vulgarisation de l’histoire par de nouvelles formes. Ainsi, deux projets web interactifs ont été sélectionnés et seront accessibles gratuitement sur nos plateformes web et Facebook du 18 mai au 5 juin. Les infirmières de la folie est un projet d’Alexandre Klein, de l’Unité de recherche sur l’histoire du nursing à l’École des sciences infirmières de l’Université d’Ottawa. Mêlant cinéma d’animation et documentaire historique, ce webdocumentaire présente le parcours de trois infirmières, une réelle (Charlotte Tassé) et deux fictives (Émela et Rachel), fidèlement reconstitués à partir d’archives historiques issues de trois institutions psychiatriques québécoises. Il donne ainsi à voir l’évolution, tout au long du XXe siècle, de la formation et du travail infirmiers en psychiatrie. A Colonia Luxemburghesa pour sa part propose un périple dans la jungle amazonienne. Dominique Santana est historienne actuellement impliquée avec le Centre for Contemporary and Digital History (C2DH) de l’Université du Luxembourg. En se fondant sur sa recherche doctorale, elle propose un projet transmédia, “A Colônia Luxemburguesa”. Le documentaire interactif lève le voile sur un siècle d’installations minières et métallurgiques dans la forêt amazonienne.
Se procurer des billets pour la programmation en salle Les billets pour les projections en salle peuvent être achetés à l’avance grâce aux liens insérés dans la programmation sur le site du festival , sur le site de la billetterie de la Cinémathèque québécoise ou directement à l’accueil de la Cinémathèque, au 335 Boul. de Maisonneuve E, Montréal, QC H2X 1K1. Un programme en ligne du tonnerre! L’édition 2022 du FIFHM propose également une sélection d’une quarantaine de films qui pourront être visionnés en ligne. Du 18 mai au 5 juin, les cinéphiles pourront se procurer un passeport, valide pour 30 jours, qui donnera accès à tous les films en ligne. Les instructions pour l’achat du passeport et le visionnement en ligne sont sur notre site internet, fifhm.com. Les visionnements pourront se faire sur la plateforme de vidéo sur demande du festival : https://www.vimeo.com/ondemand/fifhm2022.
Un jury au travail! Le fantastique jury pour l’édition 2022 du FIFHM est composé de trois femmes cinéastes et d’un historien. Nicole Giguère et Gilles Laporte président aux échanges, accompagnés de Iolande Cadrin-Rossignol et de Claudie Lévesque. Annonce des lauréatsLes lauréats seront annoncés lors de la séance de clôture du festival, le 22 mai à la Cinémathèque.
L’équipe du Festival international du film d’histoire de Montréal (FIFHM) dévoile aujourd’hui la programmation de son édition 2022, qui renouera enfin avec les projections en salle! Cette 4e édition aura lieu en salle du 18 au 22 mai, à la Cinémathèque québécoise. Le festival se tiendra également en ligne du 18 mai au 5 juin, avec une programmation complètement distincte de celle disponible en salle. De l’Afghanistan à Fort McMurray, du Moyen Âge à l’actualité brûlante de l’Ukraine, les cinéphiles et les férus d’histoire seront comblés par la programmation.
Le film d’ouverture, La Cacophonie du Donbass, du cinéaste ukrainien Igor Minaev, nous plonge dans l’histoire de cette région de l’Est de l’Ukraine depuis la révolution russe afin d’y révéler les germes du conflit actuel. La région du Donbass, gigantesque bassin de charbon à l’est de l’Ukraine, est le théâtre de conflits et de déchirements depuis plus d’un siècle. Considéré comme objet de propagande soviétique, Enthousiasme : la symphonie du Donbass (1931) réalisé par Dziga Vertov, y dépeint une vie palpitante, guidée par la forte croissance économique de la région, où se marie enthousiasme et travail, alors qu’en réalité, le quotidien des mineurs, représentés comme de véritables héros, fut parsemé de mensonges et manipulation… C’est l’histoire d’une déchéance et d’un siècle de propagande forcenée, où une symphonie se transforme en cacophonie.
Le festival fait d’ailleurs la part belle à l’histoire du Québec, notamment notre histoire maritime, avec les films Le roi du Golfe, de Robert Tremblay, et Le cul pointu, de James Gray et Marie-Christine Lavoie. Annabel Loyola poursuit sa recherche des racines de Montréal dans son dernier film, La ville d’un rêve. L’histoire des femmes n’est pas en reste. Ainsi, La voz de Thaïs, de David Casals Roma, nous révèle l’histoire oubliée d’Elena Jordi, une femme libre du tournant du 20e siècle et une pionnière du cinéma espagnol. Les femmes dans le projet nazi, de Christian Delage, se penche quant à lui sur la manière dont le pouvoir nazi a tenté d’instrumentaliser les femmes dans sa poursuite de la domination de la race aryenne.
Le film 15 février 1839 de Pierre Falardeau en version restaurée, présenté en salle
Le FIFHM est heureux de collaborer à nouveau avec Éléphant pour offrir aux festivaliers une perle de notre patrimoine cinématographique. Cette année, la soirée Éléphant sera sous le thème des Patriotes, avec le film 15 février 1839, du regretté Pierre Falardeau. Enfin, en clôture du festival en salle, la séance sera consacrée à la première du film Le cheval oublié, de Louise Leroux et Richard Blackburn. À l’occasion du centième anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, un cavalier retrace en France, en Belgique et en Allemagne la mémoire des 150 000 chevaux qui ont servi le Corps expéditionnaire canadien.
Festival en ligne
Le festival en ligne, quant à lui, offre plus de 35 films de toute provenance traitant d’autant de phénomènes historiques. Que ce soit le monde et l’époque de Marcel Proust, la naissance de l’école documentaire américaine grâce à un réfugié juif allemand, le déroulement de la première vague de COVID-19 au Québec, les combattants du FLN pendant la Guerre d’Algérie ou le sort des îles Saint-Pierre-et-Miquelon pendant la Deuxième Guerre mondiale, chacun et chacune trouvera matière à découverte. Du 18 mai au 5 juin, les cinéphiles pourront se procurer des passeports, valides pour 30 jours, donnant accès à tous les films du programme en ligne. Les passeports seront disponibles pour la modique somme de $25.
Le FIFHM innove en offrant pour la première fois, gratuitement, accès à deux docuwebs interactifs. Les liens seront affichés sur le site du festival, fifhm.com, du 18 mai au 5 juin.Des prix honorifiques seront remis pour les meilleurs court et long métrages lors de la soirée de clôture, le dimanche 22 mai. Consultez la programmation en salle et en ligne sur le site www.fifhm.comSuivez-nous sur Facebook www.facebook.com/FIFHMontreal/
Marie-Pierre Arthur dévoile le premier acte d’un film-concert qui paraitra ce printemps. C’est avec une version inédite de Déposer les armes qu’elle a choisi de le faire. Il y a longtemps que l’autrice-compositrice souhaitait mettre en images ce qu’elle entend, immense projet qui peut enfin se réaliser grâce à une précieuse équipe (notamment celle de Parce Que Films) et un travail de plusieurs mois. Un EP de 4 chansons tirées du film (des relectures de son répertoire dans une forme renouvelée), sera aussi lancé en mai.
François Lafontaine (claviers et synthétiseurs), Nicolas Basque (guitare), Olivier Langevin (guitare), Joe Grass (guitare), Robbie Kuster (batterie), Erika Angell (chœurs et synthétiseurs), Adèle Trottier-Rivard (chœurs et synthétiseurs) et Lisa Iwanicky-Moore (chœurs) accompagnent brillement Marie-Pierre dans ce songe musical. Lors de cet enregistrement live, le groupe a touché à ces inexplicables moments de grâce, cette synergie parfaite un peu surréaliste.
Quel privilège de plongerdans cet univers onirique où la musique tapisse l’espace si densément que de la voir prendre forme et se matérialiser n’étonnerait même pas. Elle est là, partout dans la pièce (et dans l’écran), c’est presque possible de la prendre dans les mains, de la toucher. Liés par un mur de son, êtres vivants, objets et atmosphère ne font plus qu’un. C’est dans cet autre monde que le film Un spectacle dans tes rêves va se déployer.
SPIRA et Ciné-Scène confirment la sortie en salle du film très attendu de Hugo Latulippe, Je me soulève.
Après sa présentation en soirée d’ouverture au FIFA, le long-métrage prendra l’affiche le 25 mars prochain au Cinéma Beaubien et au Cinéma Public à Montréal. Le film sera aussi présenté à Québec au Cinéma Cartier ainsi qu’au Festival Vues sur Mer de Gaspé et au Cinéma Paraloeil de Rimouski. D’autres salles seront annoncées dans les semaines à venir.
«Je me soulève, c’est une formule des étudiants en art visuel de l’École de la Montagne Rouge au temps du Printemps érable. 10 ans plus tard, notre film met en scène une poésie québécoise qui charrie plusieurs préoccupations d’une nouvelle génération politique. Il y est question de legs ; de faire des enfants (ou pas) et il y est surtout question du peuple que nous serons taleur… Et désormais. »
– Hugo Latulippe
Des séances en présence de l’équipe du film sont prévues.
Le vendredi 25 mars à Montréal à 19 h au Cinéma Beaubien, avec Gabrielle Côté et Olivier Arteau
Le samedi 26 mars à Montréal à 16 h au Cinéma Public, avec Gabrielle Côté
Le dimanche 27 mars à 19 h à Québec au Cinéma Cartier, avec Hugo Latulippe.
Vous pouvez suivre l’actualité du film sur la page Facebook de SPIRA.
SPIRA et Ciné-Scène sont ravis de présenter la bande-annonce du nouveau documentaire du réalisateur Hugo Latulippe, Je me soulève, une œuvre envoûtante, qui réinvente la notion d’engagement, ancrée dans les grands enjeux de notre temps et intimement liée au processus de création d’artistes québécois.es. Basé sur l’œuvre incandescente des sœurs Gabrielle et Véronique Côté programmée au Théâtre du Trident en 2019, le long métrage sera le film d’ouverture de la 40e édition du Festival International du Film sur l’Art (FIFA). La première mondiale de Je me soulève aura lieu à Montréal le mardi 15 mars à 19 heures au Monument-National et sera suivie de projections à Québec les 16 et 17 mars au Musée national des beaux-arts du Québec. Une sortie en salle est prévue à la fin mars.
Ce documentaire s’immisce dans une démarche artistique inspirée où poésie, performance et implication citoyenne s’entremêlent. Parmi les comédien.nes à l’écran, on compte notamment Ariel Charest, Catherine Dorion, Sarah Montpetit, Elkahna Talbi, Olivier Arteau etAnne-Marie Olivier, qu’on voit évoluer sur des textes des auteurs.trices québécois.es dont toino dumas, Marjolaine Beauchamp, Dany Boudreault, Mathieu Gosselin, Jean-Christophe Réhel, Rodney Saint-Éloi et Daria Colonna.
Je me soulève, ce sont les mots de l’École de la montage rouge au temps du Printemps 2012. Au moment de la sortie du film, ça fera 10 ans.
« Ce film est la continuité de mon travail. Il y est question de la crise de civilisation que nous traversons, mais avec des moyens sensuels, avec émotion et douceur. La belle surprise – et j’ai compris ça seulement quand le film a été vraiment terminé! – est que Je me soulève est à peu près exclusivement porté par des femmes. Je me réjouis de ça. On est rendus à ce basculement-là du monde. »
– Hugo Latulippe
Synopsis du film Je me soulève
Vingt jeunes acteurs et actrices sont réuni.es en laboratoire par les metteures en scène Véronique et Gabrielle Côté afin de créer une œuvre collective pour l’un des grands théâtres nationaux. Sur une année complète, ils et elles fouillent la poésie contemporaine québécoise avec l’objectif d’en tirer « l’esprit du temps ». En atelier comme aux quatre coins du territoire, nous assistons au processus de mise au monde de Je me soulève. Quel peuple serons-nous à l’avenir ? Que peut l’art pour transformer le monde ? Pourrons-nous encore faire des enfants ? Insurgé.es, habité.es par la ferveur de ceux et celles qui rêvent de beauté, n’obéissant qu’à leur intuition, ils et elles érigent une ode à la vie. Et lorsque – coup de théâtre! – l’une des leurs est élue à l’Assemblée nationale du Québec, la poésie se trouve littéralement mêlée à la vie politique du pays.
Le réalisateur Hugo Latulippe
Hugo Latulippe est actif dans le milieu du cinéma documentaire et de la télévision depuis sa participation à La Course destination monde de Radio-Canada en 1994-95. Après avoir appris son métier dans le sillage des maîtres du cinéma direct québécois de l’Office national du film du Canada, il a fondé la compagnie esperamos, dont les projets télé, web et cinéma, tournés au Québec et à l’étranger, ont pour point focal « les grandes questions de notre temps ». Ses films ont été sélectionnés dans les plus prestigieux festivals et se sont mérités de nombreuses distinctions.
Fiche technique du film
Je me soulève de Hugo Latulippe
88 min., 2022, Canada, version originale française
Avec : Véronique Côté et Gabrielle Côté
Scénario, image et réalisation : Hugo Latulippe en collaboration avec Stéphanie Robert
Montage : Jocelyn Langlois
Montage, conception et mixage sonore : Jonathan Seaborn
Musique originale : Mykalle Bielinski et Josué Beaucage
Production : Carine Mineur-Bourget et Nicolas Léger (Ciné-Scène)
Distribution : SPIRA
Je me soulève est produit grâce à la participation financière de la SODEC, au Crédit d’impôt cinéma et télévision (Gestion SODEC), au Conseil des arts du Canada, au Crédit d’impôt pour production cinématographique canadienne, au Conseil des arts et des lettres du Québec, en collaboration avec Ciné-Scène, Le Trident et SPIRA.
Depuis sa création, Ciné-Scène, compagnie cinématographique de Québec, a produit et réalisé plusieurs documentaires portant sur différents aspects des arts de la scène : Ex Machina en Russie (2007), FEQ 68.17 (2017), Six0, du cirque en temps de pandémie (2020) et L’Écrin de verre (2021). S’inscrivant dans cette orientation, le film Je me soulève de Hugo Latulippe permet à Ciné-Scène de faire le pont entre son engagement envers la création artistique et l’appel de l’engagement social auquel doit répondre le cinéma en cette époque d’urgences à tous égards.
SPIRA est une coopérative vouée au cinéma indépendant basée dans la ville de Québec et active depuis plus de 45 ans. Son principal mandat est de soutenir la production et la distribution de films, qu’il s’agisse de courts ou de longs métrages. Une trentaine d’œuvres voient le jour chaque année grâce à ses programmes de soutien à la création, dont celui, très populaire, de location d’équipement. SPIRA distribue également des œuvres documentaires et de fiction sur les différents marchés au Canada et à l’étranger : festivals, salles de cinéma, télévision, Web, etc.
Campagne visuelle pour la 40e édition du FIFA Artiste 3D : Alexis Quesnel Design graphique : Samuel Charpentier Direction de création : Philippe U. del Drago
Le Festival International du Film sur l’Art (Le FIFA) est heureux de dévoiler les visuels de sa 40e édition qui se tiendra du 15 au 27 mars 2022. Dans la lignée de la direction artistique amorcée depuis bientôt quatre ans, le Festival renouvelle sa collaboration avec le designer graphique Samuel Charpentier qui collabore ici avec le designer 3D Alexis Quesnel, pour une conception relevant du jamais vu dans le cadre d’une affiche de festival de films.
Avec toujours en tête de faire ressortir l’essence contemporaine, créative, innovante et diversifiée du Festival, le directeur général et artistique du Festival, Philippe U. del Drago, a choisi pour souligner cette 40e édition, de symboliser les grandes transmutations de notre époque actuelle en partant de ce que l’art nous a transmis à travers le temps. Le résultat est une série d’objets protéiformes uniques remplis à la fois d’histoire et d’anticipation.
« Nous avons travaillé à partir de modèles 3D de sculptures, mis en ligne gratuitement par de grands musées, pour les briser, les déconstruire et en rassembler des morceaux choisis. De là sont apparus des objets organiques et protéiformes que nous avons habillés de textures vivantes et vibrantes. Ces objets uniques reflètent les infinies possibilités créatrices que permet le web par la mise en commun de connaissances et les partages culturels. J’aime penser que ces objets sont comme des organes qui assemblent différents moments de l’Humanité, des éléments d’un corps nouveau, réinventé. Une forme d’hommage à nos propres corps tant affectés ces deux dernières années. » – Philippe U. del Drago.
Le FIFA a reçu cette année un millier d’œuvres suite à son appel à soumissions pour cette 40e édition plus qu’attendue chez les cinéphiles et amateur·trice·s d’art. Très bientôt, vous pourrez comme chaque année apprécier une multitude de films consacrés à la plupart des disciplines artistiques – animation, architecture, art contemporain, danse, design, littérature, musique, peinture, photographie –, en plus d’une riche sélection de vidéoclips originaux, de films expérimentaux (FIFA Experimental), de Cartes blanches et d’invité·e·s spéciaux·iales, ainsi que de rencontres professionnelles (FIFA Connexions).
40e Festival International du Film sur l’Art du 15 au 27 mars 2022 lefifa.com
Le format de présentation du Festival sera évalué au regard du contexte sanitaire et des prérogatives gouvernementales en février 2022.
Il y a de ces outils numériques qui rassemblent plus qu’ils ne divisent et c’est exactement ce que concrétise de manière exceptionnelle le groupe Facebook “Le Grand Cercle des Basques” créé en 2017 par le neigeois Philippe de Carufel. Le documentaire réalisé par le cinéaste sebrioux fera sa sortie officielle le 4 février prochain et met en vedette la générosité et l’entraide présente dans cette communauté virtuelle. Que ce soit pour obtenir de l’information sur les services offerts dans la MRC les Basques, pour trouver de l’aide pour un déménagement, que ce soit pour donner et passer au suivant certains biens ou même retrouver ce qui a été perdu, ce groupe Facebook impressionne par son efficacité de connecter les gens. Le documentaire de Sébastien Rioux se veut un hommage à cette générosité collective qui anime la petite MRC du Bas-Saint-Laurent. Pour visionner la bande annonce: sebrioux.com/legrandcercle
« J’avais le goût de mettre en lumière la générosité et l’esprit de communauté qui se reflète dans le groupe Facebook “Le Grand Cercle des Basques » sebrioux, cinéaste
Une année qui débute en force pour le cinéaste
Non seulement sebrioux s’apprête à lancer un tout nouveau film, mais une autre réalisation du cinéaste se voit briller à l’échelle internationale puisque Vertige, un court-métrage d’art mettant en vedette d’extraordinaires panoramas aériens de la région de Trois-Pistoles vient d’être sélectionné dans deux festivals de films soit le Lift-Off First Time Filmmaker en Angleterre dans la catégorie ” Short Film Content” et au Golden Short Film Festival à Rome en Italie dans les catégories “Golden Short Film” et “Golden Soundtrack” Une reconnaissance de ses paires qui fait chaud au cœur pour le cinéaste et qui concrétise tout le travail mis sur ce court-métrage.
Pour visionner la bande annonce du documentaire « Le Grand Cercle » et voir le film « Vertige », il est possible de visiter le site internet de l’artiste au sebrioux.com ou sur la chaîne Youtube à youtube.com/sebriouxproductions.
La plateforme dédiée aux films sur l’art ARTS.FILM est fière de s’associer à l’ensemble de musique de chambre collectif9 pour présenter en avant-première son tout nouveau film-concert :Vagues et ombres, du 17 au 31 décembre prochain.
Après la présentation d’une collection de vidéos exclusives consacrées à l’ensemble vocal Les Rugissants, cette nouvelle collaboration continue de placer la plateforme ARTS.FILMcomme partenaire de choix dans la mission qu’elle s’est donnée; contribuer au rayonnement en ligne des créateur·rice·s novateur·trice·s et visionnaires d’ici.
Plongez dans un univers musical de couleurs, de textures et de nuances avec la musique de Claude Debussy et le théâtre d’ombres féériques de Mere Phantoms dans Vagues et ombres. Une performance époustouflante d’arrangements originaux de Thibault Bertin-Maghit et une première mondiale d’une nouvelle œuvre de Luna Pearl Woolf donnent une nouvelle dimension et un nouveau contexte à ce monde impressionniste.
Visionnement offert pour seulement 7,99$* du vendredi 17 décembre 2021 à 00h00 au vendredi 31 décembre 2021, 23h59 (heure de l’Est) sur ARTS.FILM