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Étiquette : film

Les Grands explorateurs: lancement nouvelle saison 2023-2024

C’est reparti pour une nouvelle saison qui vous promet un tour du monde tout spécial, car des rencontres exceptionnelles vous attendent. 

De retour en salle de spectacles dans tout le Québec depuis la saison dernière, c’est l’occasion de voyager à petits prix, avec ses amis ou sa famille et de découvrir le monde autrement. Mais c’est surtout des histoires émouvantes de partages que nos cinéastes-conférenciers vous rapportent de leurs périples dans ces contrées lointaines et rarement explorées.

Une 51e saison qui se veut inspirante, un tour du monde qui va assurément vous émouvoir ! Et pour que ces moments que nous allons vivre ensemble soient uniques, nous vous avons préparé une programmation toute­ spéciale sous le signe du partage, car le voyage, c’est avant tout une histoire de rencontres.

En effet, ce sont six rendez-vous exceptionnels que nous vous donnons tout au long de cette saison. Mais aussi trois destinations hors-séries, qui touchent à l’essentiel…

FRAME AVEC DAVID LAHAYE ET ÈVE SALVAIL

Charleswood Films en association avec Royal Vision sont fiers de présenter la première bande-annonce de Frame mettant en vedette David Lahaye et Ève Salvail. Ce long métrage québécois est une production indépendante produite entièrement avec des fonds privés. Frame est un thriller psychologique qui va frapper fort et dénoncer les injustices et abus de pouvoir dans l’industrie artistique. Il prend position et dénonce les violences ainsi que les agressions sexuelles envers les femmes.

Frame, un film de genre de JP Charlebois & Myraï, trace sans censure ni concession le portrait d’un photographe aux tendances psychopathes et narcissiques interprété par David Lahaye qui voue un véritable culte maladif à Eve, sa muse, son obsession dont le rôle est campé par Éve Salvail.  « Dans notre film, le narcissisme du personnage principal le conduit à sa fin tragique, mais la femme qui a survécu à ses violences et agressions en est sortie plus forte, ayant affronté et vaincu les ombres qui l’habitaient, » raconte la réalisatrice Myraï.

L’intrigue de Frame est celle de Charles un photographe de renom, parmi les meilleurs dans l’industrie, et qui travaille dans son propre studio-appartement. Tout semble aller pour le mieux, mais quelque chose manque à l’appel. Un désir qu’il n’arrive pas à assouvir ou à comprendre, qui affectera irréparablement ses morales, éthiques de travail et sa santé mentale, sans épargner les personnes ayant le malheur de croiser son chemin. 

« Créé Frame fut une aventure enrichissante. Myraï et moi avons mis nos esprits ensemble pour illustrer une histoire basée sur le réel autant que la fantaisie. Nous avons fait beaucoup avec peu et cette expérience nous a appris à repousser nos limites créatives et artistiques. Ce fut un honneur de travailler avec David Lahaye et Éve Salvail, deux icônes et personnalités pour lesquelles j’ai un immense respect. Nous les avons transformés et portés à l’écran comme jamais auparavant. Je crois que le film aura un impact social puisqu’il met en lumière des sujets sensibles qui méritent d’être discuté et partagé à travers le monde, » affirme le réalisateur JP Charlebois.

Frame a été tourné dans un ancien restaurant, qui semble hanté et abandonnée, un donjon, des lofts de la rue St-Laurent et aux Studios Charleswood films. Cette production a été scénarisé par Max Desmond et Alice Messier. Patrick DesRosiers agit à titre producteur exécutif. Au cours des prochains mois, Frame sera présenté dans de nombreux festivals sur le circuit international et au Québec.

HUGO LATULIPPE : NOUVEAU DIRECTEUR GÉNÉRAL DU FESTIVAL DE CINÉMA DE QUÉBEC !

C’est le scénariste, réalisateur et producteur Hugo Latulippe qui occupe dès aujourd’hui la fonction de directeur général du Festival de cinéma de la Ville de Québec (FCVQ). Né à Limoilou et ayant grandi à Lac-Beauport, le cinéaste globe-trotter, bien connu du grand public depuis la Course destination monde de Radio-Canada, est actif dans le milieu du cinéma documentaire et de la télévision depuis plus de 25 ans. Il se greffe à l’équipe en place et à l’organisation de la 12e édition du Festival qui aura lieu du 13 au 17 septembre 2023.

« J’aborde mon mandat au FCVQ dans un esprit de service à la vitalité culturelle, sociale et économique de Québec. Pour moi, cette ville flamboyante mérite un festival de cinéma d’envergure. Le plateau du FCVQ, avec le grand écran LED de la place D’Youville, les salles à la fine pointe de la technologie du Diamant, du MNBAQ et du Palais Montcalm auxquelles s’ajoutent le Circuit Beaumont et la Ninkasi n’ont rien à envier aux grands festivals du monde. Je monte dans un train en marche! Je vais prendre le temps de rencontrer mon équipe et d’écouter les forces vives de Québec. Mais je rêve de faire du FCVQ une grande fête populaire d’ici 5 ans! », déclare  Hugo Latulippe.
« La candidature d’Hugo Latulippe, en raison de son prestige, nous a d’emblée séduits. Sa vision, ses idées de développement, son amour pour le cinéma bien sûr mais aussi pour sa ville d’origine, nous ont vite convaincus qu’il était le meilleur! Avec lui à la barre du FCVQ, nous allons certainement consolider ce que nous avons bâti au fil des ans mais il nous est aussi permis de rêver »,  explique Philippe Poulin, président du conseil d’administration. 
La programmation de la prochaine édition est en élaboration. L’appel de films, d’ici comme d’ailleurs, est actuellement en cours. Les cinéastes, distributeurs et producteurs peuvent soumettre leurs œuvres jusqu’au 1er juin.
Un parcours remarquable Hugo Latulippe est reçu « artiste-résident » au Studio culture et expérimentation de l’Office national du film du Canada en 1996. Il apprend son métier dans le sillage des maîtres du cinéma-direct québécois. Ses premiers films sont produits sous la direction d’André Gladu. En 2005, il fonde la compagnie montréalaise esperamos films, dont les projets télé, web et cinéma, tournés au Québec et à l’étranger ont pour point focal « les grandes questions de notre temps ». Hugo y agit à titre de producteur exécutif pour des films d’Anaïs Barbeau-Lavalette, Simon Beaulieu, Sophie Deraspe, Émile Proulx-Cloutier, Francine Pelletier, Mathieu Roy, etc. Esperamos a pour principaux partenaires d’affaires les chaînes de télévision québécoises et canadiennes. Après avoir dirigé l’entreprise pendant 12 ans, Hugo vend ses parts au Groupe FairPlay (2017). Il fait alors l’acquisition d’un bâtiment patrimonial classé dans le Bas-Saint-Laurent qui devient son quartier général et son atelier.
Tournés dans 50 pays, les projets écrits, réalisés et produits par Hugo Latulippe ont été sélectionnés dans les plus prestigieux festivals, dont le Festival de Cannes (France), le Sundance Film Festival et le Hollywood Film Festival (USA), l’International Documentary Film Festival of Amsterdam (Pays-Bas), Visions du Réel (Suisse), le Festival du Nouveau Cinéma (Montréal), le Baja Film Festival (Mexique), le Toronto International Film Festival, les Rencontres internationales du documentaire de Montréal et Hot Docs Toronto (Canada). Ces derniers ont remporté de nombreuses distinctions dont le prix Jutra du meilleur documentaire, le prix du Président de la NHK (Japon), une dizaine de prix Gémeaux de l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision ainsi qu’une vingtaine de prix à travers le monde.
Engagé dans sa communauté, Hugo Latulippe a présidé le conseil d’administration de l’Observatoire du documentaire (2014- 2019) qui réunit les principales institutions, sociétés d’états, syndicats et associations professionnelles qui font ce type de film au Canada. Son mandat a été marqué de nombreuses représentations auprès des commissions et instances politiques québécoises et canadiennes afin d’inscrire le documentaire dans les priorités ministérielles. C’est d’ailleurs sur sa recommandation que le ministre québécois de la Culture et des Communications a consacré le film Pour la suite du monde « événement historique du patrimoine immatériel » lors du gala annuel des prix Iris 2017.
Hugo a été sur plusieurs jurys nationaux et internationaux. Il enseigne ponctuellement l’écriture et la réalisation documentaire. Il est l’un des membres fondateurs de la première FabRégion au Canada, un organisme de concertation qui vise à piloter la transition économique et écologique du Bas-Saint-Laurent. Il a été membre du  conseil d’administration de Culture Bas-Saint-Laurent et a cofondé le Festuaire de Cacouna, un festival multi-arts.

MANUEL MATHIEU REMPORTE LE PRIX MEILLEUR COURT-MÉTRAGE DE LA 41ÈME ÉDITION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DES FILMS SUR L’ART

Pour son récit authentique, sa palette de couleurs, sa conception sonore et sa musique, nous décernons le prix à Pendulum. Nous avons particulièrement apprécié son utilisation poétique du silence et la façon dont il embrasse le temps non linéaire.  Nous avons été touchés par la tangibilité des éléments naturels et avons eu l’impression d’être entraînés dans le film lui-même. Pendulum est resté dans nos mémoires longtemps après la fin du film.”      – Jury du FIFA
Premier court-métrage de l’artiste multidisciplinaire haïtien Manuel MathieuPendulum évoque la recherche d’un équilibre entre le passé et le futur incertain des peuples noirs. Une femme gardienne de savoir transporte sur ses épaules son héritage le plus précieux : la libération de son âme. De cet héritage naît une chorégraphie spirituelle où des hommes apprivoisent leur propre liberté tout en faisant face à la complexité de leur humanité. Tel un exorcisme, ils assimilent leur libération sous une pluie de comètes blanches. Que restera-t-il de leur essence ? 

ANNONCE DU LAURÉAT DE LA 9IÈME ÉDITION DE LA RÉSIDENCE EN CINÉMA : REGARD SUR MONTRÉAL

e cinéaste Chadi Bennani est l’heureux lauréat de la neuvième édition de la résidence en cinéma Regard sur Montréal. D’une valeur de 75 000 $, cette résidence permet à l’artiste de se consacrer pendant 11 mois à la scénarisation, à la réalisation, à la postproduction et à la diffusion de son court métrage documentaire intitulé Sans frontières. Celui-ci sera également présenté dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) 2023, partenaire du projet.
Créée en 2014, la résidence Regard sur Montréal a pour objectifs de permettre à un-e artiste professionnel-le émergent-e, immigrant-e de première génération et issu-e de la diversité de mieux s’intégrer au paysage médiatique québécois tout en permettant d’enrichir le corpus cinématographique d’un point de vue original et pertinent sur la métropole.
La résidence est le fruit d’une collaboration unique entre le Conseil des arts de Montréal (CAM), la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) et l’Office national du film du Canada (ONF), en collaboration avec Les Films de l’Autre et les Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM). 
Le lauréat, Chadi Bennani
Gradué en cinéma de l’Université du Québec à Montréal, Chadi Bennani est un jeune cinéaste d’origine marocaine et québécoise. Durant ses études, il réalise le court-métrage Nicole (2022), distribué par les Films du 3 Mars. Son intérêt pour le cinéma l’amène à entreprendre la direction photo du long-métrage documentaire Elle va crier, un projet s’étalant sur plus d’un an qu’il approche en parallèle de ses études. Après sa graduation, il produit son premier court-métrage indépendant intitulé Trait d’union. En 2022, il est sélectionné comme récipiendaire du programme Bourses de l’Académie pour la relève décerné par l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision (ACCT).

« Sur les chemins d’Iran »

Présenté par Gilles Hubert
En salle jusqu’ au 1er décembre 2022 Disponible en ligne à partir du 2 décembre 2022

Durant sept mois, de l’hiver glacial à l’embrasement de l’été, Danielle et Gilles Hubert, ce couple d’explorateurs ont traversé l’Iran, de la mer Caspienne au littoral du Golfe Persique et les rives du trop fameux détroit d’Ormuz.

À bord de leur véhicule tout terrain, ils vont parcourir plus de vingt mille kilomètres sur les routes bitumées du Fars, les pistes du Kurdistan, les sables du désert du Kevir et la poussière du Dasht-e-Lut ou le sel du lac d’Urumyié.

De ce périple, ils nous rapportent un roadbook enluminé des plus beaux paysages de cette contrée surprenante, une explosion de couleurs et de nuances, un caléidoscope des vestiges les plus fins de cette destination : les palais et mosquées d’Ispahan, les jardins de Chiraz, les demeures et les bains de Kashan, le bazar millénaire et tentaculaire de Tabriz, les toits-terrasses dominant les ruelles rosées de Yazd, la merveilleuse cité du désert : en sept mois, ils y ont séjourné à huit reprises, un véritable coup de cœur !

Le peuple iranien ? Ils le côtoient et s’en rapprochent tous les jours un peu plus, recueillant, à huis clos ou dans les bars, les confidences des jeunes gens qui feront l’Iran de demain.

Âgés de vingt à quarante-cinq ans, hommes et femmes parlent avec sincérité de leur vie, de leurs espoirs et de leurs rêves. Leurs propos n’ont rien de sulfureux, prudence oblige. Sont-ils très religieux ? Tous demeurent encore respectueux de la tradition chiite mais vous serez surpris de leur état d’esprit. Vous allez découvrir le vrai visage d’une population que nous connaissons finalement peu.

« Sur les chemins d’Iran », un film à découvrir dans 23 salles partout au Québec ou en ligne.

« Rêves d’Afrique » un grand film humaniste des réputés cinéastes Muammer Yilmaz & Milan Bihlmann

Pour souligner cette 50ième saison d’explorations, d’aventures et de découvertes à travers le monde, les Grands Explorateurs sont fiers de présenter le grand film « Rêves d’Afrique » des réalisateurs et globe-trotters Milan Bihlmann et Muammer Yilmaz. Ce magnifique documentaire est une œuvre où se mêlent générosité, solidarité et bienveillance :  des valeurs partagées par les Grands Explorateurs, qui sont heureux de lancer cette nouvelle programmation avec ce duo de voyageurs optimistes au grand cœur.

Muammer Yilmaz, né en Turquie, sera chez-nous jusqu’au début novembre, afin de présenter au public d’ici « Rêves d’Afrique. » Les cinéphiles de Montréal, Québec, Laval, Lévis et St-Hyacinthe pourront ainsi plonger dans ce beau voyage, positif et solidaire, où l’on découvre à quel point chaque pays d’Afrique est différent. Muammer et Milan ont rencontré une foule de gens, à travers sept pays et plus de 8 000 kilomètres, échangé, aidé et parfois même changé des vies. Au Zimbabwe, ils ont refait le toit de la maison de celle qui les a hébergés. Au Kenya, ils ont reconstruit la librairie de Mister John qui était partie en fumée. En Afrique du Sud, ils ont planté des arbres dans une école. En Éthiopie, ils ont fait les clowns dans un hôpital pour enfants ! Ils nous ramènent à l’essentiel avec cette devise « moins l’on s’occupe de soi, plus on peut s’occuper des autres ». Curieux du monde, ils nourrissent un intérêt particulier pour les peuples, pour leurs différences culturelles, leurs coutumes et leurs croyances. Nos deux voyageurs munis d’un petit sac à dos de dix kilos chacun -essentiellement du matériel de tournage, un jeu de cartes et un diabolo -, ont su gagner la confiance des hommes et des femmes croisés sur leur route. Leur méthode était simple : pas d’itinéraire, pas d’apriori, et une foi inébranlable en l’autre. Ces deux aventuriers, partis sans rien ou presque de nouveau, nous prouvent qu’avec de l’écoute, de la communication, un peu de technologie et parfois un simple tour de cartes, on peut changer le monde. En 2017, Milan Bihlmann et Muammer Yilmaz ont présenté le documentaire « Le tour du monde en 80 jours sans un centime. » Un succès mondial empreint d’humanisme dans lequel ces deux aventuriers ont relevé le défi incroyable de voyager sur tous les continents en comptant uniquement sur la bonté des gens.

 « 50 ans ensemble, l’extraordinaire aventure » des Grands Explorateurs se poursuit cette année avec des escales en Iran, aux Philippines, en Norvège, aux Açores et au Groenland. Pour cette saison spéciale anniversaire, les Grands Explorateurs se surpassent encore une fois et présentent des films-évènements de qualité numérique signés par des explorateurs-réalisateurs de renommées internationales, des documentaires coups de cœur qui mènent les aventuriers québécois sur tous les continents ! 

www.lesgrandsexplorateurs.com

www.lesgrandsexplorateurs.com/programmation/afrique/

Résonances: un long métrage émouvant qui inspire à voyager autrement

Mettre en lumière des lieux méconnus, vrais et authentiques, trouver la vraie signification de voyager chez soi : voici l’essence du nouveau long-métrage québécois Résonances, disponible gratuitement à compter du 23 septembre sur vaolo.com/résonances. Ce récit de plus de 60 minutes, signé Matt Charland, réalisateur de renom à l’approche autant esthétique qu’humaine, nous entraîne à la rencontre d’hôtes inspirants aux quatre coins du Québec. L’idée originale de ce projet singulier a été pensée par Vaolo, une plateforme collaborative répertoriant des expériences de voyages humains, locales, responsables et hors sentiers dans plus de 80 pays.
Résonances documente les rencontres de 4 explorateurs et les prises de conscience qui en découlent, démontrant ainsi que le dépaysement est possible, même chez soi. Leur mission : rencontrer et raconter afin d’inspirer d’autres voyageurs à suivre leurs traces. Au gré de leurs séjours, ils vivent des moments marquants qui les inspirent à réfléchir au rôle du voyage, au pouvoir de la rencontre et à leurs modes de vie.
Émouvant et tout en douceur, ce film transporte les spectateurs aux quatre coins du Québec pour rencontrer les hôtes derrière diverses initiatives touristiques : Aventure Plume Blanche, l’Auberge de l’île-aux-Perroquets, les Sœurs Racines, l’Auberge incroyable, le Monastère des Augustines, et plus encore. Bercé par une ambiance musicale puissante incluant une composition originale de Pilou, les moments captés sont à la fois riches en émotions et propices à la réflexion. Rendu possible grâce au soutien du Fonds du grand mouvement de Desjardins, Destination Québec Cité, Tourisme Côte-Nord et Tourisme Autochtone Québec, ce projet unique compte parmi ses participants l’explorateur Mario Cyr, pour qui le sol québécois est un territoire fertile en exploration et en échanges.
« Je pense que plus tu voyages, plus tu vois des choses à l’international, plus tu réalises qu’on connaît peu notre propre région, que ce soit dans un rayon de quelques heures ou même d’une heure de chez soi. Tu réalises que les histoires sont tout aussi fascinantes que celles que tu vas découvrir à 10 heures d’avion », affirme Matt Charland, réalisateur de Résonances.

NOUVELLE VIRÉE EUROPÉENNE POUR LE FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM SUR L’ART

Le Festival International du Film sur l’Art présentera 30 films lors de sa tournée automnale à Venise, Paris et Tourcoing. Au programme, de la danse avec entre autres des films de Édouard LockPontus LidbergHofesh Shechteret des films mettant en vedettes Margie GillisLouise Lecavalier ou encore Rachele Buriassi. De l’architecture avec une sélection de films du duo d’artistes Bêka et Lemoine. Ainsi qu’un ensemble de films sélectionnés ou primés consacrés tant au photographe Sergio Larrain, qu’à Charles Trenet en passant par Cézanne ou le DJ producteur Laurent Garnier.

Le FIFA continue ainsi de faire valoir son expertise en matière de programmation et de diffusion des films sur l’art et renouvelle des partenariats forts avec des ambassadeurs culturels emblématiques d’envergure internationale. Cette virée européenne souligne également, une volonté commune d’échange et d’ouverture entre ces organismes qui s’emploient à promouvoir activement la production et la diffusion de films sur l’art et des arts médiatiques, tout en favorisant la relève en création à l’attention du grand public, des cinéphiles et amateur·trice·s d’art. C’est animé par cette mission, que le Festival est heureux d’avoir carte blanche pour proposer des programmations ambitieuses dans des pôles culturels d’excellence.

Cet automne, le Festival sera donc présent pour une deuxième année consécutive au Palazzo Grassi, à Venise, du 6 au 9 octobre pour présenter une programmation spéciale faisant honneur au meilleur du film sur l’art. Fort d’une collaboration de plus de 20 ans avec ce que certains qualifient de « Villa Médicis high-tech », Le FIFA sera présent au Studio national des arts contemporains du 14 au 16 octobre pour y présenter 8 longs-métrages primés. Enfin, le FIFA est fier de s’associer une nouvelle fois au dynamisme du Centre culturel canadien à Paris pour une projection spéciale le 19 octobre.

« Le Festival a établi au fil des années de fructueux échanges avec des ambassadeurs de la culture sur la scène internationale. À l’instar du Fresnoy – Studio national avec lequel nous avons bâti une collaboration de plus de 20 ans, les représentants du Palazzo Grassi à Venise et du Centre culturel canadien à Paris nous accordent leur confiance et nous offrent un espace de choix pour faire résonner au plus grand nombre ces voix de créateur·rice·s qui façonnent l’horizon du meilleur de la production cinématographique du film sur l’art.», a indiqué Philippe U. del Drago, Directeur général et artistique du FIFA.

NOMINATIONS AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM SUR L’ART

Le Conseil d’Administration du Festival International du Film sur l’Art (Le FIFA) est heureux d’annoncer la nomination de trois nouvelles membres : Grace Sebeh ByrneDre. Sophia Koukouiet Nadia Khalil Luong.

Fortes de la diversité de leur parcours professionnel, de leurs champs de compétences et de disciplines, ces nouvelles membres rejoignent, à titre de conseillères spéciales, une équipe soudée qui poursuit l’élargissement de ses horizons.

Au nom de toute l’équipe du Conseil, le Président, Dr. Nicolas Chevrier, a tenu à remercier tous les membres pour leur profond engagement alors que le Festival nourrit de nouvelles ambitions : « C’est avec un fort sentiment de renouveau que nous accueillons aujourd’hui ces nouvelles membres dans notre équipe qui se diversifie et se renouvelle. »