Skip to main content

Étiquette : prix

Prix Prism : les 10 vidéoclips canadiens finalistes au Grand Prix 2023

Le prix Prism, un événement annuel de remise de prix qui récompense le talent exceptionnel dans la production de vidéoclips, a dévoilé aujourd’hui les 10 vidéoclips canadiens finalistes du Grand Prix 2023. Choisi par un jury composé de plus de 135 professionnel.le.s à l’avant-garde des scènes canadiennes de la musique, du cinéma et des arts médiatiques, le duo artiste-cinéaste à l’origine du vidéoclip lauréat du Grand Prix recevra 20 000 $, la récompense en argent la plus importante au monde pour les vidéoclips. Le prix sera remis lors d’une soirée de projection et de remise de prix qui se tiendra en personne le jeudi 6 juillet 2023 à Toronto.

Les 10 finalistes du prix Prism 2023 sont (par ordre alphabétique) :

Tanya Tagaq – Colonizer (réalisateur.trice.s : Leah Fay Goldstein et Peter Dreimanis)

Snotty Nose Rez Kids – Damn Right (réalisateur : Sterling Larose)

Amanda Sum – Different Than Before (réalisatrice : Mayumi Yoshida)

Dan Mangan – Fire Escape (réalisateur : Lester Lyons-Hookham)

MorMor – Here It Goes Again (réalisateur : Adrian Villagomez)

Jessie Reyez – Mutual Friend (réalisateur : Peter Huang)

Jean-Michel Blais – Passepied (réalisateur : Adrian Villagomez)

BAMBII – Ride With Me (réalisateur.trice.s : Kit Weyman et BAMBII)

Tanya Tagaq – Teeth Agape (réalisateur : David Seitz)

PUP – Totally Fine (réalisateur : Jeremy Schaulin-Rioux)

Les 10 finalistes sont également admissibles au Prix du public, désigné par les fans et soutenu par Stingray, et accompagné d’une bourse en argent de 5 000 $. Le public peut dès à présent visionner les 10 vidéoclips finalistes et voter pour leur vidéo préférée, et ce jusqu’au jeudi 15 juin 2023 sur prismprize.com. La vidéo lauréate sera dévoilée le jeudi 6 juillet 2023 lors de la cérémonie de remise des prix.

« Depuis la création du prix Prism, les vidéoclips canadiens n’ont cessé de repousser les limites de l’expression artistique. Ils sont devenus une vitrine majeure pour notre scène musicale dans toute sa diversité et son immense talent », a déclaré Louis Calabro, vice-président de la programmation et des prix à l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision et fondateur du prix Prism. « Par leur aspect créatif et innovateur, les 10 vidéos finalistes nous divertissent et, de surcroît, elles encouragent la nouvelle génération d’artistes à se dépasser et à explorer les possibilités infinies de la production de vidéoclips. »

Plus de 300 vidéoclips canadiens admissibles sont évalués chaque année par le jury du prix Prism en fonction de leur originalité, de leur style, de leur créativité, de leur caractère innovant et de la qualité de leur exécution, et le vote détermine les 10 finalistes. Une seule vidéo sera nommée lauréate du Grand Prix et remportera les 20 000 $. En revanche, l’ensemble des cinéastes finalistes (réalisateur.trice.s et producteur.trice.s) recevront une adhésion gratuite à l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision, gracieuseté de Téléfilm Canada.

En plus de remettre le Grand Prix et le Prix du public, le prix Prism décerne chaque année plusieurs prix spéciaux, qui récompensent différent.e.s artistes pour leurs réalisations et leurs contributions à l’industrie de la musique, tant au Canada qu’à l’étranger. Les lauréat.e.s des prix spéciaux suivants seront annoncé.e.s dans les semaines précédant la remise du prix Prism 2023, qui se tiendra le 6 juillet :

  • le prix Hi-Fidelity (soutenu par FACTOR, le gouvernement du Canada et les radiodiffuseurs privés du Canada), créé pour souligner l’apport d’artistes exécutant.e.s qui utilisent le vidéoclip de manière innovante;
  • le prix Lipsett, qui récompense une approche singulière de l’art du vidéoclip;
  • le Prix de la contribution exceptionnelle (soutenu par The Slaight Family Foundation), qui souligne un apport exceptionnel à l’art du vidéoclip sur la scène internationale;
  • le prix Willie Dunn (soutenu par Téléfilm Canada), remis à un.e pionnier.ière canadien.ne qui a fait preuve d’excellence artistique au sein des communautés de la musique, du vidéoclip ou du cinéma dans la période précédant la remise de prix.

Visionnez les 10 meilleurs vidéoclips canadiens de l’année admissibles au prix Prism 2023 sur PrismPrize.com.

L’Ordre des arts et des lettres du Québec dévoile les 13 récipiendaires de sa cohorte 2023

Le Conseil des arts et des lettres du Québec est fier de dévoiler aujourd’hui les 13 personnalités qui deviendront membres de l’Ordre des arts et des lettres du Québec. Paule Baillargeon, Lucie Boissinot, Shana Carroll, René Richard Cyr, Louis Dallaire, Michèle Lapointe, Ranee Lee, Jacques Matte, Caroline Monnet, Guy Parent, Jocelyn Robert, Richard Séguin et Larry Tremblay recevront le titre de Compagne ou de Compagnon des arts et des lettres du Québec lors d’une cérémonie de remise d’insignes qui se tiendra le 29 mai prochain à l’Espace orange de l’édifice Wilder, à Montréal.

Cette prestigieuse distinction accordée par le Conseil rend hommage à ces personnalités du milieu culturel pour leur contribution remarquable à l’essor et à la réputation d’excellence des arts et des lettres du Québec ici et à l’étranger. De courtes biographies des récipiendaires se trouvent en annexe.

« Le milieu culturel québécois est riche, stimulant et diversifié. Il rayonne aux quatre coins de la planète grâce à l’apport inestimable d’artistes, de professionnelles et de professionnels passionnés, dont les réalisations enrichissent quotidiennement nos vies. Ces personnalités forgent, chacune à leur manière, la culture québécoise et leur contribution doit être soulignée. Au nom du Conseil, je félicite les 13 récipiendaires que j’ai bien hâte d’accueillir dans la grande famille de l’Ordre des arts et des lettres du Québec. » – Sylvain Lafrance, président, Ordre des arts et des lettres du Québec

« C’est un honneur d’être à nouveau partenaire de l’Ordre des arts et des lettres du Québec pour souligner l’excellence artistique et le parcours exceptionnel d’artistes, d’artisanes et d’artisans, de professionnels et de professionnelles ainsi que de gestionnaires du milieu culturel québécois. Au nom de notre coopérative, je salue le talent et les réalisations de celles et ceux qui se joignent cette année à l’Ordre et les remercie pour leur contribution à la vitalité et à la richesse de notre culture. »- Marie-Christine Cojocaru, directrice générale, Caisse Desjardins de la Culture

En Piste et le Conseil des arts de Montréal dévoilent les lauréat·e·s des prix de reconnaissance en arts du cirque

En Piste et le Conseil des arts de Montréal (CAM) sont fiers de dévoiler aujourd’hui les lauréat·e·s des premiers prix de reconnaissance en arts du cirque. Ces prix assortis chacun d’un montant de 2 500 $ ont été remis par Nathalie Maillé, directrice générale du CAM, à l’occasion du 5@Cirque d’En Piste aux 7 Doigts, à la suite de l’assemblée générale annuelle de l’organisme.

Les lauréat·e·s sont Yamoussa Bangoura, Éliane Bonin et Victor Fomine. Ils ont été choisi·e·s parmi dix candidat·e·s, pré-sélectionnée·e·s par un comité, au terme d’un vote par les membres d’En Piste.

Créés, tout récemment, les Prix de reconnaissance en arts du cirque visent, entre autres, à souligner la contribution exceptionnelle de personnalités méritantes du secteur ; à reconnaître le leadership, l’innovation, la créativité et l’engagement au sein du milieu et à témoigner de riches parcours dans le domaine. Ils sont dédiés à des artistes, artisan·e·s et travailleur·euse·s culturel·le·s, dont le travail passionné, les réalisations et l’engagement ont marqué le milieu et contribuent à positionner Montréal comme capitale internationale des arts du cirque.

Yamoussa Bangoura est un artiste multidisciplinaire en danse, en musique (chant, kora, balafon et percussions) et en cirque (sangles aériennes, roue Cyr et acrobatie). Il détient une solide formation en danse africaine traditionnelle. Il a été formé en cirque au sein de la troupe guinéenne Circus Baobab. En Espagne, il est repéré par le Cirque Éloize, qui le recrute. Véritable pionnier de la roue Cyr, il possède, depuis 2007, sa propre compagnie de création, les Productions Kalabanté, qui tourne à l’international. Cet artiste véritablement rassembleur est un acrobate extraordinaire et incontournable, en plus d’être un musicien des plus captivants. Il a fait beaucoup pour le développement du cirque avec l’Afrique où il existe peu de ponts avec l’Amérique du Nord. Il est également reconnu pour son engagement dans le domaine de l’enseignement. Yamoussa Bangoura a sa propre façon d’être un artiste en dehors du système et appréhende l’humain dans son entièreté. Il se produit fréquemment dans d’autres évènements spéciaux, le plus souvent au nom des Productions Kalabanté, que ce soit avec le Cirque Éloize, Cavalia, Les 7 Doigts de la main, le Cirque du Soleil, le Cirque Fantastique, Artcirq, les Productions Nuits d’Afrique, Miss Afrique et Miss Guinée. 

Biographie complète

Artiste engagée, Éliane Bonin œuvre pour la transformation sociale par l’organisation d’événements et de formations ainsi que par la création de performances d’arts vivants, depuis l’an 2000, à Montréal. Pour cette autodidacte, drop-out émancipée, ancienne militante ayant troqué les pratiques classiques de la résistance politique pour des pratiques d’arts corporels, le cirque est un espace d’inclusion sociale et de revendication de liberté humaine et mammifère. Clown engagée, elle crée des œuvres percutantes qui se veulent rassembleuses plutôt que choquantes : par la dérision et l’empathie kinésique, semblable au bouffon, elle passe des messages pour inviter les publics à s’interroger sur le système en place, encourager la libération des mœurs et l’autogestion. Éliane Bonin est l’une des membres instigatrices de Carmagnole (2002), un organisme issu de l’initiative d’un groupuscule anarchiste désireux de rendre les arts du cirque accessibles et inclusifs par le truchement des arts carnavalesques. Ancienne participante de Cirque du Monde Montréal, elle est depuis devenue elle-même instructrice de cirque social à Cirque Hors-Piste, Cirqiniq et TEVA, entre autres. Elle est une artiste accomplie pour qui le transfert de connaissances, l’enseignement et la démocratisation des arts du cirque sont des valeurs profondes. Sa récente performance dans Les Érotisseries de Carmagnole à Espace Libre a retenu l’attention et est en lice pour le Grand Prix du CAM 2023.

Biographie complète

Artiste de l’aérien tout à fait incontournable, Victor Fomine est un formateur reconnu dont l’engagement auprès de la communauté mérite d’être honorée. Il a accueilli dans son studio de nombreux artistes à qui il a permis de développer leur pratique. Né à Podolsk, dans la région de Moscou, il commence à s’entraîner en gymnastique à l’âge de 11 ans. Il participe à des événements nationaux avant d’être appelé pour son service militaire. Au terme de celui-ci, en 1979, il est embauché par SoyouzGosTsirk, l’organisme central du cirque de l’URSS. En 1984, il rejoint le corps professoral de la prestigieuse École de cirque de Moscou. Au Festival de Paris, en 1987, ou il présente deux numéros, il contribue avec Tereza Durova, Valentin Gneushev, Alexandre Grimailo et quelques autres, à définir le vocabulaire d’un nouveau cirque. Il y retourne en 1990 avec un visa touristique et trouve un travail à l’École nationale du cirque d’Annie Fratellini. En 1993, devant la perspective de retourner en Russie, il appelle Jan-Rok Achard, alors directeur de l’École nationale de cirque à Montréal, qui lui procure un visa de travail. En 2001, en plus de son implication à l’École nationale de cirque et de ses séances de formation au Cirque du Soleil, il ouvre son studio de trapèze swinging à Montréal. Il conçoit de nouvelles techniques d’entraînement, forme davantage d’étudiants et récolte des médailles pour eux. Victor Fomine est reconnu dans le monde entier comme le « gourou » du trapèze oscillant.

Biographie complète

Le CQL dévoile les organismes lauréats de la première édition des Prix reconnaissance en loisir

Le Conseil québécois du loisir (CQL) est fier d’annoncer qu’il a décerné ses premiers Prix reconnaissance en loisir lors de son Assemblée générale annuelle qui s’est tenue le 9 juin 2022. Ces prix visent à reconnaître et faire rayonner l’excellence des organismes de loisir, membres du CQL, ainsi que des professionnels œuvrant au sein de leur équipe. Pour cette première édition, le CQL a invité ses organismes membres à soumettre leurs réalisations significatives en loisir, plus précisément celles qui misent sur l’innovation et la collaboration au bénéfice du développement et de l’accessibilité de l’offre en loisir au Québec.

Tout au long de la période de mises en candidature, les membres du jury ont pu constater la très grande qualité des réalisations du milieu associatif en loisir et ont tenu à récompenser trois initiatives porteuses. C’est le président du CQL, Pierre-Paul Leduc, qui a remis les Prix aux représentants.tes des organismes dont le projet a été retenu. Les organismes lauréats se sont vu remettre un trophée personnalisé à l’image des Prix.

PRIX DÉVELOPPEMENT ET INNOVATION EN LOISIR / CATÉGORIE NATIONALE 

Le Repère culturel: l’encyclopédie numérique de la créativité en camp par l’Association des camps du Québec

Les aspects d’accessibilité et d’inclusion de ce projet unique et créatif, ainsi que le fait qu’il apporte une valeur ajoutée à la pratique de l’activité et contribue à la conservation d’un patrimoine culturel ont retenu l’attention du jury.

Biodiversité en mouvement par Les Clubs 4-H du Québec

Le jury a particulièrement retenu les aspects de développement durable du projet, d’éducation et de sensibilisation des enfants en tout jeune âge à la conservation de la biodiversité. De plus, avec ce projet, l’organisme apporte une contribution importante à la communauté par une expérience enrichissante d’accès au savoir.


PRIX PARTENARIAT ET COLLABORATION EN LOISIR / CATÉGORIE NATIONALE 

Au chœur des régions par l’Alliance chorale du Québec

Le jury a retenu l’apport important pour le milieu et les partenaires au niveau de la reconnaissance et de la notoriété de la pratique en plus d’être une expérience enrichissante pour les participants·es. De plus, ce projet contribue à la conservation d’un patrimoine culturel.

Le Conseil québécois du loisir félicite les organismes lauréats dans l’ensemble des catégories pour leurs contributions au développement et au rayonnement du loisir dans notre société actuelle. Lors de la cérémonie, le président du CQL a chaleureusement remercié les membres du jury pour leur contribution exceptionnelle.

Plus d’information sur les Prix reconnaissance en loisir ainsi que sur les projets primés est disponible sur le site Web du Conseil québécois du loisir.

SYROKO remporte le SYLI D’OR de la 15e édition des Syli d’ Or de la Musique du Monde

Après une finale mémorable à La Tulipe, les Productions Nuits d’Afrique ont le plaisir de vous dévoiler les lauréats de cette 15e édition des Syli d’or de la Musique du Monde

Le groupe SYROKO (Algérie) remporte le Prix Syli d’Or. Le Syli d’argent est attribué à PAPISH (Chili, Vénézuela)et le Syli de Bronze à BLAISE LA BAMBA & KOTAKOLI(RD Congo).
Le Gala Final s’est déroulé hier soir à La Tulipe devant un public nombreux. Blaise Labamba et Kotakoli ont amorcé la soirée avec leur musique aux rythmes Rumba Soukouss à l’énergie débordante. Ensuite, Papish a enchaîné en faisant danser le public sur des sons Cumbia, Électro et Latin pop. Enfin, le gagnant Syroko et sa musique chaabi fortement contagieuse ont enflammé le public.
LES LAURÉATS SONT …
Syli d’Or : SYROKOSyli d’Argent : PAPISHSyli de Bronze : BLAISE LABAMBA & KOTAKOLI
UN TREMPLIN EXTRAORDINAIRE POUR CES ARTISTES ÉMERGENTS AUX PORTES D’UNE CARRIÈRE PROMETTEUSE


GALA FINAL – 15e édition –

Syli d’Or
de la musique du Monde
Syli d’Or – SYROKO
 Syli d’Argent – PAPISHSyli de Bronze – BLAISE LABAMBA
Le PRIX DU PUBLIC décerné par le Conseil des arts de Montréal – KETSMYFélicitations à Ketsmy (Haïti), lauréat du Prix du public décerné par le Conseil des arts de Montréal dans le cadre du 15e édition des Syli d’or de la musique du monde présenté par les Productions Nuits d’Afrique.
“Depuis 15 ans, les Syli d’or de la Musique du Monde jouent un rôle essentiel pour la communauté artistique montréalaise: celui d’un tremplin qui propulse les artistes dans le développement de leur carrière en plus d’être une vitrine professionnelle de choix dédiée à la musique du monde sous toutes ses formes. Au Conseil des arts de Montréal, la pluralité des pratiques artistiques et la mise en valeur des artistes qui font vibrer notre métropole sont au cœur de nos préoccupations. Pour toutes ces raisons et bien d’autres, il va sans dire que nous sommes très fiers de soutenir le Prix du public qui comprend une bourse en argent de 5000 $ et la production d’une maquette sonore d’une valeur de 3000 $.“ 
Nathalie Maillé – Directrice générale du Conseil des Arts de Montréal
PRIX AFRO-POP – SYLI D’OR – SYROKO
Le Prix Afropop-Syli, décerné par la radio Afropop Worldwide basée aux États-Unis, a récompensé l’artiste Syroko qui a réalisé la meilleure performance scénique parmi les neufs demi-finalistes. Syroko bénéficiera d’une entrevue-portrait diffusée à travers 115 stations aux États-Unis, en Europe et en Afrique.
PRIX RIDEAU
Ce prix, décerné aux trois finalistes de la 15e édition des Syli d’Or de la musique du Monde, leur permettra de se produire à l’événement RIDEAU 2023.

Fanny Britt, Rébecca Déraspe et Marie Leofeli Romero Barlizo: finalistes de la troisième édition du prix Jovette-Marchessault

Le Conseil des arts de Montréal (CAM) et le Théâtre ESPACE GO, en collaboration avec les membres du comité de développement du prix*, sont fiers de dévoiler les noms des trois finalistes de la troisième édition du prix Jovette-Marchessault consacrée aux autrices : Fanny Britt, Rébecca Déraspe et Marie Leofeli Romero Barlizo.

Ce prix, qui vise la reconnaissance et le rayonnement de la contribution de femmes artistes du milieu théâtral montréalais, s’accompagne d’une bourse de 20 000 $, qui sera remise par le Conseil à la lauréate.Le nom de la lauréate de la troisième édition du prix Jovette-Marchessault sera dévoilé le mercredi 18 mai 2022 lors d’une soirée spéciale au Théâtre ESPACE GO.   TROISIÈME ÉDITION – AUTRICES : LES TROIS FINALISTE 


Fanny Britt
« C’est le théâtre qui m’a montré la voie d’un geste collectif, collaboratif, où l’ensemble vaut bien plus que la somme des parties, et où l’on gagne à construire en groupe. Les œuvres, les communautés, les révolutions. C’est également le théâtre qui m’a, plus que toute autre forme d’art, fait réfléchir à l’idée de la voix des femmes. Dès l’enfance, le roman m’avait fait découvrir le récit, la musique m’avait initiée au rythme, au lyrisme. Le théâtre m’a demandé : qui parle? Et qu’a-t-elle à dire? Rapidement, ce sont les voix des personnages féminins qui m’ont intriguée. » 
En savoir plus sur Fanny Britt, cliquez ICI.



Rébecca Déraspe 
« [Ma démarche elle] est faite de rigueur, de tripes, de douleurs, du désir de tendre quelque chose au monde. Elle est faite de mon besoin de rencontres, de ma curiosité de l’Autre. Mes textes sont habités par des personnages qui m’émeuvent, qui me font mal, des personnages qui se cachent parfois très mal derrière mes propres essoufflements.  Je cherche toujours à renouveler la forme pour être le plus près possible de l’objet de mon obsession du moment. Pour que ce qui m’habite se mesure à la collectivité. » 
En savoir plus sur Rébecca Déraspe, cliquez ICI.


Marie Leofeli Romero Barlizo
« Dans mes pièces, j’écris sur la honte, la survie, la dépendance et les traumatismes (maladie mentale). Mon écriture est largement inspirée par le fait de voir mes parents sacrifier leurs rêves pour que ma sœur et moi puissions avoir une vie meilleure […] J’écris pour avoir plus d’histoires asiatiques, et plus particulièrement d’histoires philippines, sur les scènes canadiennes. Les pièces que je crée sont centrées sur des femmes philippines fortes et complexes qui luttent pour survivre et doivent faire des choix difficiles. Les histoires que je crée donnent aux actrices asiatiques l’occasion de se mettre au défi dans leur métier et de redéfinir les personnages canadiens d’origine asiatique pour le public contemporain.»
En savoir plus sur Marie Leofeli Romero Barlizo, cliquez ICI.
JURY

Le Conseil des arts de Montréal prend en charge la composition du jury, la sélection des candidatures et l’attribution de la bourse, alors qu’ESPACE GO assure la logistique et la promotion du prix. Le jury est constitué d’artistes professionnel·les. L’évaluation des candidatures a reposé sur la qualité et l’originalité de la démarche artistique, de même que sur l’impact de la réalisation artistique des créatrices sur le développement de la pratique théâtrale.

RAPPEL HISTORIQUE 
En 2018, le Conseil des arts de Montréal établissait l’atteinte d’un meilleur équilibre entre les genres, notamment pour la parité homme-femme dans le milieu artistique comme une priorité de son plan stratégique 2018-2020. C’est dans cet esprit que le Conseil a soutenu financièrement ESPACE GO pour la mise sur pied de son chantier féministe portant sur la place des femmes en théâtre au printemps 2019. Au cours de cet événement, le milieu théâtral a rappelé l’importance de créer des prix soulignant le travail exceptionnel des créatrices en théâtre, afin d’augmenter le rayonnement des femmes artistes. La directrice générale du Conseil des arts de Montréal, Nathalie Maillé, en a profité pour souligner publiquement son intérêt à recevoir des propositions pour la création d’un prix destiné aux créatrices.Des partenaires (CAM, ESPACE GO, Imago Théâtre, Théâtre de l’Affamée et des artistes associé·es au mouvement des F.E.T.) se sont réuni·es pour rendre possible ce nouveau prix. Toutes et tous ont souhaité que ce prix adopte le nom d’une créatrice inspirante, celui de Jovette Marchessault (1938-2012), romancière, poète, dramaturge, peintre et sculptrice montréalaise. Dès la deuxième édition, de nouveaux membres ont joint les partenaires originaux du comité de développement du prix. Il s’agit des artistes Nahka Bertrand, Margarita Herrera-Dominguez et Gabe Maharjan.Un appel de candidatures différent a lieu chaque année en rotation sur trois ans, selon la fonction artistique : metteuses en scène, conceptrices et autrices. Les finalistes de la première édition étaient les metteuses en scène Catherine Bourgeois, Pol Pelletier et Catherine Vidal. Le prix a été remis à cette dernière en mai 2020. Les finalistes de la deuxième édition étaient les conceptrices Sophie El Assaad, Claude Rodrigue et Nancy Tobin. Le prix a été remis à cette dernière en mai 2021.*Membres du comité de développement du prix Jovette-Marchessault : Nahka Bertrand, Margarita Herrera-Dominguez, Gabe Maharjan, le Théâtre de l’Affamée, Imago Théâtre, ainsi que le mouvement des Femmes pour l’Équité en Théâtre (F.E.T.)

SISYPHE DE LEMIEUX PILON 4D ART REMPORTE LE 36e GRAND PRIX

Le Conseil des arts de Montréal est ravi d’annoncer que l’œuvre Sisyphe de Lemieux Pilon 4D Art remporte le 36e Grand Prix du Conseil des arts de Montréal et la bourse de 30 000 $ qui lui est associée. Le Prix du jury, offert par la Caisse Desjardins de la Culture et comportant une bourse de 10 000 $, est quant à lui remis à Productions Nuits d’Afrique. Enfin, ce sont les Réalisatrices Équitables qui remportent le Prix du public assorti d’un montant de 10 000 $ remis par Télé-Québec. Chaque finaliste reçoit en plus des bourses de 5 000 $ remises grâce à la générosité de mécènes. Un montant total de 100 000 $ est ainsi octroyé à l’ensemble des finalistes et lauréats.
Dans un contexte émouvant et énergisant de retrouvailles et de célébrations, le Conseil est particulièrement heureux de revenir cette année à son essence pour souligner, en personne, les contributions artistiques ayant illuminé l’année artistique 2021 à Montréal.
Un hommage solidaire à l’audace, à l’innovation et au talentLe vibrant et coloré animateur Marc Labrèche était entouré de Nathalie Maillé, directrice générale du Conseil des arts de Montréal et du président Ben Marc Diendéré, ainsi que de plusieurs centaines d’invité-e-s de marque provenant du milieu culturel, des affaires et du monde municipal, dont le ministre du Patrimoine canadien, monsieur Pablo Rodriguez et la mairesse de Montréal, madame Valérie Plante.
 « Encore cette année, le Conseil a suivi le milieu artistique de près et nous avons été les témoins admiratifs de la beauté et de la puissance de l’art, mais aussi du courage, de la persévérance et de la capacité d’innovation des artistes, des travailleurs et travailleuses culturelles. Quel bonheur de célébrer ensemble les initiatives novatrices et structurantes des finalistes et lauréats, tout en rendant hommage à l’ensemble de la communauté artistique qui œuvre avec passion et agilité à la reconstruction du cœur créatif si essentiel à la relance de Montréal  » souligne Nathalie Maillé, directrice générale du Conseil des arts de Montréal. 
36e Grand Prix : Sisyphe – performance marathon de Victor Pilon (30 000 $) L’innovation, la singularité et l’authenticité. La volonté d’agir, le désir d’impact et l’originalité des moyens pour rejoindre la communauté montréalaise. Tels sont les critères qui ont guidé le jury pour déterminer le lauréat. Malgré la fatalité et la souffrance, Victor Pilon de Lemieux Pilon 4D Art a su créer de la beauté et la partager avec le public dans une démarche artistique d’une rare authenticité. Pour son geste puissant, philosophique et éphémère qui a rallié des partenaires multiples au service d’une œuvre unique inspirée d’Albert Camus. Pour avoir invité les arts dans un lieu improbable comme le Stade olympique. Pour avoir transcendé la perte d’un être cher dans une catharsis absolue, le 36e Grand Prix du Conseil des arts de Montréal est remis à Sisyphe – performance marathon de Victor Pilon – de Lemieux Pilon 4D Art.
Prix du jury : Productions Nuits d’Afriques (10 000 $) Coup de cœur unanime, le Prix du jury est attribué à un organisme précurseur qui est devenu un événement signature de la métropole. La joie de vivre, l’ouverture, la danse et la musique y forment une chimie où des artistes de talent, d’ici et d’ailleurs, transportent les Montréalaises et les Montréalais aux accents variés. Pour la créativité, la résilience et la détermination de leur équipe, pour l’ensemble de leurs activités qui dynamisent Montréal depuis plus de 35 ans, pour saluer le travail de son fondateur Lamine Touré, le Prix du jury est remis aux Productions Nuits d’Afrique.
Prix du public : Réalisatrices Équitables (10 000 $)Déterminées, les lauréates du Prix du public luttent pour une meilleure parité au cinéma tout en plaidant pour partager la narration avec les réalisatrices autochtones et de la diversité.  Clairvoyantes, elles militent pour que les institutions octroient de plus gros budgets aux femmes et publient un site statistique qui permet de visualiser concrètement l’évolution des gains. Pour toutes ces actions qui ont fait vibrer le cœur des gens, les Réalisatrices Équitables remportent le Prix du public, un vote 100% déterminé par la population qui était invitée à s’exprimer. Plus de 3 000 personnes ont d’ailleurs voté.
Composition du jury Le jury responsable de sélectionner les organismes lauréats du Grand Prix et du Prix du jury était présidé par Ben Marc Diendéré.  Il a réunit la comédienne Markita Boies, la présidente de Gazelles et de la Jeune chambre de commerce de Montréal Habi Gerba, le fondateur, directeur artistique et codirecteur général de Mutek Alain Mongeau ainsi que l’anthropologue, conférencière et conteuse Nicole O’Bomsawin. Le jury avait la responsabilité de sélectionner les organismes lauréats du Grand Prix et du Prix du jury parmi  les 10 finalistes de cette année: Centre d’art daphne, Danse-Cité, Festival Accès Asie, La poésie partout, Le Monastère, Les Forges de Montréal, Productions Nuits d’Afrique, Réalisatrices Équitables, Sisyphe (Lemieux Pilon 4D Art) et Violette (Joe Jack et John).
Des contributions précieuses et essentielles Le Conseil remercie chaleureusement ses grands partenaires dont l’appui important contribue à faire de cet événement un moment-phare de la vie artistique montréalaise : Télé-Québec, la Caisse Desjardins de la Culture et La Presse. Le Conseil remercie également les mécènes pour leurs généreux dons qui ont permis de soutenir les finalistes et les prestations artistiques offertes dans le cadre du 36ᵉ Grand Prix : Power Corporation du CanadaBellÉcole nationale de théâtre du CanadaEYl’honorable Amina GerbaVickie Joseph, Luc PlamondonJean-Louis RoySollio Groupe CoopératifTELUS et Tourisme Montréal.
À propos du Conseil des arts de Montréal (CAM)Partenaire dynamique de la création artistique professionnelle montréalaise depuis 1956, le CAM repère, accompagne, soutient et reconnaît l’excellence dans la création, la production et la diffusion artistiques. Il encourage l’ouverture, la découverte et l’audace au cœur du paysage artistique montréalais par ses actions structurantes.

Mégantic, un train dans la nuit, de Christian Quesnel et Anne-Marie Saint-Cerny, remporte le Prix Éco-Fauve Raja 2022 du Festival international de la bande dessinée.

La remise du Prix a eu lieu samedi le 19 mars à Angoulême. 
Les auteurs lauréats, actuellement en France, sont disponibles pour toute entrevue.
 “Il y a beaucoup d’émotion à recevoir ce prix. Notre première pensée va vers les gens de Mégantic, ceux disparus.”  – Christian Quesnel, Anne-Marie Saint-Cerny

À propos de la BD

En cette chaude nuit d’été du 6 juillet 2013 à Mégantic, petite ville paisible du Québec, un train sans conducteur de 72 wagons chargés de pétrole explosif, perd le contrôle et dévale la pente qui mène au cœur de la localité. Le centre-ville est pulvérisé, en proie à un immense incendie qui carbonise 47 victimes prises au piège. 

Conte capitaliste des temps modernes, cette tragédie nous plonge au cœur de la cupidité humaine et de ses conséquences. Qui sont les vrais coupables ? Comment un train transportant du pétrole hautement inflammable pouvait-il être opéré par un seul homme ? Pour trouver les fautifs, il faut se rendre chez les investisseurs de Wall Street et les conglomérats du pétrole, dans les champs de producteurs cowboys d’or noir du Dakota. 

Mis en scène par une classe politique complaisante, le drame a frappé une population qui s’est rapidement trouvée à la merci de promoteurs locaux et d’intérêts financiers loin d’être toujours bien intentionnés. Un exemple troublant de stratégie du choc. Mégantic, un train dans la nuit met en images avec fracas une tragédie ferroviaire qui a choqué le Québec. Une bande dessinée coup de poing, au croisement de l’enquête et du récit politique.
À propos des auteur.e.s

Anne-Marie Saint-Cerny est autrice, recherchiste et militante. Son essai Mégantic (Écosociété, 2019), relatant dans le détail les événements, a été salué par la critique et a été finaliste pour le Prix du Gouverneur général du Canada et le Prix des libraires du Québec. 

Christian Quesnel est auteur de bandes dessinées et lauréat de nombreux prix, notamment pour Cœurs d’Argile, Ludwig, Félix Leclerc : l’alouette en liberté et Vous avez détruit la beauté du monde, Grand prix de la ville de Québec 2021.   

3e édition du prix Jovette-MarchessaultLancement de l’appel de candidatures pour les AUTRICES

Le Conseil des arts de Montréal (CAM) et le Théâtre ESPACE GO, en collaboration avec les membres du comité de développement du prix*, sont fiers d’annoncer le lancement de l’appel pour la 3e édition du prix Jovette-Marchessault qui vise la reconnaissance et le rayonnement de la contribution des femmes artistes du milieu théâtral montréalais. Ce prix s’accompagne d’une bourse de 20 000 $ offerte par le Conseil des arts de Montréal à la lauréate.


L’appel de candidatures 2021-2022 s’adresse aux autrices (pour des créations originales, des réécritures ou des adaptations artistiques uniquement). Il débute aujourd’hui et prendra fin le 24 janvier 2022 (à minuit). Les dates, détails et règlements du prix se retrouvent à l’adresse suivante : https://espacego.com/prix-jovette-marchessault/. L’évaluation des candidatures reposera sur la qualité et l’originalité de la démarche artistique. L’impact de la ou des réalisations artistiques des créatrices sur le développement de la pratique théâtrale entrera aussi en ligne de compte.


Le jury sera constitué d’artistes professionnel·les, représentant la pluralité des pratiques théâtrales.
L’annonce des trois autrices finalistes aura lieu le 19 avril 2022.
L’annonce de l’autrice lauréate aura lieu le 18 mai 2022.


Objectifs du projet
– Reconnaître et rendre visible la contribution des femmes aux avancées de l’art théâtral et à la vitalité artistique de Montréal
– Augmenter le rayonnement des femmes artistes
– Reconnaître l’excellence de leur travail
– Valoriser le potentiel et le travail remarquable des créatrices en théâtre
– Saluer une démarche artistique qui contribue à l’évolution de la pratique théâtrale, qu’elle soit d’une metteuse en scène, d’une conceptrice ou d’une autrice

Critères d’admissibilité

Toute personne s’identifiant comme femme, artiste professionnelle oeuvrant en théâtre, peu importent les années d’expérience, étant reconnue par ses pairs, citoyenne canadienne ou résidente permanente canadienne à la date du dépôt est admissible. Pour être éligibles, les candidates doivent être domiciliées sur le territoire de l’île de Montréal ou, pour les créatrices autochtones seulement, à un maximum de 50 km de l’Île de Montréal en plus de travailler sur le territoire de l’Île de Montréal.


Rappel historique
En 2018, le Conseil des arts de Montréal établissait l’atteinte d’un meilleur équilibre entre les genres, notamment pour la parité homme-femme dans le milieu artistique comme une priorité de son plan stratégique 2018-2020. C’est dans cet esprit que le Conseil a soutenu financièrement ESPACE GO pour la mise sur pied de son chantier féministe portant sur la place des femmes en théâtre au printemps 2019. Au cours de cet événement, le milieu théâtral a rappelé l’importance de créer des prix soulignant le travail exceptionnel des créatrices en théâtre, afin d’augmenter le rayonnement des femmes artistes. La directrice générale du Conseil des arts de Montréal, Nathalie Maillé, en a profité pour souligner publiquement son intérêt à recevoir des propositions pour la création d’un prix destiné aux créatrices.


Des partenaires (CAM, ESPACE GO, Imago Théâtre, Théâtre de l’Affamée et des artistes associé·es au mouvement des F.E.T.) se sont réuni·es pour rendre possible ce nouveau prix. Toutes et tous ont souhaité que ce prix adopte le nom d’une créatrice inspirante, celui de Jovette Marchessault (1938-2012), romancière, poète, dramaturge, peintre et sculptrice montréalaise. Dès la deuxième édition, de nouveaux membres ont joint les partenaires originaux du comité de développement du prix. Il s’agit des artistes Nahka Bertrand, Margarita Herrera-Dominguez et Gabe Maharjan.


Un appel de candidatures différent a lieu chaque année en rotation sur trois ans, selon la fonction artistique : metteuses en scène, conceptrices et autrices. Les finalistes de la première édition étaient les metteuses en scène Catherine Bourgeois, Pol Pelletier et Catherine Vidal. Le prix a été remis à cette dernière en mai 2020. Les finalistes de la deuxième édition étaient les conceptrices Sophie El Assaad, Claude Rodrigue et Nancy Tobin. Le prix a été remis à cette dernière en mai 2021.

René Rivard et Anne-Marie Lemire décorés

Dans la soirée du 24 novembre dernier, l’Écomusée du fier monde a procédé à la remise de l’Ordre du fier monde.

Cette année, cette distinction a été décernée à Monsieur René Rivard, membre du conseil d’administration de l’Écomusée de 2005 à 2020, et Madame Anne-Marie Lemire, membre du comité Histoire et saveurs et du conseil d’administration de 2002 à 2020.
René Rivard René Rivard cumule 50 ans de carrière dans l’univers du patrimoine et la muséologie au Canada et à travers le monde. Pionnier de l’écomuséologie au Québec, il s’applique à partager, dans ses multiples projets, de nouvelles pratiques muséales axées sur la communauté et le territoire. Dès les débuts de l’Écomusée du fier monde, en 1980, il soutient les promoteurs du projet naissant. Son engagement se concrétise plus particulièrement lors de sa nomination au conseil d’administration du musée, en 2005. Il joue un peu le rôle de conseiller en muséologie jusqu’à la fin de son mandat, en 2020.

René Rivard fait actuellement l’objet d’une exposition temporaire, Un homme, une vision, des musées – René Rivard et la nouvelle muséologie, à l’affiche jusqu’au 23 décembre à l’Écomusée du fier monde

Anne-Marie LemireMembre du conseil d’administration de l’Écomusée de 2002 à 2020, Anne-Marie Lemire occupe pendant de nombreuses années le poste de trésorière. Issue du monde des affaires, elle fait valoir l’importance de développer des publics nombreux et variés, de créer des liens avec le milieu des entreprises et de trouver des sources de revenus auto-générés. Dans cette foulée, elle s’implique au sein du comité Histoire et saveurs dès la première édition de cet événement bénéfice alliant histoire et gastronomie, en 2013, et contribue à son rayonnement. Propriétaire du vignoble Domaine Les Bromes, elle a fait profiter à tous et toutes de son expertise sur les vins et leurs accords et est également une généreuse donatrice lors des soirées bénéfices.  

L’Ordre du fier mondeConférée annuellement depuis 2007, cette distinction honorifique est décernée à des personnes ou groupes de personnes ayant contribué de façon exceptionnelle au développement de l’Écomusée et qui font preuve d’engagement envers la mission, les principes et la philosophie de l’institution. 

Sur la photo : Éric Giroux, directeur de l’Écomusée du fier monde Anne-Marie Lemire et René Rivard. Photo : Daphnée Bouchard. 

Consultez la liste des lauréats
  • 1
  • 2