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Augmentation importante de la flotte Communauto après un record d’utilisation en 2021

Communauto, le plus grand service d’autopartage au Canada et le plus ancien en Amérique, planifie une importante croissance de son parc de véhicules, après une hausse exceptionnelle de 30% du nombre de ses abonnés et du taux d’utilisation des services en 2021.

En 2022, pour faire front à cette demande, Communauto a commandé 1,300 nouveaux véhicules auprès des fabricants automobiles pour une mise en service avant l’été, ceci malgré les difficultés d’approvisionnement qui frappent l’industrie automobile et qui pourraient perdurer jusqu’en 2023.

La plus grande augmentation du parc se fera à Montréal avec 800 véhicules (200 en station et 600 pour le service FLEX). Ce sont donc plus 3,000 véhicules qui seront proposés aux Montréalais d’ici la fin de l’été.

« Communauto répond « présent » à la croissance importante de la demande en 2021 en planifiant une augmentation importante de son offre. Cette demande croissante démontre la pertinence de l’autopartage comme solution de mobilité urbaine, plus durable et efficace que la voiture personnelle, mais ouvre la porte à des défis importants : en premier lieu, la difficulté du marché automobile de garantir le nombre de voitures prêtes à livrer et en deuxième lieu, les délais importants entre les commandes et les livraisons. Nous avons vécu cela en 2021 et nous craignons que cela puisse affecter aussi l’offre cette année, et ce malgré nos efforts. Une chose est certaine, Communauto a les capacités et la ferme intention de garantir la disponibilité nécessaire et de satisfaire les besoins grandissants des citoyens qui souhaitent adopter l’autopartage, en combinaison avec les autres offres de mobilité collectives et actives. » souligne Benoit Robert, Président et fondateur de Communauto.

« La Ville de Montréal accueille avec beaucoup d’enthousiasme l’accroissement de la flotte de véhicules de Communauto. Notre administration est celle qui en a fait le plus pour les mobilités partagées. Depuis notre premier mandat, nous nous positionnons résolument comme un partenaire incontournable, toujours dans une perspective d’offrir davantage d’options de mobilité aux Montréalais et aux Montréalaises, et de décongestionner la ville. C’est animé par cette volonté que nous avons notamment procédé à plusieurs changements réglementaires pour favoriser l’autopartage et les véhicules en libre service au cours des dernières années et que nous entendons poursuivre sur cette voie, en collaboration avec les arrondissements, afin de permettre un déploiement équitable du service sur l’ensemble du territoire de la ville   », a ajouté Sophie Mauzerolle, responsable du transport et de la mobilité au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal.

À Québec, Toronto, Halifax, Ottawa, Hamilton, Calgary, Edmonton et Paris

À Québec, l’offre de voiture dépassera les 300 unités avec l’ajout d’environ 45 voitures, dont 15 pour le service FLEX (+25%).

Toronto ne sera pas en reste puisque l’entreprise prévoit une hausse importante de sa flotte avec 250 véhicules (+60%). De même, 200 véhicules iront à Halifax, Ottawa, dans le sud-ouest de l’Ontario, à Paris et à Edmonton et Calgary, ou l’offre de véhicules en station avec réservation continue de se développer aux côtés de l’offre FLEX.

En 2022, Communauto élargira son offre à Hamilton, en Ontario, où il sera possible de profiter du volet FLEX. Pour rappel, ce service permet d’utiliser des véhicules du parc Communauto en trace directe et sans réservation au préalable. Cette offre, qui existe depuis 2013, a déjà séduit les villes de Montréal, Québec, Halifax, Edmonton, Toronto et Calgary.

Plus de voitures électriques

Dans le domaine de l’électrification de son parc, Communauto a demandé à acquérir 100 nouvelles voitures électriques, qui s’ajouteraient et remplaceraient une partie des actuelles 110 unités 100% électriques déjà en service. Malheureusement, seulement moins de la moitié de cette commande, des Niro EV, a pour le moment pu être honorée par les manufacturiers : un exemple frappant de la difficulté à concrétiser les objectifs de croissance à cause de la pénurie de véhicules. Même chose pour la motorisation hybride, disponible en petite quantité, qui nous oblige à revenir aux modèles à essence.

Des voitures plus spacieuses

En 2022, Communauto continue aussi à diversifier sa flotte en ajoutant au service en station des voitures plus spacieuses pour répondre aux besoins des plus longues distances des familles. Par exemple, le modèle Niro Hybride s’ajoutera en station avec les modèles Kona et Tucson. Cette dernière sera offerte avec un supplément de 10%. Les Corolla déjà proposées dans les stations avec réservation seront quant à elles, aussi offertes dans le volet FLEX.

La récente flambée des prix de l’essence risque de renforcer encore plus la demande pour l’autopartage. « Utiliser plus le vélo, la marche, le transport en commun et compléter avec l’autopartage, quand on a besoin d’une auto, est la meilleure façon de faire face à l’augmentation des coûts de l’essence », ajoute Benoit Robert.

La Société des arts technologiques lance la plateforme web Scenic pour développer son réseau de téléprésence artistique.

Fruit d’une dizaine d’années de recherche, Scenic est un outil de collaboration audiovisuelle en téléprésence qui permet aux artistes et aux diffuseurs de créer des spectacles, des expériences immersives collectives en plusieurs lieux simultanément.

Scenic, c’est aussi une communauté créative et collaborative. Son réseau connecte à ce jour 23 organismes culturels à travers le Québec qui peuvent créer, collaborer et diffuser leurs contenus entre elles. Des villes d’Alma, en passant par Rimouski ou Rouyn Noranda, jamais autant de lieux de diffusion n’ont disposé d’un même équipement pour créer et diffuser des projets en téléprésence scénique.

Ce réseau avait besoin de soutien afin de promouvoir les projets en téléprésence, optimiser les échanges et les collaborations entre les membres et faciliter la transmission de savoir en matière de création et de scénographie.

Une nouvelle plateforme en ligne a été conçue pour répondre à ces besoins. C’est une vitrine sur la téléprésence scénique qui démocratise la pratique de la téléprésence et de la technologie Scenic. Cette plateforme met en valeur les membres et leur permet de se différencier dans l’écosystème culturel québécois grâce à leur usage créatif des technologies. C’est aussi un espace collaboratif pour le réseau de lieux connectés, permettant à ses membres de mettre en œuvre de nouveaux projets, avec des visites virtuelles des salles, des exemples de réalisations et des outils de collaboration.

La plateforme Scenic est une mise en commun du savoir faire en téléprésence des scénographes, des technicien·ne·s, des acteur·rice·s et des metteur·euse·s en scène tout comme celui des directions de production. Cet espace collaboratif rapproche les artistes et diffuseurs et les invite à explorer de nouvelles formes de création en temps réel.

Idéal Canne rapatrie sa production au Québec pour pallier la pénurie

Augmentation du prix de l’acier, hausse des coûts de transport, congestion maritime, retards de livraison, les boîtes en fer-blanc sont une denrée rare par les temps qui courent. Alors que s’amorce la saison des sucres, la situation est préoccupante pour le monde acéricole, de même que pour nombre d’entreprises du secteur agroalimentaire. Idéal Canne, chef de file dans la fabrication de cannes en acier, a rapatrié sa production au Québec afin de pallier la pénurie. Devançant la mise en opération de son usine située à La Guadeloupe dans le Sud du Québec, le fabriquant a mis les bouchées doubles pour que nos acériculteurs puissent embouteiller ce précieux nectar doré.

 
Ci-haut : Erick Vachon, président d’Idéal Canne et son fils Jean-Sébastien Vachon, vice-président.
 
Seul manufacturier canadien à offrir ce type de canne de conserve, Idéal Canne a façonné le marché au cours des 13 dernières années. Spécialisé dans la fabrication de cannes en acier trois pièces, l’entreprise se démarque par sa capacité d’offrir des tirages limités tout autant que des tirages de masse, ainsi que par son service de lithographie personnalisé, lequel permet aux producteurs d’offrir des cannes aux couleurs de leur établissement.  « Depuis nos débuts, le monde acéricole constitue une grande partie de notre clientèle. Il allait donc de soi que nous mettions tout en œuvre pour sauver les meubles, la saison étant fortement compromise pour nombre d’acériculteurs » souligne le président d’Idéal Canne Erick Vachon. En ce sens, l’entrepreneur a remué ciel et terre pour que ses infrastructures québécoises, dont la mise en opération était initialement prévue en juin, s’effectue hâtivement. « Nous sommes déjà en production depuis le 1er mars et avons entrepris les démarches nécessaires pour que deux lignes de production s’ajoutent, afin de pouvoir répondre à la demande » soutient M. Vachon. Idéal Canne possède actuellement une ligne de montage pouvant produire 100 millions de cannes par année.


Une flambée des prix qui laisse un arrière-goût amer
 
À l’instar de nombreuses industries, les répercussions de la pandémie sur le marché de la canne de conserve sont telles que la fabrication locale s’impose désormais comme meilleur choix économique.  « Avec la hausse du prix de l’acier, la congestion dans les ports et l’augmentation pharamineuse du prix des conteneurs, il devenait impossible d’offrir un prix raisonnable » note le président. Devant une telle flambée des prix, les becs sucrés seraient assurément restés sur leur appétit.
 
Rappelons qu’en 2010, une pénurie de cannes de sirop d’érable avait ébranlé le monde acéricole. Idéal Canne, qui œuvrait alors dans le domaine de l’importation, y avait vu l’opportunité de fabriquer les cannes en acier. L’entreprise québécoise s’est rapidement positionnée auprès d’une majorité de distributeurs.
 
En 2019, contexte pandémique oblige, de nombreuses variables ont rendu l’importation difficile, de sorte que l’entreprise s’est réorientée vers la production locale. Utilisant l’expertise acquise au cours de la dernière décennie, le manufacturier a fait l’acquisition d’une usine à La Guadeloupe et s’est doté d’une ligne de production à la fine pointe de la technologie. « Notre objectif est de combler le besoin criant dans notre industrie. Grâce à notre usine québécoise, nous ne dépendons plus de l’importation, ce qui nous place dans de meilleures dispositions pour approvisionner notre clientèle et contribuer à freiner l’augmentation du prix des cannes » d’ajouter M. Vachon.
 
À propos de Idéal Canne
 
Chef de file dans l’industrie de la canne de conserve, Idéal Canne est une entreprise manufacturière de canne de conserve située dans le sud du Québec. Doté d’infrastructures à la fine pointe de la technologie, Idéal Canne emploie 45 personnes par ligne de production et s’impose parmi les chefs de file en Amérique du Nord. Spécialisée dans la fabrication de cannes de métal trois pièces, l’entreprise se démarque par la flexibilité de ses tirages et par son service de lithographie personnalisé sur les cannes.

ÉAU lance le premier laboratoire d’ampleur en aquaponie au Québec

L’entreprise québécoise ÉAU (Écosystèmes Alimentaires Urbains) est fière d’annoncer l’ouverture officielle du premier laboratoire d’ampleur en aquaponie au Québec. Situé en pleine zone urbaine de Montréal, le LabÉAU est unnouveau pôle de recherche et de développement technologique qui marque un tournant dans l’émergence de l’industrie de l’aquaponie.

L’aquaponie est une technique de production alimentaire considérée comme l’une des solutions pour une transition vers une agriculture à faible impact environnemental. Il s’agit de la symbiose entre l’élevage d’organismes aquatiques (aquaculture) et la culture de plantes (l’hydroponie). Fondée sur les principes d’économie circulaire, cette technique tente d’imiter au mieux ce qui se produit en nature, où les déchets des poissons deviennent des ressources pour les plantes. Les fermes aquaponiques permettent de produire une grande variété de fruits, légumes et poissons toute l’année, indépendamment des conditions climatiques.

Trois grands axes stratégiques

Le LabÉAU occupe une superficie de 100 moù se trouve un système aquaponique découplé. Il est composé d’un système de production aquacole en recirculation de perchaudes et dorés jaunes, d’un système de minéralisation à deux écosystèmes de traitement, et d’un système de production horticole vertical de verdures, de fines herbes et de plantes à fruits.

Sous la direction de Benjamin Laramée, l’une des références en aquaponie au Québec, le LabÉAU permettra de conduire des activités de recherche et développement en collaboration avec différents instituts et centres de recherche. L’aquaponie repose actuellement sur des technologies éprouvées et le LabÉAU permettra d’aller plus loin dans leur optimisation. Ce nouveau pôle de recherche a trois grands axes stratégiques : la réduction de l’empreinte environnementale, la diversification des produits, autant au niveau aquacole qu’horticole et l’optimisation des procédés afin de réduire les coûts d’opération et de limiter les intrants.

Le gouvernement du Québec appuie le projet en lui attribuant une aide financière de 221 458 $ par l’entremise du Programme innovation, administré par Investissement Québec. « L’autonomie alimentaire et le développement d’une économie verte sont au cœur de notre vision économique. En misant sur une forme d’agriculture à faible impact environnemental, le laboratoire LabÉAU s’accorde parfaitement avec cette vision. Grâce au soutien financier annoncé aujourd’hui, on souhaite aider ÉAU à optimiser ses procédés et à commercialiser des produits locaux », souligne Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional.

Véritable vitrine technologique, ce laboratoire mettra en valeur toute l’innovation qui se cache derrière les systèmes aquaponiques afin de faire connaître davantage leurs fonctionnements. 

« Le LabÉAU deviendra un pôle de recherche sur l’aquaponie au Québec, une technologie de production alimentaire en développement partout dans le monde et pour laquelle il y a un intérêt grandissant au Québec depuis quelques années », déclareBenjamin Laramée, cofondateur et directeur scientifique d’ÉAU.

THÉÂTRE DE LA VIEILLE FORGE DE PETITE-VALLÉE : DÉVOILEMENT DU CONCEPT ARCHITECTURAL

À l’aube de son 40e anniversaire, le Théâtre de la Vieille Forge dévoile le concept architectural de ses nouvelles installations qui s’érigeront sur la mythique Longue Pointe de Petite-Vallée dès 2024. 

À la suite du concours d’architecture, le jury a sélectionné parmi les quatre propositions extraordinaires soumises, celle d’in situ atelier d’architecture, en collaboration avec VRA + LPA. Le concept présenté a séduit les jurés en raison de « sa contribution à l’évolution du site, tant au point de vue historique qu’événementiel, ainsi que pour la matérialité et la volumétrie à échelle humaine du bâtiment, qui présente une signature résolument gaspésienne avec un brin de folie reflétant l’esprit de Village en chanson ». 

Pour Alan Côté, directeur général et artistique de l’organisation, il s’agit là « d’une grande étape de franchie, marquée par un processus long, mais très enrichissant, ainsi que par des propositions qui ont fait rêver. Je suis très heureux du concept développé par in situ atelier d’architecture : une proposition qui s’inscrit dans la tradition et dans l’histoire à écrire. On peut parler d’un nouveau souffle pour le Village en chanson », déclare-t-il. 

Un concept qui s’amarre au paysage et à l’identité unique du Village en chanson

Jouant avec les formes, couleurs et techniques des architectures vernaculaires maritimes, le nouveau Théâtre de la Vieille Forge s’insèrera de façon organique dans le paysage. Avec ses deux volumes linéaires parallèles aux rochers et aux crans qui s’avancent dans la mer ainsi que ses lanternes agissant tantôt comme phare et puits de lumière, le concept architectural confirmera l’identité unique du lieu tout en préservant sa convivialité et sa poésie. « Le bâtiment s’intégrera parfaitement au site, comme s’il avait toujours été là, et en tout respect des maisons environnantes » exprime le jury.

Le concept proposé a pris en compte l’authenticité de l’expérience et la chaleur légendaire de la Vieille Forge. Le projet à échelle humaine proposera des lieux de rencontre face au coucher de soleil, grâce à un foyer sur deux étages et à un café-bistro vitré offrant une vue magnifique sur le Saint-Laurent. Les festivaliers et citoyens auront accès à une salle de spectacle à configurations multiples (parterre et balcon compris) de 150, 300 ou 450 places, permettant un « rapport intime entre artistes et spectateurs », précisent les concepteurs. Une promenade riveraine et une large terrasse en gradin descendant vers la mer proposeront aux visiteurs une expérience maritime des plus inspirantes, en plus d’être propices aux rassemblements communautaires et artistiques. 

Les concepteurs offrent en outre un projet sensible au site, à l’environnement et aux changements climatiques. Recouverte de bardeaux de cèdre, la structure toute de bois du Théâtre s’ouvrira sur l’extérieur tout en protégeant du vent des intempéries. « La compacité et l’économie des efforts pour la construction d’un tel édifice résultent de recherches des meilleures mesures en développement durable spécifiquement applicables à ce projet et à la région gaspésienne », évoque le jury.

Alors que l’équipe d’ingénieurs, d’acousticiens et de scénographes est en voie d’être complétée, la conception des plans et devis s’étirera jusqu’à la fin de l’année 2020, laquelle sera suivie des appels d’offres pour le choix de l’entrepreneur général. Les travaux de construction doivent débuter au printemps 2023, en vue de la livraison du projet en 2024. Les coûts totaux du projet sont estimés à 14 M$ et bénéficient d’un appui financier de 9 830 000 $ du gouvernement du Québec. 

« Le concours est terminé. Il y a des plans, des images, des rêves qui passeront maintenant dans les mains des artisans. Au bout de la Longue Pointe, il y aura bientôt (le temps est relatif) un théâtre où les artistes aimeront entrer », conclut Michel Rivard, membre du jury. 

Engagement électoral : Québec solidaire propose un contrôle des loyers

Alors que les élections générales approchent à grands pas,  Québec solidaire annonce que régler la crise du logement figurera parmi ses priorités électorales et que cela passera entre autres par un contrôle des loyers. La mesure rendrait exécutives les recommandations d’augmentation annuelles du Tribunal administratif du logement (TAL).

Manon Massé, porte-parole de Québec solidaire, accompagnée d’Andrés Fontecilla, député responsable en matière de logement pour Québec solidaire ainsi que Shophika Vaithyanathasarma, candidate solidaire pour l’élection partielle de Marie-Victorin, en ont fait l’annonce aujourd’hui à Longueuil. 

« La hausse du coût de la vie demande de faire des choix déchirants pour beaucoup de monde. Ajoutez à ça des hausses de loyer déraisonnables à chaque renouvellement de bail, il est clair que les familles auront des choix difficiles à faire au cours de la prochaine année », a dénoncé Manon Massé, porte-parole de Québec solidaire.

L’année dernière, le Tribunal administratif du logement recommandait une hausse de 0,8% des loyers. La suggestion a largement été ignorée par les propriétaires, ce qui a mené à une augmentation moyenne de 3,4% du prix des loyers. Présentement, les locataires peuvent déposer une plainte au TAL lorsqu’ils jugent que l’augmentation proposée par le propriétaire est abusive. Or, une majorité de Québécois ne le font pas, de peur de nuire à leur relation avec leur propriétaire et de s’épuiser dans des procédures compliquées, sans assurance de réussite.

« Avec notre proposition, ce sera plutôt aux propriétaires de justifier les hausses dépassant la limite donnée par le Tribunal. Ainsi nous pourrons mettre fin à cette négociation asymétrique qui crée des tensions entre les propriétaires et les locataires en rééquilibrant le rapport de force pour qu’il soit juste pour tout le monde », explique Andrés Fontecilla, responsable en matière de logement pour Québec solidaire.

Andrés Fontecilla estime que la mesure annoncée aujourd’hui permettra de ralentir fortement la tendance actuelle de hausses de loyer que perpétue l’inaction du gouvernement Legault. Selon la formation politique, à terme d’un premier mandat solidaire, celle-ci a le potentiel de représenter une économie de 70$ par mois pour les locataires dans l’ensemble du Québec.

« La crise du logement frappe de plein fouet les Québécois et les Québécoises. Tous les jours, je reçois des témoignages de citoyens touchés par la situation et qui sont poussés à se poser des questions difficiles. ‘’Est-ce que nous devons déménager? Est-ce qu’on va devoir changer les enfants d’école? Si l’on reste, est-ce qu’on va être en mesure de se nourrir correctement?’’ Un gouvernement solidaire mettra fin à ces choix déchirants auxquels font face les familles en réglant la crise du logement une bonne fois pour toutes », a déclaré Andrés Fontecilla, responsable en matière de logement pour Québec solidaire.

Boivin EVolution, une entreprise québécoise, livrera enfinle premier camion de collecte de déchets 100% électrique

Boivin EVolution (BEV), entreprise québécoise ayant son siège social à Lévis est la première entreprise à offrir des bennes automatisées de collecte de matières résiduelles 100 % électrique.  En collaboration avec la compagnie de Camions Mack, l’entreprise annonce la sortie du premier camion de collecte 100 % électrique en Amérique du Nord. Le camion sera dévoilé au public et aux médias le 7 mars 2022 au Complexe Capitale Hélicoptère à Québec.
 
« Le châssis électrique LRe fabriqué par Mack Truck et la benne Boivin EVolution (BEV), constituent un important pas pour BEV, non seulement dans le domaine de la collecte de déchets, mais aussi d’un point de vue environnemental. Pour toute l’équipe de Boivin EVolution, réduire l’empreinte environnementale par une diminution de l’utilisation du carburant, par la diminution d’émissions de GES ou par l’élimination de déversements hydrauliques, sont non seulement des éléments qui demeurent toujours au haut de notre liste de priorités mais ils font partie intégrante de notre mission » nous précise avec fierté, Claude Boivin, Président de Boivin EVolution.
L’environnement et l’efficacité au cœur des priorités de BEV

Contrairement à une benne hydraulique qui requiert la puissance du moteur pour faire fonctionner le bras automatisé et pour la compaction, toutes les fonctions de la benne entièrement électrique de BEV ainsi que le châssis de Mack sont alimentées par une batterie donc engendre une économie de carburant de 100 %. Lorsque déposé sur un camion électrique le système ne consomme que 45-50 kWh pour une pleine journée de travail et le poids de l’ensemble est diminué de 3 000 à 4 000 livres. Cette grande valeur ajoutée permet d’augmenter de manière significative la charge légale pouvant être transportée. Au total il s’agit d’une réduction de 80 % des coûts d’énergie, de 60 % des coûts d’entretien et de 85 tonnes de gaz à effet de serre (GES) par camion par année.
Une empreinte importante dans l’industrie!Après près de 5 ans de travail, de recherche et développement, d’analyse et de tests, toute l’équipe de BEV est particulièrement fière aujourd’hui de cette grande réalisation, rendue possible en partie grâce à plusieurs partenaires de confiance.Selon M. Denis Boivin, Directeur développement des affaires, « ce n’est qu’une question de temps avant de voir le résultat de notre travail rayonner à l’international. Notre gamme de produits novateurs, qui se démarque de tous les autres produits sur le marché en étant les seuls et les premiers à fonctionner de façon 100 % électrique, vient combler un besoin et une demande très attendue. Les commandes reçues à ce jour sont synonymes pour nous de l’important déploiement à travers le monde qui attend Boivin EVolution sur le marché de la collecte de déchets ».

La 1ère plateforme de NFT musicaux Pianity lève 6,5 millions $

La 1ère plateforme de NFT musicaux PIANITY , lève 6,5 millions de dollars pour développer la prochaine génération de plateforme musicale. 

La plateforme française de NFT musicaux a vendu plus de 11.000 NFT et redistribué près de 2 millions de dollars aux artistes.

Pianity, la plateforme française de NFT musicaux qui permet aux artistes tels que Elephanz, Kerri Chandler ou encore Fred Chapelier, mais aussi à leurs fans de créer, collectionner et vendre des musiques en édition limitée, a annoncé aujourd’hui avoir levé 6,5 millions de dollars auprès d’investisseurs nationaux et internationaux.

Le tour de table est mené par Digital Renaissance Foundation, Big Brain Holdings, et Longhash Ventures avec la participation de Pierre Kosciusko-Morizet, co-fondateur de PriceMinister (Rakuten); Cyril Paglino, partner de Shift Capital ; Rand Hindi, co-fondateur et CEO de Zama, Sébastien Borget, co-fondateur et COO de TheSandBox ; Ronny Shibley, CTO et co-fondateur de Gorillas, Arweave, IOSG ; LD Capital ; ViaBTC ; et ArkStream Capital.

PIANITY permet aux artistes de vendre leurs morceaux en éditions limitées et de renforcer le lien avec leurs fans, en apportant une nouvelle façon de monétiser et de créer de la valeur autour de la musique.

PIANITY est la première plateforme de NFT musicaux lancée en 2021 ; depuis son lancement, elle a vendu plus de 11 000 NFT et compte plus de 20 000 utilisateursLes 350 artistes ayant vendu des NFT sur Pianity ont collectivement gagné plus de 1,9 million de dollars grâce à leurs morceaux.

Cette levée de fonds permettra à PIANITY d’accélérer son développement et de poursuivre sa stratégie de partenariats avec les labels et principales maisons de disques mondiales. Grâce à cet investissement, PIANITY renforcera sa présence et ses effectifs sur des marchés prioritaires, notamment en Europe, aux Etats-Unis, en Amérique Latine et en Asie avec le recrutement de chargés de relations avec les artistes et de représentants locaux. L’investissement soutiendra également le développement de fonctionnalités supplémentaires pour les services de streaming de PIANITY. 

Les NFT ouvrent de grandes opportunités pour les artistes et toute l’industrie musicale“, a déclaré Kevin Primicerio, CEO et co-fondateur de PIANITY . “Avec les NFT, les artistes peuvent monétiser leur musique comme jamais auparavant, et ainsi dégager des revenus auxquels ils ne peuvent prétendre avec les plateformes de streaming traditionnelles. Nous sommes ravis de cette première levée de fonds qui renforce nos convictions sur la nécessité de permettre aux artistes de mieux vivre de leur musique et de renforcer leur lien avec leur public.”

Transformer l’industrie de la musique pour créer un écosystème durable

En plus de développer sa présence mondiale, cet investissement permettra à PIANITY d’intensifier l’intégration des artistes et d’augmenter l’étendue de son catalogue musical, tout en permettant de s’associer à de grands festivals de musique.

PIANITY.FR

Québec solidaire propose un rapport d’impôt pré-rempli

Ruba Ghazal, députée de Mercier et porte-parole solidaire en matière de fiscalité, propose la mise en place d’une déclaration d’impôt pré-remplie afin de simplifier la vie des citoyens. 

« Il n’y a aucune raison pour que chaque année, la production des rapports d’impôts soit une période si pénible pour les Québécois et les Québécoises. On le fait au Royaume-Uni et en Australie, il n’y a pas de raison de ne pas le faire au Québec », explique Mme Ghazal. 

La mesure faciliterait ainsi pour plusieurs citoyens l’obtention de prestations tel le crédit d’impôt pour solidarité. Elle allégerait également la tâche aux organismes communautaires qui viennent en aide à des personnes vulnérables dans la production de leurs rapports d’impôts, sans toutefois bénéficier d’un soutien suffisant du gouvernement. Ce sous-financement chronique est l’une des revendications des groupes communautaires présentement en grève.

La proposition solidaire fait écho à celle d’une coalition de groupes ayant lancé la campagne C’est quoi le rapport, visant à obtenir une déclaration d’impôts simplifiée pour les personnes vivant exclusivement de prestations gouvernementales, c’est-à-dire les bénéficiaires de l’aide sociale, recevant la pension de vieillesse ou encore de l’aide financière aux études et n’ayant pas d’autres revenus.

« Ne pas faire ses impôts n’a pas le même impact pour tout le monde ; cette déclaration est obligatoire pour recevoir les aides fiscales (crédit de solidarité, maintien à domicile, allocation logement, etc.). Or, pour les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale ou physique graves, les familles monoparentales en situation de précarité, les personnes âgées à faible revenu, les personnes analphabètes, les nouveaux arrivants ou sans domiciles fixes, la déclaration d’impôt représente une paperasse inutile et oppressante. En ce sens, les membres du comité d’opérationnalisation de la campagne C’est quoi le rapport? saluent la proposition de rapport pré-rempli de Québec solidaire », explique Sylvia Bissonnette, Coordonnatrice du Comité des personnes assistées sociales de Pointe-Saint-Charles (CPAS).

La proposition solidaire s’adresse dans un premier temps aux personnes vivant exclusivement de prestations gouvernementales pour être ensuite progressivement étendue aux autres catégories de contribuables. 

Dans l’éventualité où la proposition serait mise en place, l’administration fiscale pré-remplirait la déclaration d’impôt des citoyens à partir des informations dont elle dispose déjà. La déclaration serait ensuite  acheminée aux individus. Si tout est conforme, ils n’auraient rien à faire, et après un délai, la déclaration serait considérée comme confirmée. Dans le cas où des données devraient être ajustées ou ajoutées, l’individu les modifierait et renverrait sa déclaration modifiée à l’intérieur du délai prescrit.

Un multi entrepreneur de 26 ans pour qui tout est possible

ANTHONY GIBAULT INC.

À l’aube du cinquième anniversaire de l’Agence Mac Media, dont il est le Chef de la direction et président, Anthony Gibault raconte son histoire et inspire les jeunes de sa génération. Il souhaite leur démontrer que tout est possible. À 26 ans, multi-entrepreneur, il possède plus d’une quinzaine d’entreprises dans les domaines du développement immobilier, du commerce de détail et même une compagnie de location nautique. Anthony, natif de la Rive-Sud de Montréal, a plus de 850 projets réalisés à travers son agence numérique, la première au pays à accepter la crypto-monnaie. En 2021, inclusivement, cette dernière a généré plus de 325 000 000$ en vente pour ces clients : un record pour cette jeune entreprise Québécoise.

C’est à l’âge de 15 ans qu’Anthony développe, de façon autodidacte, sa première agence d’influenceurs. Il était déjà à l’avant-garde. Sa fibre entrepreneuriale le motive à se lancer sur le marché du travail sans avoir décroché son diplôme d’études secondaires. Anthony développe alors ses compétences grâce à sa grande curiosité et sa soif de réussite. Il n’hésite pas à se plonger dans la lecture afin d’approfondir ses connaissances en entrepreneuriat et en administration.  

En 2016, six ans après la création de sa première entreprise, Anthony Gibault met sur pied l’Agence Mac Média, spécialiste en solutions numériques. Sa nouvelle mission: faire briller les marques québécoises sur la scène mondiale, accompagner le maximum de PME à numériser leurs processus afin de centraliser leurs services et optimiser l’expérience du consommateur. Comment? En les outillant adéquatement pour qu’elles soient compétitives sur les marchés internationaux. Son esprit visionnaire l’amène à travailler avec des compagnies majeures telles que Toyota, Kia, La Coop Fédérée (Sollio Groupe Cooopératif), Trévi, la firme Raymond Chabot, MS3 Food ainsi que le Gouvernement du Québec et, entre autres, la Ville de Longueuil. 

Cinq ans plus tard, maintenant père de jumeaux et à la tête d’une entreprise de plus de 30 employés, Anthony continue à transmettre sa passion et son désir d’évolution autant auprès de ses clients que de ses collègues. 

Facebook: Anthony Gibault

Instagram: anthonygibault