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SUITE À LA DIFFUSION DE LOTO-MÉNO : une pétition réclamant l’accessibilité aux hormones bio-identiques pour les Québécoises, récolte plus de 110 000 signatures

Il n’y a pas que sur le thermomètre que la chaleur grimpe au Québec ! Ni dans les chaumières à cause des symptômes associés aux changements hormonaux. À peine une semaine après la diffusion du premier épisode de la série documentaire Loto-Méno, initiée par Véronique Cloutier et disponible exclusivement aux abonnés d’ICI Tou.tv Extra depuis le 21 juin, ça devient aussi très chaud du côté de la plate-forme change.org . Pas moins de 110 000 signatures ont déjà été récoltées en faveur de la pétition lancée par la Dre Sylvie Demers. Il s’agit d’une requête importante dirigée vers le gouvernement du Québec de rendre accessible gratuitement et universellement aux citoyennes une hormonothérapie bio-identique. Cet appel a été entendu plus de 110 000 fois. Et pour cause.

« Ces deux dernières décennies, et encore davantage ces dernières années, la Science a fait un bond de géant concernant l’hormonothérapie et les rôles fondamentaux des hormones féminines en santé humaine. Elle montre clairement que l’estradiol-17β transdermique et la progestérone, mises en marché par les compagnies pharmaceutiques (p.ex. : Estradot, Estrogel et Prometrium), sont des hormones bio-identiques, c’est-à-dire identiques aux vraies hormones féminines. Ces hormones, qui existent sur le marché depuis aussi longtemps que les autres types d’hormonothérapie, n’augmenteraient pas les risques associés à l’hormonothérapie (ce serait plutôt le contraire, surtout lorsque bien dosées) et exercent également plusieurs effets préventifs remarquables. Malheureusement, ces importantes avancées scientifiques ne se reflètent pas dans la pratique quotidienne des médecins au grand détriment de la santé et du bien-être des femmes. Nous demandons que ce grave préjudice cesse. », explique la Dre Sylvie Demers en lien avec l’accessibilité aux hormones bio-identiques.

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