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Phénomène international; Black Tiger Sex Machine présente un nouvel album

LE COLOSSAL TRIO MONTRÉALAIS PRÉSENTE L’ATTENDU ONCE UPON A TIME IN CYBERWORLD, LE TROISIÈME LONG JEU D’UNE CARRIÈRE EN GRANDE FORME

Black Tiger Sex Machine relève de l’exception, de l’explosion. Cas tout particulier issu du bassin musical québécois, le groupe connaît en effet un succès hors du commun à l’échelle internationale. D’entrée de jeu, il convient de le dire, de remettre à César ce qui revient à César. Soulignons leur récent concert à guichet fermé au légendaire Red Rocks Amphitheatre le 17 octobre dernier. Un exploit sur la scène musicale planétaire, du jamais vu pour un groupe de Montréal.

Ayant au fil des ans fédéré une fidèle armée de fans — la BTSM Church, comptant à ce jour plus de 264 000 abonnés sur Facebook, 183 000 sur Instagram et 160 000 sur TikTok — aux quatre coins de la planète, le trio s’impose comme l’une des figures de proue de la scène bass et heavy électro mondiale. Par la force de l’expérience musicale, visuelle, sensorielle — immersive — qu’il propose lors de chacune de ses apparitions devant public, le groupe arbore sa musique telle une religion, inclusive et communicative au possible. 

Quelques centaines de concerts dans le casque plus tard — notamment dans le cadre des festivals Lollapalooza Chicago et ParisEDC Las VegasShambhalaElectric ForestOsheaga et TomorrowWorld — et après avoir parcouru l’Amérique du Nord, l’Europe, l’Asie et l’Afrique en tournée, Black Tiger Sex Machine pompe l’énergie à la source et revient avec les douze denses plages d’un nouvel album conçu pour électriser. Forgé de concert avec les très suivis Kai WachiYOOKiE et WODD, et portant également la griffe de Ryan PerdzMacntajYMIRHyro The HeroWasiuYoungrAlborosie et Dread MC à titre de collaborateurs invités, Once Upon A Time In Cyberworld remplit sa promesse et plus encore. De son ouverture avec l’impétueuse «Trailblazer» jusqu’à «The Devil’s Instrument» avec sa finale décapante à souhait, ce troisième disque complet du groupe exulte l’attitude tout jouant de nuances, et par les temps qui courent, la chose se reçoit comme une remontante offrande. 

« Nous sommes reconnus pour la grandeur de nos concerts et l’expérience cinématographique en symbiose avec notre musique. Once Upon A Time In Cyberworldmarque pour nous un tournant de carrière. C’est la première fois que la création de l’album vient avant la scénographie et le visuel. On a fait appel à plusieurs collaborateurs, il y a beaucoup de vocal, on a pris plus de temps dans l’écriture de chaque pièce. Cet album pourra voyager par delà le concert et avoir une vie indépendante de la scène.» affirme Julien Maranda 

Musique