Skip to main content

Étiquette : crise du logement

NOUVELLE SÉRIE DE BALADOS – Une enquête sonore sur la crise du logement à Montréal | Réverbérations d’une crise – Disponible dès le 21 octobre.

Réverbérations d’une crise : une enquête sonore sur le logement à Montréal utilise le médium du son pour rendre perceptible des dimensions souvent négligées de la crise du logement. Réalisé par un collectif d’artistes locataires, le projet, qui se décline en trois volets – album de musiquesérie de balados et un court documentaire – sera lancé le 21 octobre prochain à la Casa del popolo. Alors que les impacts socioéconomiques de la crise du logement sont bien documentés, ses nombreux impacts psychologiques, affectifs, relationnels et existentiels demeurent souvent dans l’angle mort des recherches actuelles. Réverbérations d’une crise jette un éclairage original sur cette problématique d’actualité en utilisant le médium sonore pour réfléchir, créer et intervenir sur cet enjeu ayant un impact considérable dans la vie des Montréalais et Montréalaises.
Le projet est réalisé par un collectif de locataires de Montréal partageant certaines pratiques dans le domaine de la musique, de l’art et des médias sonores. On compte notamment parmi les membres du collectif la-le musicien.ne Claude Périard (Claude L’Anthrope), l’artiste multidisciplinaire Philippe Battikha et l’activiste et musicien Stefan Christoff. À travers une série de séances d’écoute, d’enregistrement, de réflexion, discussion et d’exercices, le collectif a effectué un processus d’enquête et de composition sur plusieurs mois. Ce projet est mené par le musicien et chercheur Hubert Gendron-Blais (ce qui nous traverse) au nom du collectif. Les compositions issues de ces séances d’enquête collective sont agencées sous la forme d’un album de musique expérimentale (publié sur l’étiquette Cuchabata Records), d’une série de balados (diffusés sur les ondes de CKUT 90.3FM) et de capsules vidéos (réalisées par la Coop La Brique). Ces différents volets sont rassemblés sur le site web : https://reverberationscriselogement.org

Québec solidaire veut régler la crise du logement en région

De passage en Gaspésie, le député de Laurier-Dorion et responsable de Québec solidaire en matière de logement, Andrés Fontecilla, en a profité pour présenter le plan solidaire pour régler la crise du logement en région. 

« Si on veut que les Québécois et Québécoises restent en région et si on veut attirer des travailleurs et des travailleuses qui permettront de faire face à la pénurie de main-d’œuvre qui sévit actuellement, on doit pouvoir les loger, c’est la base. De plus, avec l’explosion du coût de la vie, c’est important d’agir sur la dépense la plus importante de bien des Québécois et Québécoises : le logement », affirme le député solidaire. 

Trois mesures-phares pour régler la crise du logement en région

1. Interdire les hausses abusives de loyer 

Québec solidaire rendra exécutives les recommandations annuelles de la Régie du logement. Avec cette proposition, ce sera plutôt aux propriétaires de justifier les hausses dépassant la limite donnée par le Régie. De plus, Québec solidaire retirera la section F du bail qui permet aux propriétaires d’immeuble de moins de cinq ans de hausser les loyers sans restriction. 

2. Construire 50 000 logements sociaux au Québec

Un gouvernement solidaire mettrait sur pied un chantier historique de 50 000 logements sociaux au Québec afin de répondre aux besoins des familles. 

3. Moratoire sur les évictions, en particulier sur les «été-victions»

Québec solidaire interdira les évictions liées à l’hébergement touristique en région afin d’éviter que des locataires soient forcés de quitter leur logement pour laisser leur place à des touristes durant la période estivale. 

« Québec solidaire est le seul parti à proposer un vrai plan structurant pour régler la crise du logement en région. Les solutions solidaires sont concrètes pour favoriser la vitalité de nos communautés et pour répondre à l’inflation. Avec ce plan, on veut que chaque famille québécoise puisse se loger de manière abordable et viable », conclut Andrés Fontecilla.