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Paul Kunigis présentele spectacle Yallah au Lion d’Or

En février, Paul Kunigis lançait Yallah, un sixième album aux accents klezmer, swing, jazz, chanson et pop, nommé au Gala de l’ADISQ 2021 dans la catégorie Musiques du monde. L’auteur-compositeur s’y intéresse au sort des femmes et des hommes à la recherche d’un monde meilleur, en plus de réfléchir sur le temps et de scruter les méandres de l’amour.

Présenté au Lion d’Or le 13 décembre prochain, le spectacle Yallah permettra de donner vie sur scène aux nouvelles chansons de l’artiste. Tout comme l’album, le spectacle est un voyage au cœur des origines multiculturelles de Paul Kunigis, sur la route des épices. Conteur exceptionnel, Paul Kunigis ponctuera le spectacle d’anecdotes et d’histoires en lien avec son vécu et ses racines polonaises, israéliennes et québécoises. Il plongera l’auditoire dans des sonorités où l’Orient se mêle savamment à l’Occident, projections à l’appui. Un univers où la réalité se confond avec le rêve, entre réalisme, mélancolie et optimisme.

Sur scène, Paul Kunigis sera entouré de François Lalonde (batterie et percussions), Yves Desrosiers (guitares), Simon Dolan (contrebasse), Marie-Soleil Bélanger (violon), Caroline Meunier (accordéon), Gabriel Paquin-Buki (clarinettes) et Blaise Margail (trombone). 
Billetterie
13 décembre à 19 h 30
Passeport vaccinal et preuve d’identité avec photo exigés à l’entrée
https://cabaretliondor.com/evenement/paul-kunigis-yallah/?id=1863

Échos de la critique« Ses plus récentes chansons, qui abordent des thèmes parfois durs comme le sort des migrants en Méditerranée, portent encore la mélancolie toute slave du chanteur polonais, mais aussi une force très bien canalisée. […] Et derrière la mélancolie qui enveloppe bien des chansons de Yallah, il y a aussi une volonté de célébrer la vie. » – Alexandre Vigneault, La Presse

« Ça swingue et ça virevolte de talent, reliant le klezmer au jazz, aux musiques du Moyen-Orient et à la chanson française […] avec ce mélange de fête et de tristesse qui habite souvent les musiques d’Europe de l’Est. » – Philippe Renaud, Le Devoir

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