
Mitch Oliver: Exil
LE DJ, INGÉNIEUR DU SON ET PRODUCTEUR QUÉBÉCOIS DE RENOMMÉE INTERNATIONALE S’AMÈNE AVEC EXIL, UN NOUVEAU EP À L’ADN ORGANIC HOUSE DES PLUS ENVOÛTANTS. DISPONIBLE MAINTENANT.
Porté par les mélodies fédératrices et les rythmes grisants d’une organic house aux consonances marquées par le mouvement East Coast, Mitch Oliver peaufine sa pulsion électronique depuis maintenant une décennie et des poussières. Ex-skieur de haut niveau ayant cumulé les récompenses, il s’avance désormais, abordant son art avec le même dessein : celui de l’incitation du corps vers l’activation qui exalte. Dévalant les pentes depuis sa tendre enfance, il est pour ainsi dire logique que l’artiste veille à promouvoir un mode de vie sain à travers cette scène aux possibilités quasi infinies qu’il affectionne. Et l’affection apparaît vraisemblablement réciproque.
DJ d’abord, puis devenu producteur, sa musique intervient, enlevante, comme une trame sonore pensée pour la vie qui se savoure et se cultive à l’air libre. Et loin du mythe du DJ oiseau de nuit, l’artiste vit plutôt sous une bonne étoile. Ayant rejoint les rangs d’étiquettes internationales réputées — Magician on Duty, Akbal Music, Seven Villas, Kindisch, Hoomidaas, When We Dip XYZ— alors qu’il n’en était qu’à ses premières armes dans l’industrie, il se consacre depuis à la composition et à la production tout en gardant au cœur de sa démarche le DJing, sa passion initiatrice. Instinctif, spontané et à l’écoute de ce qui se déroule devant lui, c’est ainsi, d’abord et avant tout, à travers les yeux du DJ qu’il considère chaque pièce musicale, sienne ou d’autrui. Doté du don de lire les foules qu’il investit, Mitch Oliver est passé maître dans l’art de faire voyager les gens lors de ses prestations. Pour lui, à bonne distance de l’égo, l’essentiel réside dans la création d’ambiances électrisantes, garantes d’émotions. Sa couleur unique et son talent en ce sens l’ont d’ailleurs conduit à travers le Canada, les États-Unis et les Caraïbes, où il s’est produit à titre de tête d’affiche lors d’événements majeurs tels les festivals AIM et SXM, Burning Man, PY1 Nights de Guy Laliberté et dans les clubs les plus mythiques dont Do Not Sit On the Furniture et Public Works. Dans la foulée, le jeune artiste a également su piquer la curiosité de quelques-unes figures respectées de la scène électro, notamment Hernan Cattaneo,Budakid et Erdi Irmak, qui ont, par la suite, revisité ses titres.
EXIL : SON PLUS RÉCENT EFFORT
Il réitère maintenant avec le EP Exil. Et cette nouvelle offrande — tout juste sous la barre des vingt minutes et formée des pièces-fleuves «Exil» (où l’on entend la voix de la chanteuse Téa Verdene), «Wildfire» et «Intrepid» — prend presque des allures méditatives. Composé entre la fin 2020 et le printemps 2021 et produit entièrement en solo, le triptyque musical dont il est question ici en est un au rythme constant, capable d’inspirer, simultanément ou tour à tour, la danse la plus ardente et le repos de l’esprit.
Écoutées mensuellement par plus de 62 000 auditeurs, les plages aux ambiances pulsatives de Mitch Oliver charment les oreilles venues de tous les horizons.
Grandement inspiré par la nature et par le fait de vivre dans un pays bercé de quatre saisons, Mitch Oliver s’est plus récemment illustré grâce à ses sessions Aurora, tournées dans le décor à couper le souffle d’une île secrète, quelque part au Québec, et ayant rejoint plus de 156 000 mélomanes à travers le monde.
MITCH OLIVER EN CONCERT
7 août – Soul Of Work @ San Diego, États-Unis
8 août – Palosanto @ New York, États-Unis
14 août – Do No Sit On The Furniture @ Miami, États-Unis
22 août – Ciel En Fête @ Saint-Jean sur le Richelieu, Canada