Faites du bruit! Chlorophylle revient dans la métropole avec deux nouvelles boutiques, d’abord aux Galeries d’Anjou et sur la réputée rue Sainte-Catherine.
Ce sont désormais 16 boutiques à travers la province pour mieux desservir les amateurs de plein air.
” Nous sommes présents dans tous les coins du Québec et il allait de soit que Chlorophylle devait avoir une vitrine dans la grande Métropole, explique Claudie Laroche, directrice du marketing. Nous sommes fiers de maintenant desservir de nouveau la clientèle montréalaise et de voir la famille Chlorophylle s’agrandir. “
Ça se fête! Une soirée de festivité a ainsi eu lieu lundi dernier sur la rue Sainte-Catherine Ouest, en compagnie d’invités spéciaux, notamment Mario Cyr, venu faire une conférence sur l’impact des changements climatiques sur le comportement des animaux marins.
3 CHOSES À SAVOIR SUR L’ÉVÉNEMENT !
Le cinéaste et chef d’expéditions en régions arctiques et antarctiques Mario Cyr a la marque Chlorophylle tatouée sur le cœur depuis sa première expédition en 1991. Il a retracé son parcours et rappelé l’importance d’adopter des comportements responsables pour ralentir l’effet des changements climatiques. Un manteau a été développé sur mesure pour lui à l’hiver 2022 afin de l’accompagner dans les températures les plus extrêmes. ” Tous les moindres détails ont été réfléchis, du nombre de poches nécessaires à tout le matériel que je doive avoir sur moi, jusqu’aux tirettes grossies du manteau que je peux utiliser sans retirer mes mitaines et ainsi me geler les doigts! “, rigole-t-il. Surveillez dès la semaine prochaine le manteau Banquise, inspiré de ce dernier, disponible en quantité limitée dans les boutiques Chlorophylle. Au tournant du 40e anniversaire de la marque, l’entreprise a choisi de revenir au logo d’origine de Chlorophylle représentant un soleil levant. Comme les fondateurs avant eux, l’équipe développe de plus en plus de produits pour les ambassadeurs afin de répondre à leurs besoins les plus criants au fil de leurs aventures de plein air. Découvrez tous leurs ambassadeurs.
C’est aujourd’hui, dans le magnifique pavillon Camille-Roy du Séminaire de Québec, que Charles Emond, président et chef de la direction de la CDPQ et Denis Ricard, président et chef de la direction d’iA Groupe financier, ont lancé, à titre de coprésidents, une grande campagne de financement de 5 M$ visant à soutenir le développement de la future Maison des sciences, un nouveau projet signé Musée de la civilisation et soutenu par sa fondation.
La Maison des sciences La Maison des sciences sera située au cœur du Vieux-Québec dans l’enceinte du site historique du Séminaire de Québec, au 6e étage de la Cité du Séminaire, futur Espace bleu de la Capitale-Nationale, bien que constituant un projet distinct de celui-ci. Rêvé depuis plusieurs années par la communauté et s’inscrivant en complément de l’offre existante en matière de promotion et de diffusion de la culture scientifique dans la région, ce lieu proposera une exposition scientifique participative, un laboratoire d’appropriation et d’expérimentation scientifique, des contenus multidisciplinaires témoignant de la richesse et de la diversité de toutes les sphères de la science et des technologies, des démonstrations de l’ingéniosité d’ici, des conférences et des ateliers de jeunes scientifiques innovants ainsi que des activités scientifiques en tous genres. Par ailleurs, une attention particulière sera portée à la mise en valeur de la prestigieuse collection d’instruments scientifiques du Séminaire de Québec. Amassée au fil des siècles à des fins d’enseignement, elle figure parmi les plus importantes en Amérique du Nord.
Campagne de financement Cette grande campagne, qui vise un financement de 5 M$ sur 4 ans, est soutenue par la Fondation du Musée de la civilisation en collaboration avec un cabinet de campagne composé de personnes influentes issues de milieux variés, toutes engagées dans cette volonté de créer un lieu de découverte de la culture scientifique, unique et accessible au plus grand nombre, qui contribuera à l’avancement de la société et à son développement.
La Ville de Québec est un grand partenaire du projet et soutiendra La Maison des sciences. Par ailleurs, un don exceptionnel de 1 M$, du grand mécène Roland Lepage, a amorcé cette campagne de financement. Un montant de 2,5 M$ sur l’objectif de 5 M$ a déjà été amassé, mais ce formidable projet aura également besoin d’être soutenu et porté par la communauté afin de voir le jour. Les fonds amassés permettront de créer des programmes d’accessibilité visant les jeunes de tous horizons, particulièrement ceux issus de milieux moins favorisés. Ils permettront également de développer, en continu, des contenus originaux qui sauront stimuler et nourrir leur intérêt, ce qui permettra assurément d’encourager la relève scientifique.
Animée par le communicateur scientifique Joël Leblanc, l’activité de lancement de la grande campagne de financement de La Maison des sciences a permis de donner lieu à des discussions portant sur l’importance de la culture scientifique et sur sa promotion auprès des jeunes entre les coprésidents de la campagne, Bruno Marchand, maire de Québec, Mathilde Ouellet, élève de 6e année à l’école Marguerite-Bourgeoys, Marie-Pier Trépanier, diplômée en génie mécanique de l’Université Laval et fondatrice de Génie uELLES, ainsi qu’Ana-Laura Baz du Musée de la civilisation. Ce fut également l’occasion d’entendre, par la voie de la vidéo, Farah Alibay, ingénieure québécoise en aérospatiale, ambassadrice de cette campagne.
Alors que nous sommes tous en quête des trouvailles les plus hot à glisser sous le sapin, EWOOL déballe ses toutes dernières innovations. La marque montréalaise, reconnue pour sa technologie chauffante portable d’une puissance inégalée, fait grimper le mercure d’un cran avec les nouveaux couvre-bas et les doublures pour gants de troisième génération. Amateurs de plein air, festivaliers, travailleurs pratiquant des métiers extérieurs, jeunes parents et aînés, tous apprécieront la chaleur abondante, le style passe-partout et les fonctionnalités qu’offrent ces accessoires techniques spécialement conçus pour affronter les conditions météo les plus extrêmes.
Aimer l’hiver, même par froid polaire !
Les plus frileux vous le confirmeront, ce sont généralement les extrémités qui prennent froid en premier. Les couvre-bas et les doublures pour gants chauffants d’EWOOL créent un véritable bouclier en maintenant les mains et les pieds bien au chaud, toute la journée. Leur bouton de contrôle haptique (vibrant) permet de sélectionner parmi les trois niveaux de chaleur sans devoir retirer nos vêtements. Grâce au nouveau connecteur magnétique SnapConnect breveté, la recharge s’effectue en un « Snap ! ». Ils sont également lavables, résistants aux frottements et se nettoient à la main en toute sécurité.
Comme un gant
Les doublures pour gants sont conçues pour être portées sous une paire de mitaines ou alors telles quelles, par temps doux. Leur trame chauffante, faite de composantes électriques imperméabilisées (!P67), parcourt et réchauffe chaque doigt individuellement. Ajustées et extensibles, elles offrent toute la dextérité requise pour effectuer les tâches manuelles. Nul besoin de les retirer puisqu’elles sont adaptées aux écrans tactiles. Selon la puissance de chauffage sélectionnée, leur batterie de 22 W offre une autonomie allant de 2 heures (maximale) à 7 heures (minimale).
Prix : 379 $ Tailles offertes : XS à XL
Les FlipMitts, une élégante paire de mitaines à rabat parfaitement assortie aux doublures pour gants chauffants, sont également offertes. Leur extrémité amovible offre un accès facile à la doublure, ce qui permet d’effectuer une tâche nécessitant la précision des doigts et d’utiliser l’écran tactile.
Prix : A partir de 99$ Tailles offertes : XS à XL
Chaussette à son pied
Comme leur nom l’indique, les couvre-bas chauffants se portent par-dessus les chaussettes (techniques, de laine, de ville ou autre) et sont parfaits pour les sorties en ski, le patin à glace, la randonnée ou encore les promenades urbaines. Leur trame chauffante, dissimulée dans un textile extensible et confortable, diffuse une chaleur continue sur le pourtour des orteils, zone la plus sujette aux engelures. Selon la puissance sélectionnée, la batterie de 22 W offre une autonomie allant de 3 heures (maximale) à 8 heures (minimale). Il est possible d’ajouter une batterie supplémentaire afin de doubler la durée de chauffage. Exit les multiples escales au chalet de ski, les engelures et les randonnées annulées en raison du froid, il est enfin possible de savourer pleinement les sorties extérieures, peu importe la météo !
Juste à temps pour les Fêtes, une nouvelle collection atterrit sur la boutique en ligne de l’atelier québécois Easy Planet Travel, dont les cartes du monde minimalistes tapissent les murs de nombreux mordus de la déco. Passée maître dans l’art d’immortaliser nos plus belles épopées, l’artiste et globe-trotter Dominique Lessard propose une nouvelle série d’illustrations personnalisables incluant des itinéraires, des monuments célèbres et des portraits, une manière toute spéciale d’afficher nos plus précieux souvenirs.
Intitulée « Cadeaux significatifs », cette nouvelle collection regroupe des options pour chacun, de l’éternel bohème à l’aventurier du dimanche, en passant par l’inflexible casanier. « Une carte du monde évoque l’ensemble des événements d’une vie, alors qu’un monument, un itinéraire ou un portrait peuvent être associés à un chapitre bien précis. C’est ce qui m’a inspirée à concevoir ces nouvelles créations, qui évoquent un moment charnière, qu’il s’agisse d’une expédition en Antarctique, d’un mariage féérique ou encore de l’inoubliable visite d’un monument historique » souligne l’artiste et fondatrice de l’atelier, Dominique Lessard.
Easy Planet Travel, la petite histoire
Depuis sa tendre enfance, Dominique Lessard entretient une fascination pour les cartes géographiques. Adolescente, elle passe des heures à faire glisser ses doigts sur les atlas qu’elle demande en cadeau, rêvant du jour où elle foulera enfin le sol de ses contrées. C’est en 2006, à la suite de son tout premier voyage (Australie), que tout bascule. Sur le vol de retour, Dominique est nostalgique et appréhende le retour à la routine. Déjà, elle sait que les voyages occuperont une place importante dans sa vie. De la Grèce à la France, en passant par la Croatie, l’Espagne, l’Italie, l’Irlande et la Grande-Bretagne (et plusieurs autres), Dominique visite de nombreux pays tout en complétant ses études universitaires en administration-finances.
La naissance de sa fille Emma-Kate, en 2013, marque un point tournant dans son parcours. Cet événement heureux l’inspire à lancer un blogue intitulé Easy Planet Travel, dans lequel elle partage ses récits de voyage. La maternité entraîne également une importante remise en question: la carrière, le stress et les horaires chargés sont-ils vraiment pour elle? Puis en 2020, contexte pandémique oblige, elle doit repenser le projet d’Easy Planet Travel. C’est à ce moment que l’idée lui vient de concevoir de cartes du mondes personnalisées. « Je cherchais alors une carte du monde s’agençant avec le style scandinave de mon foyer et me suis décidée à la réaliser moi-même. » Son œuvre suscite beaucoup d’intérêt auprès de ses proches et amis et le carnet de commandes se remplit. Emballée par ce nouveau projet, Dominique décide alors de quitter son poste d’analyste financier au Secrétariat du Conseil du trésor pour se consacrer entièrement au lancement d’une boutique en ligne. Uniques au monde, les cartes d’Easy Planet Travel sont conçues avec attention et amour.
À l’approche des fêtes, il est recommandé de soumettre les commandes avant le 9 décembre 2022.
Les créations Easy Planet Travel sont disponibles sur le site Web de l’atelier Easy Planet Travel ainsi que sur la boutique virtuelle Etsy.
L’Association des bibliothèques publiques du Québec (ABPQ) et ses partenaires profitent de la 24eédition de la Semaine des bibliothèques publiques du Québec pour inviter les Québécoises et les Québécois à redécouvrir les multiples rôles sociaux de leur établissement culturel. Du 15 au 22 octobre 2022, sous le thème Ma biblio : au-delà des mots, la Semaine met en lumière les qualités intrinsèques des bibliothèques publiques qui participent activement au développement culturel, communautaire, social et économique de leurs municipalités. Elles sont ancrées dans leur communauté et à l’écoute de leurs citoyennes et de leurs citoyens.
« Dans l’imaginaire collectif, les bibliothèques publiques sont souvent perçues comme des lieux pour emprunter des livres, alors qu’elles sont beaucoup plus que ça », souligne Denis Chouinard, président de l’Association des bibliothèques publiques du Québec (ABPQ) « La bibliothèque est un lieu d’accès à l’information et à la culture. Elle offre des espaces de rencontres et d’échanges, où l’on vient développer ses connaissances et ses compétences, où l’on découvre et s’approprie le numérique. Elle anime et stimule sa communauté avec ses programmations riches et variées. Une bibliothèque, c’est tout à la fois un lieu d’information, de culture, d’éducation et de littératie ! »
Alors que les élèves et étudiants de tout âge ont été touchés par la pandémie, les bibliothèques publiques ont continué à jouer un rôle primordial et leur complémentarité avec le système éducatif est indéniable. Considérant les enjeux actuels en ce qui a trait à l’alphabétisation, les bibliothèques publiques du Québec, en tant que lieux d’apprentissage tout au long de la vie, sont plus nécessaires que jamais. Le rôle d’une bibliothèque va au-delà des mots : il est essentiel auprès des collectivités et il s’agit d’une fierté pour les citoyennes et les citoyens. Plus les bibliothèques publiques sont de qualité, plus leur communauté peut en être fier.
Un nouveau programme pour les municipalités : BiblioQUALITÉ
Dans le cadre de la Semaine, l’ABPQ lancera son tout nouveau programme BiblioQUALITÉ, développé conjointement avec Réseau BIBLIO du Québec (RBQ) et qui vise à reconnaître, sur une base objective et durable, les efforts d’investissements qui sont faits dans les bibliothèques publiques par chaque municipalité membre de l’ABPQ ou d’un Réseau BIBLIO régional participant.
En effet, l’ABPQ diffusera durant la Semaine son premier portrait annuel des bibliothèques, répertoriant les résultats obtenus par les bibliothèques selon les critères d’évaluation de BiblioQUALITÉ. Les données disponibles permettront de présenter les certifications obtenues dans toutes les régions du Québec.
« Des dizaines de nouvelles bibliothèques inspirantes ont vu le jour un peu partout au Québec dans la dernière décennie, témoignant de la vitalité de leurs municipalités. Toutefois, il faut s’assurer que les investissements qui y sont faits sont de qualité, afin de fournir des collections riches et variées, des ressources humaines adéquatent formées, des heures d’ouverture étendues, des places assises suffisantes et une superficie adéquate. Il faut en prendre conscience afin d’améliorer continuellement les ressources mises à la disposition des bibliothèques publiques et que celles-ci puissent répondre aux attentes des citoyennes et des citoyens », précise Eve Lagacé.
Une foule d’activités pour (re)découvrir ces lieux vivants
Plusieurs activités seront organisées dans le cadre de la Semaine pour tous les âges. Elles se dérouleront en ligne ou en bibliothèque, toujours dans le respect des consignes imposées par la Direction générale de la santé publique. Pour plus de détails sur la 24e Semaine des bibliothèques publiques du Québec et pour la programmation complète des activités, rendez-vous au www.semainedesbibliotheques.ca.
Le 11 novembre prochain, Espace pour la vie présente sa troisième édition de la Nuit des chercheuses et des chercheurs. Un événement annuel qui célèbre la recherche en la rendant accessible à tous et toutes.Cette année, au Jardin botanique, les visiteurs et visiteuses traverseront un « vortex temporel » et voyageront dans le passé, le présent et le futur de la recherche. Ils pourront alors rencontrer des dizaines de scientifiques, dont des experts et expertes des musées d’Espace pour la vie, d’Exploramer, de l’Institut de recherche en biologie végétale, de l’Agence spatiale canadienne, de l’Institut de recherche sur les exoplanètes, de l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie de l’Université de Montréal, de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec de l’Université Laval, de Calcul Québec, de l’Université McGill, etc.Les grands esprits scientifiques seront présents afin de présenter leurs travaux de recherche actuels et rêvés, tout en gardant en tête les apprentissages, erreurs et bons coups du passé.
La recherche, un élément clé des musées d’Espace pour la vie À partir de leurs collections, leurs laboratoires, leurs équipements et de leur personnel spécialisé, les musées constituent des lieux privilégiés de recherche et de formation. La Nuit des chercheuses et des chercheurs est l’un des projets névralgiques qui permet de créer des ponts entre les scientifiques et la population.Encore une fois cette année, l’événement battra son plein simultanément au Jardin botanique de Montréal et au Musée de la Nature et des Sciences de Sherbrooke.
Un événement unique qui ne se répétera pas deux fois! La Nuit des chercheuses et des chercheurs se renouvelle chaque année :Une occasion de visiter des lieux qui ne sont habituellement pas accessibles au public.Des rencontres privilégiées avec des scientifiques de tous azimuts.Et une ambiance musicale ainsi que des consommations en vente sur place.Les visiteurs et visiteuses sont invités à venir costumés en revêtant des habits représentant une époque passée ou un futur souhaité. Programmation complète et réservation de billets.
Le dating peut être frustrant et déconcertant. Gérer ses attentes, apprivoiser le rejet et les comportements douteux, s’intéresser aux bonnes personnes pour les bonnes raisons n’est pas simple. Pournaviguer dans ce monde toujours plus complexe, la pleine conscience change la donne complètement ! Quoi de mieux que se connaître et s’apprécier soi-même pour apprécier l’autre à sa juste valeur ?
Il y a dans notre société une peur maladive du célibat, à tel point que certaines y voient presque une malédiction. Comme s’il fallait être en couple pour avoir de la valeur, prouver que l’on est désirable et digne d’être aimé ! Les nombreuses années de célibat de Pascale Hubert lui ont appris beaucoup de choses, l’ont fait réfléchir et lui ont permis de se découvrir, de grandir et de devenir plus forte à travers essais et erreurs. Cet ouvrage formidable est le résultat d’une précieuse expérience acquise sur le terrain.
Sans prétendre être une pro du dating ou de l’amour, l’auteure qui n’est ni psychologue, sexologue ou coach de vie livre le fruit d’une leçon essentielle : apprendre à s’aimer et chérir sa vie telle qu’elle est, qu’on soit seule ou accompagnée. À l’aide d’exercices de méditation éclairants et d’anecdotes savoureuses auxquelles on s’identifie instantanément, Le dating pleine conscience suscite des réflexions sur l’authenticité, le respect et l’importance du cheminement personnel au fil des expériences de rencontres amoureuses. En découvrant l’être unique et merveilleux que nous sommes, on peut trouver la personne qui nous convient réellement. En attendant… soyons donc heureuses avec nous-mêmes !
L’AUTEURE Jeune trentenaire passionnée de bien-être, Pascale Hubert est rédactrice et éditrice depuis plusieurs années. Au quotidien, elle jongle avec ses responsabilités de rédactrice en chef pour plusieurs publications Web et imprimées, dont les Éditions Pratico-Pratiques, de maman
d’un chat dépendant affectif et de PDG des 1001 projets qui naissent dans son cerveau en ébullition. Célibataire chevronnée, elle se plaît à imaginer un monde meilleur rempli de cocktails fancy, de dates mémorables et de relations plus profondes et réfléchies.
Les 22 et 23 octobre prochains, les Producteurs de cidre du Québec vous invitent à venir célébrer le temps de la presse et à découvrir l’envers du décor de la production de cidre au Québec à l’occasion de l’événement La Grande Presse – Dans une cidrerie près de chez vous! Cette année, le rendez-vous automnal des amateurs de cidre se déroulera sur deux jours dans une douzaine de cidreries situées dans cinq régions phares de la production de cidre au Québec: Montérégie, Basses-Laurentides, Estrie, Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches.
« La Grande Presse, c’est l’occasion idéale de venir à la rencontre des cidriculteurs sur le terrain et de découvrir l’arrière-scène de la production de cidre », explique Marc-Antoine Lasnier, président des Producteurs de cidre du Québec et propriétaire de la Cidrerie Milton. « C’est un événement convivial qui rejoint autant les curieux que les passionnés qui désirent se lancer dans la production de cidre amateur à la maison. »
Programmation
Visite des installations, démonstration de presse des pommes, vente de jus pour fabrication de cidre maison, conférences, découvertes des variétés de pommes et dégustations commentées seront au programme de cette nouvelle édition dans l’une ou l’autre des cidreries participantes.
Les activités phares :
Visites des installations : Visite du verger, de la salle de presse et du chai à barriques attendent les visiteurs dans plusieurs cidreries notamment du côté de la Cidrerie Lacroix, de la cidrerie Le Somnambule, de la Cidrerie Michel Jodoin et du Domaine Cartier-Potelle qui proposent des activités d’interprétation sur réservation au cours du week-end.
Démonstration de presse des pommes : La Grande Presse n’aurait lieu d’être sans la démonstration en direct des différentes méthodes de presse utilisées par nos producteurs et l’odeur enivrante des pommes fraîchement pressées! Quatre cidreries offriront ce spectacle cette année : Cidrerie Compton, Ferme cidricole Équinoxe, Domaine Steinbach et Le Somnambule.
Vente de jus pour fabrication de cidre maison : Activité chouchou de la Grande Presse, la vente de jus pour la fabrication de cidre maison sera offerte dans pas moins de 6 cidreries cette année : Cidrerie Compton, Cidrerie Milton, Ferme cidricole Équinoxe, Le Somnambule, Cidrerie Cryo et pour la première fois à la Cidrerie Lacroix. Pour cette activité, les amateurs sont invités à apporter et remplir leurs touries des variétés de jus disponibles dans chaque cidrerie participante.
Conférences : Alors que quelques cidreries offriront des conférences en mode virtuel, d’autres tiendront des conférences ou ateliers en présentiel. C’est le cas, entre autres, du Domaine ValBrome qui propose une conférence gratuite sous chapiteaux avec son maître de chai Patrick Couture et du Verger Allen Demers qui propose un atelier sur la fabrication du cidre de feu.
Dégustations commentées : Des dégustations commentées se tiendront dans plusieurs cidreries participantes. La cidrerie Le Somnambule et le Verger Allen Demers, quant à elles, invitent les visiteurs à déguster le cidre en fermentation directement de la cuve dans le cadre d’ateliers d’interprétation.
Pour connaître la liste des activités proposées dans chacune des cidreries, référez-vous au site Web officiel de l’événement lagrandepresse.compour accéder à la programmation complète.
Véronique Roy Jwls lance Osez, une nouvelle collection de bijoux faits à Montréal.
Pour cette collection, en plus de l’argent sterling et du placage d’or, la joaillière a choisi d’inclure deux pierres naturelles toutes en contraste: la serpentine et le quartz strawberry. En utilisant des pierres aux couleurs complémentaires dans le cercle chromatique, elle a pu créer des bijoux qui se démarquent et attirent l’attention.
Courageuse, vraie, éclatante, vive, audacieuse… Les noms donnés aux bijoux de la nouvelle collection s’alignent avec vigueur comme ceux d’un manifeste. C’est une déclaration publique du pouvoir des femmes et de l’importance de savoir prendre sa place. Les pièces de la collection Osez se veulent une invitation à vous mettre de l’avant en arborant des bijoux, certes, mais surtout votre personnalité.
Il est temps de vous approprier des qualités comme le courage, la bravoure, l’intensité et l’esprit d’aventure.
Dès le 18 octobre prochain, le public a rendez-vous au veroniqueroyjwls.compour découvrir la collection Osez et profiter d’un prix de lancement jusqu’au 4 novembre.
Un renouveau pour la marque montréalaise
Depuis 2012, la joaillière crée des bijoux dans son atelier du quartier Centre-Sud de Montréal. En 10 ans, l’entreprise a évolué et s’est adaptée au monde complexe de l’entrepreneuriat pour se positionner comme l’une des marques de bijoux aimés des Québécoises et des Ontariennes. La créatrice Véronique Roy peut maintenant affirmer avec assurance que la marque est là pour rester.
“ En jouant avec des pièces plus grosses qu’à l’habitude, j’ai l’impression que ce n’est pas seulement mes bijoux qui prennent plus de place, mais aussi moi-même. “
L’événement « Les filles et les sciences, un DUO électrisant ! », une présentation d’Hydro-Québec, est de retour pour une 22e édition. Cet incontournable rendez-vous, dont la mission est de permettre aux étudiantes de 2e, 3e et 4e secondaire d’explorer les opportunités de carrière en sciences et en technologies, rassemble plus de 700 jeunes filles et près d’une trentaine d’établissements scolaires et d’organisations chaque année. Ateliers interactifs, rencontres marquantes avec des professionnels, spectacles de chimie présentés par Yannick Bergeron (éditions de Montréal et de Québec) et Martin Carli (Sherbrooke), expérience immersive sur les animaux marins (Baleine Nomade) à Rimouski, tous les éléments sont réunis pour que la flamme s’allume dans l’œil des participantes.
En vue de favoriser une réflexion qui orientera le choix de cours au moment opportun, l’événement se tient désormais à l’automne plutôt qu’en février, comme ce fut le cas lors des éditions précédentes. Ainsi, ce grand rassemblement aura lieu le jeudi 27 octobre 2022 à Sherbrooke (Cégep de Sherbrooke), le samedi 5 novembre 2022 à Québec (Université Laval, Pavillon Vachon) et à Rimouski (Cégep de Rimouski) et le samedi 19 novembre 2022 à Montréal (Polytechnique Montréal).
Des statistiques « choc »Ce n’est pas par manque d’intérêt que les femmes sont sous-représentées en sciences et en technologies. Leur présence minoritaire s’explique plutôt par le manque d’information par rapport à ces métiers de pointe. Résultat, les entreprises québécoises sont privées des multiples avantages qu’offre la main d’œuvre mixte et diversifiée et des nombreuses qualités qu’on attribue aux femmes dans le monde du travail, parmi lesquelles leur sens de l’organisation, leur planification éclairée, leur productivité, leur rigueur et l’apport de nouvelles idées favorisant la résolution de problèmes.
Bien que les efforts déployés au cours des vingt dernières années aient porté fruits dans certaines disciplines, les statistiques continuent à parler d’elles-mêmes. À titre d’exemple, les données recueillies par la Chaire pour les femmes en sciences et en génie indiquent que l’effectif féminin est stable ou en diminution dans plusieurs facultés de sciences pures et appliquées des universités québécoises.
« Notre comité organisateur valorise la diversité et l’inclusion. Nous avons à cœur de démontrer que les femmes ont leur place dans les carrières scientifiques et technologiques, qui bien souvent donnent accès à des postes de décision et d’influence. » souligne Nancy Rancourt, ingénieure et présidente du comité organisateur « Les filles et les sciences, un duo électrisant! »
Ainsi, la mission de l’événement est plus pertinente et actuelle que jamais et il est capital de poursuivre les efforts auprès des jeunes filles si l’on souhaite qu’elles soient de plus en plus nombreuses à s’orienter vers ces domaines.
Une expérience électrisante
Ateliers, démonstrations et découvertes figurent au menu de cette 22e édition, qui s’annonce tout aussi électrisante que les précédentes. La « Zone Découverte », activité centrale de l’événement, offre aux exposants l’opportunité de partager leur passion, d’offrir des démonstrations et d’échanger avec les participantes. Ces dernières auront également la chance d’assister à d’époustouflants spectacles, ainsi qu’à des conférences captivantes. Des ateliers interactifs sont également proposés afin de permettre aux participantes de s’imaginer la différence concrète qu’elles apporteraient dans le monde par le biais de ces choix de carrières. Les participantes auront notamment la chance de fusionner de la fibre optique (Expertech/Bell). Elles seront invitées à mettre leurs talents d’ingénieure en action afin d’éclairer des bidonvilles (Ordre des Ingénieurs du Québec), à observer différents échantillons d’êtres vivants issus de l’océan (Québec-Océan) et à réaliser le parcours de fabrication d’un vaccin de l’œuf à la fiole (GSK).
Les inscriptions sont ouvertes dès maintenant et les participantes sont invitées à remplir le formulaire via l’un des hyperliens ci-dessous.
Renseignements généraux
L’événement se déploie dans quatre villes cette année, soit :
SHERBROOKE
QUOI : « Les filles et les sciences, un duo électrisant! » QUAND : Jeudi 27 octobre 2022 à 2 :00 p.m. OÙ : Cégep de Sherbrooke Cet événement est organisé par Technoscience Estrie
QUOI : « Les filles et les sciences, un duo électrisant! » QUAND : Samedi 5 novembre 2022 de 9 :00 am à 4 :00 pm OÙ : Université Laval, Pavillon Vachon, Ville de Québec Cet événement est organisé par Boîte à science
QUOI : « Les filles et les sciences, un duo électrisant! », 21e édition QUAND : Samedi 19 novembre 2022 à 2:00 p.m. OÙ : Polytechnique Montréal, Pavillon Lassonde 2500 Chemin Polytechnique, Montréal Cet événement est organisé par Technoscience – Région métropolitaine
L’événement « Les filles et les sciences, un duo électrisant! » est rendu possible grâce au soutien de ses précieux partenaires :
Partenaire présentateur : Hydro-Québec Partenaire Or : L’Ordre des Ingénieurs du Québec, Ubisoft Partenaires Argent : Bombardier, Cascades, Prompt et Nexus Innovations Partenaires Bronze : Ordres des arpenteurs géomètres, AG360, Omy Laboratoires, Teraxion et EXFO
À propos de l’événement « Les filles et les sciences, un duo électrisant! »
Créé par une poignée de femmes bénévoles, scientifiques, ingénieures, professionnelles et professeures, avec le soutien de Polytechnique Montréal, de l’École de technologie supérieure et de plusieurs entreprises des TIC, le concept de l’événement « Les filles et les sciences, un duo électrisant! » a d’abord germé, en 1998, dans l’esprit de Mme Nathalie Beaudry. Alors responsable d’un programme d’embauche universitaire pour le service de l’exploitation du réseau chez Bell, celle-ci s’est vu confier le mandat de recruter une proportion de 50 % de femmes, un objectif qu’elle peina à atteindre en raison du faible taux de main-d’œuvre féminine. Constatant que ses collègues étaient confrontées aux mêmes problématiques, Mme Beaudry a d’emblée proposé l’idée de se regrouper afin de mettre sur pied une activité destinée aux adolescentes, pour leur faire connaître la nature exacte des professions scientifiques et technologiques et les programmes d’études qui y mènent. En plus de permettre aux participantes de réfléchir aux stéréotypes qui influencent leurs choix d’études, cet événement leur offre une occasion unique de découvrir des formations et des carrières valorisantes, de participer à des ateliers passionnants et d’échanger avec des femmes de carrière inspirantes. L’événement comporte plusieurs volets; parmi lesquels des activités de groupe, des démonstrations et des ateliers.