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Étiquette : Musique

Omer Klein: Nouvel album «Personal Belongings»

Omer Klein, Piano – Haggai Cohen Milo, Basse – Amir Bresler, Batterie

Dans son dernier album, le plus personnel à ce jour, Omer Klein – “membre du cercle fermé des maîtres du piano“ d’après le Süddeutsche Zeitung – nous offre un regard avisé sur le monde contemporain. Nés en 2020 pendant la pandémie, ces dix morceaux reflètent son point de vue en tant qu’être humain, pianiste, compositeur, leader de formation, père de famille et artiste multi-culturel.

Pour Klein, à l’instar du reste de la planète, la première vague du Covid a été, comme pour nombre de ses confrères ,  particulièrement éprouvante. Né en Israël et résidant aujourd’hui à Francfort, sa vie de musicien itinérant a été brusquement stoppée du jour au lendemain lors du printemps 2020. N’étant pas du genre à broyer du noir, il a profité de ce temps libre pour composer. Une large partie du monde était à l’arrêt, la maladie frappait un grand nombre de personnes et l’époque était marquée par de sombres images – Les idées et les expériences de Klein devaient être recueillies et exprimées.   

En observant le monde extérieur et ses propres sentiments, Klein a peu à peu imaginé un arc narratif extraordinairement profond et vibrant, telle la version miniature d’un tableau. Les directions instrumentales des dix titres de Personal Belongings sont particulièrement révélatrices en décrivant des aller-retours permanents entre la solitude et le besoin de se retrouver.

En plus des six pièces pour piano solo où son attachement à l’instrument est plus fort que jamais, les quatre autres titres de l’album sont interprétés avec ses partenaires de longue date Haggai Cohen-Milo à la basse et Amir Bresler à la batterie. La tension qui en résulte crée des contrastes palpitants entre les instants contemplatifs et l’énergie du trio. Cette vibration unique apparaît dès le début de l’album dans les deux titres enchaînés “Kavana” et “Baghdad Blues”, qui mêlent le romantisme du moyen orient à l’improvisation jazz.

“The Magnets”, qui réunit le Brésil et Brahms, est une chanson d’amour fiévreuse au surprenant final pastoral, et un des titres les plus intimistes du répertoire de Klein. Ce morceau et le lyrique “Sun Girl” s’inspirent de la relation qu’entretient Klein avec sa compagne. Gracieux et plein d’insouciance, “The Flower and the Seed”, est dédié à ses enfants. 

Il va sans dire que la liberté, les liens entre les peuples, les pays, les coutumes et les langues jouent un rôle important dans cet ensemble. Omer Klein et ses partenaires sont des experts du jazz qui essaient sans cesse de se surpasser. Mais la musique de Klein reste divertissante, au sens le plus noble du terme. Le shuffle funky de “Shake It” est complexe, mais ses mélodies pétillantes le rendent immédiatement accessible, y compris pour les non-initiés au jazz. Klein n’a pas l’intention d’impressionner l’auditeur, mais simplement d’élaborer une musique aussi riche que possible.

Il s’inspire parfois de sources littéraires, comme par exemple dans le mystérieux morceau en solo “Najara”, du nom d’un poète liturgique juif dont les vers ont inspiré une de ses mélodies les plus habitées. Klein a délibérément placé à la fin de Personal Belongings une reprise intimiste du classique “What a Wonderful World”. Une déclaration forte, car en étudiant ses paroles, le musicien a réalisé que le charme apparent de cette chanson dissimulait une douleur intense. Après tout, 2020 n’a pas été que l’année du Covid : elle était aussi celle du mouvement #BlackLivesMatter. “The colors of the rainbow, so pretty in the sky”. La beauté des couleurs de peau et des cultures illuminent le dernier titre de Personal Belongings, ainsi que la phrase suivante, si poignante à l’époque du Covid : “I see friends shaking hands, saying how do you do, they’re really saying I love you”.

1. Kavana (Omer Klein)

2. Baghdad Blues (Omer Klein Trio)

3. The Magnets (Omer Klein)

4. The Flower and the Seed (Omer Klein Trio)

5. Good Hands (Omer Klein)

6. Sun Girl (Omer Klein Trio)

7. Najara (Omer Klein)

8. Shake it (Omer Klein Trio)

9. Quarantined with you (Omer Klein)

10. What a Wonderful World (Omer Klein)

La musique du pianiste et compositeur Omer Klein est “sans frontières” (The New York Times) grâce à son assimilation organique de sources d’inspiration très diverses, alors qu’il ne cesse de “propulser les concepts du jazz classique vers l’avenir” (Time Out New York). Interprète et compositeur prolifique, Klein a sorti 8 albums en tant que soliste et publié plus de 100 compositions originales. 

Artiste exclusif de Warner Music, Klein a réalisé deux enregistrements pour le label à ce jour. Sleepwalkers (2017) est une exploration en trio de thèmes liés à la société à l’ère de l’information, pour laquelle le Omer Klein Trio a remporté le prix ECHO 2018. Il a été suivi par Radio Mediteran (2019), en ajoutant des synthétiseurs analogiques et des percussions au format classique du trio, créant ainsi “un album très contemporain, tourné vers l’avenir, plein de grooves subtils et de mélodies fortes” (Hamburger Abendblatt). “Personal Belongings”, le troisième album de Klein pour Warner Music et le neuvième de sa discographie,  sortira en septembre 2021.

Les concerts de Klein ont été largement salués. Il s’est produit en tant que soliste et chef d’orchestre au North Sea Jazz Festival, Nice Jazz Festival, Jazz at Lincoln Center, Queen Elizabeth Hall à Londres, Swing Hall Tokyo, Elbphilharmonie, Alte Oper Frankfurt, Bremen Musikfest, Dresdner Musikfestspiele, Schleswig-Holstein Musik Festival et bien d’autres encore. 

Les points forts à venir en 2021-2022 incluent les débuts de Klein à la Berliner Philharmonie et au Wiener Konzerthaus, ainsi que la première d’une nouvelle composition pour le théâtre et la danse au Schauspiel Frankfurt.

Avec le bassiste Haggai Cohen Milo et le batteur Amir Bresler, Klein a formé le Omer Klein Trio en 2013. Le trio interprète les compositions de Klein et effectue de nombreuses tournées. Leur premier enregistrement, Fearless Friday (2015), est considéré comme “l’une des nouveautés les plus gratifiantes de ces dernières années” (All About Jazz). 

La collaboration de Klein avec le virtuose de la mandoline Avi Avital a été célébrée comme la rencontre créative de deux esprits. Klein a notamment improvisé de nouveaux mouvements pour des pièces de J.S.Bach interprétées par Avital. D’autres collaborations incluent le projet de Klein avec le NDR Big Band en 2019, et un projet de duo à venir avec le percussionniste classique Alexej Gerassimez, suite à leur résidence au Festspiele Mecklenburg-Vorpommern en 2017. 

“L’un des artistes les plus fascinants ayant émergé de ce pays au cours de la dernière décennie », peut-on lire dans le City Mouse Tel Aviv. Les racines de la musique israélienne se font entendre haut et fort dans les créations d’Omer Klein. Il a composé des chansons et s’est produit avec des chanteurs emblématiques comme Arik Einstein, Gidi Gov, Yehudit Ravitz et Rona Kenan. Il est régulièrement présent au Red Sea Jazz Festival et au Tel Aviv Jazz Festival en “élargissant les horizons musicaux du pays”. (Haaretz).

Omer Klein est né en Israël en 1982 et a grandi à Netanya. Il est le fils de parents nés en Israël et le petit-fils d’immigrants venant de Tunisie, de Libye et de Hongrie. Il a commencé à jouer du clavier à l’âge de 5 ans, puis s’est tourné vers le piano à 13 ans, tout en composant et en improvisant dès son plus jeune âge. Il a étudié à la Thelma Yellin High School of the Arts à Givatayim, avant de s’installer aux États-Unis en tant que bénéficiaire d’une bourse du New England Conservatory à Boston, où il a étudié le piano jazz avec Danilo Perez et Ran Blake, et le piano classique avec Alexander Korsantia. En 2005, Klein s’est installé à New York, où il a poursuivi ses études en privé avec Fred Hersch. Depuis 2009, il est basé en Allemagne. Il vit actuellement à Francfort avec sa compagne, l’actrice Viola Pobitschka, et leurs trois enfants. 

Émilie Proulx dévoile les détails de son EP

La nuit, les échosPrévu pour le 27 août 2021
Après en avoir présenté la pièce-titre en avril dernier, l’autrice-compositrice-interprète révèle l’intégralité d’une nouvelle proposition, les mécanismes de la mémoire en trame de fond. 

«Slalom». «Polaroïds». «Deux accidents». «La nuit, les échos». «Toutes les réponses». Cinq chansons au spleen impressionniste comme autant d’occasions, belles et enveloppantes, de faire un saut dans la psyché d’Émilie Proulx, la chercheuse. De liens, de sons et de sens.

La charge émotionnelle entre la peau et la chemise, la multi-instrumentiste et réalisatrice montréalaise s’amène ici avec cohérence, naviguant agilement le long de cette ligne artistique, fluide et sensorielle, qui la caractérise. Et tandis que s’invitent au passage les influences vastes de Nirvana, The Shins, Alain Souchon, Beach House, The Cure, Bashung et Fleetwood Mac, au même titre que les résonances subtiles d’Annie Ernaux et de Proust, Émilie Proulx trace le contour délicat de l’état des choses, de nos contradictions, de notre capacité infinie pour le bonheur et la douleur. De la nécessité libératrice, parfois, de dire «au revoir» et «merci».

S’abandonnant à ce qui la dépasse et guidant doucement les chansons dans leurs sillons, vers les destinations qu’elles réclament d’elles-mêmes, la musicienne rend délibérément visite, sur La nuit, les échos à certains lieux communs de la culture musicale pour allumer le souvenir. «Pour susciter les images rémanentes d’un backwash de mémoire, à tous les temps superposés», précise-t-elle.

Portée par les vagues et la vérité, l’artiste articule sur ce nouveau EP un appel à tenir bon, à garder confiance en notre faculté à surmonter les écueils et à attraper les balles courbes. Avec la complicité des instrumentistes Agathe Dupéré (basse, synthétiseurs), Matthieu Beaumont (piano, synthétiseurs, voix) et Maxime Gosselin (batterie), et bordée par les chœurs de Lisa LeblancGeneviève ToupinCatherine LeducAnaïs Constantin et de son fils ThéodoreÉmilie Proulx garde le cap sur la lumière, et finit par la trouver. À travers sa voix-feutre et ses mots-lueurs, La nuit, les échos s’impose comme une traversée, ancrée dans le moment présent, et aux échos de toutes sortes.

>> NOUVEAU MAXI À PARAÎTRE LE 27 AOÛT 2021

>> RENTRÉE MONTRÉALAISE AU VERRE BOUTEILLE LE 19 SEPTEMBRE 2021

JE VEUX | Le nouveau vidéoclip des Académiciens

À quelques jours de la reprise des Auditions de Star Académie 2022, la mouture 2021 dévoile “Je veux”, une chanson popularisée par Zaz, interprétée ici par Shayan Heidari et dans lequel certains Académiciens sont venus jouer un rôle de caméo. Vous y verrez le grand gagnant William Cloutier ainsi que Lunou ZucchiniMeghan OakZara SargsyanMatt MolnGuillaume LafondJacob RobergeQueenie Clément et Dashny Jules.  La brillante réalisation des images revient à Sixteen Pads. Le tournage a eu lieu aux Studios MELS

Rappelons que William Cloutier et Lunou Zucchini iront à la rencontre de leur public dans le cadre d’une grande tournée qui les mènera aux 4 coins de la province à compter de l’hiver prochain ! 

Les billets pour les premières dates de la tournée sont en vente dès maintenant. Pour tous les détails et pour l’achat de billets, rendez-vous au billets-staracademie.ca.

Espace temps Joysad

Après avoir teasé son premier album avec les titres “Tous les coups sont permis (feat. Sofiane)” et “Tout quitter (feat. Tsew The Kid)” joysad annonce la sortie de son premier album “Espace temps” le 10 Septembre en compagnie de Heuss L’Enfoiré et de la jeune chanteuse Waybery.

Un album dans lequel le jeune artiste de Périgueux pousse l’écriture et des thèmes forts d’un jeune provincial: l’amour, la fête ainsi que tous les drames que la vie peut réserver.
Afin d’accompagner la précommande de son album joysad envoie également le clip du morceau “Air Force” un morceau de rap dans lequel joysad revient à la source tant dans sa manière de kicker l’instru que dans le visuel ou l’on retrouve joysad à Périgueux dans la ville ou il a grandit depuis toujours accompagné de ses amis d’enfance. 

CRÉATION DU PREMIER ENSEMBLE  CLASSIQUE CANADIEN  À L’IMAGE DE LA DIVERSITÉ 

Au temple de la diversité, la richesse de nouvelles propositions culturelles ne cesse de démontrer l’infinie des possibilités à mettre en valeur dans une perspective toute renouvellée d’un récit alternatif. C’est dans cette mouvance actuelle que s’offre aujourd’hui au monde de la musique classique l’idée même de ce concept avec la création à Montréal de l’Ensemble Obiora. Premier ensemble de musique classique canadien composé essentiellement de musiciens et musiciennes dits issu.es de la diversité. Une initiative née du désir  de promouvoir des musiciens de différents milieux culturels afin d’accroître leur représentation sur la scène de la musique classique, et de programmer des œuvres de compositeurs de couleur dont la musique est méconnue ou peu considérée.  

IDÉATEURS ET PRINCIPE 3D 

Cette idée novatrice elle est due à Brandyn Lewis, co-fondateur et directeur artistique et Allison Migeon, co-fondatrice et directrice générale, qui annonce aujourd’hui leur initiative. Fondé sur le principe des 3D, Diversité, Découverte et Diffusion, l’Ensemble Obiora s’efforce d’apporter un souffle nouveau et diversifié dans la musique classique au Canada, de créer un sentiment d’appartenance dans les communautés sous représentées et d’inspirer la prochaine génération de musiciens classiques. Que veux dire Obiora au juste ? C’est un nom masculin Igbo, qui vient du Nigeria. Il signifie “Le désir, le coeur du peuple”.  

LA MUSIQUE AVANT TOUT : PREMIER CONCERT LE 28 AOÛT

Bien que la notion de diversité soit suffisamment large pour inclure une gamme de marqueurs de l’identité bien au-delà des distinctions ethniques ou raciales (sexe, âge et ainsi de suite), elle suppose, comme le multiculturalisme, une mosaïque tout aussi fragmentée de groupes qui perdurent dans un coexistence mutuelle. Il va donc s’en dire que la musique est, d’abord et avant tout, le vecteur principal de communication de l’Ensemble Obiora. Pour se faire, les 26 musiciens et musciennes de l’Ensemble Obiora proposeront pour la première fois le 28 août prochain à la salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau, un premier concert. Au programme Jeff Scott, Joseph Boulogne et Samuel Coleridge-Taylor, tous les trois des compositeurs afro-descendants qui, à l’exception du premier qui est toujours vivant, font partie de ces compositeurs oubliés malgré leur contribution hors du commun. 

Afin de connaitre le programme, les musiciens, musiciennes ou pour d’acheter 

des billets, c’est ici !

MINI CONCERTS GRATUITS : Quand l’Art Prend l’Air

Il sera aussi possible d’entendre l’Ensemble Obiora prochainement dans le contexte gratuit et en extérieur du programme Quand l’Art Prend l’Air, une initiative du Conseil des Arts de Montréal.

– Samedi 11 septembre à 14h00, arrondissement Lasalle, Parc des Rapides

– Dimanche 12 septembre à 14h00, arrondissement Sud-Ouest, Parc des Jazzmen

Justin Nozuka

Nouvel EP now & then (Live EP)
Disponible en digital chez Blackbox
Justin Nozuka est de retour. Trois ans après la sortie de l’album Run to Waters, puis il y a quelques semaines du EP then, now & again, le chanteur et songwriter canadien dévoile maintenant now & then, un EP enregistré live au studio Revolution Recording.On y retrouve des titres issus du EP then, now & again comme summer night o8 et Miami. Toujours dans une veine mêlant pop et soul, l’artiste nous enchante une nouvelle fois par ses qualités d’écriture et son charisme flamboyant.Cet EP estival a été joué en concert virtuel le 22 juillet via l’application Justin Nozuka, téléchargeable depuis son site officiel, puis aujourd’hui disponible sur toutes les plateformes digitales.À 32 ans, Justin Nozuka, qui est né à New York, a grandi à Toronto et a voyagé dans le monde entier, est un pilier de la pop contemporaine, du folk et du R&B alternatif depuis qu’il a sorti son premier album Holly à l’âge de 17 ans. Marqué dans sa jeunesse par l’album de Lauryn Hill, The Miseducation of Lauryn Hill, sorti en 1998, Justin Nozuka a ensuite exploré la soul, et le folk, avec une forte accointance pour la musique des années 70.

Voici la vidéo de Miami (Live at Revolution Recording) :https://youtu.be/2qVrAj7AUnM

Justin Nozuka a commencé à écrire ses propres chansons à l’âge de 12 ans. Son premier album Holly est sorti en 2007 alors qu’il avait seulement 17 ans, et a été salué par la critique. Depuis ses débuts, Justin a reçu un NRJ Award pour le “Duo de l’année”, deux albums sacrés disques d’or (Holly et You I Wind Land Sea), et bénéficié de plus de 100 millions de streams mondiaux. Il a effectué de nombreuses tournées dans le monde entier. Les influences musicales de Justin sont la soul, le gospel, le folk et le blues. En jouant en première partie d’artistes de renommée mondiale tels que Stevie Wonder, Mary J. Blige, John Mayer et Jason Mraz, Justin Nozuka continue de démontrer sa capacité à émouvoir et surprendre son public dans tous les pays du monde.Cet été, Justin Nozuka nous revient avec un EP live intitulé now & then, enregistré au Revolution Studio.  Ce disque nous plonge dans les émotions et les expériences vécues par Justin Nozuka. Il y détaille la tristesse dévastatrice qui accompagne les ruptures, ainsi que l’optimisme qui accompagne le début d’une nouvelle relation. Sur le plan sonore, il apporte des tonalités nostalgiques avec du R&B langoureux et de la soul down-tempo, enveloppant sa voix de multiples textures acoustiques. “Summer Night O8”, que Justin Nozuka a écrit avec son ami et collaborateur Mitch Reed, avant d’inviter Alex Sowinski de BadBadNotGood aux percussions, évoque les aventures d’un été. “Miami” raconte l’histoire d’un amour non partagé : “Il y avait quelqu’un que j’avais prévu de voir à Miami“, explique Justin. “C’était censé être une petite escapade à deux. J’ai réservé mon vol quelques semaines à l’avance, et à l’approche de la date, cette personne m’a lâché.” A ces deux titres, s’ajoutent Save Him et After Tonight à découvrir sur toutes les plateformes digitales.Justin Nozuka a toujours su exposer sa propre vulnérabilité dans sa musique. Le maxi now & then, enregistré live au studio Revolution Recording poursuit dans cette voie et pousse l’aiguille plus loin que jamais. Facebook InstagramSite officiel

 GRAVITÉ 

Suivant la sortie du microalbum « Carré d’As » le 21 février 2020 et de plusieurs singles, STRIKY est de retour avec un premier album de 16 titres intitulé « GRAVITÉ ». Cet effort est une preuve concrète de résilience chez l’artiste. En effet, le tout a été enregistré en partie pendant le confinement ce qui lui a demandé beaucoup d’adaptation et d’abnégation. Sur cet opus, STRIKY nous démontre sa polyvalence et ses compétences à manier les mots et à varier son flow sur plusieurs rythmiques.
 
Véritable hybride du rap, l’artiste se montre à l’aise dans tous les styles, tantôt sur des mélodies dansantes et chaloupées ou encore sur des sons plus agressifs et festifs. STRIKY a su collaborer avec plusieurs artistes comme DawaMafia, Misa, Mouss et TKainsi que Baba, Centy, Mido, Nikya et Nino Birdz« Gravité » a été écrit par STRIKY et produit par Melo Records. Les chansons « 5 à sex »« Clásico » et « Nasa » ont été enregistrées, mixées et matricées au Paranoise Studio, les titres « Vitres Teintées »« Mot de passe » et « Colline » ont été enregistrés, mixés et matricés au Studio Life Rec. Les morceaux « Étoile 67 » et « Tsunami » ont été enregistrés, mixés et matricés au Plomo Studio et toutes les autres pièces du projet ont été enregistrées, mixées et matricées par Sylex Studio.  

« Comme Picasso, je fais son croquis » — Striky, Colline
 
STRIKY présente également « Colline », un deuxième extrait vidéo du projet. Ce morceau hybride et langoureux mélange le rap et le chant, un bel amalgame des talents que propose l’artiste tout au long de son album. Colline parle de cette femme sublime, inaccessible et qu’on souhaite conquérir à tout prix. La chanson a été produite par Uness, écrite par Striky et le clip a été réalisé par Nicolas Kara de EDT Productions.  
VISIONNER LE CLIP “COLLINE” ICI

AMELIA RUBY PRÉSENTE: PERSONNE LUI RÉSISTE

“Je n’suis pas ici pour faire la belle, Vamo a ve, vamo a ve, quien e quiena” – Amélia Ruby
Révélée au public en novembre 2020 avec son titre « Mi Actitud », en collaboration avec le talentueux Tony Sky (La Voix), Amelia Ruby (Amélie Purtell) est devenue au cours de la dernière année une artiste latino-pop à découvrir. En Avril 2021, sa collaboration avec la célèbre artiste Dominicaine La Perversa pour la pièce « Mala » donne le coup d’envoi à la carrière latino de la chanteuse.

Aujourd’hui, en collaboration avec Tony Sky et Paranoize, elle nous offre son premier titre franco-espagnol, Personne lui résiste, titre qui va encore réchauffé l’été 2021 !

Sur un rythme résolument latin signé MGP The Saw, le trio nous dépeint la femme épanouie et sûre d’elle dont la détermination mène inévitablement à la réussite. À travers ce titre, Amélie, dont la carrière en tant que femme d’affaires dans le domaine de l’esthétisme ne cesse de prendre de l’envergure, nous montre à sa façon la puissance du positivisme mental.
VISIONNER LE CLIP ICI

Sambé présente aujourd’hui son premier single: Saint-Hubert

Le compositeur et producteur Sambé présente aujourd’hui son premier single, Saint-Hubert, qui figurera sur son premier EP à paraître cet automne sous la nouvelle étiquette La Shoebox. La chanson est un témoignage à la fois de résilience et de foi en l’avenir. Après une année et demie passée entre quatre murs, nous avons collectivement besoin de croire en quelque chose de plus grand, quelque chose qui nous élève et nous donne envie de nous surpasser. L’infini ne doit plus faire peur, mais nous donner envie d’y sauter à pieds joints. Sur une instrumentation animée et introspective de Sambé, le texte et l’interprétation du rappeur Bkay (du groupe LaF) font de l’adversité et de l’inconnu des sujets inspirants et édifiants. Le morceau s’écoute comme une ballade où le temps est suspendu par la vivacité du narratif, la justesse du ton et l’ambiance planante de la musique. 


Issu du groupe Original gros bonnet (OGB), Sambé privilégie une instrumentation très colorée et intense, au confluent du jazz, du hip hop et de la musique électronique. Constamment dans un esprit de recherche, Sambé compose pour capturer ce qui se trouve à la limite de ce qu’il connaît. Une fois qu’il trouve, c’est l’exaltation de la découverte qu’il entend partager.



Pour écouter Saint-Hubert, c’est ici!

Mitch Oliver: Exil

LE DJ, INGÉNIEUR DU SON ET PRODUCTEUR QUÉBÉCOIS DE RENOMMÉE INTERNATIONALE S’AMÈNE AVEC EXIL, UN NOUVEAU EP À L’ADN ORGANIC HOUSE DES PLUS ENVOÛTANTS. DISPONIBLE MAINTENANT.

Porté par les mélodies fédératrices et les rythmes grisants d’une organic house aux consonances marquées par le mouvement East Coast, Mitch Oliver peaufine sa pulsion électronique depuis maintenant une décennie et des poussières. Ex-skieur de haut niveau ayant cumulé les récompenses, il s’avance désormais, abordant son art avec le même dessein : celui de l’incitation du corps vers l’activation qui exalte. Dévalant les pentes depuis sa tendre enfance, il est pour ainsi dire logique que l’artiste veille à promouvoir un mode de vie sain à travers cette scène aux possibilités quasi infinies qu’il affectionne. Et l’affection apparaît vraisemblablement réciproque.  

DJ d’abord, puis devenu producteur, sa musique intervient, enlevante, comme une trame sonore pensée pour la vie qui se savoure et se cultive à l’air libre. Et loin du mythe du DJ oiseau de nuit, l’artiste vit plutôt sous une bonne étoile. Ayant rejoint les rangs d’étiquettes internationales réputées — Magician on DutyAkbal Music, Seven Villas, Kindisch, HoomidaasWhen We Dip XYZ—  alors qu’il n’en était qu’à ses premières armes dans l’industrie, il se consacre depuis à la composition et à la production tout en gardant au cœur de sa démarche le DJing, sa passion initiatrice. Instinctif, spontané et à l’écoute de ce qui se déroule devant lui, c’est ainsi, d’abord et avant tout, à travers les yeux du DJ qu’il considère chaque pièce musicale, sienne ou d’autrui. Doté du don de lire les foules qu’il investit, Mitch Oliver est passé maître dans l’art de faire voyager les gens lors de ses prestations. Pour lui, à bonne distance de l’égo, l’essentiel réside dans la création d’ambiances électrisantes, garantes d’émotions. Sa couleur unique et son talent en ce sens l’ont d’ailleurs conduit à travers le Canada, les États-Unis et les Caraïbes, où il s’est produit à titre de tête d’affiche lors d’événements majeurs tels les festivals AIM et SXMBurning ManPY1 Nights de Guy Laliberté et dans les clubs les plus mythiques dont Do Not Sit On the Furniture et Public Works. Dans la foulée, le jeune artiste a également su piquer la curiosité de quelques-unes figures respectées de la scène électro, notamment Hernan Cattaneo,Budakid et Erdi Irmak, qui ont, par la suite, revisité ses titres. 

EXIL : SON PLUS RÉCENT EFFORT

Il réitère maintenant avec le EP Exil. Et cette nouvelle offrande — tout juste sous la barre des vingt minutes et formée des pièces-fleuves «Exil» (où l’on entend la voix de la chanteuse Téa Verdene), «Wildfire» et «Intrepid» — prend presque des allures méditatives. Composé entre la fin 2020 et le printemps 2021 et produit entièrement en solo, le triptyque musical dont il est question ici en est un au rythme constant, capable d’inspirer, simultanément ou tour à tour, la danse la plus ardente et le repos de l’esprit.   

Écoutées mensuellement par plus de 62 000 auditeurs, les plages aux ambiances pulsatives de Mitch Oliver charment les oreilles venues de tous les horizons.  

Grandement inspiré par la nature et par le fait de vivre dans un pays bercé de quatre saisons, Mitch Oliver s’est plus récemment illustré grâce à ses sessions Aurora, tournées dans le décor à couper le souffle d’une île secrète, quelque part au Québec, et ayant rejoint plus de 156 000 mélomanes à travers le monde.  

MITCH OLIVER EN CONCERT 

7 août – Soul Of Work @ San Diego,  États-Unis

8 août – Palosanto @ New York,  États-Unis

14 août –  Do No Sit On The Furniture @ Miami, États-Unis

22 août –  Ciel En Fête @ Saint-Jean sur le Richelieu, Canada