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Étiquette : Musique

L’ORCHESTRE DE L’AGORA DÉBUTE UN PARTENARIAT AVEC LA PRISON DE BORDEAUX

L’Orchestre de l’Agora (OA) débute un partenariat avec le centre de détention de Montréal (prison de Bordeaux) et y présentera 11 concerts-ateliers lors de la saison 2021-2022. La prison de Bordeaux est la plus importante prison provinciale du Québec (capacité maximale de 1 357 prévenus/détenus) et accueille des prisonniers masculins condamnés à des peines de moins de deux ans d’emprisonnement et des prévenus en attente de procès. L’objectif des concerts-ateliers de l’OA (un par mois jusqu’en juillet 2022) est d’utiliser la musique comme outil de réhabilitation sociale – un concept en symbiose avec la mission de l’Orchestre de l’Agora, qui consiste à réinventer le rôle des musiciens classiques dans la communauté en misant sur leur talent et leur engagement.

Des ensembles formés de deux à quatre musiciens de l’OA ont élaboré avec le chef et directeur artistique Nicolas Ellis des programmes d’une soixantaine de minutes qu’ils présenteront et expliqueront aux détenus. Ces concerts-ateliers, qui auront lieu à la chapelle de la prison, favoriseront la réflexion, les discussions et les échanges. Jusqu’ici, l’Orchestre a présenté deux concerts-ateliers à Bordeaux en juin et septembre 2021 : le résultat a été concluant et touchant. Il est reconnu que la musique classique a des bienfaits sur la santé mentale et favorise la paix sociale, d’où l’intérêt de mettre ces bienfaits à profit en milieu carcéral.

L’origine du projet

Une rencontre entre Nicolas Ellis et Stéphane Roy (aumônier à l’établissement de détention de Montréal) a d’abord mené l’équipe de l’Orchestre à visiter la prison de Bordeaux. De la cellule d’un détenu à la chapelle en passant par le gymnase, où l’équipe a notamment pu discuter avec les détenus, cette première visite à la prison a confirmé la pertinence de mettre sur pied un projet de concerts-ateliers à Bordeaux. L’Orchestre a alors présenté un premier concert-atelier le 16 juin dernier. Cette présentation a eu lieu devant une quinzaine de détenus, qui ont fait preuve d’une écoute attentive et d’une ouverture à cette forme d’art, qui était nouvelle pour nombre d’entre eux. Suite à cette expérience qui s’est caractérisée par des échanges francs et simples, tous les musiciens de l’Orchestre de l’Agora ont souhaité participer au projet.

Un moment d’échanges

La régularité des concerts-ateliers permettra d’avoir un impact plus grand auprès des détenus, mais aussi d’en faire profiter le plus grand nombre. La musique classique apaise les tensions en réduisant le stress et favorise le calme et l’introspection; les concerts-ateliers auront entre autres une influence positive sur l’atmosphère au sein de la prison. La musique sera utilisée comme un outil de réhabilitation sociale permettant le développement de l’ouverture aux autres, de l’écoute, puis du partage du ressenti et des émotions. La musique est l’un des meilleurs outils pour créer des ponts, une forme de langage universel qui transcende les barrières sociales. Comme le disait Hans Christian Andersen, « où les mots manquent, la musique parle ». Ultimement, l’objectif des concerts-ateliers est de contribuer à diminuer le taux de récidive pour ceux qui sortiront par la suite des murs de Bordeaux.

Une pause dans le quotidien

Dans la dernière année, tous ont pu avoir un aperçu de l’impact d’un état de confinement sur le plan aussi bien physique que mental. Les répercussions de la pandémie dans les prisons ont été d’autant plus fortes que les visites ont souvent été très limitées. L’introduction des concerts-ateliers permet aux détenus de vivre et de partager avec leurs proches, lors des visites, une expérience qui sort du quotidien de la prison et qui se rapproche de ce que peut vivre la population en liberté. Ces heures consacrées à la musique sauront inspirer les détenus à vouloir faire mieux pour la suite de leur parcours; il s’agit là d’un fort vecteur de réhabilitation. L’Orchestre de l’Agora et le directeur artistique Nicolas Ellis sont très enthousiastes à l’idée de développer ce projet social qui a beaucoup de potentiel, en collaboration avec l’établissement de détention de Montréal et M. Stéphane Roy, aumônier.

UN TROISIÈME ALBUM POUR
DAVE HARMO

Quelques semaines seulement après l’impressionnante envolée de son extrait « Envie de partir », Dave Harmo nous présente un magnifique troisième album : L’abri de la tempête. Ces neuf chansons aux accents new folk sont toutes plus authentiques les unes que les autres et nous dévoilent un auteur-compositeur-interprète en pleine possession de ses moyens. Un album à découvrir avec les oreilles et le cœur grand ouverts.
 
Déjà un succès !
À peine sorti sur les plateformes, le premier extrait « Envie de partir » était déjà en voie de se tailler une place au sommet du palmarès BDS. Accueillie chaleureusement dans de multiples radios, la chanson a bien préparé le terrain pour qu’on découvre sans retenue l’univers de Dave Harmo, qui nous livre aujourd’hui un album d’une grande beauté.
 
Authentique et touchant
L’abri de la tempête s’ouvre sur la route sinueuse et enivrante d’« Envie de partir » où pulsion, guitares acoustiques et trompette donnent l’élan à un univers musical original cimenté par la réalisation de Yanik Garon. Habile parolier, Dave Harmo poursuit avec « Mais toi, tu fais quoi ? », une critique bien ficelée des grands parleurs et petits faiseurs. Puis vient une reprise très colorée de l’incontournable « Pour l’amour qu’il nous reste » de Francine Raymond, que Dave Harmo s’approprie à merveille au son de son banjo et des cuivres de Josiane Rouette. Avec « La côte », l’auteur-compositeur tend ensuite la main à ceux et celles qui ont le courage de se choisir en premier, puis il nous invite à nous mettre à « L’abri de la tempête », là où l’amour prend son essor. « La face cachée de la lune », avec une ambiance presque spatiale, rend hommage à tous ces enfants qui vivent avec une différence. Autant de sujets sensibles et universels qui s’éclaircissent avec l’espoir qui émane de « Déterrer la lumière » et « Demain sera plus beau », deux pièces entraînantes et lumineuses à souhait. L’album se termine sur « Encore et encore », un vibrant hommage que Dave Harmo livre à son père sur le chemin de leur dernier adieu. Par cet album vif et sincère, Dave Harmo assume un folk rassembleur avec aplomb. L’abri de la tempête est disponible sur toutes les plateformes numériques dès vendredi et sera lancé sur scène le 9 octobre au Verre Bouteille, à Montréal.
 
Dave Harmo en spectacle :
9 octobre — Montréal, Verre Bouteille
9 novembre — Magog, fête des Vendanges
20 novembre — Saint-Hyacinthe, Zaricot
2 juin 2022 — Lavaltrie, Café culturel de la Chasse-galerie
 
Qui est Dave Harmo ?
Diplômé en composition musicale classique à l’Université de Montréal et en musique de film à l’UQAM, Dave Harmo a composé la musique d’une quinzaine de courts-métrages. Multi-instrumentiste, il roule sa bosse de nombreuses années au sein du groupe Marco et les Torvis avant de lancer un premier album en 2018,De ville en aiguille, dont la chanson titre est nommée au Gala country 2019 dans la catégorie Chanson de l’année. Son premier album le mène également en finale du Festival de la chanson de Saint-Ambroise. Son deuxième album, Plâtrer les trous de mémoire, sort le 17 août 2020 et son premier extrait lui vaut d’être la future star iHeartRadio du mois d’août chez Énergie 94,3 FM. « Va-t’en pas » passe également 24 semaines dans le top 30 du palmarès BDS, tout un succès pour l’auteur-compositeur. L’abri de la tempête est son troisième album complet et l’extrait « Envie de partir » est en voie de devenir un incontournable.
 

Stéphanie Acquette

1er album DiaporamaSortie le 01/10/2021 chez Sanctuaire Records / Inouïe Distribution 
Stéphanie Acquette nous dévoile le clip de son nouveau single D’un Rien, nouvel extrait de son premier album Diaporama annoncé pour le 01 octobre 2021 chez Sanctuaire Records / Inouïe Distribution.Chanteuse et multi-instrumentiste, Stéphanie Acquette nous propose en musique un arrêt sur images qui incarne le meilleur de la pop française d’aujourd’hui.Ce premier album est imprégné de tous les paysages dont la chanteuse s’est nourrie au cours de ces dix dernières années, de la musique au 7ème art. On retrouve dans Diaporama le goût des mélodies des standards américains et celui d’une certaine tradition de la chanson à grand orchestre des années 70, teinté d’un exotisme désuet revendiqué.Dans Diaporama, les chansons défilent comme des diapositives, des arrêts sur image qui nous invitent à plonger dans de multiples univers cinématographiques.Porté par une vidéo cinématographique évoquant Michel Gondry et Wes Anderson, le nouveau clip D’un Rien a été réalisé par Stéphanie Acquette en personne. Cette rumba nostalgique évoque les occasions manquées de peu, des rencontres qui n’ont pas eu lieu alors qu’il aurait suffit d’un simple pas de côté pour risquer la collision. 

https://youtu.be/HOCHKtDRfcU

Emily Pello

Nouvel album The Space LoveSortie le 7 janvier 2022
La chanteuse Emily Pello est de retour avec son quatrième album The Space Love. Avec ce nouveau disque prévu pour le 7 janvier 2022, on retrouve la poésie impressionniste, et la voix souple de cette chanteuse qui brille comme jamais dans un registre folk-jazzy.Emily Pello, artiste multiple ayant déjà fait ses preuves en premières partie de Liza Minelli à l’Olympia ou d’Amy Winehouse à Londres, est actuellement en tournée dans toute la France avec Disney en Concert. Son nouveau single You will find me nous plonge dans une atmosphère cinématographique et s’inscrit dans la lignée des grandes chansons de pop-rock seventies américaines et en particulier celles de Joni Mitchell. Entre une mystérieuse fuite, une quête de soi, et des retrouvailles émouvantes avec le passé, la voix envoutante d’Emily Pellonous relie à notre enfant intérieur. 
Premier extrait, on découvre le clip de You Will Find Me, un titre comme une échappée belle en pleine nature.
Pour regarder et diffuser le clip de You Will Find Me :https://youtu.be/ZIPbwJyHy9Q

Bon Enfant jase d’amour en guitares harmonisées et présente son deuxième album
Diorama

on Enfant s’étoffe comme on s’appartient : toujours davantage. Commissaires de nos mémoires autant que reflets unanimes de la part des muses en nous, Daphné BrissetteGuillaume ChiassonMélissa FortinAlex Burger et Étienne Côté arrivent ailleurs, affectant un rock extirpé d’il y a un demi-siècle dans un contexte québ actuel. Diorama, deuxième album du groupe, ça traite de l’amour, vertigineux ou comme un chandail trop grand, c’est à la fois motté et duveteux, et ça sort le 1er octobre sous Duprince.

Bon Enfant commençait à profiter des fruits de son premier album paru en 2019 quand tout s’est éteint et qu’il a fallu commencer à voir la vie à travers un écran ou des vitres d’appartement – tant qu’à faire, la suite s’est entamée. Le processus de création s’est déroulé en parallèle des habitudes, dans des abris coupés d’apports externes. Ça ne se retrouve pas dans les thèmes – ça parle d’amour, on a dit – mais ça aura permis de faire du studio un concentré d’incubation où tout s’est délié parce qu’il fallait que le couvercle fasse « pop » : une première session réalisée par Tonio Morin-Vargas au studio Gamma avec Samuel Gemme et deux autres réalisées par Emmanuel Éthier au studio Mixart avec Francis Bélangerauront amené les compositions dans des zones inouïes.

Nouvel aboutissement d’un groupe tenant à se surprendre lui-même pour nous en communiquer l’effet, Bon Enfant avance ici des idées pour lesquelles chacun.e n’était pas encore prêt lors du premier album : les guitares harmonisées d’Astronaute amateur, les pads à la Vangelis et l’allant motorik de Ciel bleu, la trompette avec du delay par-dessus la trame psych / alt-rock de Diorama, les synths à la Hawkwind sous l’intonation marjoesque et la finale plus longue que le corps de L’amour à sens unique, les discrètes couches de feedback tout le long de Pâte à biscuit, le croisement du disco d’ABBA et de celui d’André Gagnon dans Porcelaine – tout ça, à travers la marque caractéristique qu’on leur connaît, davantage étayée, et toujours plus probante. Ça coche toutes les cases pour se créer la sienne propre.

C’est poussé loin, c’est poussé fort, c’est poussé fuzzé, c’est poussé cosmique, et c’est juste à la bonne place : bilan extasié de ce que l’amour peut faire faire, grand, perméable, flyé. Comme on disait : Diorama, deuxième album du groupe, ça traite de ça, l’amour, c’est à la fois motté et duveteux, et ça sort le 1er octobre sous Duprince. Diorama, c’est à nous autres, ça.

THe LYONZ présente « Change In Colour »

THe LYONZ présente enfin leur deuxième album très attendu « Change In Colour ». Cet opus de 16 titres est une œuvre de pure liberté créative. L’inclassable duo montréalais a présenté 10 titres en format double extrait tout au long de 2021. Toujours hors-norme et faisant fi des conventions, le groupe propose un mélange de Jazz, de Trip-Hop, Hip-Hop le tout sur une trame Électro. Il faut imaginer une dynamique atmosphérique, des rythmes changeants et des jeux de programmations.  

L’album comprend entre autres, les dix titres que THe LYONZ a sortis sur cinq EP en 2021, dont les contagieux tourbillons cosmic-rap « Birds Eye View » et « Push That Way ». En plus de ces titres, Change In Colour apporte de nouveaux éléments passionnants tels que les vagues sonores envoûtantes de « The Venture To Venus », le mélange complexe de « Ain’t Gonna End (Breathe) » et la terriblement frénétique « Auto ». Avec 16 titres au total, une intro et des interludes, Change In Colour est une oeuvre unique sans limites créatives.

Sur « Strangers in The Endless » il faut imaginer une dynamique atmosphérique, des rythmes changeants et des jeux de programmations.  « Birds Eye View » se démarque par sa vibe groovy ressentie. Le titre évoque les constats sur la signification de l’amour et le recule que l’on peut prendre sur son passé en le regardant à vol d’oiseau. La pièce scintille par ses basses bouillonnantes et ses synthétiseurs, tandis que des atmosphères ensoleillées enveloppent avec aisance une prose réfléchie et des guitares funky. « Strangers in The Endless » dépeint l’histoire d’inconnus liés par la toile infinie du monde numérique. Les rimes savamment tissées du morceau mettent de l’avant le sentiment de vide et de confusion face au monde instantané des médias sociaux dans lequel baigne nos vies. 

« Change In Colour» est l’aboutissement de plusieurs années de travail. Au Québec comme en France où est basée leur compagnie de disques E.47. L’album amène un vibe authentique, naturel ou l’expérimentation flirte avec le perfectionnisme, le naturel avec le soigné et le classique avec le moderne. Leur touche de spontanéité juxtaposée aux moments soigneusement planifiés leur permet de refléter tous les aspects de la condition humaine, laissant l’auditeur puiser dans leur monde. Parfois directement, parfois par le biais de métaphores libres à l’interprétation. «Change In Colour» confirmera THe LYONZ comme l’un des groupes les plus excitants de la new music en 2021.

La douce utopie de Corneille

Comme troisième et prometteur avant-goût de son album ENCRE ROSE à paraître en 2022, Corneille lance NOUVEAU MONDE, disponible sur toutes les plateformes numériques dès aujourd’hui. Une chanson qui confirme les couleurs musicales de ce neuvième disque : cette soul/R&B américaine des années 80. SA musique, celle que Corneille chérit entre toutes, « le son qui parle le mieux de moi », dira-t-il. 

TOUS LES MÊMES

ET MÊME SI DIFFÉRENTS

AU PIED DE NOS SENTIMENTS

ET TOUS LES REMANIEMENTS

QUAND LA VIE FAIT COMME ELLE L’ENTEND

DEVANT LES MÊMES IMMENSITÉS

ON VOIT TOUS LES ÉTOILES D’EN BAS

ET ÇA FAIT DES AUTRES

ENFIN LES NÔTRES

Évoquant irrésistiblement Stevie Wonder ou Hall and Oates — mais en 2021 et en français! — NOUVEAU MONDE orbite autour de cette phrase répétée : «Chez nous c’est chez vous et c’est un nouveau monde». Une douce utopie : un monde dans lequel l’humanité fait du «nous» et du «vous» des synonymes. Nouveau monde est disponible en radio et sur toutes les plateformes numériques dès maintenant. 

DÉCOUVREZ NOUVEAU MONDE VIA CE LIEN :  https://Musicor.lnk.to/Corneille_Nouveaumonde

Anthony Kavanagh présente «FINALLY»

«Finally», le premier EP d’Anthony Kavanagh est enfin disponible. Après le succès de «Let You Go» et «No Man Ever Told Ya», ses deux précédents singles, il nous présente « I Choose You ».
«Enfin ! J’attendais ce moment depuis 30 ans. » – Anthony Kavanagh
EP «Finally»Ce projet musical anglophone au rythme entraînant, nous plonge dans les dix dernières années de la vie de l’artiste : amour, paternité, poursuite de ses rêves solitude, démons et bien plus encore.
Son style unique, alliant soul, blues, funk, hip hop, rock, touche électro, baigne dans un éclatant univers pop.
Il faut dire que Kavanagh a su s’entourer de talents d’exception : Marc Dupré – star québécoise incontestée – , le brillant producteur-auteur-compositeur John Nathaniel – qui a notamment collaboré avec One Republic et Switchfoot, et un autre prolifique « hitmaker » canadien, DJ Domeno.
La magie opère et le résultat final est impressionnant !
Single «I Choose You»Les succès qui s’enchaînent pour le showman, depuis son arrivée en musique (il s’est hissé au palmarès canadien et suisse avec «Let You Go» et «No Man Ever Told Ya») laissent augurer le meilleur pour ce prometteur troisième single.
Une vibe enthousiaste, positive, l’envie de danser : «I Choose You» fait l’effet d’un coup de boost. Normal, direz-vous… Quoi de plus intense que la rencontre avec l’âme soeur?
Le vidéoclip sera disponible sur YouTube le 15 octobre. Le EP est disponible dès maintenant sur toutes les plateformes.
Extrait «I Choose You»First time I saw your face, red lips like Cabernet, red dress by Givenchy…I find a new reason, to love you every day…Girl you know I always choose you.

À propos d’ Anthony KavanaghDepuis plus de 30 ans, l’artiste québécois de renommée internationale performe en tant qu’humoriste, animateur-télé et acteur.
Véritable showman, dans la veine d’artistes polyvalents tels que Will Smith, Jamie Foxx ou encore Donald Glover (alias Childish Gambino) – qui eux aussi ont débuté en humour – l’artiste aux multiples talents élargit désormais ses horizons.
Même s’il baigne depuis toujours dans l’univers musical – il a notamment interprété le rôle principal masculin (lavocat Billy Flynn) dans les productions québécoises et françaises de la comédie musicale «Chicago», offrant là l’une des prestations les plus marquantes de sa carrière – et qu’il a l’habitude de terminer ses spectacles d’humour en musique, ce sont ses récentes performances de chanteur dans le film d’animation «Vaiana»(Québec) – «Moana» (Europe) – dans lequel il prête sa voix au héros «Maui», ou encore le film «Aladdin» (rôle du génie) qui ont ravivé sa passion pour la musique. 
C’est tout naturellement que l’artiste concrétise alors le rêve qu’il affectionnait depuis longtemps: celui d’interpréter ses propres chansons.

COUBLI

L’album Coubli met de l’avant la rencontre du jazz et de plusieurs rythmes traditionnels africains aboutissant à une merveilleuse fusion Afro-Jazz. Réalisé avec brio, cet album amène un vent de fraîcheur soufflant sur les héritages d’ici et d’ailleurs.
Cette œuvre émane des différentes rencontres musicales auxquelles Donald Dogbo été exposé depuis l’Afrique jusqu’à son arrivée au Canada.
Coubli signifie “partir à l’aventure”, dans sa langue maternelle, le Bété, en Côte d’Ivoire. Musicien passionné, il cherche à développer le mariage entre les rythmes traditionnels de l’Afrique centrale, de l’Afrique de l’Ouest, du jazz et ainsi créer une fusion Afro-Jazz en compagnie de talentueux musiciens de la relève Jazz de Montréal.

Fim de Mundo

Fière représentante de la nouvelle musique populaire brésilienne, ou MPB, l’autrice-compositrice interprète Bianca Rocha lance Fim de Mundo, son tout premier album. Arrangées par Rodrigo Simões, les pièces qui y figurent conjuguent des influences jazz, latines et afro-brésiliennes. La sortie de l’album a été précédée de l’extrait « Despenteados » et d’un clip mettant en vedette des personnes trans.

Fim de Mundo réunit un poème et sept chansons pleines de fraîcheur, ponctuées de réflexions sur l’importance des racines, les relations amoureuses et la renaissance. « C’est la trame sonore parfaite pour ceux qui veulent repartir à neuf après la tempête, en faisant table rase des schémas d’hier qui ne fonctionnent plus aujourd’hui », explique la chanteuse.

Née dans le sud du Brésil et établie à Montréal depuis 2019, Bianca Rocha aime mélanger les cultures, les accents et les rythmes. Essentiellement en portugais, l’album fait aussi un clin d’œil à l’espagnol, au français et à l’italien. « Ces chansons racontent un peu mon histoire, mais toujours en faisant des liens avec le collectif », raconte Bianca, qui cite Rosa Passos, Elza Soares, Esperanza Spalding, Hermeto Pascoal et Bobby McFerrin parmi ses influences.

Le bassiste Erivan Duarte apporte au projet des couleurs jazz qui s’allient aux accents tropicaux de la guitare Rodrigo Simões. La guitare d’André Galamba engage un dialogue avec les cordes grâce à des contrepoints percutants. La batterie et les percussions de Lara Klaus associent tous ces éléments au swing latino-américain de Recife. Mafer Bandola (bandola llanera), Gabriel Schwartz (sax et flûte) et Vitor Cabral (percussions) ont également participé à l’enregistrement des pièces.

Née à Ponta Grossa, dans le sud du Brésil, Bianca Rocha a remporté divers concours et participé à de multiples festivals et émissions de télévision dans son pays en interprétant des pièces MPB, bossa et jazz. Elle a participé à des albums signés Du Gomide, Alisson Camargo et Florian Bill, en plus de composer et de produire quatre albums pour enfants. Depuis son arrivée à Montréal en 2019, elle a participé au festival Nuits d’Afrique et à des albums d’artistes comme Rodrigo Simões, Diogo Ramos et Guillaume Dion, ce dernier l’ayant invitée à chanter une version de Como Nosso Pais de Belchior pour un projet où des chanteuses de diverses cultures interprétaient des pièces emblématiques de leur culture.
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