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Étiquette : Musique

GHOSTLY KISSES ANNONCE LA SORTIE DE SON PREMIER ALBUM ET DÉVOILE LA PIÈCE-TITRE « HEAVEN, WAIT »

Ghostly Kisses est le projet musical mélancolique de l’auteure-compositrice-interprète Margaux Sauvé, qui dévoile aujourd’hui sous forme d’espoir tacite son deuxième single, Heaven, Wait, pièce-titre de son premier long-jeu à paraître le 21 janvier 2022. Pour faire suite à l’obsédante Don’t Know Why sortie en juillet dernier, l’artiste se dévoile encore un peu plus avec ce nouveau single et le sublime vidéoclip à en donner des frissons qui l’accompagne.

En collaboration avec le vidéaste Matt Charland et les danseurs contemporains et lauréats du concours Révolution à TVA, Janie Richard & Marcio Vinicius Paulino Silveira, le clip dépeint la façon dont deux personnes peuvent se compléter et devenir ensemble un tout. À travers une impressionnante et touchante chorégraphie, la vidéo illustre l’évolution d’une relation fusionnelle et dépendante vers une relation de symbiose, de synchronicité et d’indépendance où les protagonistes sont finalement plus forts en tant qu’individus.



Pour écouter Heaven, Wait, c’est ICI!

The Franklin Electric lance un nouvel album

Quelques jours après avoir reçu sa première nomination au Gala de l’ADISQ Album de l’année – Réinterprétation), The Franklin Electric lance leur quatrième album en carrière This Time I See It sous la bannière Nettwerk Music (Xavier Rudd, Father John Misty, SYML)Pour se faire, Jon Matte s’est enfermé aux Afterlife Studios de Vancouver avec le coproducteur John Raham (Frazey Ford, Joshua Hyslop, Jon Bryant) pour enregistrer ce qui allait devenir le nouvel album. This Time I See It témoigne d’une période de guérison et de pardon de soi, sur une trame sonore folk alternative marquée à la fois par une chaleur analogique et une énergie moderne.  Plus tôt cet année, le groupe a rendu disponible plusieurs titre en guise d’avant-goût. De la folk d’une pureté cristalline, voilà ce dans quoi le groupe excelle.  

Sur le titre d’ouverture,« After All », qu’il décrit comme une « chanson de voyage évoquant un road trip ou un esprit libre qui traverse la vie sans contraintes », les cordes de la guitare acoustique sont délicatement pincées, derrière sa voix discrète. « Always Alone » met de l’avant la douce guitare folk et ses cordes grattées en douceur. «Il faut apprendre à faire la paix avec soi-même, sans filtre, et à prendre des décisions à partir de ce contexte où on se sent souvent seul. Quand on développe enfin une relation avec soi-même, c’est là que la beauté se révèle.»  « Greatest Love Of All», propose une harmonie aiguë résonnant sur un rythme effervescent et des transmissions synthétiques lumineuses, passant d’un air folk à un univers sonore cinématographique. «Celle-là parle de la façon dont certaines tendances se répètent dans les relations – ça me renvoie toujours à ma relation avec moi-même, explique Jon. Pour trouver l’amour, on se tourne vers nos partenaires et nos carrières. Mais le greatest love of all, le plus grand amour de tous, c’est celui qui nous ramène directement à nous-même.» Rêveuse et entraînante, «Ten Steps Back » évoque le sentiment sisyphéen selon lequel « plus on essaie d’avancer, plus on se retrouve en arrière ». La guitare électrique jouée aux doigts et le piano donnent le ton à Understand, où l’auteur-compositeur-interprète « parle de se libérer des jeux auxquels on aime jouer pour donner un sens à la vie ». La pièce « Why You Gotta Be »se veut un rappel à lui-même, où Jon se demande pourquoi il est si dur avec lui-même – Why you gotta be so hard on yourself?
Et si, finalement, The Franklin Electric était là pour bercer et accompagner les petits et grands événements de votre vie. C’est pas sa la pureté de la folk.

À propos de The Franklin Electric 

Fondé et dirigé par Jon Matte, le collectif montréalais se démarque en transformant les expériences en hymnes. The Franklin Electric compte plus de 450 spectacles dans une douzaine de pays, partageant la scène avec une multitude d’artistes (Half Moon Run, Mumford & Sons, Ben Howard, Edward Sharpe, City And Color) et assurant leur concert tête d’affiche à guichet fermé (MTELUS complet-2020) . Toute cette route les mène à une nomination au Gala des Prix Juno (2018) à Vancouver dans la catégorie «Breakthrough Group of the Year». 

Annika and The Forest

Nouvel album Même La NuitSortie le 01 octobre chez Whatever / Kuroneko
Annika and The Forest est de retour avec son troisième album Même La Nuit qui sort le 01 octobre sur les labels Whatever/Kuroneko.On retrouve sur ce disque les musiciennes qui accompagnent la carrière d’Annika : Edith Fambuena (guitares, claviers) et Zoé Hochberg (programmations, batterie) qui sont elles aussi allées enregistrer dans le pays natal d’Annika pour ce titre aux couleurs franco-suédoises.Cet album qui alterne pop indie, influences électroniques et ballades souveraines, a été enregistré à Göteborg en Suède avec le producteur et arrangeur Charles Storm (Mando Diao, Håkan Hellström, Roxette, Surfer Rosa…).Annika and The Forest a déjà dévoilé deux extraits de Même La Nuit. Après Pretence et You and Me, elle nous régale avec Thinking Crazy, morceau de bravoure électro-pop de l’album. Ce single a été co-réalisé et arrangé par Maxime Delpierre. La vidéo évoque la difficulté à apprendre à vivre avec soi-même et ses multiples facettes, mais surtout, apprendre à en être fière. Un pari fou ?  Pour regarder et diffuser le clip de Thinking Crazy :
https://youtu.be/3AMVDU57ON8

albin de la simone happy end

Sur une idée de Albin de la Simone, qui inaugure la série, tôt Ou tard lance Les Instrumentôt ou tard, collection d’albums sans paroles où les artistes du label mettent en sourdine leurs voix pour explorer d’autres voies. A l’heure où tout est bavard, place à la musique !

On l’avait presque oublié, depuis bientôt vingt ans qu’il enchante nos humeurs et dépose des mots délicats sur nos zones sensibles, mais Albin de la Simone est un musicien. Pas des moindres, pas
un simple auteur qui aurait choisi la musique par défaut, mais un garçon flexible et inventif qui aura illuminé de ses claviers, sur scène comme en studio, des artistes majeurs du paysage français. De Alain Souchon à Vanessa Paradis, de Alain Chamfort à Keren Ann, son nom dans les crédits est toujours une promesse de musicalité remarquable, quand il n’endosse pas le rôle de réalisateur (pour Jeanne Cherhal, Pierre Lapointe, Carla Bruni, Miossec ou Pomme) avec le soin rare de ceux qui taillent sur mesure et détaillent en orfèvres le son des autres.

« Depuis que je fais des interviews, on me parle essentiellement de mes textes, presque jamais de musique » observe-t-il pourtant à propos de ses propres albums et des concerts qui le mettent en lumière depuis 2003. L’envie d’un disque entièrement instrumental n’est pas née pour autant d’une piqûre d’orgueil ou d’une frustration mal placée, elle s’est imposée au bout de la trop longue trêve subie par Albin comme par tous les musiciens, empêchés pendant plus d’un an de jouer sur scène et de s’inspirer du mouvement de la vie pour écrire. Les mots ne venant plus, provisoirement, comme s’ils étaient coincés dans le sablier du temps perdu, Albin a choisi de ne pas attendre que l’inspiration des textes lui revienne pour entrer en studio. Il s’est donc installé trois jours durant dans son antre favori du studio Ferber, entouré d’instruments, accompagné seulement par l’ingénieur du son JB Brunhes et ses deux assistants, sans plan de vol précis mais avec une farouche volonté de jouer, d’improviser, de combiner, de se surprendre autant que de surprendre ceux qui ont l’habitude de l’entendre chanter.

Happy end, terme de cinéma, colle bien à cette époque bizarre, faite d’arrêts et de recommencements, d’espoir de fins heureuses, où la vie ressemble à un scénario qui s’écrit à l’encre effaçable, laissant l’imprévisible guider à tâtons ceux qui s’y laissent embarquer. Pénétrons ainsi dans cette maison ensoleillée, dessinée par Albin à Stromboli, sans trop savoir ce qui se cache derrière.


Le premier titre s’appelle justement Soleil, il évoque un genre de western au ralenti, lancinant comme du Morricone mis sous cloche, avec une balle de ping-pong en intruse insolite et déjà beaucoup de cette poésie contemplative dont ce disque déploierait sans se presser les décors et les ombres. « Je voulais faire une musique pour regarder par la fenêtre » dit Albin, et la merveilleuse mélodie de Merveille nous entraîne dans l’un de ces voyages immobiles
où la nostalgie sans tristesse fait office de seul bagage. Parfois Il pleut, ailleurs c’est la Californie, il y a Le Chalet, La Falaise ou Les Tulipes, presque rien au fond, sinon des sensations saisies au vol, suspendues et légères, avec de la buée parfois et aussi de franches éclaircies réconfortantes. On pourrait parler de minimalisme, vu
le temps imparti et l’absence volontaire d’esbroufe, mais cette musique semble au contraire maximaliste par ce qu’elle dessine en filigrane : cathédrales translucides, monuments de sable ou panoramas en trompe l’œil. A l’image de Nils Frahm, avec lequel il partage un lien étroit, un drôle de piano aux formes anguleuses et au son mat baptisé Una Corda, Albin n’a pas cherché ici à faire de la « grande musique », intimidante et hautaine, mais plutôt à poser des thèmes, des rythmes et des textures qu’il manipule en alchimiste, laisse coaguler pour en extraire arômes et couleurs, invitant l’auditeur à y creuser lui-même son refuge.

Le plaisir qu’il a pris à rassembler autour de lui ses instruments fétiches, le fidèle synthé « Helmut » qui l’accompagne depuis toujours, un ARP Odyssey, un Mellotron ou l’incroyable boîte
à surprises électroacoustique baptisée Ciboulette, se ressent derrière chaque note qui défile. Le goût ludique d’improviser en tirant au sort les instruments à mesure de l’enregistrement, façon Stratégies Obliques de Brian Eno et Peter Schmidt sans la prétention, a servi de sésame à des formes et des alliages imprévus qui rendent la matière de cette musique effrontément vivante. Ici un genre de rumba qui se danse en clapotant (Il pleut), là un diptyque séparé à la naissance (Umami/Un ami) et se joue des ressemblances et des différences, ailleurs des pas qui grincent entre les lattes et les notes dilatées d’un piano dans l’intimité (La chambre), en toute fin les ondes « ambient » pour évoquer la chaleur écrasante de l’Estremadure.

Depuis quand un disque avait à ce point glissé avec élégance
sur la mélancolie collective, évoqué dans le même élan une forme d’allégresse, sans avoir besoin d’élever la voix ? Du haut de La Falaise, un thème cinématographique transporte sa part de romanesque mieux que mille images imposées, comme si en allant puiser dans les souvenirs d’avant, Albin de la Simone avait voulu inventer la musique de tous les après. Happy end est à l’évidence aussi un début.

ECHO & THE BUNNYMEN rééditent leurs quatre premiers albums en vinyle noir 180-grammes

le 22 octobre ( Warner)

ECHO & THE BUNNYMEN se sont formés à Liverpool en 1978, avec Ian McCulloch au chant et à la guitare rythmique, Will Sergeant à la guitare solo et Les Pattinson à la basse. Ils seront bientôt rejoints par Pete De Freitas à la batterie et le reste, comme on dit, appartient à l’histoire.

La première sortie du groupe est le 45-tours Pictures on My Wall, avec la face-B Read It in Books, sur Zoo Records en 1979. Pictures on My Wall apparaîtra sur leur incontournable premier album Crocodiles en 1980. Sorti en pleine explosion du post-punk, Crocodiles a confirmé la réputation du groupe comme l’un des meilleurs du genre, le NME le décrivant comme “probablement le meilleur album de cette année par un groupe britannique”. L’album a fini par entrer dans le Top 20, avant de figurer dans la liste des meilleurs premiers albums de tous les temps pour de nombreux critiques.

Les Bunnymen ont ensuite publié le EP Shine So Hard en 1981, enregistré live au Pavilion Gardens de Buxton, à la veille de la sortie de leur deuxième album studio Heaven Up Here cette même année. Il est devenu le premier album du groupe à figurer dans le Top 10 britannique, remportant au passage le prix du meilleur album du NME en 1981. Considéré comme légèrement plus sombre, Heaven Up Here a été produit par Hugh Jones et a été favorablement accueilli par les critiques et les fans, avec des titres comme A Promise, Over the Wall et Show of Strength.

De groupe culte, ECHO & THE BUNNYMEN se transforme rapidement en formation grand public en 1983 avec la sortie de leur troisième album Porcupine, produit par Ian Broudie. Porcupine offre au groupe ses meilleures performances dans les classements, The Cutter atteignant la huitième place dans les charts singles et Porcupine terminant à la deuxième place du top albums avant d’être certifié disque d’or.

En 1984, ECHO & THE BUNNYMEN publie son quatrième album studio, Ocean Rain, considéré par beaucoup comme le classique du groupe. L’album a été enregistré à Liverpool et à Paris en compagnie d’un orchestre de 35 musiciens, avec le compositeur primé Adam Peters pour les cordes. La célèbre illustration atmosphérique de la pochette a été réalisée dans les superbes Carnglaze Caverns, en Cornouailles, par le photographe Brian Griffin, qui avait également photographié les pochettes des trois albums précédents. Ocean Rain prolonge l’utilisation des cordes, créant une aura sombre et éthérée. Trois singles phares ont été extraits de l’album – Silver, Seven Seas et l’hymne The Killing Moon, qui a atteint la neuvième place du classement des singles britanniques et continue de fasciner les nouvelles générations.

QUE DU BEAU POUR CETTE 41E ÉDITION!

La 41e édition du Festival International de Jazz de Montréal présenté par le Groupe Banque TD en collaboration avec Rio Tinto, se terminera de brillante façon avec le concert de Patrick Watson et celui du spectacle hommage de Modibo Keita pour souligner les 50 ans de l’album What’s Going On de Marvin Gaye, présenté en primeur au Festival! D’ailleurs, mentionnons que ce spectacle fera l’objet d’une émission spéciale sur ICI MUSIQUE.
La météo presque estivale fut la toile de fond idéale pour le retour du jazz au centre-ville ! Du 15 au 19 septembre, le Festival a présenté plus d’une cinquantaine d’artistes renommés qui ont enfin pu renouer avec un “vrai” public et leur faire vivre des moments précieux.
De plus, cette année, le public du Québec mais aussi entre autres du Canada, des États-Unis, de la France, du Japon, du Mexique, du Brésil et du Pérou, ont pu vibrer à l’unisson grâce aux webdiffusions gratuites des performances en direct de la scène TD et de la scène Rio Tintoune première dans l’histoire du festival.
Soulignons que près de 50% des artistes étaient des femmes dont trois têtes d’affiche sur 5 et plus de 40% des artistes étaient issus de la diversité.
Aussi, chapeau bas pour le travail soutenu des valeureuses équipes du Festival, qui en cette année particulière, ont su faire briller les artistes et offrir un site convivial pour les festivaliers et festivalières.
« Au cours des cinq derniers jours, nous n’avons vu que du beau. Des beaux sourires, de belles personnes qui écoutent de la belle musique.
Ces beaux sourires nous les avons vus partout :derrière la scène, sur la scène et surtout devant la scène ! »
– Laurent SaulnierVice-président, programmation, Festival International de Jazz de Montréal
QUELQUES BEAUX MOMENTS CHOISIS
Nous avons vu et entendu :
La beauté apaisante de BEYRIESLa beauté classique de Théo Abellard TrioLa beauté éclectique de Teke :: Teke La beauté improvisée de MISCLa beauté naturelle de Charlotte Day WilsonLa beauté tragique d’ElisapieLa beauté brute de Dawn Tyler WatsonLa beauté angélique de Basia BulatLa beauté audacieuse de Flore LaurentienneLa beauté collective du Blues Summit de Guy BélangerLa beauté festive de The BrooksLa beauté douce de ClerelLa beauté sauvage de Steve Hill
DU CONTENU NUMÉRIQUE EXCLUSIF À REVOIR 
Pour ceux et celles qui veulent revivre certains instants musicaux, soulignons que plusieurs vidéos exclusives seront disponibles gratuitement sur le site web du Festival.
Les Cartes Postales de Montréal présentées par Groupe Banque TD vous feront vivre la musique aux quatre coins de la ville ! Du Vieux-Port au Mont-Royal en passant par le Mile-End, vous aurez droit à des performances exclusives d’artistes d’ici – Kid Koala, Leif Vollebekk, Dominique Fils-Aimé, Zach Zoya et Léonie Gray.
Molécules musicales avec François Chartier : Le Festival vous invite à découvrir un concept unique développé par François Chartier Créateur d’harmonies, présenté par la SAQ et enregistré à Barcelone. L’idée maîtresse du concert « Molécules Musicales » est la transposition en musique de l’empreinte acoustique vibratoire des aliments, vins et boissons. Pour l’occasion, trois grands musiciens se sont prêtés au jeu de cette première mondiale.
L’Accès Blues Rogers: Une première signée Rogers vous amène en coulisses pour une rencontre intimiste et exclusive avec Guy Bélanger, accompagné des meilleurs bluesman et blueswomen. Soyez témoins de l’énergie qui habitait les nombreux invités du Blues Summit 2021 présenté le 15 septembre dernier dans le cadre du Festival.
Les Nocturnes présentées par Loto-Québec : Les mythiques concerts de fin de soirée du Festival étaient également de retour cette année ! Voyez tout ce que vous ne pouvez habituellement pas voir. Suivez les artistes en coulisses et vivez avec eux la fébrilité des minutes précédant les spectacles de Nomadic Massive, Nate Husser, Fredy V & The Foundation et Snotty Nose Rez Kids.
Et ne manquez de voir ou revoir les concerts d’Oliver Jones, de Wynton Marsalis, de Charlie Haden et d’Erik Truffaz ! Les Trésors du Festival présentés par Rio Tinto sauront réveiller la fibre nostalgique des plus grands fans du Festival.
Visitez le montrealjazzfest.com pour découvrir ces capsules vidéo exclusives !

REMERCIEMENTS
Merci au partenaire présentateur du Festival, le Groupe Banque TD et au coprésentateur Rio Tinto pour leur confiance renouvelée, ainsi qu’à Rogers, à Loto-Québec, à la Société des Alcools du Québec et à Molson Export.
Le Festival tient aussi à remercier chaleureusement pour leur soutien inestimable : le Gouvernement du Canada par le biais de Patrimoine canadienDéveloppement économique Canadala Fondation Musicactionle Gouvernement du Québec par le biais du Ministère du Tourismele Secrétariat à la région métropolitaine et la SODEC, la Ville de Montréal et Tourisme Montréal.
Nous souhaitons également souligner la précieuse collaboration de nos partenaires média : Radio-Canada / CBC, La Presse, Montreal Gazette et 98.5.
Le Festival International de Jazz de Montréalvous donne rendez-vous du 30 juin au 9 juillet 2022 !
montrealjazzfest.com
#FIJM | @FestivalJazzMtl

L’Orchestre de l’Agora présente la série de concerts Amalgames

Pour la toute première fois, l’Orchestre de l’Agora (OA) présente une série de concerts de musique de chambre, la série Amalgames. Les vendredis 17 septembre, 1er octobre, 8 octobre et 15 octobre 2021, à 19h30 chez Kin Experience.

Une envie collective

L’initiative est née d’un désir commun des musiciens et de l’équipe de l’OA de présenter de la musique de chambre au public : les musiciens ont directement participé à la programmation des concerts en proposant des thèmes et des œuvres de leurs choix. Des ensembles variés interpréteront des programmes audacieux pour cordes, piano, vents et cuivres. Les quatre concerts présentés devant public chez Kin Experience, un espace événementiel situé à proximité de la Place des Arts, feront briller autant de la musique du monde que celle de compositeurs québécois, canadiens et issus des premières nations, de même que des œuvres plus connues de Chostakovitch, Piazzolla, Brahms, Milhaud ou Prokofiev.

Un moment de rencontres

L’Orchestre de l’Agora, fondé par le chef Nicolas Ellis souhaite réinventer le rôle du musicien classique dans sa communauté et rendre la musique plus accessible. L’importance de créer un contact privilégié et intime entre le public et les musicien(ne)s est ainsi au cœur de ce projet. Chaque après-concert sera l’occasion pour le public de rencontrer nos musicien(ne)s autour d’un thé ou d’un verre, dans une ambiance festive et intime. Un bar sera disponible sur place et du thé Camellia Sinensis sera offert. Cette série permet aussi à l’OA d’étendre son impact dans la communauté, notamment en offrant de la musique au refuge pour femmes Chez Doris et en milieux de santé, avec la SAMS.

Amalgames inusités

  • 1er octobre 2021, 19h30 – Hautbois, clarinette, cor, violon, alto, contrebasse, piano.

La musique de chambre favorise souvent le blend, les sons qui s’entremêlent comme dans un quatuor à cordes, pour créer un tout harmonieux. Ce programme fait découvrir les façons dont certains compositeurs ont profité de timbres hétérogènes pour créer des œuvres tout à fait particulières.

Programme : Rebecca Clarke – Prelude, Allegro and Pastorale (Duo) ; Poulenc – Sonate pour hautbois et piano ; Brahms – Trio de cor, Mouv. I & II ; Prokofiev – Quintette en sol mineur, Op. 39.

Musiciens : Hautbois, Élise Poulin / Clarinette, Pedro Molina / Cor, Guillaume Roy  / Violon, Lise-Marie Riberdy / Alto, Marilou Lepage / Contrebasse, Samuel-San Vachon / Piano, Gaspard Tanguay-Labrosse

Le folk et le classique s’entrelacent

  • 8 octobre 2021, 19h30 – Quatuor à cordes, La Traverse (Nyckelharpa et violon de Hardanger)

Qu’il s’agisse des Danses hongroises de Brahms ou des Rhapsodies de Bartók, la musique folklorique a souvent été une source d’inspiration et de fascination pour les compositeurs classiques. Chaque œuvre de ce programme reflète à sa manière cette fascination. Certaines sont des transcriptions d’airs folkloriques, d’autres sont des œuvres originales qui rappellent certaines techniques de musique traditionnelle, comme le chant de gorge inuit. Le public pourra aussi découvrir les instruments folkloriques Nyckelharpa et violon de Hardanger (d’origine suédois et norvégiens) avec le duo La Traverse.

Programme : Sekstur from Vendsyssel / The Peat Dance (trad.) ; Wu Man – Two Chinese Paintings ; Rhiannon Giddens – At the purchaser’s option with variations ; Marcus Goddard – Allaqi ; Darius Milhaud, Quintette à cordes No.1 op 5 Mouv. IV ; Airs folkloriques avec Duo la Traverse.

Musiciens : Violon, Chloé Chabanole / Violon, Julien Patrice / Alto, Justin Almazan / Violoncelle, Thomas Beard / Duo La Traverse : Nyckelharpa, Simon Alexandre, Violon de Hardanger, Lise-Marie Riberdy

Les cordes enchantées

  • 15 octobre 2021, 19h30 – Quatuor à cordes, flûte, harpe et contrebasse.

Dans ce programme, la formation bien établie de quatuor à cordes est élargie pour inclure un nouvel instrument dans chaque pièce. Les œuvres comportant la flûte, la harpe et la contrebasse mettent en valeur leurs couleurs et textures uniques, soulignant la flexibilité et la diversité que ce nouvel ensemble de quintette a à offrir.

Programme : Hétu – Serenade op.45 ; Caplet – Conte fantastique ; Dvořák – Quintette à cordes, en sol majeur, Op. 77

Musiciens : Violon, Chloé Chabanole / Violon, Julien Patrice  / Alto, Cynthia Blanchon / Violoncelle, Thomas Beard / Contrebasse, Samuel-San Vachon / Flûte, Noémie Caron-Marcotte / Harpe, Alexandra Tibbitts

ANTOINE CORRIVEAU ANNONCE SA RENTRÉE MONTRÉALAISE 

Antoine Corriveau est un artiste à part entière. Débarqué dans le paysage québécois en 2011, c’est en 2014 qu’il marque l’imaginaire avec l’encensé Les Ombres Longues, pour lequel il rafle, par vote du public, le Prix de la chanson SOCAN avec sa pièce « Le nouveau vocabulaire »Cette Chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s’arrêter paraît en octobre 2016, et récolte notamment 4 nominations au Gala de l’ADISQ, il figure sur la longue liste du Prix de musique Polaris 2017, se retrouve dans les dix finalistes du Prix Félix Leclerc – et remporte le Prix André « Dédé » Fortin pour l’émergence au Gala de la SPACQ en plus de celui de l’album indie rock de l’année au Gala des GAMIQ 2017. Manifestement la réputation de l’artiste n’est plus à faire. Et si la proposition peut paraître, a priori, nichée, le marché de la grande francophonie suit déjà de près la carrière de Corriveau. À ce titre, soulignons d’ailleurs qu’il figurait parmi les cinq nouvelles voix à surveiller dans Le Point (France) : « On le compare souvent à Bashung. Il est vrai que leurs voix, leurs écritures, leurs allures ne sont pas tout à fait étrangères. » Le EP Feu de forêt paraît sur étiquette Secret City Records en novembre 2019, enchante les critiques en plus de gagner dans la catégorie EP Folk de l’année au GAMIQ 2019. Il récolte quatre étoiles dans La Presse et que des éloges en France et aux États-Unis: « Il demeure, plus que jamais, un authentique trésor. Trésor qu’on a le privilège de côtoyer de son vivant.[…] » (Tsugi), « un rock enivrant et cinématographique » (Brooklyn Vegan). 


Regardez PISSENLIT – le documentaire (la suite) en cliquant ici.
Regardez PISSENLIT – le documentaire en cliquant ici.
Regardez le vidéoclip de « Albany » en cliquant ici

Regardez le lyric video de « Quelqu’un » en cliquant ici.

DATES DE SPECTACLE

04 novembre – Sherbrooke @ La Petite Boîte Noire

13 novembre – Gatineau @ Le Minotaure

18 novembre – Chicoutimi @ La Nuit des Temps

19 novembre – Québec @ Grand Théâtre

25 novembre – Montréal @ La Sala Rossa

Veeby

D’origine Camerounaise et Québécoise d’adoption, Veeby, cette artiste accomplie qui nous fait vibrer à travers des chants afrosouls vous propose sa réinterprétation de « Wele Kuaku » avec ses propres couleurs, une voix douce sur des arrangements acoustiques qui viendra apaiser votre âme.

Cette pièce est une reprise de Fredy Massamba et signifie « Tu es parti » en Kikongo (Langue parlée en Afrique Centrale). « Wele Kuaku » exprime la douleur après une séparation.

Il y a plusieurs années de cela, la chanteuse a connu une situation personnelle plutôt difficile et au moment où elle a entendu la chanson de Massamba, sans même comprendre les paroles, elle s’est tout de suite sentie réconfortée et ce morceau lui a permis d’aller de l’avant. Puis, un jour, elle fait la rencontre du chanteur Fredy Massamba qui lui a alors expliqué la signification du texte et c’est à ce moment qu’elle comprit la raison de cette connexion avec cette musique.

10 ans plus tard, Veeby a simplement décidé de rendre hommage à ce titre qui l’a marqué. Les paroles décrivent l’urgence de se prendre en main à la suite d’une rupture et de la détermination à choisir l’amour au lieu de la haine lorsque nous sommes blessés.

La chanson distribuée par EMG (Éloquence Music Group) sera disponible dès le 15 octobre sur toutes les plateformes numériques. Originellement écrite par Fredy Massamba, composée par Fredy Massamba et Fred Hirschy, le mix et le matriçage ont été réalisés par David François et le vidéoclip produit par Orphée Lutula Okito. « Wele Kuaku » est le premier extrait vidéo du deuxième album de Veeby attendu pour le 29 octobre prochain sous l’étiquette de Hangaa Music. Un opus qui mettra en lumière une parcelle oubliée et très importante de l’histoire du peuple africain.

Laura Perrudin

Nouvel album Perspectives & AvatarsEn tournée dans toute la France et le 27/10 à Paris au Hasard Ludique
Chanteuse, harpiste, compositrice, productrice et autrice, Laura Perrudin a sorti l’album Perspectives & Avatars l’année dernière sur lequel on retrouve en invités Philippe Katherine, Emel Mathlouthi, Becca Stevens, Mélissa Laveaux…

Ce disque est un ovni pop aux frontières d’une soul teintée d’electronica et d’une folk expérimentale reposant sur l’utilisation originale d’un instrument créé spécialement pour elle : la harpe chromatique électrique.Prêtant sa voix singulière aux recherches et bidouillages électroniques qu’elle affectionne tant, Laura Perrudin compose un univers unique en son genre. A l’occasion du lancement de la tournée Perspective & AvatarsLaura Perrudin nous dévoile aujourd’hui le clip de Light Players. La tournée Perspectives et Avatars passera à Paris le 27/10 au Hasard Ludique et dans les principales villes de France.

Light Players illustre avec son clip en images de synthèse la balade d’un nuage. Pour rendre hommage à ces étranges créatures éphémères dont certaines sont menacées par le changement climatique, Laura Perrudin s’empare de ses crayons et réalise ici son premier clip en animation avec l’aide du motion designer Florent Bonneviale. 

Pour regarder et diffuser le clip de Light Players :https://youtu.be/Nq5wqHx88GE

Chanteuse et harpiste, compositrice, productrice et auteure, Laura Perrudin s’est faite connaître en 2015, avec son premier album Impressions, largement salué par la presse : Sélection du Monde, de FIP, des Inrocks ou encore de la BBC. Nourrie par le jazz depuis l’enfance, Laura Perrudin étudie très tôt la musique classique, puis s’intéresse aux musiques électroniques et traditionnelles, à la soul et au hip-hop… Elle se forme auprès de nombreux musiciens de sa Bretagne natale avant que ses pas ne la portent vers d’autres rencontres à Paris, New-York ou en Irlande.S’accompagnant à la harpe, acoustique, dans une ambiance folk ou électrique, elle évolue en funambule sur les fils qui relient la pop à l’expérimental, la profondeur des grooves à l’onirique des textures hallucinatoires.
Son deuxième album Poisons & Antidotes paru en septembre 2017 l’a clairement installée parmi les artistes « crossover » les plus en vue de la scène actuelle, « une exploratrice de premier plan à la voix enchanteresse » (Jazz à La Villette) adoubée par des scènes prestigieuses.
En septembre 2020 paraît son troisième album Perspectives & Avatars creusant le sillon d’une pop, de plus en plus soul, électrique et dansante, qui convie de prestigieux invités : Philippe Katherine, Emel Mathlouthi, Becca Stevens, Mélissa Laveaux…Très présente en solo ces dernières saisons, elle s’associe néanmoins volontiers à de magnifiques partenaires tels Louis WinsbergThéo CeccaldiMichel Benita
La Tournée Perspectives et Avatars :16.09.21 Paris (360 Music Factory)9.10.21 Agen13.10.21 Nancy14.10.21 Nancy22-23-24.10 Rennes27.10.21 Paris (Hasard Ludique) 28.10.21 Rotterdam27.11.21 Vezelay13.12.21 Besançon (Scène nationale)17.12.21 Maubeuge19.01.21 Metz (l’Arsenal)25.03.22 : Evreux (Tangram)