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Étiquette : Musique

QUELQUES MOIS APRÈS « LE POIDS DES LIVRES » ET SA VERVE DENSE, LE PROLIFIQUE RAPPEUR NE TARDE PAS ET DÉBARQUE, TOUT SAUF À COURT DE MOTS, AVEC UN NOUVEAU EP AFFÛTÉ. 

Journée d’anniversaire de Lary Kidd –  Le présage d’un disque de haut niveau s’est avéré juste. À peine vient-il de dévoiler « 3 Saisons » que l’artiste réitère déjà dans le tranchant. Double, triple, à sa convenance, selon la track. Au nombre de six sur Vulgaire démonstration d’ignoranceLary Kidd y multiplie les collaborations colossales et met de l’avant le talent de Loud20someLe IceImposs et Mike Zup. «Ce sont tous des artistes que je respecte beaucoup. Le projet n’est pas que all about me», mentionne-t-il. 

De «Big Fax» à «Drum Loop Outro», le parolier et rappeur à l’entourage fidèle renoue une fois de plus avec ses complices de longue date, Ruffsound (musique, réalisation et arrangements) et Ajust (enregistrement). Se joint ici à eux Stack Moolah (musique), un proche et sincère ami avec lequel il souhaite travailler depuis leurs premières rencontres.

Construit sur des sons directement pigés dans les années 90 et auxquels s’ajoutent d’abondants échantillonnages, Vulgaire démonstration d’ignorance laisse planer autour de lui un flou maîtrisé. Sans déclaration pointue quant à son propos, Lary Kidd se contentera d’appeler un chat un chat et de lancer au sujet son plus récent effort: «ce sont des chansons de rap». Futé.  Le brillant rappeur reprendra la route sous peu afin de présenter sur scène le fruit de ses derniers efforts. Québec et Rouyn-Noranda sont à l’agenda et un concert à Montréal sera annoncé sous peu

Depuis son arrivée sur la scène au tournant de la dernière décennie, Lary Kidd a su graver une marque indélébile sur le rap québécois. Tant au sein du légendaire groupe Loud Lary Ajust qu’en prestations solo, le rappeur et homme d’affaires montréalais cultive les punchlines aux images fortes. Un cocktail de lucidité, d’arrogance et de désinvolture dont lui seul connaît la recette. Un cocktail qui rentre fort. À chaque fois.

ALÉATOIRE 

Le producteur de musique électronique montréalais nous balance une son troisième album solo. Plus tôt cette année,  Aléatoire a fait paraître les monoplages «Avec toi», et l’apaisante «Vis à vis». Il a ainsi jeté les bases de ce nouvel album qu’il qualifie comme apogée de son art. Aléatoire a également rendu disponible une série de trois sessions live qui témoignent de l’immensité du talent créatif de l’artiste. Mémorial est un album personnel et authentique sur lequel le producteur signe 100% de la réalisation. Fidèle à sa signature, plus de la moitié des pièces demeurent instrumentales. 7 ans sépare Mémorial de son deuxième album; 
« Au cours des 7 dernières années, j’ai composé de nombreuses chansons dédiées à la personne qui partage ma vie. Ces chansons  très personnelles n’étaient produites que pour exister dans notre intimité. Je ne les ai jamais imaginé vivre en dehors de ma relation et pourtant aujourd’hui elles se retrouvent sur Mémorial. C’est donc un album qui expose ma vulnérabilité et qui a une signification profonde pour moi. » avance l’artiste.

Derrière les riches textures sonores des créations d’Aléatoire – de son vrai nom Charles-Alain Roy – se trouve un univers débordant de créativité et sans discrimination entre les genres musicaux. D’abord guitariste dans divers groupes rock, l’artiste a entrepris en musique électronique un parcours autodidacte guidé par la recherche et l’expérimentation. Jouant lui-même de plusieurs instruments, il se passionne pour l’échantillonnage et les effets sonores, toujours en quête de consonances chaudes, organiques et profondes. Les synthétiseurs analogues guident les mélodies accrocheuses et amènent vers de superbes titres imprégné d’émotions brutes. Niveau sonorité, le concept s’est imposé de lui-même; un mélange entre du bon indie pop psychédélique et des beats de rap. « Je suis très inspiré par le travail de Kanye West et surtout son masterpiece My Beautiful Dark Twisted Fantasy. Il m’a montré la voix afin de réussir à faire un successful genre-bending remplis d’émotions réelles.» explique fièrement le producteur. 

LANCEMENT HAUT EN COULEUR 

Le 25 novembre prochain, Aléatoire montera sur la scène du Ausgang Plaza afin de présenter son troisième album solo. Pour la première fois, le producteur montréalais présentera devant public le fruit de 5 ans de travail. Un album personnel et authentique traduit par un mélange unique d’indie pop psychédélique et de rap. Le public aura droit à une pluie de projections abstraites réalisées par l’artiste multidisciplinaire Andrée-Anne Roussel. Une rencontre entre l’art musicale et visuel viendra texturer et complémenter chacune des notes pour une expérience multi-sens. Les billets sont disponibles ici.

ENTRE VIOLENCE ET RÉSILIENCE:

FIDÈS PRÉSENTE SON TOUT PREMIER EP, OASIS
C’est aujourd’hui que l’étoile montante du rap québécois FIDÈS livre son tout premier EP, OASIS. Il s’agit d’une œuvre accomplie et incarnée sur laquelle elle travaille depuis deux ans avec ses fidèles collaborateurs, le beatmaker et créateur d’atmosphères KOLA (Nicolas Lajeunesse) et le guitariste et multi-instrumentiste Jeff Lauber, avec lesquels elle a remporté la 26e édition du concours Ma première Place des Arts (catégorie « groupes ») en mai dernier. Armée d’une plume qui déchire l’âme, d’un rap engagé et d’un son assumé aux influences R&B, jazz et électro, Marilou Lavoie, alias FIDÈS (« foi » en latin), souhaite rassembler le public autour d’un lieu commun, un cri étouffé: « Allo? ». Influencée dès son plus jeune âge par les écrits de Nelly Arcan et une grande diversité d’artistes, du répertoire québécois aux classiques du R&B américain, elle lève sa voix afin de rendre visible des enjeux trop souvent mis sous silence: la violence, l’exploitation humaine et les différentes formes de dépendance.

Après nous avoir présenté le single Cendrillon en septembre dernier, FIDÈS déploie le reste de son œuvre soigneusement ficelée. Le projet OASIS est inspiré par le silence, les rues de Montréal, les nuits blanches, les allers-retours, le hip-hop, le jazz et le funk. Les sept chansons de ce premier mini-album dévoilent différentes facettes de la féminité telles que présentées dans Les sept visages de Marie Madeleine (Jacqueline Kelen): la toute-petite, la toute-belle, l’ardente, la déchirée, la très silencieuse, l’éblouie et l’insaisissable. Signant tous les textes, l’auteure-interprète y dépeint une réalité qui lui est intime et allie sa voix à l’instrumentalisation accrocheuse et riche de KOLA et Jeff Lauber.

C’est ce soir au Ausgang Plaza qu’aura lieu le lancement du EP, présenté par La Shoebox. Au programme : un DJ set aux influences hip-hop, R&B et électronique par KOLA, une performance des titres d’OASIS par FIDÈS et ses deux musiciens, puis une dernière partie par le DJ unique en son genre Truwayz, qui transportera le public dans son univers jusqu’à la fin de la soirée. À ne pas manquer! Il est encore temps de vous procurer des billets, mais ceux-ci sont limités!

Vous vous en doutez bien… Une année bien remplie attend FIDÈS! Restez à l’affût!

POUR ÉCOUTER LE EP, C’EST ICI!

LES BILLETS DU LANCEMENT, AU COÛT DE 15$ TAXES ET FRAIS INCLUS, SONT DISPONIBLES ICI!

Gazoline III

C’est ça qui est ça, les punks les plus sellout de la province s’en viennent avec un album le 12 novembre: Gazoline III, réalisé par Gus van Go (Les Trois Accords, Sam Roberts, Robert Charlebois et +). Alors que le principe de plaisir regagne tranquillement le droit d’être dans les salles de spectacles, Gazoline prendra la route de la province pour y lancer son meilleur disque à vie (jusqu’au prochain, on s’entend), une déferlante d’hymnes d’aréna et de grooves olympiens, étonnement menés par des guitares sans distorsion aucune. Le disque se veut une épigramme sur la santé du défunt concept de band, du Rock avec un grand R, de l’industrie ou des médias : tout le monde y passe un peu. Même son propre public durant le refrain fédérateur mais insidieux du titre « Jessica ». 
 

Qu’est ce tu penses de cette chanson là
J’ai écris ta chanson préférée, Jessica
Je l’ai écrite en pensant à toi ou à une de tes amies
Jessica n’existe pas
C’est juste une tactique des artistes pop
Achète mon concert amène tes amies 
Donne-nous ton argent, Jessica


Résultat, un album presque concept, ou méta, c’est le mot, par un band qui toffe encore dans un monde qui n’a plus tant besoin de lui, prêt à tout pour savourer sa dernière chance. La pochette est un autre message clair : une photo sans visages, possiblement saccagée par un ex-fan qui en voulait de la « disto » , lui.  
Comment réinventer ce fameux rock, désormais renié par tous au profit de genre à 4 mots? En le tuant, le brassant, en choquant les vieux de la vieille : Gazoline ne se privera pas de piger à gauche à droite, du new ja­ck swing au « shoegaze », pour orchestrer son retour. C’est sérieux ou pas? Un peu assurément, mais pas tant. Résolument satirique dans la plupart de ses propos, Gazoline III reste un véritable défilé de refrains puissants et audacieux, sans temps morts, une promesse toujours tenue par le groupe depuis ses débuts en 2012.
Dès l’ouverture du premier extrait « 3 minutes 5 secondes », la table est mise : un ultimatum livré par le (véritable) gérant du label, le temps d’un message vocal. La cavalerie sera appelée pour épargner Gazoline, probablement au coût de son âme, vers une recherche du hit total. La formation comptera malgré tout parmi ses alliés le réalisateur Gus van Go ou même Simon Brouillard du groupe culte des 60s les Lutins dans le rôle de hype man. Le point culminant de cette « descente aux enfers », ou éveil créatif c’est selon, viendra avec « Jessica #2 », une suite presque grunge et tonitruante aux singles commerciaux du début de l’album, puis à « Les partys de l’industrie du disque », offrande post-punk voire emo des années 2000 sur l’angoisse d’un artiste presque populaire dans des milieux faussement bobos, marque une finale on ne peut plus éloignée des sons du début de Gazoline III.
Une sortie le 12 novembre chez Duprince. Lancement-spectacle avec mise en scène dePestacle et musiciens invités au National le 12 novembre, puis tournée du Québec.
 

En concert 

12 novembre – National, Montréal

19 novembre – CEM, Saguenay

25 novembre – La Petite Boite Noire, Sherbrooke

18 décembre – Le Minotaure, Gatineau

3 mars – L’Anti, Québec

MARCO EMA NOUS FAIT CADEAU D’UN PREMIER ALBUM « OÙ NOS CORPS S’EN VONT MOURIR »

Nouvelle révélation de la scène indie pop québécoise, Marco Ema dévoile aujourd’hui son très attendu premier album intitulé Où nos corps s’en vont mourir. Après le succès de « Janvier vient te reprendre » et « Ceci n’est pas une chanson d’amour », l’artiste propose un opus bien personnel, une irrésistible suite logique à ces deux extraits.

Passionné des mots et de la musique, Marco Ema nous offre un album au titre à priori un peu glauque, mais qui n’a pourtant rien de démoralisant! L’artiste nous fait en effet cadeau de 11 chansons feel good aux sonorités lumineuses et aux mélodies accrocheuses habilement produites par Simon Pedneault (Lou-Adriane Cassidy, Gabrielle Shonk, Tire le Coyote), qui joue d’ailleurs plusieurs instruments sur l’album. Et pour compléter la solide équipe qui l’entoure, l’artiste s’accompagne également de Vincent Gagnon aux claviers et de Pierre-Emmanuel Beaudoin à la batterie et aux percussions, tandis que Lou-Adriane Cassidy et Ariane Roy viennent le rejoindre aux chœurs.

Promis au succès par sa fougue et son talent indéniable pour l’assemblage des mots, Marco Ema livre des textes sensibles, bien ancrés dans le présent d’un jeune adulte. Teinté par la pandémie et ses premiers rapports avec la mort, plus l’album avance, plus les questionnements existentiels font surface, toujours dans l’esthétique banlieusarde et nostalgique qu’on lui connait.

C’est d’ailleurs dans un Club Soda métamorphosé en banlieue par un décor unique créé par l’équipe de Pestacle (Santa Teresa, La Noce, Mile Ex End) que Marco Ema a offert pour la première fois son nouvel album. Pour rejoindre l’imaginaire de l’album, une mini ville a été bâtit à l’intérieur du Club Soda où le public a pu s’asseoir sur les toits des mini maisons afin de regarder le spectacle. Des chansons dansantes aux pièces plus intimes où il se retrouve seul au piano, il n’a pas manqué de susciter l’émerveillement d’une foule déjà conquise, qui connaissait les paroles par cœur. Pour ceux et celles qui ont manqué l’événement, le spectacle sera diffusé gratuitement le 18 novembre prochain sur Facebook.

L’artiste s’arrêtera d’ailleurs dans sa ville natale de Thetford Mines le 20 novembre prochain pour fouler les planches de la Salle Dussault, et celle du Cabaret la Basoche de Gatineau le lendemain. Il sera également de passage en concert à Rimouski le 18 décembre.

Et qui dit nouvel album, dit aussi nouvelles dates de spectacle annoncées prochainement. Détails et billets disponibles au www.marcoema.com.

Bianca Rocha en spectacleau Résonance Café le 2 décembre

Fière représentante de la nouvelle musique populaire brésilienne, ou MPB, l’autrice-compositrice-interprète Bianca Rocha présentera les pièces de Fim de Mundo, son premier album, lors d’un spectacle qui aura lieu le 2 décembre au Résonance Café, à Montréal.

Fim de Mundo réunit des chansons pleines de fraîcheur, ponctuées de réflexions sur l’importance des racines, les relations amoureuses et la renaissance. Née dans le sud du Brésil et établie à Montréal depuis 2019, Bianca Rocha aime mélanger les cultures, les accents et les rythmes. Essentiellement en portugais, ses chansons font aussi un clin d’œil à l’espagnol, au français et à l’italien.

Sur scène, Bianca Rocha sera accompagnée du contrebassiste Erivan Duarte, des guitaristes André Galamba et Rodrigo Simoes, de la batteuse Lara Klaus ainsi que du saxophoniste et flûtiste Gabriel Schwartz. 
Détails du spectacle
Résonance Café
Jeudi 2 décembre, à 21 h
Renseignements : https://fb.me/e/2xtzTyDb8

UN PREMIER EP POUR NICKIE MORRIGANE

Après des années à frayer dans les eaux fastes de la musique électro instrumentale, la pianiste Nickie Morrigane lance aujourd’hui un tout premier EP de chansons en français : Tout larguer. Avec une voix grave et intense sur des textes aux images amples et travaillées, les quatre titres se dévoilent avec pour seule capitaine à la barre Nickie Morrigane, qui fait ici office de compositrice, multi-instrumentiste, arrangeuse et réalisatrice. Un univers musical clair-obscur à grand déploiement qu’on pourra découvrir sur toutes les plateformes numériques dès aujourd’hui.


Il y aura des jours de peine, des temps morts et des temps gris
Alors je me nommerai capitaine à bord de mon chalutier
Je combattrai vents et marée pour qu’à chaque jour suffit sa peine
Pour qu’à chaque jour le soleil se lève sur l’aube des naufragées
Même quand j’aurai tout largué
Et s’il ne reste plus que la moitié d’un rêve
Qu’un gouvernail brisé et un demi-mât de misaine


Quatre titres et un vidéoclip
L’album Tout larguer s’ouvre sur la chanson-titre, une invitation à prendre son courage à deux mains pour revenir à l’essentiel où le piano et les cordes s’échangent les envolées. Les arrangements orchestraux donnent le ton à ce texte inspiré, puis se déposent dans « Mille fois », une lente marche d’abord qui prend son élan ensuite avec un refrain aux programmations rythmées, toutes imaginées par Nickie Morrigane, qui se dit fortement inspirée par Lana Del Rey et Loreena McKennitt, entre autres. Avec « Nova 70 », c’est plutôt la guitare qui mène le bal alors que les vocalises nous racontent l’arrivée inquiétante de la tempête et l’importance de saisir l’instant présent. Après une poussée vocale où on découvre toute la puissance de la chanteuse, l’album se termine sur « Lux In Tenebris », une pièce instrumentale où cordes, piano et percussions se partagent le projecteur. 

La chanson « Mille fois » fera l’objet d’un vidéoclip, également produit et réalisé par Nickie Morrigane, et tourné au cœur du Vieux-Rosemont, à Montréal. Tout comme le mini-album, le vidéoclip sera lancé dès aujourd’hui.

Qui est Nickie Morrigane ?
Nickie Morrigane est née en Gaspésie, mais vit depuis longtemps à Montréal. Elle étudie le piano classique dès l’âge de 6 ans, puis s’initie à la guitare à 15 ans. Adolescente, elle fonde son premier groupe de rock métal entièrement féminin, Slightly Mad, dans lequel elle assure la guitare électrique et la voix principale. Le groupe est actif sur la scène locale de 1996 à 1999. En 2006, elle enregistre un premier album de composition avec nul autre que Daniel Mercure aux arrangements. Nickie Morrigane s’équipe ensuite d’un studio professionnel avec lequel elle crée le projet de musique instrumentale électronique Boneyard 44, pour lequel elle produit également de nombreux vidéoclips. Tout larguer sera son premier album de compositions francophones, elle en assure la composition, l’interprétation, la réalisation et la production de la première note à la dernière.

STILL FRESH

« AMOUR NOIR (SAISON 4) »

STILL FRESH, 28 ans, est né dans le 93 aux Lilas et a grandi dans le quartier des Fougères. C’est à l’âge de 12 ans, en écoutant les CDs de ses grands frères – notamment le groupe La Mafia K’1 Fry – à fond dans les oreilles, que le jeune artiste du XXème arrondissement décide d’écrire ses premiers textes.

Un an plus tard, il fait sa première scène à la Fête de Quartier de sa cité. Moblack décide de devenir son producteur et Xavier son manager. À eux trois, l’aventure commence. STILL FRESH enregistre alors ses morceaux sur leur label indépendant Nouvelle Ecole.

STILL FRESH s’inspire du monde qui l’entoure. Il raconte des histoires d’amours tragiques, sur des mélodies dansantes ou encore des relations amicales qui tournent mal… Un mélange qu’on retrouve dans son album “Coeur Noir”, sorti le 29 septembre 2017, certifié disque d’or un peu plus de 3 mois après sa sortie, avec 4 singles d’or dont “Je te vois”.

STILL FRESH attaque 2021 avec une série de EP intitulés “Amour Noir”. Productif comme jamais et épaulé principalement par le réalisateur Biggie Jo, l’artiste décide de sortir 4 EP dont certains titres (“Comme toi”, “Même scénario”…) vont marquer fortement son public. Après le volume 3 de la série de EPs sorti en septembre, l’artiste revient avec un “Amour Noir (saison 4)” mélancolique et empreint de maturité. Le jeune homme étudie habilement la frontière entre amitié et amour et interroge ses relations passées. Accompagné de Lefa et de Lartiste, STILL FRESH nous plonge dans un univers onirique dans lequel il manie les mots avec aisance.

A l’image de la cover précédente et de celle du nouvel EP, on devine la continuité́ d’une histoire qui va de mal en pire et si son côté bad boy est pleinement assumé, c’est aussi avec douceur et introspection qu’il se livre sur ses désirs.

Condor : l’album-événement de René Simard

Pour souligner comme il se doit les 50 ans d’une carrière exceptionnelle, celle du « p’tit Simard » devenu un artiste aux mille talents parmi les plus aimés des Québécois et des Québécoises, Musicor Disques, en collaboration avec Échos Vedettes Biographie, lance aujourd’hui l’album-événement Condor de René Simard.
 
René Simard y offre des duos complices avec quelques-unes des plus grandes voix d’ici : Bruno Pelletier (Condor), Brigitte Boisjoli (Les jours meilleurs), Corey Hart (Chacun sa vie), Véronic Dicaire (Rêver encore), Gregory Charles (Quand la musique joue), Marc Hervieux (Les prochains pas), Mario Pelchat (Tout pour le tout), Luce Dufault (Un monde à nous), Marina Orsini (Dix ans déjà) qui en cosigne les paroles sur une musique de Christian Marc Gendronainsi que Sylvain Cossette qui a écrit la pièce interprétée (Plus fort). Outre ces deux dernières, les autres chansons originales qui composent l’album Condor ont été écrites tour à tour par les paroliers Yves MorinFrédérick Baron et Nelson Minville, sur des musiques du réalisateur et musicien André Leclair. En clôture du disque, on retrouve Tu n’es pas seul premier extrait de l’album et fruit d’une rencontre entre René Simard et trois grands amis : Mario Pelchat, Bruno Pelletier et Gregory Charles !
 

« En 1971, ma carrière prend son envol grâce à la chanson L’Oiseau. L’énergie et la candeur de mes 10 ans me font croire en ce métier qui me semble si magique. Maintenant, pourquoi Condor ? Parce que cet oiseau immense peut voler en très haute altitude et ainsi avoir une bonne perspective de notre monde terrestre. Ce qu’un tout petit oiseau ne saurait faire…
 
Pour célébrer mon 50e, j’ai demandé à des ami.e.s artistes de prendre part à la fête en interprétant avec moi diverses chansons originales, qui reflètent toutes des sujets qui m’interpellent. Leur générosité m’a touché au plus haut point. C’est purement un merveilleux cadeau que je m’offre pour mes 50 ans de carrière. Bonne écoute ! »

 
– René Simard

 
Cinquante ans après avoir chaviré le Québec et une partie de la planète avec son interprétation de L’OiseauRené Simard, du haut de ses 60 ans, tend aujourd’hui Condor, un 53e disque en carrière. Un album-événement pour célébrer de belle façon les 50 années d’un parcours remarquable, celui d’un artiste pas « comme les autres », que l’on aime toujours autant.
 
Condor est offert dès aujourd’hui en duo exclusif avec le magazine Échos Vedettes Biographie, spécial René Simard. Cette édition unique, contenant plus de 150 photos d’archives, permettra de revivre la carrière incroyable de l’artiste, à travers anecdotes et entrevues exclusives  et touchantes, est disponible en kiosques et via ce lien: jemagazine.ca/rene !
 
 
René Simard, 50 ans d’amour
Un regard intime et ludique sur la carrière et l’œuvre de René Simard!
À TVA, DIMANCHE LE 5 DÉCEMBRE À 19 h 30
 
TVA présentera René Simard, 50 ans d’amour, produit par Zone 3 en collaboration avec Québec Contenu. Le documentaire fera  un retour sur le parcours fascinant de l’artiste et un regard sur l’année mouvementée de son 50e anniversaire artistique. Chanteur, animateur, comédien, metteur en scène, réalisateur, producteur, danseur, imitateur, bref, l’homme semble savoir tout faire, autant sur scène qu’aux alentours. Quel est son secret derrière cette étonnante polyvalence ? Pour connaître la réponse, on a suivi l’artiste lors de divers moments professionnels importants, en cette année où il célèbre son 50e anniversaire artistique. On l’a aussi accompagné lors de rares temps libres où, en compagnie de ses collaborateurs et de sa famille, il laisse échapper la pression avec sa bonne humeur légendaire, son humour taquin et son sens de l’autodérision. Parmi les invités : sa conjointe Marie-Josée Taillefer et leurs enfants Rosalie et Olivier, son agente Claudine BachandDominique Michel et Patrice L’ÉcuyerMarie-Claude Barrette, sa confidente dans ce documentaire, s’entretient avec René qui se livre sur les différentes étapes de sa vie et de sa carrière. À ne pas manquer !

Sarāb

Nouvel album Arwāh HurraSortie le 12/11/2021 chez L’Autre Distribution
Invitation : Pour venir écouter Sarāb en concert le lundi 15 novembre au Pan Piper, 2-4 impasse Lamier, 75011 à l’occasion de la sortie de l’album Arwāh Hurra, merci de me confirmer votre présence.
 Sarāb est de retour avec son second album Arwāh Hurra, que l’on pourrait traduire par Âmes Libres, et qui est prévu le 12 novembre 2021 chez L’Autre Distribution. L’album approfondit un style unique et engagé, entre jazz, rock et musique du Moyen Orient.
Né de la rencontre entre la chanteuse franco-syrienne Climène Zarkan et le guitariste Baptiste Ferrandis, Sarāb, qui signifie mirage en arabe, est un édifice musical qui combine rock, jazz moderne et musiques traditionnelles arabes. Le duo s’est vite transformé en une créature à six têtes, où chacun est devenu indispensable à la création musicale. Les six musiciens du groupe se jouent des frontières et des genres. Sarāb est un groupe franco-syrien de jazz rock arabe de six membres. Le groupe s’est formé à Paris en 2018. Un mirage musical qui navigue entre plusieurs univers avec en invités le percussionniste Wassim Hallal, le joueur de saz Abdallah Abozekry ou encore l’auteur engagé et écrivain de science-fiction Alain Damasio. Premier extrait, on découvre Yally shaghalt al bāl en vidéo (celui qui occupe mes pensées).

Pour regarder et diffuser le clip de Yally shaghalt al bāl : 
https://youtu.be/MLqDI-usBx4