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Bon Enfant annonce la date de sortie de l’album Diorama

À paraître le 1er octobre 2021 via Duprince
En précommande maintenant 
Prime tenant et champion de l’accord « médiéval fantastique + vin », Bon Enfant s’est dévoilé à l’automne 2019 avec un premier album homonyme sous Duprince – célébré comme meilleur franco de l’année par Le Devoir et récompensé du Lucien de l’Album rock de l’année au GAMIQ. Ça a été fulgurant, mais c’était issu d’une gestation d’un bon 5 ans pendant lesquels Daphné Brissette (Canailles) et Guillaume Chiasson (Ponctuation) avaient brigué pour célébrer leurs intérêts communs (susmentionnés, + la musique aussi) – pour s’octroyer des terrains nouveaux, en marge de leurs pratiques précédentes.Intégrant Etienne Côté (Canailles, Lumière), Mélissa Fortin (Canailles) et Alex Burger (lui-même) à son giron, le duo est devenu groupe et s’est mis à jammer en capable, transformant des premières versions grâce au regard extérieur des nouveaux arrivés, pis ça a commencé à se passer pour vrai. Premier résultat, Bon Enfant (l’album) était un florilège de pop québ aux grooves bien-allants, précisé de flottements tie-dye, de disco anatolien, de rock saharien, de vibrantes portées nancysinatraesques et de timbres cordiaux et fébriles (les timbres – le groupe insiste sur les timbres, les timbres ça se définit et c’est important). Des chansons co-écrites par Brissette et Chiasson, en français, mais en français poilu – comme Molière avec une barbe.  Se faisant d’abord un nom en assurant quelques pas pires premières parties, Bon Enfant commençait sa propre tournée en 2020 quand toute a pris l’bord au profit du ralenti. Chauffé par un engouement qui allait grandissant malgré l’absence de shows, le groupe s’est lancé dans la suite, s’érigeant des bulles pour se rapprocher encore davantage. Les efforts concentrés ont débouché sur une synergie et une palette sonore plus grandes, conservant les aspects préférés du premier et chassant les restrictions préventives – dans leurs mots : « moins tie-dye, plus motté, plus Histoire sans fin que Game of Thrones, mais y a encore du vin ». Le spectre des inspirations transmutées se déplace de début 70 à fin 70 / début 80, bigarré et gorgé de musique à l’image projetant l’imaginaire et le fabuleux, de disco naïf et emprunté, de hard et de glam rock, de pop nippone et de folk pastoral, en esquivant le pastiche toujours, pour façonner un rock québ perméable et ouvert. L’écriture va, large et orfévrée, dans un sens; les arrangements, idem, dans un autre : un clash exploité qui ouvre encore plus de portes.Ça s’en vient, donc. Diorama, que ça va s’appeler. Ça a été réalisé par Emmanuel Éthier, et ça sort sous Duprince le 1er octobre 2021 – fin prêt pour quand la vie va reprendre, pour saisir à nouveau les résonances de ce qui nous unit. 

Bon Enfant : c’est à nous autres, ça, et tout le monde vous souhaite une excellente journée.

Le Petit Septième et le Festival du film et de l’art à impact social (SIFA Festival) annoncent un partenariat

Le Petit Septième et le SIFA Festival sont heureux d’annoncer qu’ils s’associent pour la première édition du festival, qui se déroulera en juin 2022, à Montréal.

Il y a des rencontres qui changent les choses. Et lorsque le cinéma et le social se croisent, les choses peuvent bouger. L’objectif du festival est, d’ailleurs, d’aider les artistes et organismes à faire valoir leurs projets sociaux afin que ceux-ci puisse se réaliser. Et plus le nombre d’artistes rejoints sera grand, plus il y aura de projets qui pourront trouver le chemin de la réalisation.

Ce partenariat, c’est deux passions qui se rencontrent. Le festival a déjà reçu plusieurs inscriptions, mais en s’associant à LPS, c’est une autre catégorie de créateurs, de citoyens et d’organisations qui pourront être rejoints.

« Pour Le Petit Septième, c’est une belle occasion de s’impliquer au-delà du cinéma. En travaillant avec le SIFA Festival, nous pourrons contribuer à sensibiliser les gens à certains enjeux sociaux, mais aussi à changer les choses. » explique François Grondin, propriétaire du Petit Septième.

En effet, Le Petit Septième mettait déjà beaucoup de passion à présenter des fictions et des documentaires présentant des enjeux, mais surtout des pistes de solutions. Le partenariat avec l’équipe de Thi Be Nguyen est l’étape suivante dans l’implication d’une entreprise qui veut contribuer au bien social.

« Le partenariat entre le SIFA Festival et le média Le Petit Septième permettra de faire rayonner davantage les films et les projets d’art ayant un impact positif dans la société. Nous voulons mettre en valeur et attirer l’attention sur le cinéma et l’art qui font la différence. De plus, nous valorisons des projets qui favorisent la réflexion et le dialogue constructifs dans le but de proposer des solutions potentielles à des enjeux. Nous croyons que c’est ensemble que la société pourrait bâtir un meilleur avenir pour les générations à venir. » déclare Thi Be Nguyen, présidente-fondatrice du SIFA Festival.

En effet, Le Petit Septième mettait déjà beaucoup de passion à présenter des fictions et des documentaires présentant des enjeux, mais surtout des pistes de solutions. Le partenariat avec l’équipe de Thi Be Nguyen est l’étape suivante dans l’implication d’une entreprise qui veut contribuer au bien social.

« Le partenariat entre le SIFA Festival et le média Le Petit Septième permettra de faire rayonner davantage les films et les projets d’art ayant un impact positif dans la société. Nous voulons mettre en valeur et attirer l’attention sur le cinéma et l’art qui font la différence. De plus, nous valorisons des projets qui favorisent la réflexion et le dialogue constructifs dans le but de proposer des solutions potentielles à des enjeux. Nous croyons que c’est ensemble que la société pourrait bâtir un meilleur avenir pour les générations à venir. » déclare Thi Be Nguyen, présidente-fondatrice du SIFA Festival.

OBI BORA BLACK PRAYERS

“Heureux qui comme ObiBora a fait un long voyage. Heureux surtout d’avoir survécu pour nous soumettre Black Prayers, fruit musical mûri à la lumière de cette expérience hors du commun, conçu dans l’âpreté d’un exil au long court, au terme de tribulations qui dessinent le tracé d’une odyssée des temps modernes partagée par des milliers de migrants comme lui. Echapper à une identité aussi fantomatique, aussi discriminante que celle de migrant est la raison d’être de Black Prayers, « prières noires » que le musicien lyonnais Cédric de La Chapelle a aidé à formuler dans une turbulente et fertile confluence où s’éprennent rap, électro et afro beat, où se remémorent, pour s’en libérer, les traumas du long, éreintant périple accompli, où s’expriment les espoirs du rescapé.

C’est à 23 ans qu’Obi Bora finit par choisir la route de l’exil. Aventure qui le conduit à travers le désert, lui fait endurer la faim, la soif, fuir les bandits qui prennent en chasse les migrants, enchainer les nuits sans toit et les internements. Des côtes marocaines à celles de l‘Espagne, des camps de réfugiés espagnols aux prisons suisses, en passant par les foyers et la rue en Italie, jusqu’aux squats de la Croix-Rousse à Lyon, une errance de 10 ans, mille fois torpillée par le doute, minée par le désespoir et même le renoncement. Mais qui a aussi contribué à forger en lui cette capacité à survivre pour au final réaliser ce rêve, longtemps caressé comme une inaccessible étoile, ce premier disque qui le rembourse en partie des souffrances endurées. Nourris de cette expérience, les 8 titres de Black Prayers traduisent avec force, en langage sonore contemporain, cette destinée de naufragé, ce vécu de déraciné en quête d’une nouvelle vie.

Pétries de peur ou sublimées par elle, certaines revêtent leur habits de guerre telles “Jealous” ou “Soul Taker“, quand d’autres s’affirment dans une désarmante nudité comme “No One“, émouvant hommage à la destinée qui guide les pas du voyageur et le protège des ennemis. La peur, mais aussi l’espoir qui insuffle à toutes ces chansons une pulsion positive, véritables chants d’encouragement pour puiser en soi-même la force de continuer, et croire en un avenir possible. Encouragements pour soi-même, à l’image de “Never Give Up“, mais aussi offerts à tous les oubliés de l’Histoire, les compagnons d’infor- tune croisés dans son errance : « I will pray for you » répète t’il dans le refrain de “Light‘N’Darkness“. Les compagnons d’infortune, il en est aussi directement question dans “Slave We“, témoignage coup- de-poing sur les conditions de vie des demandeurs d’asiles africains dans nos villes d’Europe, entassés dans des squats insalubres. Des chansons du voyage, à deux exceptions prés : “Ye Le Le“, « me voici » en Igbo, nous parle de sa vie d’avant le voyage, de la violence et de la pauvreté au Nigeria, ainsi que du moment où il a annoncé à sa mère son départ sans retour. Et à l’autre extrémité du voyage, “Turn Around” : Obi est devenu un artiste, la musique l’a sauvé, et il peut enfin tourner en harmonie avec la Terre et le Ciel, en accord avec la vie, en non plus contre la ronde du monde comme il le faisait jusque là.

Les chansons ont été finalisées en collaboration avec le multi instrumentiste Cédric de La Chapelle, que le hasard a mis sur sa route en juillet 2019, et qui a tout de suite été saisi par son talent. Depuis, Cédric « prolonge le geste musical » d’Obi à partir des maquettes composées depuis son squat sur un ordinateur portable acheté grâce aux maigres revenus des petits boulots réalisés en prison. Jadis aux commandes de l’éphémère et analogique Ginger Accident, qui accompagnait Slow Joe, Cédric a su cette fois, entre machines et samples, donner aux structures préalablement ébau- chées par Obi, une vérité formelle qui révèle leur imposante profondeur d’âme. « La leçon de son parcours et de ses musiques résume Cédric, c’est qu’à la fin on peut toujours trouver en soi la force pour avancer ».

Un parcours décidément hors norme, qui portera loin les Black Prayers d’Obi Bora.

Just a Beginning le 1er album live de Andy Emler Mega Octet, et célèbre ainsi les 30 ans du Mega Octet

sortie le 15 Octobre prochain

Un concert du Méga, est une expérience sensorielle particulière. Ce qui nous emporte, nous fascine provient d’une énergie collective unique ; un ensemble de forces individuelles savamment combinées pour la fabrication d’une transe, d’une fusion immédiatement reconnaissable. Cette fabrication nous est donnée à déguster dans une cérémonie parfaitement réglée. 

 Le Mégaoctet a ses recettes, ses passages requis, immanquables. A la manière d’un combo Rock revenant toujours plus intensément sur sa profondeur de chant, l’orchestre a su au fil des ans se forger une façon a lui de vibrer à l’unisson. Un unisson extravagant, jubilatoire, parfois drôle, toujours très puissant, envoutant. 

Ces 20 dernières années, le  MégaOctet s’est consolidé notamment autour de :

Laurent Blondiau (trompette), Philippe Sellam et Guillaume Orti (sax alto), Laurent Dehors (sax ténor, clarinettes), François Thuillier (tuba), Eric Echampard (batterie), François Verly (percussions) et Claude Tchamitchian (contrebasse). Ils sont aujourd’hui, les gardiens d’une flamme qui traverse le temps, marque ses époques. 

Si tous ces forts en gueule, ces personnalités ébouriffantes ont étés si fidèles c’est bien pour ce moment extatique qu’ils vivent et nous donne à vivre lors d’un concert.

L’œuvre de Andy Emler avec son MégaOctet est là :  au moment du concert, sans distance, sans artifice il a le don du partage. Et cet instant si méticuleusement préparé est propice à toutes les découvertes les plus fructueuses, aux joies nouvelles. 

« Just a beginning » est le premier témoignage discographique d’un concert du MégaOctet . Si rien ne remplacera jamais l’expérience du contact direct avec ce groupe hors norme, il nous a semblé que cet enregistrement était, enfin, une traduction satisfaisante de l’Univers du « Méga » sur scène.  Réalisé sous les bons auspices du festival de Nevers, il permet aussi d’entendre les improvisateurs voltigeurs que sont Médéric Colignon, Thomas de Pourquery et Nguyen Lê, tous trois revenus « au bercail » le temps de ce programme inédit. 

DENIS GRAVEL ANIMERA L’ÉMISSION DU RETOUR SUR LES ONDES DE BLVD 102,1

La station BLVD 102,1 est fière d’annoncer la signature d’un contrat avec l’animateur Denis Gravel. Dès 14h aujourd’hui, il prendra la barre de l’émission Gravel dans le retour en compagnie de sa complice de longue date, Véronique Bergeron.

«Pour nous c’est le scénario rêvé et la suite logique de ce qu’on a bâti», explique Denis Gravel avec enthousiasme. «On a très hâte de plonger avec une gang qui a l’air super trippante et passionnée. On ne peut pas demander mieux!»

Le directeur de la programmation de BLVD 102,1, Claude-Éric Girard, renchérit avec fierté : «On embauche l’animateur du retour préféré des gens de Québec. C’est une acquisition extrêmement stimulante pour notre jeune antenne!»

À partir du mardi 7 septembre, Denis Gravel animera aussi en direct l’émission du midi, La meilleure heure de musique au monde! chaque jour de la semaine de 11h30 à 13h sur les ondes de BLVD 102,1.

Rej Laplanche s’installe dans l’émission du matin Rej Laplanche, qui animait l’émission du retour, prend les rênes de l’émission matinale Rej against le matin, en compagnie d’Élodie Déry et de Marc-André Lord, du lundi au vendredi de 6h à 9h30.

BLVD 102,1 poursuit sa vocation rock

« On souhaitait offrir plus de contenu, plus d’actualité à notre auditoire. Avec l’arrivée de Denis et Véro, on continuera à faire vibrer les amateurs de rock tout en nourrissant leurs différents champs d’intérêts », explique M. Girard.

PROGRAMMATION COMPLÈTE AUTOMNE 2021 DE BLVD 102,1

REJ AGAINST LE MATIN, avec Rej Laplanche, Élodie Déry et Marc-André Lord, en semaine de 6h à 9h30 Le mélange parfait de rock, d’information et de divertissement, c’est avec Rej against le matin que vous le trouverez. Vous verrez, ce sera facile d’affronter le matin avec Rej, Élo et MAL!

LE RAPPEL D’ÉLO, avec Élodie Déry, en semaine de 9h30 à 11h30 La pétillante Élo rocke vos matinées au boulot. Avec de la bonne musique, les journées de travail passent plus vite. Vous ne verrez pas le temps filer que ce sera déjà l’heure du lunch!

LA MEILLEURE HEURE DE MUSIQUE AU MONDE!, avec Denis Gravel, en semaine de 11h30 à 13h

Vous aimez le rock et vous aimez Denis Gravel? Vous allez adorer la meilleure heure de musique au monde à BLVD 102,1.

EN FRANÇAIS SVP!, avec Rej Laplanche, en semaine de 13h à 14h

Une émission de rock francophone dans laquelle on donne de l’amour à notre musique d’ici.

GRAVEL DANS LE RETOUR, avec Denis Gravel, Véronique Bergeron et Audrey Painchaud, en semaine de 14h à 18h

BLVD 102,1, c’est plus que du rock. C’est aussi votre destination pour écouter la célèbre émission Gravel dans le retour. Retrouvez la formule qui a fait le succès de cette émission avec Denis Gravel et Véronique Bergeron. À eux s’ajoutent la pétillante Audrey Painchaud et une bonne dose de rock!

LES ASSOCIÉS, avec Mathieu Marcotte et Élodie Déry, en semaine de 18h à 20h Les anciens complices Mathieu Marcotte et Élodie Déry se retrouvent chaque soir pour proposer une émission unique mettant en lumière leur passion commune du rock et leurs grandes connaissances musicales. Les deux « Associés » s’éclatent en ondes en donnant aux amateurs les rock news de la semaine et en leur présentant le meilleur du rock d’aujourd’hui.

LE COLLECTIF RAPQC, avec Franck Pettigrew, en semaine de 20h à 21h Le Collectif RapQc c’est la seule quotidienne rap au Québec. Avec Franck Pettigrew à la console, ne manquez rien de la scène musicale rap francophone d’ici.

BLVD DU ROCK, avec Dan Caron, samedi et dimanche de 10h à 16h La fin de semaine, laissez le légendaire Dan Caron vous offrir la meilleure sélection rock à Québec! Le BLVD du rock, c’est un mélange audacieux des succès rock et alternatifs de l’heure avec Royal Blood, Rise Against, 30 Seconds to Mars, Imagine Dragons, Greta Van Fleet, Papa Roach et The Killers. Sans oublier les groupes coups de cœur de Québec : Metallica, Muse, Foo Fighters, Avenged Sevenfold, Guns N’ Roses, Pearl Jam et Green Day.

ANDRÉANNE MARTIN GUERRIÈRE

Quatre ans après la sortie de Fais-moi la musique, son premier album, l’autrice-compositrice Andréanne Martin nous dévoile son projet Guerrière, qui réunit 12 pièces. On trouve dans ce nouvel opus des chansons qui parlent de résilience, de persévérance, de l’importance de rêver et de continuer à dénoncer les injustices sociales. Guerrière est sans aucun doute son album le plus mature sur le plan des textes, des textures vocales et des sonorités, plus surprenantes. On peut y entendre sa première chanson « in English », son premier flirt avec le style électro et même une collaboration avec Julien Alvarez Thomet du groupe Bombolessé dans la pièce « Cajolé », sortie plus tôt ce printemps. Avant de lancer un deuxième album, Andréanne a voulu prendre le temps de choisir les bonnes chansons, de peaufiner le tout – textes, arrangements, interprétation –, et ça s’entend! La pandémie a été bénéfique à ce chapitre, et bien d’autres pièces ont été créées et sortiront dans les années à venir. Voici les paroles du plus récent extrait « Le même rêve » (version radio), à paraître le 13 août.

Je ressens toujours la même fièvre
Celle qui me fait grimper plus haut
Comme de l’arbre coule la sève
De goutte à goutte s’écoulent mes mots
Je lâche pas, je marche ou je crève
Depuis plus de trois décennies
Je refais toujours le même rêve
Il me suivra dans la galaxie 

Réalisé par l’autrice-compositrice, l’album compte plusieurs musiciens exceptionnels, dont Walter Druce à la guitare, Vincent Lafrance à la basse, Ariane Racicot, Jérôme Leblanc-Cyr et Marc Legault aux claviers, Peter Colantonio à la batterie, Christopher Vincent au trombone, Isabelle Verville à la trompette, Alexandre Dion au saxophone, Clarence Corbeil aux percussions ainsi que Guy Porlier, Pascale Séguin, Gabriel Joseph et Julien Alvarez Thomet aux chœurs. Le mixage a été effectué par Simon L’Espérance et le matriçage par Richard Addison. 

À PROPOS D’ANDRÉANNE MARTINAprès de multiples apparitions à la télévision, dont sa participation à l’émission La Voix en 2013, Andréanne Martin lance son premier EP, Mon beau bandit, en 2016. Elle obtient ensuite une bourse de perfectionnement du Conseil des arts et des lettres du Québec afin d’améliorer sa plume aux côtés de Francis Cabrel, le parrain des Rencontres d’Astaffort en France. En 2017, elle lance un premier album, Fais-moi la musique, sur lequel on trouve plusieurs collaborateurs d’envergure, dont Pierre Huet (Beau Dommage, Offenbach, Paul Piché). L’année suivante, elle fait paraître l’extrait « L100 k-lisse », accompagné d’un vidéoclip hilarant réalisé en collaboration avec les comédiennes du Projet Stérone. Avec ces dernières, elle continue de donner des spectacles comme comédienne et autrice-compositrice-interprète. En 2020, elle a la chance d’offrir quelques concerts privés à l’extérieur grâce à une bourse du Conseil des arts de Montréal. Avec son nouvel album, elle prépare une tournée de spectacles à travers le Québec.

OG CYRUS & SANS PRESSION

OG Cyrus et Sans Pression sont deux rappeurs montréalais avec une feuille de route plutôt impressionnante. Tous deux cumulent de nombreux projets et de nombreuses collaborations au fils des années.

En 2021, les deux comparses commencent à travailler étroitement ensemble par l’entremise de Komo des productions KM INC. C’est à ce moment qu’ils se mettent à bosser sur un projet collaboratif avec l’aide du talentueux Vagga, de la sublime Sabrina Sabotage, de l’artiste français Nikya et du producteur de renom Sonny Black.

Les artistes nous présentent aujourd’hui un microalbum de 4 chansons intitulé : « Immortel ». Au travers de cet EP, vous y trouverez des mélodies, complètement en phase avec des déclarations passionnées. Les rappeurs nous livrent des œuvres empreintes de poésie, de messages d’espoir tantôt teintés d’humours, tantôt teintés de clairvoyance.

Le premier extrait du projet « Soleil » joue actuellement sur plusieurs radios commerciales. Vagga (Vagalam Beats) y signe une musique mélodieuse, parfaitement en phase avec cette déclaration d’amour légère et passionnée. À leur manière, les trois artistes, nous propose une rythmique positive avec une touche humoristique qui vous laissera sans aucun doute le sourire aux lèvres.

En 2021, les deux comparses commencent à travailler étroitement ensemble par l’entremise de Komo des productions KM INC. C’est à ce moment qu’ils se mettent à bosser sur un projet collaboratif avec l’aide du talentueux Vagga, de la sublime Sabrina Sabotage, de l’artiste français Nikya et du producteur de renom Sonny Black.

Les artistes nous présentent aujourd’hui un microalbum de 4 chansons intitulé : « Immortel ». Au travers de cet EP, vous y trouverez des mélodies, complètement en phase avec des déclarations passionnées. Les rappeurs nous livrent des œuvres empreintes de poésie, de messages d’espoir tantôt teintés d’humours, tantôt teintés de clairvoyance.

Le premier extrait du projet « Soleil » joue actuellement sur plusieurs radios commerciales. Vagga (Vagalam Beats) y signe une musique mélodieuse, parfaitement en phase avec cette déclaration d’amour légère et passionnée. À leur manière, les trois artistes, nous propose une rythmique positive avec une touche humoristique qui vous laissera sans aucun doute le sourire aux lèvres.

DANSE DANSE PRÉSENTE SA 24e SAISON (RE)VIVRE LA DANSE ENSEMBLE

Nous allons nous retrouver et vivre la danse ensemble ! Danse Danse annonce les 10 spectacles qui constituent sa 24e saison, un retour tant attendu par toute l’équipe, les artistes et les compagnies de danse, à qui il tarde de retrouver le public !

Plus grande, plus belle et plus ambitieuse encore, cette saison de retrouvailles promet d’éblouir des spectateurs de tous les horizons, avec des pièces de street dance comme de ballet contemporain, venues d’ici et d’ailleurs.

En salle, en numérique ou en extérieur : la saison 2021-2022 de Danse Danse

L’ouverture de saison se fera en grande pompe avec l’énergie hip-hop d’Ebnflõh,  suivi de l’inclassable Alan Lake, du nouveau spectacle des Ballets Jazz de Montréal sur la musique de Patrick Watson, d’un nouveau visage la danse contemporaine d’ici, Parts+Labour_Danse, du retour de Ballet BC avec un programme triple époustouflant incluant The Statement de Crystal Pite, du chef de file de la nouvelle génération d’artistes scandinaves Alan Lucien Øyen, de la danse furieusement sensuelle de L-E-V de Sharon Eyal, d’une expérience jubilatoire de Sylvain Émard avec 20 interprètes, de la présence tant attendue de l’unique Édouard Lock avec la São Paulo Companhia de Dança et de la chorégraphie Crypto du danseur étoile Guillaume Côté. 

Nouveau ! Hors les murs

Pour la première fois, Danse Danse propose une programmation automnale dans l’espace public, entièrement gratuite ! Un élan du départ tout en fête avec Children of Chemistry de Sébastien Provencher du 24 au 26 septembre (17 h 30 et 19 h 30) dans les vitrines de l’Édifice 2-22 ; Habiter nos mémoires de Caroline Laurin-Beaucage du 1 au 3 octobre (11 h à 19 h) dans le bassin de l’Esplanade de la Place des Arts et Préludes de Sylvain Émard Danse, les 2 et 3 octobre (16 h : Prélude #1 – Le Cercle ; 17 h : Prélude #2 – Le Carré) sur l’Esplanade de la Place des Arts.

Webdiffusions DIGIDANSE

Pour une deuxième saison, une sélection de quatre spectacles de grandes compagnies de danse internationales sera offerte en ligne, en collaboration avec DanceHouse (Vancouver), Harbourfront Centre (Toronto) et le Centre National des Arts (Ottawa). La première webdiffusion du 1er au 11 octobre sera Cão Sem Plumas (Chien sans plumes) de la chorégraphe brésilienne Deborah Colker. Une danse puissante mêlant contemporain, classique et tradition, pour donner vie au poème Cão Sem Plumas sur la région du fleuve Capibaribe dans le nord-est du Brésil.

Ateliers de danse tout public

En plus des spectacles en salle et en virtuel, Danse Danse offrira des ateliers de danse tout public. Des chorégraphes ou interprètes de la saison initient les participants à leur pratique. Ateliers conçus pour tous.tes, les amateurs de danse seront servis.es ! Plus de détails à venir.

« Cette saison propose un retour en salle festif et chaleureux, en toute sécurité et bienveillance. Quel ravissement de s’imaginer réunis pour voir de grands artistes exercer leur art comme ils l’ont toujours fait. Que d’aventures et d’émotions allons-nous traverser ensemble en redécouvrant leurs univers. Votre place vous attend, et nous aussi. »

Pierre Des Marais, Directeur général et codirecteur artistique
Caroline Ohrt, Codirectrice artistique et directrice du développement

AUTOMNE 2021

Ebnflōh
La Probabilité du Néant
Alexandra ‘Spicey’ Landé

C’est la compagnie Ebnflōh qui lancera le mouvement en salle, avec La Probabilité du Néant, nouvelle création d’Alexandra Spicey Landé. Huit danseurs de street dancedéferlent sur le grand plateau du Théâtre Maisonneuve, où prennent aussi place les spectateurs, unis dans une même proximité. La danse incisive de ‘Spicey’ interroge notre responsabilité individuelle et collective. Brouillant les pistes et jouant des perspectives selon l’œil qui regarde, La Probabilité du Néant pose un regard lucide sur notre perception, notre jugement et les conséquences de nos choix; et rappelle notre formidable capacité de résistance et de résilience.​

5. 6. 7. 8. 9 octobre 2021 \ 20 h
Sur la scène du Théâtre Maisonneuve

Alan Lake Factori(e)
L’effritement des parades
Alan Lake

De retour à Danse Danse, Alan Lake offrira au public une collision des disciplines, clé de voûte de son univers foisonnant. Mystérieuse fête païenne aux images puissantes, L’effritement des parades célèbre les semences et l’abondance. Librement inspirée du mythe de Perséphone, l’œuvre est une odyssée symboliste dans laquelle imaginaires délirants, ambitions érodées et idéaux désenchantés viennent s’échouer.

19. 20. 21. 22. 23 octobre 2021 \ 20 h 
Cinquième Salle

BJM – Les Ballets Jazz de Montréal
VANISHING MÉLODIES – Musique de Patrick Watson

Anne Plamondon, Juliano Nunes, Eric Jean

Ensemble, nous célébrerons le 50e anniversaire des BJM avec VANISHING MÉLODIES, incursion dansée dans l’univers poétique de Patrick Watson, le musicien montréalais à la voix inimitable. Danse, théâtre, musique et vidéo composent un tableau impressionniste chorégraphié par Anne Plamondon et Juliano Nunes, dans une mise en scène d’Eric Jean. Rythmée par les chansons de Patrick Watson, cette production est un écrin de choix pour les 14 fabuleux artistes-interprètes de la compagnie de danse chérie du public, auxquels se joint une actrice.

2. 3. 4. 5 novembre 2021 \ 20 h \\ 6 novembre 14 h et 20 h
Théâtre Maisonneuve

Parts+Labour_Danse
Efer
David Albert-Toth, Emily Gualtieri

Avec sa danse physique saisissante, Parts+Labour_Danse aborde les thèmes de la perte, la solitude, le rassemblement et le pouvoir transformateur du deuil. Emily Gualtieri et David Albert-Toth explorent les ambiguïtés de l’expérience humaine dans des œuvres d’une intense énergie. Efer, leur création la plus ambitieuse à ce jour, signifie « cendres » en hébreu, un symbole de finitude comme de renouveau. Sept interprètes investissent l’entre-deux, un espace qui n’est ni ici ni là-bas, entre le jamais plus et le pas encore.

16. 17. 18. 19. 20 novembre 2021 \ 20 h
Cinquième Salle

Ballet BC
The Statement (
Crystal Pite)
Bedroom Folk (Sharon Eyal)
GARDEN (Medhi Walerski)

Pour son troisième passage à Danse Danse, Ballet BC réunit dans un même élan généreux Sharon Eyal, Crystal Pite et Medhi Walerski. Bedroom Folk, chorégraphié par Sharon Eyal, est une œuvre intense et minutieusement synchrone, menée par les impulsions électroniques répétitives d’Ori Lichtik. The Statement, savoureux dialogue entre mots et mouvements, est du pur Crystal Pite, un imbroglio inextricable où quatre danseurs, autour d’une grande table, dévoilent rapports de force et jeux de pouvoir. Enfin, GARDEN de Medhi Walerski, un bouquet de musique et de danse inspiré du Quintette en la mineur op. 14 de Camille Saint-Saëns, fait merveille, distillant une douce mélancolie.

1. 2. 3. 4 décembre 2021 \ 20 h
Théâtre Maisonneuve

APOPHIS: LA NAISSANCE D’UN SUPERGROUPE

Non seulement Apophis donne aujourd’hui naissance à leur premier album, mais nait aussi de cet opus homonyme, un supergroupe à garder à l’œil !

Vous avez bien raison, le mot supergroupe ne devrait pas être employé à la légère. Mais c’est pourtant bien ce mot qu’il faut utiliser pour décrire Apophis. Considérons un instant les forces en présence. Voici d’abord Alexandre Martel, sans conteste le réalisateur de disques le plus inspiré au Québec – on lui doit, seulement cette année (!), la réalisation des albums d’Alex Burger, de Thierry Larose et de Lumière. Ajoutons au portrait son frère, Cédric Martel, le fidèle et souriant pilier sur qui Hubert Lenoir et Tire le Coyote (notamment) ont pu compter à la basse. Quant au batteur étoile PE Beaudoin, il n’est rien de moins que le Hal Blaine de la scène musicale de Québec – est-il vraiment nécessaire d’en ajouter ?

Sur ce premier album d’Apophis,formation émergeant d’un monticule de cendres mauves,vous retrouverez donc (entre autres) des mélodies velcro, du rock de plaisance,un peu de prog (pourquoi se priver de ce grisant plaisir?), ainsiqu’une chanson dont le titre est le nom du groupe (les fans de Black Sabbath savent qu’une chanson dont le titre est le nom du groupe est toujours un gage de qualité).

Vous entendrez aussi l’histoire d’un gars ayant vécu l’horreur du covoiturage lorsque le conducteur syntonise la mauvaise chaîne, un solo de guitare d’Alex Burger, Cédric se remémorant sa jeunesse dissolue et des textes sans doute moins cryptiques que ceux auxquels Alexandre Martel (aussi connu sous les traits livides du prince Anatole) nous ahabitués jusqu’ici. Tous des trois membres d’Apophis, tous chanteurs, prennent chacun leur tour le contrôle du micro principal.

Wikipédia ne ment pas: Apophis est un dieu égyptien personnifiant le chaos, le mal et l’obscurité. Il se peut que si vous évoquez le sujet en entrevue, Alexandre Martel vous parle d’occultisme et de tarot. Soyons prévenus. Mais retenons surtout que s’ils ont choisi d’affubler leur nouvelle formation de ce nom, c’est pour célébrer tout ce qui, du désordre et de la noirceur, peut émerger d’éblouissant

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MAD

« Dans le dessein de former un danseur incarné, performant et singulier, l’EDCM porte une égale attention à la Suivant la sortie des deux extraits « La fille de personne » le 15 juin 2021 et «La belle époque» le 27 juillet dernier. M.A.D. est fin prête à dévoiler un premier opus de 8 chansons. “Doux-Amer” est le goût qu’ont laissé dans la bouche de la jeune femme les diverses situations vécues durant sa vie. Elle y relate à travers son EP, les leçons apprises : le goût agréable versus comment elles ont été montrées : le goût désagréable.  
 
“Doux-Amer” n’est pas un projet qui cherche à plaire, mais plutôt à être vrai. Loin d’être une confession, il s’agit plutôt de l’affirmation d’une vérité propre à l’artiste, car personnelle à celle-ci. Naviguant au gré des différents styles sonores du EP, (produit/mixé/matricé par Inspired Muzik), les émotions de M.A.D. viennent se greffer à ceux-ci et les mots qui en découlent sont inspirés par cette volonté d’être sincère sans détour.
 
D’après l’artiste, derrière le regard de chaque individu, il y a une histoire et si cette histoire ne semble pas correspondre à celle couramment entendue, cela ne signifie pas qu’elle n’existe pas.
 
Doux-Amer est un projet sans contraintes ni obligations, réalisé par une artiste indépendante qui raconte ce qui se trame en silence dans un monde où les gens cris pour être entendu, mais où personne ne veut écouter…

M.A.D. c’est un amalgame d’affirmation de soi, de naturel et de mystère. Artiste, elle est !  
 
M.A.D. maîtrise bien la langue française laissant sa plume raconter son histoire à travers une rythmique authentique et des propos libérateurs.
 
Dans une poésie propre à son identité, M.A.D. vous invite à entrer dans son univers doux et amer.