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La rencontre entre des paroliers multigénérationnels et les mélodies de Julien Clerc

Julien Clerc revient au Québec avec son nouvel album Terrien et réunit autour de lui une solide équipe de paroliers multigénérationnels tels que Clara Luciani, Jeanne Cherhal, Didier Barbelivien, Bernard Lavilliers, Marc Lavoine, Carla Bruni mais aussi le rappeur Vincha. Il propose aujourd’hui une version inédite de son 26e album studio. Cette édition spéciale est enrichie de 6 maquettes des chansons de l’album en version piano-voix. L’artiste nous dévoile ainsi son processus créatif et de production. Un véritable cadeau pour les fans!

Un confinement créatif

Composé durant le premier confinement, Terrien propose douze chansons inédites. L’artiste aborde plusieurs sujets d’actualité et de société, sans abandonner pour autant les ballades sentimentales, comme cette étonnante collaboration avec Clara Luciani pour la chanson d’amour Mon refuge, le premier extrait de ce nouvel opus. Magnifiquement illustré dans son dernier vidéoclip, Julien Clerc nous invite dans l’univers de son voyage imaginaire. Le chanteur de 73 ans visite le monde sans quitter son chez-soi, grâce à une maison volante. Café en main, le musicien traverse des paysages somptueux, admire les cerisiers en fleurs, survole les sapins enneigés et caresse du bout des doigts les pyramides de Gizeh lors de cette évasion qui traduit si bien les paroles.

Découvrez le vidéoclip dès maintenant sur la chaîne YouTube officielle de l’artiste. https://www.youtube.com/results?search_query=mon+refuge+julien+clerc

MON REFUGE

(Clara Luciani / Julien Clerc)

« Une chanson qui parle d’évasion et de voyages; j’ai adoré le mot refuge et ça m’a inspiré. »

MADEMOISELLE

(Didier Barbelivien / Julien Clerc)

« C’est un sous-texte sur les enseignantes, qui nous ont appris l’histoire de notre pays, et sur les neiges éternelles et les grandes cités industrielles. »

LA ROSE ET LE BOURDON

(Vincha – Baptiste Hamon / Julien Clerc)

« Une chanson qui pose la question de savoir dans quel état nous laisserons la planète à nos enfants. »

COMMENT TU VAS?

(Marie Bastide / Julien Clerc)

« C’est un texte sur la dépression, ce qui touche énormément de monde. C’est un texte que je suis fier de chanter. »

CHAQUE

(Carla Bruni / Julien Clerc)

« Paroles de Carla Bruni. C’est véritablement l’une des trois chansons d’amour pure et dure de l’album. »

MA PETITE TERRE

(Marc Lavoine / Julien Clerc)

« Une chanson sur les Antilles, cela fait référence à mes racines. »

L’HOMME A NAGÉ

(Clara Luciani / Julien Clerc)

« Pour une fois, plutôt que de mettre un texte en musique, j’ai décidé de trouver un thème musical qui me servirait au refrain et après, j’ai inventé la mélodie. »

LA JEUNE FILLE EN FEU

(Jeanne Cherhal / Julien Clerc)

« Chanson qui traite d’un problème éternel, mais qui a des résonances très fortes en ce moment (…) Je remercie tous les jours Jeanne Cherhal de m’avoir offert ce texte. Elle m’a dit dans une jolie lettre qui accompagnait le texte qu’un homme qui chante Femmes je vous aime ne peut rester insensible à ce problème. »

TERRIEN

(Bruno Guglielmi / Julien Clerc)

« C’est la chanson qui donne son nom à l’album (…) Dans l’air du temps et des préoccupations des gens qui habitent cette planète aujourd’hui »

BREXIT

(Paul Ecole / Julien Clerc)

« Une réalisation assez rock britannique (…) Une histoire d’amour entre une Anglaise et un Français. »

L’AMOUR DES GENS

(Didier Barbelivien / Julien Clerc)

« Résume la pensée d’un artiste vis-à-vis de son public (…) Ce qu’on recherche tous, c’est l’amour. »

AUTOMNE

(Bernard Lavilliers / Julien Clerc)

« Un très beau texte d’ambiance, un peu cinématographique »

L’amour… depuis plus de 50 ans

Cet album rassembleur, Julien Clerc l’a composé seul, en confinement, mais ça ne l’a pas empêché d’y intégrer de belles chansons d’amour. Après plus de cinquante ans de carrière et plusieurs titres marquants laissés au répertoire de la chanson francophone, le chanteur est toujours aussi authentique, sensible et romantique, et il possède encore un sens redoutable de la mélodie.  

Avec ce nouvel album Terrien, l’artiste à la voix singulière marque son retour sur disque en attendant l’annonce d’une visite imminente dans la Belle province! Découvrez le nouvel album de Julien Clerc en formule bonifiée en magasin dès maintenant et sur les plateformes numériques via ce lien : https://Musicor.lnk.to/JulienClerc-Terrien

Le Festival International du Film sur l’Art nommé aux nouveaux Prix du Conseil des arts de Montréal dans la catégorie «Innovation» : une reconnaissance de son leadership dans le numérique

Fort de l’annonce officielle de ce jourle Festival International du Film sur l’Art (Le FIFA) se réjouit de figurer parmi les finalistes pour un des Prix du Conseil des arts de Montréal – désignés sous le nom Nos indispensables – dans la catégorie «Innovation». Cette nomination qui honore l’équipe du Festival, intervient dans le contexte de la crise de la pandémie de COVID-19 qui a bouleversé la scène culturelle depuis le printemps 2020, tant sur le plan humain, artistique, financier et logistique
 

LEADERSHIP À L’ÈRE DU NUMÉRIQUEÀ l’aube de son quarantième anniversaire, qui sera célébré en mars 2022, Le FIFA peut se targuer d’être une entreprise innovante et d’occuper une place de choix dans la diffusion et le rayonnement des œuvres cinématographiques à l’ère du numérique. Fort de deux éditions virtuelles consécutives, en mars 2020 et mars 2021, le Festival a su faire évoluer sa culture d’entreprise et a réinventé son modèle, en gardant pour mission première celle d’offrir une vitrine de choix pour la présentation d’oeuvres de nombreux réalisateur·rice·s et producteur·rice·s d’ici et issu·e·s de la scène internationale.
 
Le plus grand défi d’une programmation en ligne étant de trouver des façons innovantes d’établir une communication entre le public et les cinéastes, Le FIFA a repensé le mode de diffusion des films. Par exemple, le 29 mars dernier, afin de refléter la vitalité du film sur l’art et de prolonger la diffusion et le rayonnement des œuvres célébrées au FIFA, le Festival a lancé ARTS.FILM qui aspire à devenir une Grande Place de la webdiffusion artistique sous toutes ses formes, où des festivals partenaires et des institutions culturelles complices proposent des programmations éphémères et des sélections d’œuvres inédites, qui s’ajoutent à une programmation disponible toute l’année.
« Depuis plusieurs années, nous suivons de près les mutations technologiques qui influent sur le secteur de la diffusion cinématographique et artistique, remarquant des changements importants au niveau des comportements et des attentes des publics, mais aussi au niveau des créateur·trice·s. Il est certain que la pandémie est venue précipiter l’adhésion à plusieurs de ces technologies. Mais avant tout, nous avons toujours abordé les technologies sous l’angle des liens qu’elles permettent de créer, de redéfinir entre les œuvres, les artistes et le public. Plusieurs des technologies que nous développons seront encore présentes lors du retour en salle du Festival. Elles ne font qu’ouvrir des mondes de possibilités, nous incitant sans cesse à nous repositionner, à nous requestionner, à nous redéfinir. Cependant, elles demeurent des outils et notre rôle est de décider comment et dans quel but les utiliser. » souligne Philippe U. del Drago, directeur général et artistique du Festival International du Film sur l’Art.
De ce fait, la création de cette nouvelle plateforme de contenu culturel est une preuve d’une réinvention du Festival International du Film sur l’Art qui existe désormais bien au-delà de son édition annuelle et s’assure d’une visibilité enviable à l’échelle pancanadienne tout au long de l’année.

INNOVATION ET PANDÉMIE

L’incursion marquante du FIFA dans le domaine du numérique faisait partie d’un plan d’affaires amorcé il y a déjà quelques années. Elle a tout simplement été accélérée par le contexte de la pandémie de COVID-19. Rappelons qu’en mars 2020, Le FIFA a été le premier festival dans les Amériques, et le deuxième au monde, à migrer en ligne. Le 14 mars 2020, deux jours après le décret du premier ministre interdisant tout rassemblement public de plus de 250 personnes, l’équipe du FIFA, animée par sa cohésion, son expérience et expertise, est parvenue à tenir une édition en ligne, présentant plus de 180 films à travers le pays pour le bonheur des cinéphiles et amoureux·ses des arts.

La formation Oktopus lance Créature

La formation Oktopus présente son troisième album, Créature, quatre ans après l’acclamé Hapax, en nomination aux JUNO et aux Prix de musique folk canadienne. L’octuor montréalais poursuit sa route dans la direction qui a fait sa renommée : une musique klezmer dont la profondeur des racines n’a d’égale que l’audace des ramifications de ses branches. Une musique autant ancrée dans une tradition millénaire qu’imprégnée du Montréal cosmopolite dans lequel baignent les musiciens du groupe.

Dans Créature, les sonorités d’Europe de l’Est côtoient la musique classique, la chanson québécoise, le jazz et même la pop, à travers des compositions originales, des improvisations inspirées et des arrangements toujours aussi finement conçus par le directeur artistique Gabriel Paquin-Buki. La fête et la danse sont au rendez-vous, mais aussi l’introspection, l’exploration, l’espoir et la lumière.

Ce troisième album est une créature étonnante, multiple et attachante, façonnée par Matthieu Bourget (trombone basse), Noémie Caron-Marcotte (flûte), Madeleine Doyon (trombone), Guillaume Martineau (piano), Gabriel Paquin-Buki (clarinette), Maxime Philippe (batterie), Francis Pigeon (trompette) et Veronica Ungureanu (violon), huit artistes virtuoses à l’imagination fertile.

En plus du répertoire traditionnel, on y trouve notamment une relecture vibrante de la chanson Le grand cerf-volant de Gilles Vigneault – qui permet d’entendre la magnifique voix de Sonia Johnson – une version revampée de Misirlou – un traditionnel grec rebaptisé ici Poulpe Fiction, en référence au film qui l’a fait connaître au grand public –  et Jumpin’ Jumpin’, une étonnante reprise du groupe Destiny’s Child. www.oktopus.ca

YOLELE LA SORTIE DU TOUT PREMIER SINGLE SOLO

Les Productions Nuits d’Afrique annoncent la sortie de Yolele, le vendredi 21 mai. Le single, distribué à travers le Canada par Believe, le tout nouveau distributeur de l’étiquette Disques Nuits d’Afrique, sera disponible sur toutes les plateformes numériques le même jour.

Yolele – Premier single solo de Cheik Ibra Fam
 

Cheikh Ibra Fam ajoute désormais une nouvelle corde à son arc en sortant en son nom propre son tout premier single Yolele. Cette chanson aux couleurs afro-pop a été réalisée après près de 15 ans de carrière sous le nom Freestyle dans son pays natal et après son actuelle collaboration en tant que chanteur du groupe de renommée internationale Orchestra Baobab.

Un single afro-pop

Yolele, qui tient son nom d’un chant et d’une danse peul (dialecte de l’Afrique de l’Ouest) traditionnelle et populaire au Sénégal, raconte la vie quotidienne et appelle à l’introspection.

Des couplets puissants chantés en wolof s’intègrent à merveille dans des rythmes variés de guitare acoustique, percussions et cuivres qui rappellent les racines de cet artiste multidimensionnel.

Le refrain, quant à lui, est dansant et reste en tête. Il s’accompagne d’arrangements qui, associés à l’ensemble du morceau, révolutionnent le genre et modernisent véritablement la musique Afro.

Cette modernité dans la musique de Cheikh Ibra Fam est encore plus soutenue grâce à un clip haut en couleurs, tourné sur l’Île de Gorée au Sénégal, qui met en avant le goût prononcé de l’artiste pour la mode, la danse et la musique.

Autant d’images et de symboles entremêlés dans ce riche clip de Yolele dans lequel Cheikh Ibra Fam se met lui-même en scène, au coeur de ses instants de vie et d’histoire. 

Sortie de l’album Peace In Africa le 14 octobre 2021

L’album complet Peace In Africa, qui paraîtra également sous l’étiquette Disques Nuits d’Afrique, est en préparation et sortira le 14 octobre 2021. 

« Je ne suis pas celui que vous décrivez » De la DPJ aux bancs d’université

Le taux de diplomation des jeunes de la DPJ est alarmant. Seulement 25 % d’entre eux ont un diplôme d’études secondaires à 19 ans, comparativement à 77 % pour la moyenne québécoise*. La pandémie a complexifié davantage ce parcours déjà difficile. Pourtant, ces statistiques inquiétantes font souvent ombrage à de grands succès.

Voici l’histoire de Samuel Coulombe, placé dès la naissance, qui entame aujourd’hui des études à la maitrise. Un jeune qui veut prendre la parole pour rappeler qu’un enfant de la DPJ qui réussit, bien qu’on en parle rarement, c’est possible! Il souhaite aussi partager son succès avec tous les donateurs de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal qui ont cru en lui.

Gagner à la loterie des familles daccueil

Samuel a été pris en charge par la DPJ avant même sa naissance. « Ma mère consommait de la drogue. Elle ne pouvait s’occuper ni de moi, ni de mes deux frères, ni de ma sœur. »

À deux ans, Samuel rejoint toute la fratrie dans une même
famille d’accueil. Il y restera durant huit ans. « Ça a été une
belle période. Malheureusement, lorsque j’avais dix ans, mon
père d’accueil est décédé subitement et la famille est tombée en pièces. »

Les frères de Samuel sont envoyés en centre jeunesse, sa sœur dans une famille d’accueil et lui, dans une autre. « Du jour au lendemain, j’ai perdu tous mes repères. Mais ce qui m’a fait le plus de peine, c’est d’être séparé de mes frères et ma sœur! » Malgré le traumatisme de la séparation, Samuel a rapidement pris racine dans sa nouvelle famille d’accueil.

« Onze ans plus tard, je vis toujours avec eux. Je m’implique dans la famille et je les considère comme ma mère et mon père. C’est une chance d’avoir des gens à qui raconter sa journée. Ça prend de la stabilité pour s’épanouir! La vie ne m’a peut-être pas choyé à la naissance, mais je peux dire que j’ai gagné à la loterie des familles d’accueil! »

Luniversité comme un objectif de vie

Dès son entrée au secondaire, Samuel a un objectif très clair : aller à l’université. « J’ai suivi tous les cours enrichis en maths, sciences, anglais… Je ne savais pas encore dans quel domaine je me dirigerais, mais je savais une chose : j’allais réussir! »

Des mains tendues pour réussir, la Fondation comme une solution

« Mes 18 ans approchaient et je savais que les frais universitaires allaient devenir un vrai problème. Je travaillais une journée par semaine, mais ce n’était pas suffisant. C’est là que mon travailleur social à la DPJ a trouvé une solution : la Fondation du Centre jeunesse de Montréal. On a fait une demande de soutien pour mes études. Mes frais de scolarité, mes livres, mes effets scolaires, mon ordinateur ont été couverts par les bourses de la Fondation. Si j’avais dû travailler pour payer tout cela, je n’aurais pas pu mettre autant d’énergie dans mes études et le résultat n’aurait certainement pas été le même!

« Aujourd’hui, je me prépare à franchir une nouvelle étape : j’entre à la maitrise à l’Université Laval. C’est un grand saut qui me permettra de faire ce dont j’ai envie, travailler sur des projets d’exploitation naturelle en milieu éloigné. »

Moi aussi, je mérite quon raconte mon histoire!

« Avant de voler de mes propres ailes, j’ai envie de vous dire que des jeunes comme moi, il en existe plusieurs à la DPJ. Mais on n’entend jamais parler de nous dans les médias. Je suis née d’une mère toxicomane et je ne connais pas mon père biologique. Je possède le même point de départ que plusieurs jeunes dont on retrace souvent le parcours malheureux.

« C’est important pour moi de dire que les enfants de la DPJ ne finissent pas tous dans la rue. Cette image- là est trop véhiculée par les médias. Lorsque l’on est un enfant placé, tout ce que l’on entend, c’est que l’on n’ira pas loin dans la vie. Et à force de l’entendre, on y croit. Souvenez-vous de moi. Je suis né dans un contexte peu enviable et j’entreprends bientôt des études supérieures. Moi aussi, je mérite qu’on raconte mon histoire. »

Préparer une rentrée scolaire en sortie de crise

La crise actuelle frappe de plein fouet les jeunes et davantage ceux en situation de vulnérabilité. Les besoins engendrés par la pandémie sont plus urgents et plus intenses. La Fondation du Centre jeunesse de Montréal a augmenté de 98 % laide apportée, cette année, aux jeunes pour que leur contexte de vie soit favorable à leur réussite, notamment par la poursuite de leurs études. Des loyers, du matériel informatique, des frais de scolarité, du tutorat, des cartes alimentaires, etc. Les initiatives continuent d’être nombreuses pour transformer leurs parcours en réussite.

« Grâce à la générosité de notre communauté de donateurs, nous apportons un soutien d’urgence aux jeunes qui n’ont pas d’autres alternatives financières. Des jeunes adultes qui, sans l’aide de la Fondation, devraient sacrifier leurs études pour occuper un emploi les menant souvent dans une situation précaire », rapporte Fabienne Audette, directrice générale de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal.

« La prochaine rentrée scolaire est à nos portes et nous savons déjà que la demande sera aussi importante. La sortie de crise nécessite une mobilisation de toute la communauté. Et nous faisons appel à la générosité de tous ceux et celles qui le peuvent, pour appuyer ces jeunes de la DPJ et leur envoyer ce message essentiel : « Nous croyons en toi! Tu as le pouvoir de réussir! »

Pour soutenir les jeunes dans leur réussite scolaire, faites un don au : fondationcjm.ca

LE MUSÉE DE LA CIVILISATION CÉLÈBRE SA RÉOUVERTURE AVEC LES MAYAS !

 Le Musée de la civilisation célèbre sa réouverture de façon grandiose en offrant à ses visiteurs rien de moins qu’un voyage au pays des Mayas d’Amérique centrale. Commencée il y a 5 000 ans, l’histoire de cette civilisation dorée constitue l’un des héritages culturels les plus riches au monde. Au moment de son apogée, entre le 3e et le 8e siècles de notre ère, elle figurait parmi les plus avancées en Amérique surpassant même, par son raffinement, la culture européenne. Aujourd’hui, malgré les guerres, les famines et les changements climatiques, les Mayas sont toujours là! Ils sont plus de 6 millions à vivre au Guatemala, au Bélize et au Mexique, Ils parlent toujours leur langue et préservent leur culture millénaire. À voir absolument, jusqu’au 3 octobre prochain.

Conçue par MuseumsPartner (Autriche), en collaboration avec le ministère de la Culture et des Sports du Guatemala, l’exposition MAYA est présentée au Musée de la civilisation avec le soutien financier du gouvernement du Québec et de la Ville de Québec, dans le cadre de l’Entente de développement culturel, ainsi qu’avec la participation de Radio-Canada et du Fairmont Le Château Frontenac à titre d’hôtel officiel.

Provenant du Musée national d’archéologie et d’ethnologie du Guatemala et de la Fondation La Ruta Maya, près de 300 trésors témoins de la richesse de cette culture — statuettes, stèles de pierre, bijoux — sont mis en valeur à l’intérieur d’une scénographie vivante et colorée. Des stations interactives, des projections vidéo grand format et des ambiances sonores enveloppantes complètent l’expérience.

Un peuple en symbiose de corps…

Le parcours, décliné en 12 zones, révèle une civilisation en symbiose de corps et d’esprit avec son environnement tropical. Pendant des siècles, ils ont dominé le territoire parfois très hostile de la forêt tropicale et y ont développé des méthodes ingénieuses d’agriculture pour faire pousser maïs, courges et haricots. Dotés d’une organisation sociale avancée, les Mayas ont érigé des cités en pleine forêt, construit des temples impressionnants au sommet de hautes structures étagées. Entre ces citées était établi un gigantesque réseau commercial reliant les hautes terres du Guatemala à l’océan Pacifique, à la mer des Caraïbes et aux basses terres mayas. Le transport de marchandises, dont le précieux cacao, se faisait par canot mais surtout à dos d’homme puisqu’aucune bête de somme ne pouvait se déplacer dans la jungle. Chaque cité compte un roi considéré comme un demi-dieu puisqu’il assure la communication entre son peuple et le divin.

… et d’esprit avec son environnement

La forêt n’est pas que nourricière pour le corps; elle l’est aussi pour l’esprit. Les compagnons de l’âme des Mayas se présentent sous les traits d’un mammifère, d’un reptile, d’un insecte ou d’un être fantastique à plusieurs visages. Les Mayas vénéraient environ 8 000 dieux et déesses qui pouvaient changer de sexe et se multiplier. Dieux de la pluie, du commerce, de la guerre, de la fertilité, chacun possédait un caractère unique. Lors des rituels sacrés, les Mayas sacrifient des animaux ou même faisaient don de leur sang. Celui du roi était le plus précieux, on le réservait aux crises graves…

L’écriture et les mathématiques : des dons divins

Se croyant bénie de ses dieux, la civilisation maya se distinguait particulièrement pour ses profondes connaissances de l’écriture, des sciences et des mathématiques. Le roi se servait de l’écriture hiéroglyphe pour affirmer son autorité, communiquer d’importantes nouvelles et pour consigner les faits marquants de sa vie. Une vie mesurée à l’aide d’un calendrier de rites de 260 jours, d’un calendrier de 360 jours relié à l’année tropicale et d’un calendrier incluant tous les jours écoulés depuis la fondation du monde. Experts en mathématiques et en astronomie, les Mayas avaient un système de numérotation basé sur le nombre 20 incluant les chiffres de 0 à 19.

Quelques stèles ont été préservées et permettent de déchiffrer le langage complexe des Mayas, ce qui n’est pas le cas des codex en papier d’écorce. Seuls quatre ont été sauvés des flammes espagnoles au 16e siècle. Celui en salle est une reproduction d’un exemplaire conservé à Dresde, Allemagne.

Déclin et résilience

La fréquence des guerres entre royaumes finit par détruire une structure sociale et politique en place depuis des millénaires. Au tournant du 10e siècle, une nouvelle façon de partager les richesses entre les dirigeants et le peuple s’installe au profit d’une économie florissante. En 1517, les Espagnols découvrent un système infiniment plus dynamique que leur système féodal. La civilisation maya n’est jamais disparue. Les Mayas ont préservé leur culture malgré les aléas de la politique, de l’économie et du climat. Ils ont survécu à la conquête espagnole et aux épidémies, se sont battus contre les travaux forcés et la discrimination dont ils ont été victimes. Forts et résilients, ils ont beaucoup à nous apprendre.

VÉ DÉVOILE SA NOUVELLE COLLECTION DE BIJOUX, BOLD

 lance BOLD, sa nouvelle collection de bijoux raffinés entièrement conçus et fabriqués à la main à Montréal. Alliant les formes simples et élégantes, l’argent sterling, l’argent plaqué or 14k et les perles d’eau douce, les bijoux BOLD sont épurés et sophistiqués. Étant donné que nous sommes tous durement touchés par les restrictions de la pandémie,  veut égayer le quotidien des femmes en ressortant leur beauté et leur côté unique avec ses créations. Dès le 3 juin prochain, le public aura rendez-vous au veroniqueroy.com pour découvrir la nouvelle collection BOLD.

BOLD, des bijoux qui inspirent

Afin de rendre hommage aux femmes qui nous inspirent, la collection BOLD leur est entièrement dédiée. Tous les bijoux de la collection BOLD portent des noms de femmes inspirantes, des femmes de notre entourage, du Québec ou à l’étranger qui nous touchent. Parmi les femmes de notre entourage, il y a Julie, la grand-mère de la créatrice Vé qui a su garder son indépendance tout au long de sa vie. Ainsi le nom d’icônes féministes qui ont participées à la lutte et à la revendication des droits de la femme, dont Ruth Bader Ginsburg, Malala Yousafzai et Obiageli Ezekwesili.

La collection BOLD est inspirée des dix collections précédentes de la marque. Nous avons revisité nos plus grands classiques pour créer une collection qui célèbre tout ce que Vé a créé jusqu’ici et nous y avons intégré une nouveauté, les perles fireball. Ces perles tirent leur nom de leur queue de comète attachée à une perle ronde. C’est grâce à leur forme inégale qu’elles captent aussi bien la lumière. Les modèles Greta, Julie et Amanda intègrent cette perle à la forme unique.

Le public aura la chance de profiter de cette collection à un prix de lancement à partir du 3 juin 20h jusqu’au 9 juin. Tous les modèles BOLD seront à 15% de rabais sur les prix réguliers durant cette période. De plus, en s’inscrivant à l’infolettre, les clientes bénéficieront d’un code promotionnel qui ajoutera un 5% au rabais. Il sera seulement applicable durant les 24 premières heures de la prévente. À propos Créée en 2012 par Véronique Roy, designer et joaillière,  est une marque de bijoux minimalistes et contemporains, aux allures sophistiquées et uniques. Véronique cherche à trouver un équilibre entre les formes, les pierres et le métal dans ses créations, ce qui définit le style unique de Vé. Les bijoux Vé sont entièrement conçus et fabriqués à la main à Montréal.
 
La marque Vé a été créée en 2012 par Véronique Roy, passionnée de design et de bijoux. BOLD est la 11ecollection de la marque Vé.
Crédit photo: Carolanne Lamontagne www.carolannelamontagnephotographe.com

Les Entrepreneurs en Action du Québec (EAQ) et des codemandeurs quittent leur recours en justice.

Les Entrepreneurs en Action du Québec (EAQ) et des codemandeurs quittent, à regret, le recours qui était engagé contre le gouvernement du Québec dans le dossier des mesures sanitaires.

Malheureusement un conflit est apparu avec les avocats impliqués dans le dossier et n’a pu trouver règlement. Nous sommes évidemment très déçus, mais nous avons pris la décision la plus sensée en regard du cul-de-sac devant nous.

Huit demandeurs sur la vingtaine qu’il y avait initialement poursuivront le recours avec les sommes restantes de la levée de fond orchestrée par EAQ.

Le combat pour une gouvernance responsable se transportera dans l’arène politique. L’EAQ placera désormais toute son énergie à bâtir une organisation solide et représentative de la diversité des PME du Québec afin de faire entendre la voix des entrepreneurs et de leur famille sacrifiée par le gouvernement caquiste.

« VOGUE LA GALÈRE »

MISSRI est un personnage atypique. Auteur, compositeur, multi-instrumentiste, il est sans doute le seul musicien français à avoir joué des titres du célèbre Bill Monroe à l’Ohio Bluegrass Festival. Doté d’une grande sensibilité, il est resté dans l’ombre durant plusieurs décennies mais cela ne l’a jamais empêché de tourner et de régulièrement monter sur scène.  Il est vrai qu’il n’aime pas beaucoup parler de lui… il préfère jouer ! Depuis plus de 30 années, on le retrouve associé à de nombreux projets, souvent au banjo, régulièrement à la guitare. Puis nous l’avons entendu chanter…. 

Né à Alger, installé en France, il est complètement imprégné de musiques nord-américaines, de musiques traditionnelles mais également de rock psychédélique.  Du reste, après plusieurs groupes à géométrie variable, dont Jamasutra, il poursuit notamment sa collaboration avec le célèbre Barry «The Fish» Melton (une légende de Woodstock avec son groupe Country Joe and The Fish). 

VOGUE LA GALÈRE est le premier album de MISSRI en qualité d’Artiste Principal. Il a composé un répertoire original d’œuvres inédites. L’artiste est influencé par les musiques et sonorités nord-américaines. Il fait du Folk-Electrique, du Bluegrass proche du Rock, et surtout de Rock Psychédélique avec des paroles en français.Pour cet album, le line-up est incroyable ! Les musiciens ont joué avec Chuck Berry, Percy Sledge, Tony Allen, Ray Lema, Jeff Healey, Jim Murple Memorial, Barry «The Fish» Melton … Stéphane Missri est aux guitares, au banjo et au chant. Le canadien Marty Vickers est à la batterie. Les américains Paul Susen et Marten Ingle sont respectivement au fiddle et à la basse, les français Christian Poidevin et Jean-Marie Daviaud sont à l’harmonica et à la mandoline.

VOGUE LA GALÈRE est un album enjoué, spontané et vivifiant. L’artiste nous transporte avec légèreté et une certaine insouciance dans des contrées imaginaires, en forêt, au bord de mer, à la campagne et en pleine ville. Toutes ses chansons évoquent des situations qu’il a vécu mais il ne dévoile jamais tout à fait sa présence. Il parle d’amour. Il en parle quasiment partout. L’album regorge de balades un peu folk, teintées de bluegrass. Des mélodies simples se succèdent, avec une orchestration savamment dosée. Il a joué et/ou enregistré avec :  It’s a Beautiful Day, Country Road Bluegrass Band, Deadicace Grateful Dead, The Misfits, Country for Old man, Geraint Watkins, Paul Tiernan, Panama Red, Banana Lowell Levinger, Gabriela Arnon, Erik Krysty, Danny Vriet et Jay And The Cooks.

Les Impatients et la Fondation Groupe AGF présentent l’exposition Un peu de chez nous

Du 1er au 18 juin prochains, la galerie des Impatients accueillera l’exposition Un peu de chez nous, à laquelle les participant·e·s de tous les ateliers de création ont été invité·e·s à collaborer. C’est l’occasion parfaite de sortir de chez soi pour s’imprégner d’art singulier !

Un peu de chez nous regroupe près de 200 œuvres papier de format unique représentant un objet, une ambiance, un coin, issus du paysage domestique de chaque participant·e. Cet espace familier où l’on se sent tantôt à l’abri, tantôt à l’étroit, et qui est devenu pour plusieurs le décor principal des scènes de la vie quotidienne. Le projet, lancé et mené sous forme hybride en plein cœur de la pandémie, a permis aux Impatient·e·s de garder contact avec l’organisme, et avec la création, essentielle à leur mieux-être. Ce projet d’ateliers a été rendu possible grâce à la Fondation Groupe AGF.

Les participant·e·s aux ateliers de musique du centre-ville, dont les membres du Big Bang Band, participent également au projet, agrémentant l’expérience des visiteurs.

Il sera possible de visiter gratuitement l’exposition du lundi au vendredi, et le samedi 5 juin, entre 10h et 16h, en prenant rendez-vous en ligne. 

L’exposition se poursuivra tout l’été sous forme virtuelle à partir du 19 juin. Le public sera alors invité à se rendre sur la page web de l’événement.

Les détails suivront.

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Un peu de chez nous

À la galerie des Impatients, 100 rue Sherbrooke Est, 4e étage, Montréal

1er au 18 juin 2021

Heures d’ouverture :

Du lundi au vendredi de 10h à 16h.

Samedi 5 juin de 10h à 16h.

Entrée gratuite sur réservation.

Les visiteurs pourront accéder à l’exposition en réservant une plage horaire en ligne. Étant donné la situation actuelle, les places sont limitées.

Veuillez consulter le site impatients.ca pour connaître les détails de l’exposition.